Le Président Macky Sall sera à Dakar ce vendredi. Le chef de l’État rentre au bercail après avoir pris part au sommet des Brics, mardi, mercredi et jeudi en Afrique du Sud.Les Échos, qui donne l’information, rappelle que Macky Sall avait quitté le Sénégal mardi dernier. Il était accompagné, notamment, de la ministre de l’Économie, Oulimata Sarr, de celui des Finances, Mamadou Moustapha Ba, de son conseiller diplomatique Omar Demba Bâ et du responsable de la communication du Palais, Yoro Dia.Le président de la République est très attendu sur l’identité du candidat de Bennoo Bokk Yaakaar pour la présidentielle de 2024. Depuis qu’il a reçu mandat des membres de la coalition présidentielle de choisir leur champion, Macky Sall fait durer le suspense.Onze prétendants sont en lice.
Auteur: Seneweb News
Comments (21)
Prési moytoul voyage you bari. Temps Yi Ay crash avion mo heew. Yalla nga aksi si diam. Man kouma amel khalisse diam rek laa lay gnanal
as been bon débarras
qu'il perrisse avec son avion dans l'ocean
Ce n' est pas une information il passe plus de temps à vadrouiller partout à l' étranger qu' ici au Sénégal mais de toute façon qu' il soit là ou pas c' est kif kif ZERO
Ce porc voyage plus que Macron et Biden réuni
Lidal privozin yalnaco dale mba louco raw, ki yalnaco yallah allak mok kep cou andak mom &si barké aldiouma dji. Amen ya rabil anlahmina!!!
BA, BA, DIA NEDOKOBANDOUM
Belle contribution mister T genre yi la Sénégal sokhla.khél Dou djeurigne loudoul khalaate
Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics.Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges.Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire :Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité.Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée.Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à le neutraliser politiquement. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international. Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe .Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie.La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats.Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections.Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique.Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande.Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra.Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé.D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux.Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir.Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois
Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics.Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges.Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire :Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité.Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée.Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à le neutraliser politiquement. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international. Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe .Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie.La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats.Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections.Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique.Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande.Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra.Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé.D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux.Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir.Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois
c est bientot fini la promenade à l étranger
Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics.Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges.Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire :Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité.Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée.Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à le neutraliser politiquement. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international. Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe .Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie.La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats.Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections.Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique.Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande.Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra.Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé.D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux.Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir.Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois
Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics.Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges.Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire :Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité.Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée.Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à le neutraliser politiquement. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international. Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe .Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie.La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats.Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections.Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique.Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande.Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra.Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé.D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux.Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir.Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois
Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics.Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges.Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire :Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité.Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée.Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à le neutraliser politiquement. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international. Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe .Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie.La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats.Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections.Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique.Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande.Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra.Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé.D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux.Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir.Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois
Le porc est de retour.souye gnibi si daye lokhe Aka tapét il croit que souye dougou Sénégal gnoukoye coup d etat.ki domaram la.ake costumam you khégne yi.le chien de macron.le pire homme politique de l histoire du Sénégal.l homme le plus détesté du Sénégal.ki Dou nite.meussou bagné ni nite
Yalla na avion danou rekk gnou nopalou
Échec BRICS
pas reçu sa médaille aux Brics malgré qu'il a tout fait pour être omniprésent sur les photos avec leurs représentants. 0:( !
pas reçu sa médaille aux Brics malgré qu'il a tout fait pour être omniprésent sur les photos avec leurs représentants. 0:( !
pas reçu sa médaille aux Brics malgré qu'il a tout fait pour être omniprésent sur les photos avec leurs représentants. 0:( !
...Encore huit mois à bruler du kérosène inutilement et à revenir bredouille sous les acclamations des moutons APR-BBY, pendant que les questions cruciales de l'avenir du pays ne sont pas réglées puisqu'il a démoli tout l'univers politique du Sénégal : son propre parti n'a pas de candidat à 6 mois du scrutin ! Vivement 2024
Macky , fier de toi president Je t en veux juste par le fait d avoir pris ton temps pour remettre de l ordre , enfin je me sens dans un etat de droit et qui prospere Merci
Si Sonko meurt, je vous propose de lancer une pétition pour trouver un tueur à gage, au Mali il y a encore des éléments de Wagner pret à nous aider si besoin.
😂😂
il faut exploser sa tete à l'aéroport ou abattre son avion ce porc !
il faut exploser sa tete à l'aéroport ou abattre son avion ce porc !
Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics.Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges.Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire :Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité.Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée.Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à le neutraliser politiquement. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international. Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe .Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie.La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats.Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections.Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique.Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande.Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra.Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé.D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux.Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir.Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois
Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics.Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges.Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire :Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité.Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée.Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à le neutraliser politiquement. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international. Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe .Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie.La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats.Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections.Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique.Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande.Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra.Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé.D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux.Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir.Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois
Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics.Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges.Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire :Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité.Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée.Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à le neutraliser politiquement. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international. Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe .Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie.La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats.Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections.Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique.Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande.Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra.Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé.D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux.Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir.Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois
Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics.Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges.Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire :Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité.Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée.Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à le neutraliser politiquement. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international. Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe .Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie.La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats.Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections.Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique.Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande.Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra.Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé.D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux.Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir.Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois
Un missile sol-air de Poutine pour descendre ce Porc ! Amin !
yalna li dal prigojine de wagner dal ko
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Cela n'intéresse personne.
Enfin ! Dara dokhoul Mr le Président. PM très distrait désormais.
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Si Sonko meurt, je vous propose de lancer une pétition pour trouver un tueur à gage, au Mali il y a encore des éléments de Wagner pret à nous aider si besoin.
Macky Sall, tueur à gage la ko yéné
Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics.Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges.Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire :Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité.Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée.Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à le neutraliser politiquement. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international. Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe .Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie.La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats.Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections.Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique.Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande.Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra.Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé.D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux.Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir.Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois
Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics.Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges.Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire :Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité.Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée.Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à le neutraliser politiquement. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international. Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe .Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie.La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats.Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections.Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique.Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande.Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra.Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé.D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux.Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir.Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois
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Takhawalu rék.
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