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Et maintenant ? Le temps pour une union sacrée ! (Par Hamidou Sall)

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‘’Gardez-vous de vous croiser les bras en l'attitude stérile du spectateur ‘’Aimé CésaireUne adresse pour dire non pas une parole absolue mais l’absolu d’une parole ! Le Président de la République, Macky Sall, a décidé de ne pas faire acte de candidature pour l’élection présidentielle du 25 février 2024. Cette décision a été ressentie par nombre de Sénégalais comme un acte de délivrance.
Humilité et respect soutiennent ma plume et j’écris ces lignes dans les meilleures dispositions que puisse connaître un citoyen habité par le souci de son pays et par son devenir. Dans le tumulte des circonstances dramatiques que nous avons connues récemment, jamais la parole d’un acteur politique n’aura été tant attendue. Au soir du 3 juillet 2023, le long silence s’est fait voix. Une voix pour ouvrir à nouveau les chemins de l’espoir. Pour un Sénégal épris de paix, la valeur symbolique, politique et historique de cette décision fera désormais figure de repère pour nos sociétés habitées par une conflictualité permanente et pour certaines, depuis peu, soumises à des convulsions mortifères sans précédent. 
Le Président Macky Sall s’est adressé au peuple sénégalais et au monde. Longtemps, le silence d’un homme en responsabilités face à d’autres qui n’ont cessé de le presser à le rompre. Imperturbable, en toute responsabilité, il a choisi son jour et son heure. 
Depuis son adresse à la nation, quelques adversaires politiques s’évertuent vainement à non seulement vouloir banaliser son propos mais à dire que c’est eux qui l’ont contraint à aller dans ce sens. Entre politiciens, c’est de bonne guerre m’a-t-on dit. Pour ma part, je pense sincèrement que c’est une bien mauvaise guerre contre un Sénégal outrageusement malmené mais subitement remis à flot et à sa juste place par la sagesse et la hauteur d’une décision. Et que dire de l’irresponsabilité de celui-là qui, sans doute las de jouer les Cassandre, a fini par se convaincre qu’il y a quelque chose de bon dans la grossièreté, l’outrage, l’arrogance et la calomnie ? Y -a-t-il pire sanction que celle d’être fortement et publiquement désavoué par ses propres soutiens ?
Dans les Écritures Saintes, et plus précisément dans « L’Ecclésiaste », une parole de haute portée : Il y a un temps pour tout. Il y a un temps pour jeter les pierres, il y a un temps pour ramasser les pierres. 
En proclamant :  LE SENEGAL DEPASSE MA PERSONNE, le président Sall donne suite à cette idée fondamentale que notre pays a quelque chose de plus grand que chacun d’entre nous, de plus grand que chaque composante ethnique, religieuse, coutumière, politique et sociale de notre grande nation tout en admettant, mieux, tout en cultivant cette diversité constitutive de notre unité et de notre identité nationale ? L’expérience collective du peuple sénégalais fourmille d’exemples de cette capacité à concevoir, admettre et vivre ce qui nous commande à tous d’être un seul peuple et d’avoir un même but commun. En s’appuyant sur la main tendue du président Macky Sall au cours de son adresse à la nation, il me semble possible et urgent de travailler à une « UNION SACREE », autre manière de nommer, à dessein avec emphase, le patriotisme, en vue de conjurer les méfaits d’un changement d’échelle aussi important que l’entrée de notre pays dans le cercle restreint et convoité des pays producteurs de pétrole et de gaz. Cette union sacrée, ce regain de patriotisme, permettra au président Sall, de poursuivre son œuvre de bâtisseur, et dans cet ultime virage d’une gouvernance volontariste, de continuer à rassembler les poussins à l’abri des milans, et de prolonger son œuvre réformatrice. 
A circonstance exceptionnelle, réalité et mesures exceptionnelles. Ces mesures fortes qu’il aura à prendre en dehors de tout cadre partisan et dépouillé de toute forme de pression, uniquement gouverné par sa conscience de chef de l’État, d’homme surplombant le jeu politique, vont aller dans le sens de la préservation de la forme républicaine de l’État du Sénégal en endiguant toute velléité de lui substituer un régime privatif de libertés, des droits humains, du pluralisme et des espaces publics de débat contradictoire, d’égalité et de réciprocité.Il est des moments dans la vie d’une nation où un fait, un geste ou une simple parole peut suffire à rétablir un fil rompu, à renouer des fraternités fracassées, à ressouder des logiques interrompues. Autant comme dit Hugo, une minute peut blesser un siècle, autant, comme dit Aimé Césaire, n’y eût-il dans le désert qu’une seule goutte d’eau qui rêve tout bas, dans le désert n’y eût-il qu’une graine volante qui rêve tout haut, c’est assez… 
La valeur de la parole donnée, c’est l’argument principal que Macky Sall a invoqué pour expliquer et justifier cette décision attendue par certains, redoutée par d’autres, alors que d’autres encore sont demeurés sceptiques jusqu’au moment où il a prononcé la formule libératrice. C’est un argument qui appartient à la catégorie des valeurs dont se réclament nos sociétés traditionnelles. La sagesse populaire l’a élevée au rang de ce qui est sacré. Sall vient d’un terroir où très tôt on enseigne à l’enfant qui entre dans le monde adulte qu’à l’instar de l’eau versée sur le sol la parole donnée ne peut être ramassée. Force est de reconnaitre cependant que pour ce qui est de l’observance de ces règles, interdits et tabous, en l’occurrence le respect de la parole donnée, on rencontre dans notre quotidien les pratiques les plus diverses et même les plus contraires surtout chez certains grands « donneurs de leçons », chevaliers de l’éthique.
C’est dire que la conduite qui consiste, de la part d’un chef d’État, à invoquer le respect de la parole donnée va, désormais, avoir son pesant d’or dans les affaires de l’État et de l’éthique politique. Éthique politique semblable à celle qui se joue entre justice et équité. Les hommes politiques, au Sénégal du moins, tous ceux qui aspirent à diriger, seront désormais jugés à l’aune de l’exemplarité de leurs comportements et à leur aptitude à observer rigoureusement et la loi et la valeur de la parole donnée. 
