Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Une enquête pour tentatives de meurtre sur personnes dépositaires de l'autorité publique
La France connaît depuis trois jours des scènes de violences inouïes.
Le retrait de la mission de maintien de la paix de l'ONU au Mali (Minusma) décidé vendredi par le Conseil de sécurité va "nuire" à la population malienne, ont regretté les Etats-Unis qui ont toutefois voté pour ce départ.
Elisabeth Borne a annoncé vendredi le déploiement de véhicules blindés de la gendarmerie pour faire face aux violences qui touchent depuis trois nuits de nombreuses villes en France.
Les scènes de pillages sont massivement relayées sur les réseaux sociaux, prisés du jeune public. «Nous avons vu sur plusieurs d'entre eux, Snapchat, Tiktok, à la fois l'organisation de rassemblements se faire, mais une forme de mimétisme de la violence», a pointé le chef de l'État français .
«Le CFCM est profondément préoccupé par la tournure que prennent les évènements dans notre pays suite à la mort tragique du jeune Nahel. Les émeutes qui se sont multipliées dans certaines de nos villes avec leurs conséquences sur la sécurité et la tranquillité de nos concitoyens sont intolérables, inacceptables et condamnables sans aucune réserve», peut-on lire dans un communiqué publié ce vendredi 30 juin.
Se disant «en guerre», Alliance, syndicat majoritaire de gardiens de la paix, et Unsa police appellent dans un communiqué publié ce vendredi au «combat» contre les «nuisibles» et les «hordes sauvages», qui prennent part aux émeutes nocturnes après la mort du jeune Nahel.
Une «bande de jeune» est arrivée en centre-ville à Strasbourg, devant les Halles vers 14 heures, rapporte France Bleu, et s'est dirigée vers les magasins du centre de la ville.
Le président Macky Sall et son épouse, Marième Faye, sont sans doute les plus visibles, mais plusieurs autres célébrités sont en ce moment à La Mecque pour le grand pèlerinage.
Trois jours après la mort près de Paris de Nahel, un adolescent de 17 ans tué par un policier, les violences urbaines continuent d'agiter la France, notamment la région parisienne, ravivant le spectre d'un embrasement généralisé comme en 2005.
Le président sénégalais, Macky Sall, a tenu à remercier, via Twitter, les pays membres du G20, suite à la décision unanime du Conseil européen de soutenir la candidature de l’Afrique au G20.
A la différence des événements de 2005, les émeutes faisant suite à la mort de Nahel sont largement diffusées en direct sur les réseaux sociaux.
Le gouvernement français a demandé vendredi aux préfets, les représentants de l'Etat en région, l'arrêt des bus et tramways dans toute la France à partir de 21H00 (19H00 GMT), après trois nuits d'émeutes urbaines causées par la mort d'un jeune adolescent, a indiqué le ministère de l'Intérieur.
Où se trouve le général russe Sergueï Sourovikine ?
Les bus et les tramways ne circuleront pas ce vendredi soir après 21 heures dans toute l'Île-de-France et ce, «tous les soirs jusqu'à nouvel ordre», a confirmé Île-de-France Mobilités (IDFM) en début d'après-midi. Cette mesure est prise «pour la sécurité des agents et des voyageurs», a expliqué IDFM alors que la région parisienne, comme le reste de la France, est en proie à des émeutes depuis mardi.
Le président français Emmanuel Macron a annoncé le déploiement par le ministère de l'Intérieur "de moyens supplémentaires" après trois nuits d'émeutes, consécutives au décès du jeune Nahel lors d'un contrôle policier près de Paris, en dénonçant "l'instrumentalisation" de ce drame.
La circulation des transports en commun sera progressivement suspendue ce soir à partir de 20 heures dans toute la région lyonnaise, annonce au Monde une source proche du Sytral, le syndicat des transports de l’agglomération de Lyon.
La circulation des transports en commun sera progressivement suspendue ce soir à partir de 20 heures dans toute la région lyonnaise, annonce au Monde une source proche du Sytral, le syndicat des transports de l’agglomération de Lyon.
Le président de la République a pris la parole, vendredi après-midi, à la fin de la réunion de crise organisée au ministère de l’intérieur.
«On voit bien que nous sommes dans un prodrome de guerre civile», a déclaré Éric Zemmour sur Europe 1, après une nouvelle nuit d'émeute.