La crise que traverse l’école sénégalaise, ne laisse personne indifférent. Dans ce reportage ci-dessous, quelques élèves et professeurs rencontrés décryptent la situation et lancent un message d’inquiétude à l’endroit du gouvernement du Sénégal.
Toutes ces personnes qui font dans le dénigrement des enseignants sont soit ignorants soit malhonnêtes. Y'a trop de disparités dans la fonction publique et ceci doit être imperativement corrigé. Les autres corps dont vous faites allusion n'ont qu'à lutter pour l'amélioration de leurs conditions de vie s'ils pensent être lésés c'est tout.
”Gëstulén ñi mudjé djudu” Ndongo Lô, un des meilleurs chanteurs Sénégalais de tous les temps, il chantait avec le cœur. Paix à son âme. De la 6ème à la terminale, tous les ans, à chaque fois qu’un professeur ne termine pas son programme, c’est des milliers et des milliers d’enfants qui sont lourdement pénalisés et voient leurs chances de réussite fortement diminuées aussi bien pour le bac que pour les études supérieures, plus tard. Djangue du thiakhane ! Dafa ladj dall ak cohérence ! Il y a des choses que tu ne peux pas sauter Depuis 2012 ,beaucoup d’enfants ont vu leurs chances de devenir médecin, avocat, ingénieur, tout simplement détruites à cause des grèves qui souvent leur fait frôler l’année blanche. Depuis très longtemps, le manque de solidarité est la cause de tous nos problèmes. Et certains en meurent ou se voient condamnés à la pauvreté. Nous devons agir contre ça. C’est aussi une façon d’être gaïndé ! Soyons des gaïndé de la gentillesse et de la bienveillance.
”Gëstulén ñi mudjé djudu” Ndongo Lô, un des meilleurs chanteurs Sénégalais de tous les temps, il chantait avec le cœur ❤Paix à son âme. De la 6ème à la terminale, tous les ans, à chaque fois qu’un professeur ne termine pas son programme, c’est des milliers et des milliers d’enfants qui sont lourdement pénalisés et voient leurs chances de réussite fortement diminuées aussi bien pour le bac que pour les études supérieures, plus tard. Djangue du thiakhane ! Dafa ladj dall ak cohérence ! Il y a des choses que tu ne peux pas sauter Depuis 2012 ,beaucoup d’enfants ont vu leurs chances de devenir médecin, avocat, ingénieur, tout simplement détruites à cause des grèves qui souvent leur fait frôler l’année blanche. Depuis très longtemps, le manque de solidarité est la cause de tous nos problèmes. Et certains en meurent ou se voient condamnés à la pauvreté. Nous devons agir contre ça. C’est aussi une façon d’être gaïndé ! Soyons des gaïndé de la gentillesse et de la bienveillance.
Amon avis l'Etat doit publier les bulletins de solde des fonctionnaires pour que le pays entier sache qu'il y a des corps de fonctionnaires moins payés que les enseignants contrairement à ce qui est véhiculé. En outre, les enseigants sont les rares fonctionnaires qui ont obtenu une augmentation de salaires sous ce régime réputé trop avare et ayant une haine viscérale contre les fonctionnaires.
L'état peut et doit publier, non pas les bulletins de paie des fonctionnaires (la loi ne le permet pas), mais une grille indiciaire de salaires dans la fonction publique.
Dans cette situation le seul responsable est l'Etat qui est dirigé par des politiciens au lieu des hommes d'Etat. Pour des raisons electorales ont signe des accords de gauche à droite alors que rien ne les oblige.
De toute façon, preter oreille à une catégorie de corps tout ignorant ceux qui préfèrent le mutisme crée énormement de démotivation dans les autres secteurs comme l'Administration générale, la Sécurité, la Défense, la Santé, l'Agriculture et Peche, l'Environnement, etc.
Les enseignants ont aussi beaucoup à se reprocher.Ils ne sont pas les moins bien payés de l'administration,ils ouvrent des écoles privées ou ils consacrent plus temps ,ils ont beaucoup d'avantages que d'autres agents n'ont pas.Ils doivent arrêter cette manière dépassée, archaïque et enfantine de revendiquer.Comportez vous en adulte !!!!