Le moment est propice depuis ce discours présidentiel. Il nous faut saisir ce moment pour que surgisse des grandes réserves de foi, ces silos de force où les peuples, dans les moments critiques, puisent le courage de s’assumer eux-mêmes et de forcer l’avenir, c’est encore du Césaire un grand ami du Sénégal ! 
Mais une percée dans la voie du progrès n’a de réelles chances de succès que si elle est adossée à la volonté et à la mobilisation de tous. Or ma conviction profonde est qu’un pays se construit par une addition, par la mystique d’une chimie qui n’est rien d’autre que la mise en synergie de ce que ce pays a produit de meilleur dans un effort soutenu et souvent dans la douleur.
Nous venons de traverser des moments terribles mais je sais que l’image du génie sénégalais n’a pas été perdu pour autant. Je reste convaincu qu’en dépit des oppositions doctrinales, il y a cette solidarité profonde, ce rapport substantiel qui, sous nos yeux et face aux menaces multiples, permettra le recul nécessaire et réunira, au point de les confondre, des Sénégalais aujourd’hui dressés les uns contre les autres dans une adversité qui ne saurait tenir notre destin dans la seule logique délétère de la violence.  
Je reste convaincu que l’acte posé par Macky Sall peut contribuer à faire du Sénégal une vivante leçon pour nous-mêmes et pour les autres. Il va sans dire que nous avons des ressources insoupçonnées dans un formidable terreau de valeurs et de sens pour réécrire à neuf notre histoire et reprendre notre place de sentinelle avancée dans un monde qui vacille entre apogée et apocalypse. L’urgence nous dicte de chercher dans le consensus un nouveau pacte national pour un sursaut vital. Nous devons à tout prix éviter d’avilir dans de misérables querelles le legs inestimable de nos pionniers et bâtisseurs, ces formidables ouvreurs de chemins qui ont tout donné pour jeter les bases d’un pays à peine sorti de la nuit noire d’un colonialisme abject. Notre pays est à la croisée des chemins et la consolidation de nos acquis nous commande de nous dégager collectivement et définitivement des ferments suicidaires vers lesquels d’aucuns s’acharnent à nous pousser. Les urgences nous somment de réussir une remontée sans précédent avec un nouveau sens sénégalais de la responsabilité, un renouvellement sans fin des valeurs et des sens émancipateurs de notre précieux art de vivre sénégalais. 
« Le Sénégal dépasse ma personne » a affirmé Macky Sall avec force et conviction dans son allocution, conscient de la Geste historique dans laquelle il entrait. 
Nombreux nous sommes à nous être tus trop longtemps face à cette violence physique qui tue et saccage des biens publics et privés jusqu’à l’ensauvagement sans précédent d’un haut lieu de savoir où soufflait jadis l’esprit quand la lux était sa lex. 
Image épouvantable d’une université offerte à la rage destructrice d’un feu allumé par une horde de barbares encagoulés brandissant des armes et dansant sur le rythme de je ne sais quel hymne guerrier. J’ai vu passer des pétitions et des groupes se former pour dire non à une candidature. Mais l’université de Dakar, profanée par les flammes, me semble avoir été laissée à elle-même comme si la compétition politique devait faire fi de toute humanité, comme si le savoir devait se plier à la banalisation de tout ce que notre pays a sacralisé hier. Rien ne devrait au Sénégal pousser au saccage du plus grand haut-lieu de savoir de notre pays, un temple qui a formé des générations d’intellectuels et de cadres africains. Le président Macky Sall l’a exprimé en  des termes que chacun devrait méditer : Rien, ni aucune revendication ne saurait justifier qu’on tue, qu’on diffuse des messages de haine et de violence dans les réseaux sociaux, qu’on saccage et brûle des biens publics et privés, y compris des moyens de transport, des commerces, des lieux de culte, des domiciles, des Consulats, des ambulances – même un corbillard - , des universités et des écoles comme pour éteindre la lumière du savoir, réduire au silence notre élite et notre relève scientifiques et intellectuelles et plonger notre pays dans les ténèbres de l’obscurantisme. 
En toute liberté, je tiens à saluer solennellement l’acte courageux posé par le Président Macky Sall, soucieux de préserver la paix, condition « sine qua non » pour consolider les bases de nos acquis démocratiques et construire un Sénégal debout dans la tourmente d’un monde où l’homme s’inquiète encore et s’interroge toujours. Par la main tendue du président de la République et son invitation au dialogue, toutes les filles et fils du Sénégal devraient dans un élan unique méditer son appel : C’est seulement ainsi que nous pourrons poursuivre, ensemble, épaule contre épaule, notre élan commun vers notre destin commun, fidèles à notre devise nationale : Un Peuple, Un But, Une Foi. 
La politique n’est pas le règne de la furie permanente, des animosités pérennes et du bruit sans proposition, elle est plutôt le champ du consensus sur des idées et de la compétition sur des orientations divergentes dans la manière de répondre aux préoccupations des citoyens. Or donc, si tous les acteurs prétendent servir le même Peuple en vue d’améliorer son quotidien et de lui tracer un chemin d’espoir, une convergence sur l’essentiel est nécessaire. 
La menace extrémiste dans la région, les contrecoups des guerres lointaines mais si proches, l’hydre populiste et la tentation du chaos nous guettent et compromettent notre précieux art de vivre sénégalais. La nature pernicieuse des dangers qui rôde nous impose de nouvelles responsabilités si nous tenons encore à faire nation unie et plurielle. Une responsabilité, une hauteur et une dignité auxquelles nous invite Macky Sall dans sa prise de parole historique du 3 juillet 2023.  
Les républicains soucieux du progrès économique dans la paix doivent bâtir des coalitions d’idées et des majorités nouvelles assises sur le socle du patriotisme, de la sacralité de la République et de l’attachement à la démocratie dont le moteur est une compétition ouverte et saine qui sanctuarise cet essentiel si cher que nous avons en commun : le Sénégal. Hamidou SallÉcrivain
Auteur: Hamidou Sall
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Comments

