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Jacob Zuma calls for a single African currency

Auteur: Harouna NEYA

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Jacob Zuma plaide pour une monnaie unique africaine

Former South African President Jacob Zuma has called on African countries to establish a single currency to strengthen the continent's economic independence and boost cross-border trade.

Speaking at the University of Professional Studies in Accra (UPSA), he denounced the persistent dependence on Western currencies, which he considers a brake on development and a colonial legacy.

"Africa needs strategic allies, not aid," Zuma said, calling this dependency "a slow death."

He urged African youth to promote policies that foster the continent's resilience, competitiveness and self-reliance on the global stage.

Auteur: Harouna NEYA

Commentaires (6)

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    panafricain il y a 1 jour

    il a raison , cessons les guerres frontalières et devenons des alliés

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    amy il y a 23 heures

    COMME TOUJOURS EN AFRIQUE BEAUCOUP DE PAROLES ET PEU D'ACTIONS

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    Réaliste il y a 1 jour

    Accélérer la ZLECAF d'abord, puis stopper la corruption , ensuite mettre en place des critères de convergence (Des pays africains compétitifs et un fonds de solidarité africaine) .

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    Lamine il y a 1 jour

    L’une des raisons pour lesquelles nos dirigeants hésitent à sortir du CFA et à créer notre propre monnaie est la peur de l’hyperinflation, notamment celle que pourrait créer la France en inondant le marché de milliards de fausse monnaie.
    Or, il y a des moyens d’éviter ou de réduire considérablement ce risque en accélérant notre intégration à l’économie digitale et notre passage au cashless. En effe, le passage au cashless réduira considérablement les risques d'hyperinflation entrainée par la création massive de fausse monnaie qu'entreprendra inévitablement la France pour inonder le marché et réduire à néant le pouvoir d'achat des travailleurs, quand nous aurons éliminé le franc CFA pour créer notre propre monnaie. On sait que dans l'exemple historique de la Guinée, l’hyperinflation n’a pas résulté juste de l’existence d’une nouvelle monnaie. La Guinée n’a pas été confrontée à une hyperinflation juste parce qu’elle a créé sa propre monnaie indépendante. Non. Au contraire, tout allait bien après la création de la nouvelle monnaie. L’hyperinflation qui a suivi a été artificiellement créée et entretenue par la France qui a fabriqué des milliards de fausse monnaie et en a inondé le marché guinéen. Et la France compte sans doute refaire la même chose avec la monnaie de l’AES. A n’en pas douter.
    Toutefois, nous ne sommes plus dans les années 60. La France n’a plus tous les leviers de commande comme autrefois. L’environnement monétaire est devenu beaucoup plus complexe et moins centralisé et la digitalisation de la monnaie réduira considérablement les capacités de nuisance de la France sur ce volet. A la différence du cash où il est possible de fabriquer et mettre en circulation de la fausse monnaie, dans une économie digitalisée les unités de valeur (argent) sont cryptées, tracées et authentifiées dans un registre central (banque centrale, banques commerciales, opérateurs) et il est impossible de “fabriquer” de l’argent numérique sans être détecté car chaque transaction laisse une empreinte électronique vérifiable qui élimine de fait la la contrefaçon. Par ailleurs, la digitalisation des paiements permet le contrôle en temps réel de la masse monétaire : on sait exactement, à chaque instant, combien circule et chaque unité monétaire est traçable.

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    kilifeu pca honnete il y a 1 jour

    Comment l’ancien président Jacob Zuma a offert l’Afrique du Sud aux frères Gupta
    Un nouveau volet de l’enquête décrit la façon dont le trio d’hommes d’affaires d’origine indienne a fait main basse sur des pans entiers de l’économie avant de les siphonner, sous le mandat de Jacob Zuma.
    ................................Il est presque arrivé au bout de sa tâche. Son œuvre, serait-on tenté de dire. Fin avril, le juge sud-africain Raymond Zondo a remis au président Cyril Ramaphosa le quatrième et avant-dernier volet de son rapport sur le système de corruption qui a gouverné l’Afrique du Sud pendant près d’une décennie. Accablant pour le précédent chef de l’Etat, Jacob Zuma, il raconte comment un président devenu le pantin d’une fratrie d’hommes d’affaires leur a permis de réaliser le casse du siècle : braquer son propre pays pour un butin qui se chiffre en milliards de dollars.

    En fuite à Dubaï, Ajay, Atul et Rajesh, alias « Tony », Gupta, trois frères d’origine indienne, ont été les maîtres de l’Afrique du Sud du début des années 2010 jusqu’à la démission forcée de Jacob Zuma en 2018. « [Jacob] Zuma a diligemment ouvert les portes des entreprises publiques aux Gupta en les invitant à se servir dans l’argent et les actifs du peuple de l’Afrique du Sud », écrit le juge Zondo.

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    Défenseur il y a 1 jour

    Zuma devait mener ce combat depuis son temps

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    REPLY AUTHOR il y a 1 jour

    ou est l argent de khadafi?

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