Les enseignants sont très mal payés et rien ne justifie ce mauvais traitement. Leurs salaires doivent être au moins triplés
L’ÉCOLE SÉNÉGALAISE, OU QUAND CE QUI DOIT ÊTRE SOLUTION DEVIENT PROBLÈME
Petite entorse dans ma promesse de prendre retraite du forum que vous aurez la bienveillance de m’autoriser. Quand mon pays brille en CAN ou quand on cause des maux de notre école, il devient difficile pour moi de ne pas enfreindre la règle que je me suis fixé.
Les maux de l’école sénégalaise sont tellement multiples, répétitifs, ancrés dans une temporalité chronique que toute notre société en est ébranlée en retour. La durée de ces maux a fait que des générations successives d’enfants sont passées entre les mailles du filet des valeurs qui doivent nous faire faire société, nation. Quand l’instruction et l’éducation de vos enfants vous échappent, le sort de votre nation vous file entre les doigts, c’est une évidence. Chez nous, l’ampleur est telle qu’on ne peut plus se voiler la face. Il faudrait presque légiférer pour garantir une renaissance de notre école qui doit être une solution pour un développement et non une source de problèmes au quotidien. Il faut croire que plus aucun gouvernement n’est capable d’y arriver. Il faut donc que cette école soit sous tutelle juridique, le temps de la remettre sur des rails. Je ne plaide pas pour une suppression du droit de grève sinon je me renierais. Force est de constater que la dérive dans ce droit mérite un recadrage. Bien entendu, les enseignants ne sont pas les seuls acteurs qui interrogent. Les acteurs politiques de l’école ont aussi des obligations qu’ils ont mises aux oubliettes. Eux aussi méritent un recadrage, un respect de leur obligation de moyens pour lEcole. Nous nous sommes autorisés presque quatre décennies de désordre total et d’enlisement, nous pouvons donc honnêtement supporter une dizaine d’années de moratoire sous tutelle juridique. Ne nous plaignons pas de fabriquer une société remplie d’agresseurs, de nervis et autres désespérés qui se laissent «suicider» dans les océans par ceux-là mêmes qui leur prédisent l’enfer promis aux suicidés. Un Yalta de l’école est devenue une réelle nécessité au SENEGAL.
L’ÉCOLE SÉNÉGALAISE, OU QUAND CE QUI DOIT ÊTRE SOLUTION DEVIENT PROBLÈME
Petite entorse dans ma promesse de prendre retraite du forum que vous aurez la bienveillance de m’autoriser. Quand mon pays brille en CAN ou quand on cause des maux de notre école, il devient difficile pour moi de ne pas enfreindre la règle que je me suis fixé.
Les maux de l’école sénégalaise sont tellement multiples, répétitifs, ancrés dans une temporalité chronique que toute notre société en est ébranlée en retour. La durée de ces maux a fait que des générations successives d’enfants sont passées entre les mailles du filet des valeurs qui doivent nous faire faire société, nation. Quand l’instruction et l’éducation de vos enfants vous échappent, le sort de votre nation vous file entre les doigts, c’est une évidence. Chez nous, l’ampleur est telle qu’on ne peut plus se voiler la face. Il faudrait presque légiférer pour garantir une renaissance de notre école qui doit être une solution pour un développement et non une source de problèmes au quotidien. Il faut croire que plus aucun gouvernement n’est capable d’y arriver. Il faut donc que cette école soit sous tutelle juridique, le temps de la remettre sur des rails. Je ne plaide pas pour une suppression du droit de grève sinon je me renierais. Force est de constater que la dérive dans ce droit mérite un recadrage. Bien entendu, les enseignants ne sont pas les seuls acteurs qui interrogent. Les acteurs politiques de l’école ont aussi des obligations qu’ils ont mises aux oubliettes. Eux aussi méritent un recadrage, un respect de leur obligation de moyens pour lEcole. Nous nous sommes autorisés presque quatre décennies de désordre total et d’enlisement, nous pouvons donc honnêtement supporter une dizaine d’années de moratoire sous tutelle juridique. Ne nous plaignons pas de fabriquer une société remplie d’agresseurs, de nervis et autres désespérés qui se laissent «suicider» dans les océans par ceux-là mêmes qui leur prédisent l’enfer promis aux suicidés. Un Yalta de l’école est devenue une réelle nécessité au SENEGAL.