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    il y a 1 an

    Des insanités qui veut nous faire croire et nous vendre un petit bout de bois couvert de cristaux de sel et qui brillent aux reflets des rayons du soleil est couvert de pépilles de diamant. 

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    reply_author il y a 1 an

    Jamais dans l'histoire un homme au Sénégal n'a été condamné pour diffamation à 200 millions et pour corruption de jeunesse en deux procès éclair successifs à veille des élections présidentielles. Preuve que les affabulations de ce monsieur ne répondent pas vraiment à la vraie personnalité du monsieur dont il nous parle.

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    Sanek il y a 1 an

    Merci tonton.

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    LOI il y a 1 an

    Idrissa Seck president pour le bien du Senegal

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    LOI il y a 1 an

    Idrissa Seck president pour le bien du Senegal

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    reply_author il y a 1 an

    Macky est et demeure un criminel sanguinaire. Tout le reste n'est que du bla bla. Il est à l'origine de cette haine au Sénégal. Vous avez comploté...ça a pété mais vous persistez. Nous résisterons quoique ça puisse coûter à l'arbitraire de Macky. 

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    reply_author il y a 1 an

    Macky a fait TROP de mal. Il finira mal

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    reply_author il y a 1 an

    Macky a fait TROP de mal. Il finira mal

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    Vas là-bas il y a 1 an

    Texte long et insipide. Laissez le PR tranquille il a fait tout son possible pour vous, ça suffit nak! En France est-ce un opposant qui est à l'origine des événements récents ? Le PR doit éviter les thuriféraires obsolètes, les larbins désabusés et les opportunistes politiciens (y compris cette opposition qui cherche à enfoncer un des siens, mais qui ne récoltera jamais le vote des jeunes). Le PR est un grand homme, son parcours montre que, grâce à la piété et au sacrifice de ses parents, il a l'aide et la protection du bon Dieu, qui lui donnera l'occasion et la clairvoyance de se réconcilier avec les jeunes en scellant la paix avec celui qui incarne leur plus grand espoir, et qui lui tend la main depuis longtemps. Laissez-nous tranquilles.

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    reply_author il y a 1 an

    Vous avez beau dire ce que vous voulez, l'histoire retiendra que c'est Macky Sall qui a fait reculer la démocratie et semer les graines de la haine au Sénégal. C'est avec lui que candidater est devenu saffak Marwa. Avant lui même des non politiciens participaient facilement aux élections. Il a été candidat avec Dioumeu Dieng diakhaté et d'autres illustrés inconnus. Les politiciens comme Bamba Dièye avec qui il a été en compétition ne peuvent pas plus participer. Juste un exemple concret de comment Macky a fait régresser le Sénégal. On retiendra aussi que c'est Sonko et Pastef qui ont mis un terme au prix de lourds sacrifices au projet de 3e mandat. Tout le reste n'est que poésie qui ne résistera à une seconde d'analyse objective du bilan de Macky Sall. 