L’ÉCOLE SÉNÉGALAISE, OU QUAND CE QUI DOIT ÊTRE SOLUTION DEVIENT PROBLÈME
Petite entorse dans ma promesse de prendre retraite du forum que vous aurez la bienveillance de m’autoriser. Quand mon pays brille en CAN ou quand on cause des maux de notre école, il devient difficile pour moi de ne pas enfreindre la règle que je me suis fixé.
Les maux de l’école sénégalaise sont tellement multiples, répétitifs, ancrés dans une temporalité chronique que toute notre société en est ébranlée en retour. La durée de ces maux a fait que des générations successives d’enfants sont passées entre les mailles du filet des valeurs qui doivent nous faire faire société, nation. Quand l’instruction et l’éducation de vos enfants vous échappent, le sort de votre nation vous file entre les doigts, c’est une évidence. Chez nous, l’ampleur est telle qu’on ne peut plus se voiler la face. Il faudrait presque légiférer pour garantir une renaissance de notre école qui doit être une solution pour un développement et non une source de problèmes au quotidien. Il faut croire que plus aucun gouvernement n’est capable d’y arriver. Il faut donc que cette école soit sous tutelle juridique, le temps de la remettre sur des rails. Je ne plaide pas pour une suppression du droit de grève sinon je me renierais. Force est de constater que la dérive dans ce droit mérite un recadrage. Bien entendu, les enseignants ne sont pas les seuls acteurs qui interrogent. Les acteurs politiques de l’école ont aussi des obligations qu’ils ont mises aux oubliettes. Eux aussi méritent un recadrage, un respect de leur obligation de moyens pour lEcole. Nous nous sommes autorisés presque quatre décennies de désordre total et d’enlisement, nous pouvons donc honnêtement supporter une dizaine d’années de moratoire sous tutelle juridique. Ne nous plaignons pas de fabriquer une société remplie d’agresseurs, de nervis et autres désespérés qui se laissent «suicider» dans les océans par ceux-là mêmes qui leur prédisent l’enfer promis aux suicidés. Un Yalta de l’école est devenue une réelle nécessité au SENEGAL.
Vous savez certainement ce que l'Etat a signé avec les enseignants!!!!! Vous avez certainement lu l'accord de vos yeux. Alors dites-nous, SVP, ici et maintenant, ce que l'Etat a signé et n'a pas respecté.
Attention à la manipulation. Oui au droit de grève des enseignement pour de meilleurse conditions de travail et de vie.
Mais NON à la manipulation éhontée de nos enfants qu'on jette dans la rue pour assouvir des desseins purement personnels. Pendant ce temps, ils nous imposent des fascicules à prix d'or en dehors des livres que nous achetons ; ils nous imposent des cours de rattrapages facturés au double de la mensualité que nous payons. Ils font le XARR MATT alors qu'en tant que fonctionnaires, ils n'en ont pas le droit (mais nous supportons tous cela parce qu'ils méritent de vivre mieux).
Et enfin, dites nous, quand les enseignants imposent qu'on les paie les mêms salaires, sinon plus, que ceux des hauts fonctionnaires qu'ils disent qu'ils ont formés, pourquoi les instituteurs, qui les ont formés, eux, et tous ceux qui sont dans l'Administration et dans le secteur privé, gagnent moins???????
Arrêtons cette surenchère. Nos maigres ressources ne sauraient être distribués aux seuls enseignants qui ne vous disent jamais ce qu'ils ont eu comme avantages entre temps. Mais réclament toujours d'avantage...
Comments (14)
Bonjour, je m'appelle Alisa, j'ai 21 ans) Début du modèle SEXE 18+) J'aime être photographiée nue) Veuillez noter mes photos à l'adresse suivante ->> WWW.X21.FUN id09671163
Bonjour, je m'appelle Alisia, j'ai 21 ans) Début du modèle SEXE 18+) J'aime être photographiée nue) Veuillez noter mes photos à l'adresse suivante ->> WWW.X21.FUN
Toutes ces personnes qui font dans le dénigrement des enseignants sont soit ignorants soit malhonnêtes. Y'a trop de disparités dans la fonction publique et ceci doit être imperativement corrigé. Les autres corps dont vous faites allusion n'ont qu'à lutter pour l'amélioration de leurs conditions de vie s'ils pensent être lésés c'est tout.
”Gëstulén ñi mudjé djudu” Ndongo Lô, un des meilleurs chanteurs Sénégalais de tous les temps, il chantait avec le cœur. Paix à son âme. De la 6ème à la terminale, tous les ans, à chaque fois qu’un professeur ne termine pas son programme, c’est des milliers et des milliers d’enfants qui sont lourdement pénalisés et voient leurs chances de réussite fortement diminuées aussi bien pour le bac que pour les études supérieures, plus tard. Djangue du thiakhane ! Dafa ladj dall ak cohérence ! Il y a des choses que tu ne peux pas sauter Depuis 2012 ,beaucoup d’enfants ont vu leurs chances de devenir médecin, avocat, ingénieur, tout simplement détruites à cause des grèves qui souvent leur fait frôler l’année blanche. Depuis très longtemps, le manque de solidarité est la cause de tous nos problèmes. Et certains en meurent ou se voient condamnés à la pauvreté. Nous devons agir contre ça. C’est aussi une façon d’être gaïndé ! Soyons des gaïndé de la gentillesse et de la bienveillance.
”Gëstulén ñi mudjé djudu” Ndongo Lô, un des meilleurs chanteurs Sénégalais de tous les temps, il chantait avec le cœur ❤Paix à son âme. De la 6ème à la terminale, tous les ans, à chaque fois qu’un professeur ne termine pas son programme, c’est des milliers et des milliers d’enfants qui sont lourdement pénalisés et voient leurs chances de réussite fortement diminuées aussi bien pour le bac que pour les études supérieures, plus tard. Djangue du thiakhane ! Dafa ladj dall ak cohérence ! Il y a des choses que tu ne peux pas sauter Depuis 2012 ,beaucoup d’enfants ont vu leurs chances de devenir médecin, avocat, ingénieur, tout simplement détruites à cause des grèves qui souvent leur fait frôler l’année blanche. Depuis très longtemps, le manque de solidarité est la cause de tous nos problèmes. Et certains en meurent ou se voient condamnés à la pauvreté. Nous devons agir contre ça. C’est aussi une façon d’être gaïndé ! Soyons des gaïndé de la gentillesse et de la bienveillance.
Amon avis l'Etat doit publier les bulletins de solde des fonctionnaires pour que le pays entier sache qu'il y a des corps de fonctionnaires moins payés que les enseignants contrairement à ce qui est véhiculé. En outre, les enseigants sont les rares fonctionnaires qui ont obtenu une augmentation de salaires sous ce régime réputé trop avare et ayant une haine viscérale contre les fonctionnaires.
L'état peut et doit publier, non pas les bulletins de paie des fonctionnaires (la loi ne le permet pas), mais une grille indiciaire de salaires dans la fonction publique.
Dans cette situation le seul responsable est l'Etat qui est dirigé par des politiciens au lieu des hommes d'Etat. Pour des raisons electorales ont signe des accords de gauche à droite alors que rien ne les oblige. De toute façon, preter oreille à une catégorie de corps tout ignorant ceux qui préfèrent le mutisme crée énormement de démotivation dans les autres secteurs comme l'Administration générale, la Sécurité, la Défense, la Santé, l'Agriculture et Peche, l'Environnement, etc.