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    Hamala Diop il y a 1 an

    Faire marche arrirère ne peut en aucun cas être considéré comme une avancée. Surtout quand l'entêtement a conduit à des dizaines d'assassinats de citoyens réduits à devoir manifester leur désaccord dans la rue sous peine de mort. Il avait le choix entre une fin effroyable et un effroi sans fin.  Ne nous y trompons pas: ce qui se passe dans notre pays est une véritable révolution. C'est la véritable fin du senghorisme, ce régime à deux vitesses où seuls les gens formés à l'école occidentale ont droit de cité. La tentative d'exclure de la compétition politique les citoyens désireux de rompre avec le système que les colons ont légué aux "déformés" de l'école française remonte à l'époque senghorienne: la pseudo-ouverture démocratique de 1974 avec les lois des trois, puis des quatre courants politiques fut en fait une véritable fermeture de la démocratie qui ne visait qu'à empêcher la montée du courant patriotique nationaliste que représentait le RND de Cheikh Anta Diop. C'est bien ce courant qui renaît de ses cendres avec l'irruption sur la scène politique et médiatique nationale des "ndongo daara", bien meilleurs analystes politiques et sociaux que nos sortants de Sciences Po et autres HEC. Ils font corps avec le peuple du Sénégal profond et n'ont aucunement l'intention de se laisser flouer une fois de plus par des politiciens sans foi ni loi n'ayant que la ruse, la tromperie et l'usage de la force brutale pour imposer la perpétuation de l'ordre colonial d'antan. Ils interviennent enfin et ce n'est pas pour nous parler seulement d'islam et de religion: ils abordent les questions laïques et de la vie quotidienne de la nation avec une fraîcheur revigorante et une originalité décapante. Hommage et honneur à Seex Bara et autres Moodu Asta.  Quand la bibliothèque brûle, il ne s'agit que de la "bibliothèque coloniale". La Fac de droit a failli à sa mission depuis qu'elle ne forme plus que des "tailleurs constitutionnels" et autres magistrats coutumiers de l'application généralisée et persistante d'une justice sélective. Le Centre de formation des journalistes a besoin de purification pour répondre au nom prestigieux de son nouveau parrain: Maam Lees Kamara. L'Université Cheikh Anta Diop de Dakar devrait en profiter pour chercher une autre devise qui ne serait pas latine, car nous ne sommes pas des latins et, langue morte pour langue morte, se tourner vers notre héritage commun de la vallée du Nil où les Grecs, avant les Latins, sont allés s'abreuver. Le géologue ne connaît que les pierres: heureusement que le pays n'en manque pas.  Quand à nous, les patriotes, nous fourbissons nos armes et nous n'en avons qu'une seule: la lutte armée, pacifique et non violente des masses unies vers un seul objectif qui est de fonder l'embryon de l'Etat fédéral africain avec une éducation nationale où nos langues auront enfin la place qu'elles occupent de toute façon dans nos vies, et non plus seulement les langues européennes et l'arabe. Nous commencerons par l'état civil qui unifiera la graphie de nos noms au Sénégal et en Gambie car rien ne nous sépare au plan culturel si ce n'est la langue de ceux qui nous ont colonisés. Cela inspirera certainement d'autres pays pour nous faire enfin basculer sur la pente de notre destin fédéral. Il n'existe pas d'autre voie pour l'Afrique.  Quant au pétrole, aucun de nos pays n'est sorti de l'ornière grâce à ses richesses naturelles. Bien au contraire. Nos dirigeants ne savent que les vendre à l'Occident. Résultat des courses: notre jeunesse les suit, par la mer ou par le désert dans l'indifférence générale de nos responsables. Cela va cesser. Il s'agira de les mettre en valeur chez nous ou alors de les laisser où elles sont en attendant des dirigeants plus courageux et plus valeureux. L'illusoire exception démocratique sénégalaise, déjà démentie par le premier coup d'Etat de l'histoire de l'Afrique de l'Ouest "indépendante" perpétré par Senghor contre Dia, réduite à néant par les quatre décennies de gestion autoritaire, incompétente et corrompue de régime socialiste, avec le quart de siècle d'exercice solitaire du pouvoir libéral, revient à sa vérité dans l'incohérence et le malheur. Le Togo des Eyadéma père et fils n'a plus rien à nous envier. Cordialement