Les enseignants ont aussi beaucoup à se reprocher.Ils ne sont pas les moins bien payés de l'administration,ils ouvrent des écoles privées ou ils consacrent plus temps ,ils ont beaucoup d'avantages que d'autres agents n'ont pas.Ils doivent arrêter cette manière dépassée, archaïque et enfantine de revendiquer.Comportez vous en adulte !!!!
Les enseignants sont très mal payés et rien ne justifie ce mauvais traitement. Leurs salaires doivent être au moins triplés
L’ÉCOLE SÉNÉGALAISE, OU QUAND CE QUI DOIT ÊTRE SOLUTION DEVIENT PROBLÈME Petite entorse dans ma promesse de prendre retraite du forum que vous aurez la bienveillance de m’autoriser. Quand mon pays brille en CAN ou quand on cause des maux de notre école, il devient difficile pour moi de ne pas enfreindre la règle que je me suis fixé. Les maux de l’école sénégalaise sont tellement multiples, répétitifs, ancrés dans une temporalité chronique que toute notre société en est ébranlée en retour. La durée de ces maux a fait que des générations successives d’enfants sont passées entre les mailles du filet des valeurs qui doivent nous faire faire société, nation. Quand l’instruction et l’éducation de vos enfants vous échappent, le sort de votre nation vous file entre les doigts, c’est une évidence. Chez nous, l’ampleur est telle qu’on ne peut plus se voiler la face. Il faudrait presque légiférer pour garantir une renaissance de notre école qui doit être une solution pour un développement et non une source de problèmes au quotidien. Il faut croire que plus aucun gouvernement n’est capable d’y arriver. Il faut donc que cette école soit sous tutelle juridique, le temps de la remettre sur des rails. Je ne plaide pas pour une suppression du droit de grève sinon je me renierais. Force est de constater que la dérive dans ce droit mérite un recadrage. Bien entendu, les enseignants ne sont pas les seuls acteurs qui interrogent. Les acteurs politiques de l’école ont aussi des obligations qu’ils ont mises aux oubliettes. Eux aussi méritent un recadrage, un respect de leur obligation de moyens pour lEcole. Nous nous sommes autorisés presque quatre décennies de désordre total et d’enlisement, nous pouvons donc honnêtement supporter une dizaine d’années de moratoire sous tutelle juridique. Ne nous plaignons pas de fabriquer une société remplie d’agresseurs, de nervis et autres désespérés qui se laissent «suicider» dans les océans par ceux-là mêmes qui leur prédisent l’enfer promis aux suicidés. Un Yalta de l’école est devenue une réelle nécessité au SENEGAL.
L’ÉCOLE SÉNÉGALAISE, OU QUAND CE QUI DOIT ÊTRE SOLUTION DEVIENT PROBLÈME Petite entorse dans ma promesse de prendre retraite du forum que vous aurez la bienveillance de m’autoriser. Quand mon pays brille en CAN ou quand on cause des maux de notre école, il devient difficile pour moi de ne pas enfreindre la règle que je me suis fixé. Les maux de l’école sénégalaise sont tellement multiples, répétitifs, ancrés dans une temporalité chronique que toute notre société en est ébranlée en retour. La durée de ces maux a fait que des générations successives d’enfants sont passées entre les mailles du filet des valeurs qui doivent nous faire faire société, nation. Quand l’instruction et l’éducation de vos enfants vous échappent, le sort de votre nation vous file entre les doigts, c’est une évidence. Chez nous, l’ampleur est telle qu’on ne peut plus se voiler la face. Il faudrait presque légiférer pour garantir une renaissance de notre école qui doit être une solution pour un développement et non une source de problèmes au quotidien. Il faut croire que plus aucun gouvernement n’est capable d’y arriver. Il faut donc que cette école soit sous tutelle juridique, le temps de la remettre sur des rails. Je ne plaide pas pour une suppression du droit de grève sinon je me renierais. Force est de constater que la dérive dans ce droit mérite un recadrage. Bien entendu, les enseignants ne sont pas les seuls acteurs qui interrogent. Les acteurs politiques de l’école ont aussi des obligations qu’ils ont mises aux oubliettes. Eux aussi méritent un recadrage, un respect de leur obligation de moyens pour lEcole. Nous nous sommes autorisés presque quatre décennies de désordre total et d’enlisement, nous pouvons donc honnêtement supporter une dizaine d’années de moratoire sous tutelle juridique. Ne nous plaignons pas de fabriquer une société remplie d’agresseurs, de nervis et autres désespérés qui se laissent «suicider» dans les océans par ceux-là mêmes qui leur prédisent l’enfer promis aux suicidés. Un Yalta de l’école est devenue une réelle nécessité au SENEGAL.