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    Hamala Diop il y a 1 an

    Faire marche arrirère ne peut en aucun cas être considéré comme une avancée. Surtout quand l'entêtement a conduit à des dizaines d'assassinats de citoyens réduits à devoir manifester leur désaccord dans la rue sous peine de mort. Il avait le choix entre une fin effroyable et un effroi sans fin.  Ne nous y trompons pas: ce qui se passe dans notre pays est une véritable révolution. C'est la véritable fin du senghorisme, ce régime à deux vitesses où seuls les gens formés à l'école occidentale ont droit de cité. La tentative d'exclure de la compétition politique les citoyens désireux de rompre avec le système que les colons ont légué aux "déformés" de l'école française remonte à l'époque senghorienne: la pseudo-ouverture démocratique de 1974 avec les lois des trois, puis des quatre courants politiques fut en fait une véritable fermeture de la démocratie qui ne visait qu'à empêcher la montée du courant patriotique nationaliste que représentait le RND de Cheikh Anta Diop. C'est bien ce courant qui renaît de ses cendres avec l'irruption sur la scène politique et médiatique nationale des "ndongo daara", bien meilleurs analystes politiques et sociaux que nos sortants de Sciences Po et autres HEC. Ils font corps avec le peuple du Sénégal profond et n'ont aucunement l'intention de se laisser flouer une fois de plus par des politiciens sans foi ni loi n'ayant que la ruse, la tromperie et l'usage de la force brutale pour imposer la perpétuation de l'ordre colonial d'antan. Ils interviennent enfin et ce n'est pas pour nous parler seulement d'islam et de religion: ils abordent les questions laïques et de la vie quotidienne de la nation avec une fraîcheur revigorante et une originalité décapante. Hommage et honneur à Seex Bara et autres Moodu Asta.  Quand la bibliothèque brûle, il ne s'agit que de la "bibliothèque coloniale". La Fac de droit a failli à sa mission depuis qu'elle ne forme plus que des "tailleurs constitutionnels" et autres magistrats coutumiers de l'application généralisée et persistante d'une justice sélective. Le Centre de formation des journalistes a besoin de purification pour répondre au nom prestigieux de son nouveau parrain: Maam Lees Kamara. L'Université Cheikh Anta Diop de Dakar devrait en profiter pour chercher une autre devise qui ne serait pas latine, car nous ne sommes pas des latins et, langue morte pour langue morte, se tourner vers notre héritage commun de la vallée du Nil où les Grecs, avant les Latins, sont allés s'abreuver. Le géologue ne connaît que les pierres: heureusement que le pays n'en manque pas.  Quand à nous, les patriotes, nous fourbissons nos armes et nous n'en avons qu'une seule: la lutte armée, pacifique et non violente des masses unies vers un seul objectif qui est de fonder l'embryon de l'Etat fédéral africain avec une éducation nationale où nos langues auront enfin la place qu'elles occupent de toute façon dans nos vies, et non plus seulement les langues européennes et l'arabe. Nous commencerons par l'état civil qui unifiera la graphie de nos noms au Sénégal et en Gambie car rien ne nous sépare au plan culturel si ce n'est la langue de ceux qui nous ont colonisés. Cela inspirera certainement d'autres pays pour nous faire enfin basculer sur la pente de notre destin fédéral. Il n'existe pas d'autre voie pour l'Afrique.  Quant au pétrole, aucun de nos pays n'est sorti de l'ornière grâce à ses richesses naturelles. Bien au contraire. Nos dirigeants ne savent que les vendre à l'Occident. Résultat des courses: notre jeunesse les suit, par la mer ou par le désert dans l'indifférence générale de nos responsables. Cela va cesser. Il s'agira de les mettre en valeur chez nous ou alors de les laisser où elles sont en attendant des dirigeants plus courageux et plus valeureux. L'illusoire exception démocratique sénégalaise, déjà démentie par le premier coup d'Etat de l'histoire de l'Afrique de l'Ouest "indépendante" perpétré par Senghor contre Dia, réduite à néant par les quatre décennies de gestion autoritaire, incompétente et corrompue de régime socialiste, avec le quart de siècle d'exercice solitaire du pouvoir libéral, revient à sa vérité dans l'incohérence et le malheur. Le Togo des Eyadéma père et fils n'a plus rien à nous envier. Cordialement

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    Hamala Diop il y a 1 an

    Faire marche arrirère ne peut en aucun cas être considéré comme une avancée. Surtout quand l'entêtement a conduit à des dizaines d'assassinats de citoyens réduits à devoir manifester leur désaccord dans la rue sous peine de mort. Il avait le choix entre une fin effroyable et un effroi sans fin.  Ne nous y trompons pas: ce qui se passe dans notre pays est une véritable révolution. C'est la véritable fin du senghorisme, ce régime à deux vitesses où seuls les gens formés à l'école occidentale ont droit de cité. La tentative d'exclure de la compétition politique les citoyens désireux de rompre avec le système que les colons ont légué aux "déformés" de l'école française remonte à l'époque senghorienne: la pseudo-ouverture démocratique de 1974 avec les lois des trois, puis des quatre courants politiques fut en fait une véritable fermeture de la démocratie qui ne visait qu'à empêcher la montée du courant patriotique nationaliste que représentait le RND de Cheikh Anta Diop. C'est bien ce courant qui renaît de ses cendres avec l'irruption sur la scène politique et médiatique nationale des "ndongo daara", bien meilleurs analystes politiques et sociaux que nos sortants de Sciences Po et autres HEC. Ils font corps avec le peuple du Sénégal profond et n'ont aucunement l'intention de se laisser flouer une fois de plus par des politiciens sans foi ni loi n'ayant que la ruse, la tromperie et l'usage de la force brutale pour imposer la perpétuation de l'ordre colonial d'antan. Ils interviennent enfin et ce n'est pas pour nous parler seulement d'islam et de religion: ils abordent les questions laïques et de la vie quotidienne de la nation avec une fraîcheur revigorante et une originalité décapante. Hommage et honneur à Seex Bara et autres Moodu Asta.  Quand la bibliothèque brûle, il ne s'agit que de la "bibliothèque coloniale". La Fac de droit a failli à sa mission depuis qu'elle ne forme plus que des "tailleurs constitutionnels" et autres magistrats coutumiers de l'application généralisée et persistante d'une justice sélective. Le Centre de formation des journalistes a besoin de purification pour répondre au nom prestigieux de son nouveau parrain: Maam Lees Kamara. L'Université Cheikh Anta Diop de Dakar devrait en profiter pour chercher une autre devise qui ne serait pas latine, car nous ne sommes pas des latins et, langue morte pour langue morte, se tourner vers notre héritage commun de la vallée du Nil où les Grecs, avant les Latins, sont allés s'abreuver. Le géologue ne connaît que les pierres: heureusement que le pays n'en manque pas.  Quand à nous, les patriotes, nous fourbissons nos armes et nous n'en avons qu'une seule: la lutte armée, pacifique et non violente des masses unies vers un seul objectif qui est de fonder l'embryon de l'Etat fédéral africain avec une éducation nationale où nos langues auront enfin la place qu'elles occupent de toute façon dans nos vies, et non plus seulement les langues européennes et l'arabe. Nous commencerons par l'état civil qui unifiera la graphie de nos noms au Sénégal et en Gambie car rien ne nous sépare au plan culturel si ce n'est la langue de ceux qui nous ont colonisés. Cela inspirera certainement d'autres pays pour nous faire enfin basculer sur la pente de notre destin fédéral. Il n'existe pas d'autre voie pour l'Afrique.  Quant au pétrole, aucun de nos pays n'est sorti de l'ornière grâce à ses richesses naturelles. Bien au contraire. Nos dirigeants ne savent que les vendre à l'Occident. Résultat des courses: notre jeunesse les suit, par la mer ou par le désert dans l'indifférence générale de nos responsables. Cela va cesser. Il s'agira de les mettre en valeur chez nous ou alors de les laisser où elles sont en attendant des dirigeants plus courageux et plus valeureux. L'illusoire exception démocratique sénégalaise, déjà démentie par le premier coup d'Etat de l'histoire de l'Afrique de l'Ouest "indépendante" perpétré par Senghor contre Dia, réduite à néant par les quatre décennies de gestion autoritaire, incompétente et corrompue de régime socialiste, avec le quart de siècle d'exercice solitaire du pouvoir libéral, revient à sa vérité dans l'incohérence et le malheur. Le Togo des Eyadéma père et fils n'a plus rien à nous envier. Cordialement

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    Hamala Diop il y a 1 an

    Faire marche arrirère ne peut en aucun cas être considéré comme une avancée. Surtout quand l'entêtement a conduit à des dizaines d'assassinats de citoyens réduits à devoir manifester leur désaccord dans la rue sous peine de mort. Il avait le choix entre une fin effroyable et un effroi sans fin.  Ne nous y trompons pas: ce qui se passe dans notre pays est une véritable révolution. C'est la véritable fin du senghorisme, ce régime à deux vitesses où seuls les gens formés à l'école occidentale ont droit de cité. La tentative d'exclure de la compétition politique les citoyens désireux de rompre avec le système que les colons ont légué aux "déformés" de l'école française remonte à l'époque senghorienne: la pseudo-ouverture démocratique de 1974 avec les lois des trois, puis des quatre courants politiques fut en fait une véritable fermeture de la démocratie qui ne visait qu'à empêcher la montée du courant patriotique nationaliste que représentait le RND de Cheikh Anta Diop. C'est bien ce courant qui renaît de ses cendres avec l'irruption sur la scène politique et médiatique nationale des "ndongo daara", bien meilleurs analystes politiques et sociaux que nos sortants de Sciences Po et autres HEC. Ils font corps avec le peuple du Sénégal profond et n'ont aucunement l'intention de se laisser flouer une fois de plus par des politiciens sans foi ni loi n'ayant que la ruse, la tromperie et l'usage de la force brutale pour imposer la perpétuation de l'ordre colonial d'antan. Ils interviennent enfin et ce n'est pas pour nous parler seulement d'islam et de religion: ils abordent les questions laïques et de la vie quotidienne de la nation avec une fraîcheur revigorante et une originalité décapante. Hommage et honneur à Seex Bara et autres Moodu Asta.  Quand la bibliothèque brûle, il ne s'agit que de la "bibliothèque coloniale". La Fac de droit a failli à sa mission depuis qu'elle ne forme plus que des "tailleurs constitutionnels" et autres magistrats coutumiers de l'application généralisée et persistante d'une justice sélective. Le Centre de formation des journalistes a besoin de purification pour répondre au nom prestigieux de son nouveau parrain: Maam Lees Kamara. L'Université Cheikh Anta Diop de Dakar devrait en profiter pour chercher une autre devise qui ne serait pas latine, car nous ne sommes pas des latins et, langue morte pour langue morte, se tourner vers notre héritage commun de la vallée du Nil où les Grecs, avant les Latins, sont allés s'abreuver. Le géologue ne connaît que les pierres: heureusement que le pays n'en manque pas.  Quand à nous, les patriotes, nous fourbissons nos armes et nous n'en avons qu'une seule: la lutte armée, pacifique et non violente des masses unies vers un seul objectif qui est de fonder l'embryon de l'Etat fédéral africain avec une éducation nationale où nos langues auront enfin la place qu'elles occupent de toute façon dans nos vies, et non plus seulement les langues européennes et l'arabe. Nous commencerons par l'état civil qui unifiera la graphie de nos noms au Sénégal et en Gambie car rien ne nous sépare au plan culturel si ce n'est la langue de ceux qui nous ont colonisés. Cela inspirera certainement d'autres pays pour nous faire enfin basculer sur la pente de notre destin fédéral. Il n'existe pas d'autre voie pour l'Afrique.  Quant au pétrole, aucun de nos pays n'est sorti de l'ornière grâce à ses richesses naturelles. Bien au contraire. Nos dirigeants ne savent que les vendre à l'Occident. Résultat des courses: notre jeunesse les suit, par la mer ou par le désert dans l'indifférence générale de nos responsables. Cela va cesser. Il s'agira de les mettre en valeur chez nous ou alors de les laisser où elles sont en attendant des dirigeants plus courageux et plus valeureux. L'illusoire exception démocratique sénégalaise, déjà démentie par le premier coup d'Etat de l'histoire de l'Afrique de l'Ouest "indépendante" perpétré par Senghor contre Dia, réduite à néant par les quatre décennies de gestion autoritaire, incompétente et corrompue de régime socialiste, avec le quart de siècle d'exercice solitaire du pouvoir libéral, revient à sa vérité dans l'incohérence et le malheur. Le Togo des Eyadéma père et fils n'a plus rien à nous envier. Cordialement