L’ÉCOLE SÉNÉGALAISE, OU QUAND CE QUI DOIT ÊTRE SOLUTION DEVIENT PROBLÈME Petite entorse dans ma promesse de prendre retraite du forum que vous aurez la bienveillance de m’autoriser. Quand mon pays brille en CAN ou quand on cause des maux de notre école, il devient difficile pour moi de ne pas enfreindre la règle que je me suis fixé. Les maux de l’école sénégalaise sont tellement multiples, répétitifs, ancrés dans une temporalité chronique que toute notre société en est ébranlée en retour. La durée de ces maux a fait que des générations successives d’enfants sont passées entre les mailles du filet des valeurs qui doivent nous faire faire société, nation. Quand l’instruction et l’éducation de vos enfants vous échappent, le sort de votre nation vous file entre les doigts, c’est une évidence. Chez nous, l’ampleur est telle qu’on ne peut plus se voiler la face. Il faudrait presque légiférer pour garantir une renaissance de notre école qui doit être une solution pour un développement et non une source de problèmes au quotidien. Il faut croire que plus aucun gouvernement n’est capable d’y arriver. Il faut donc que cette école soit sous tutelle juridique, le temps de la remettre sur des rails. Je ne plaide pas pour une suppression du droit de grève sinon je me renierais. Force est de constater que la dérive dans ce droit mérite un recadrage. Bien entendu, les enseignants ne sont pas les seuls acteurs qui interrogent. Les acteurs politiques de l’école ont aussi des obligations qu’ils ont mises aux oubliettes. Eux aussi méritent un recadrage, un respect de leur obligation de moyens pour lEcole. Nous nous sommes autorisés presque quatre décennies de désordre total et d’enlisement, nous pouvons donc honnêtement supporter une dizaine d’années de moratoire sous tutelle juridique. Ne nous plaignons pas de fabriquer une société remplie d’agresseurs, de nervis et autres désespérés qui se laissent «suicider» dans les océans par ceux-là mêmes qui leur prédisent l’enfer promis aux suicidés. Un Yalta de l’école est devenue une réelle nécessité au SENEGAL.
Digué lo menoul def problème rekk lay indi.. il faut signer des accords que vous pourrez respecter..
Vous savez certainement ce que l'Etat a signé avec les enseignants!!!!! Vous avez certainement lu l'accord de vos yeux. Alors dites-nous, SVP, ici et maintenant, ce que l'Etat a signé et n'a pas respecté. Attention à la manipulation. Oui au droit de grève des enseignement pour de meilleurse conditions de travail et de vie. Mais NON à la manipulation éhontée de nos enfants qu'on jette dans la rue pour assouvir des desseins purement personnels. Pendant ce temps, ils nous imposent des fascicules à prix d'or en dehors des livres que nous achetons ; ils nous imposent des cours de rattrapages facturés au double de la mensualité que nous payons. Ils font le XARR MATT alors qu'en tant que fonctionnaires, ils n'en ont pas le droit (mais nous supportons tous cela parce qu'ils méritent de vivre mieux). Et enfin, dites nous, quand les enseignants imposent qu'on les paie les mêms salaires, sinon plus, que ceux des hauts fonctionnaires qu'ils disent qu'ils ont formés, pourquoi les instituteurs, qui les ont formés, eux, et tous ceux qui sont dans l'Administration et dans le secteur privé, gagnent moins??????? Arrêtons cette surenchère. Nos maigres ressources ne sauraient être distribués aux seuls enseignants qui ne vous disent jamais ce qu'ils ont eu comme avantages entre temps. Mais réclament toujours d'avantage...
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