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    Ndiogou NDIAYE il y a 1 an

    Un texte à méditer vraiment 

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    Penda il y a 1 an

    Belle contribution.  Bravo Monsieur 

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    Fatou mbaye il y a 1 an

    Quel beau texte. Bravo pour l'honnêteté 

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    Fatou mbaye il y a 1 an

    Quel beau texte. Bravo pour l'honnêteté 

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    il y a 1 an

    Ligne lucide de très haute portée démocratique

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    Georges Ndiaye il y a 1 an

    Ce qui est sûr au Sénégal les mentalités diffèrent mais être raisonnable n'est pas donné à tout un chacun 

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    Patriote il y a 1 an

    Analyse pertinente et qui fait une lecture lucide de la situation du pays. Félicitations Monsieur Sall

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    Jules ndiaye il y a 1 an

    Le respect de la parole donnée. Une valeur que Macky Sall a montré. Merci Amadou

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    il y a 1 an

    Pertinente analyse Mr l'écrivain.  Le Sénégal dépasse nos petites personnes 

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    Deug deug il y a 1 an

    Félicitations pour ce texte si magnifique. Macky sall est un grand homme

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    il y a 1 an

    Macky a posé un acte qui a soulagé le monde plus particulièrement L'Afrique. Cette décision sera marquée dans les annales à jamais.

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    Kalidou Sall il y a 1 an

    Un texte super cohérent 

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    Sénégal rek il y a 1 an

    Une grande leçon pour l'afrique. Chapeau a l'auteur de ce texte

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    il y a 1 an

    La décision de Macky de sursoir à sa candidature a surpris tous les Sénégalais.  Il a marqué un énorme coups....   

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    Intelc tuelle il y a 1 an

    Ce texte traduit la penseede tout honnete intellectuel. Diadieuf

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    il y a 1 an

    Mr l'écrivain vous avez également une responsabilité devant 'histoire.  Vous attendez quoi pour descendre sur le terrain politique.. Il nous revient tous de travailler et bâtir ce pays 

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    Miss démocratie il y a 1 an

    Le Sénégal vient de marquer un grand point. Merci M. sall de l'avoir si bien relaté 

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    Bagne lal il y a 1 an

    Un grand homme qui a posé un grand acte. Mais kenn dou yow mi binde lii

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    il y a 1 an

    Tu es BON Mr Sall.....  Vous avez bien interprété et commenté la décision historique de Macky.  Il sort par la grande porte 

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    Guiss guiss il y a 1 an

    Ce texte est d'une pertinence inouïe 

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    il y a 1 an

    Qui pour succéder Macky Mr Sall ? 

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    Ibou Sy il y a 1 an

    Merci tonton pour ce texte. Deugue nexoule

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    Ibou Sy il y a 1 an

    Merci tonton pour ce texte. Deugue nexoule

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    Senghor il y a 1 an

    Remarquable contribution.  Ces belles plumes doivent écrire davantage... 

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    Limpide il y a 1 an

    Ce qui se conçoit bien s'enonce clairement, les mota pour le dire arrivent aisément. Félicitations père 

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    Limpide il y a 1 an

    Ce qui se conçoit bien s'enonce clairement, les mota pour le dire arrivent aisément. Félicitations père 

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    Femme de Nder il y a 1 an

    Oui. Il y' a des moments où il faut etre francs et dire la vérité. C vrai que macky est un grand monsieur

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    Femme de Nder il y a 1 an

    Oui. Il y' a des moments où il faut etre francs et dire la vérité. C vrai que macky est un grand monsieur

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    Happiness il y a 1 an

    Les jaloux qui liront ça vont avoir une insomnie😂😂. Un texte cohérent 

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    Happiness il y a 1 an

    Les jaloux qui liront ça vont avoir une insomnie😂😂. Un texte cohérent 

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    Chlotilde il y a 1 an

    Ceux qui ont compris savent que vous avez raison sur toute la ligne. Macky sall baal gnou

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    Doudou il y a 1 an

    Des intellectuels de ce genre, on en réclame davantage.  Merci Mr Sall pour votre clairvoyance. C'est ce dont on attend d'un intellectuel honnête. 

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    Vérité il y a 1 an

    Amadou Sall diarama. Texte bi dawna yaram

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    Vérité il y a 1 an

    Amadou Sall diarama. Texte bi dawna yaram

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    il y a 1 an

    Un texte cohérent 

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    Maimouna ndiaye il y a 1 an

    Un texte a partager au vu de son importance

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    Astou Dansokho il y a 1 an

    J'ai rarement vu un tel texte. Merci à l'auteur. Le president de la republique merite tous les honneurs 

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    il y a 1 an

    Texte très riche en informations et en renseignements. Masha Allah 

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    reply_author il y a 1 an

    Absolument , il a dit que la vérité rien que la vérité. un texte cohérent, pas de faute ni de flatteries.

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    Mamadou gningue il y a 1 an

    Ke Sénégal a besoin d'homme comme macky sall

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    Le Serere il y a 1 an

    Faut porter ces couilles pour sortir ce genre de texte 

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    reply_author il y a 1 an

    Absolument , il a dit que la vérité rien que la vérité. un texte cohérent, pas de faute ni de flatteries.

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    Aicha manè il y a 1 an

    Comme que macky demoul mane taamou naa Malick Gakou nitou diamm am lokho you sett

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    Tafsir il y a 1 an

    Le chien aboie la caravane passe. Deugue neikhoul tamite mais wakhe ngua lo

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    il y a 1 an

    C'est un plaisir de lire ce texte 

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    Ngor Thiam il y a 1 an

    Il faut vraiment ce genre de mentalité 

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    Fall il y a 1 an

    Une contribution très pertinente.  Tous nos encouragements Monsieur Le Sénégal a besoin de ces intellectuels de haute facture. 

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    Amadou kandjireply_author il y a 1 an

    Un très bon texte. Une belle plume, vraiment un texte à méditer 

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    Oumou il y a 1 an

    Personne n'aura le toupet d'être en contradiction avec cette ligne de conduite 

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    Amadou kandjireply_author il y a 1 an

    Un très bon texte. Une belle plume, vraiment un texte à méditer 

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    Amadou kandjireply_author il y a 1 an

    Un très bon texte. Une belle plume, vraiment un texte à méditer .  

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    Mor Fall il y a 1 an

    Les gens n'aiment pas les gens mais la majorité aime cette réflection 

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    Poseidon BADJI il y a 1 an

    D'embléée, citer Aimé Césaire est d'une grande bêtise qui témoigne de la totale méconnaissance de son oeuvre et combat pour la liberté. On a du mal a comprendre comment Aimé Césaire participe à justifier à ce long silence en démocratie. Un silence qui a pris en otage tout benno jusqu'à quels mois de l'élection. Macky n'a fait que renforcer son emprise sur la coalition en gardant le silence. Sa justification ne tient pas, la véritable raison est politique qui est celle de ligoter sa coalision afin de se donner le choix au détriment de ses alliés qu'il a volontairement aliéné. On est en privation de liberté donc en esclavage politique. Que fait donc Aimé Césaire dans cette histoire ?    

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    Coumba Faye il y a 1 an

    Deugue neikhoul nak wayé li ngua fi wakhe yeup deugue la 

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    Thérèse il y a 1 an

    Un texte lucide bien cerné dans ces contours 

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    Kandji Amadou il y a 1 an

    Un texte instructif, claire comme l'eau de roche. sur ce ,je choisirai le président Gakou comme remplaçant de l'actuel président de la république a la magistrature suprême.

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    Kandji Amadou il y a 1 an

    Vous avez parfaitement raison, le Senegal en a besoin mais malheureusement dans notre pays les plus bavards sont jugés les mieux outillés. Élire le président Gakou à la magistrature suprême pour un Sénégal meilleur 

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    Kandji Amadou il y a 1 an

    Vous avez parfaitement raison, le Senegal en a besoin mais malheureusement dans notre pays les plus bavards sont jugés les mieux outillés. Élire le président Gakou à la magistrature suprême pour un Sénégal meilleur 

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    il y a 1 an

    Vous devez écrire régulièrement sur la situation du pays. Un régal de vous lire 

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    il y a 1 an

    Après la décision du président place au débat programmatique.  Malheureusement dans ce pays les débats politiques tournent autour des personnes. C'est regrettable 

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    il y a 1 an

    Inutilement pompeux ! Pitié ! Un peu de modestie.... vous n'impressionnez que les ignorants !

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