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Troisième mandat : Me Henri Valentin Gomis décortique les contours

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Troisième mandat : Me Henri Valentin Gomis décortique les contours

Il est heureux de constater qu’à ce jour, en 2023, c’est la Constitution du 22 janvier 2001 qui régit le peuple sénégalais et la République du Sénégal. Des propos de l'avocat à la cour Henri Valentin Gomis.
Selon Me Gomis, cette Constitution votée en 2001, sous la présidence d'Abdoulaye Wade par référendum, remplace et abroge la Constitution de 1963 qui, elle-même, remplace celle de 1960. Elle est adoptée à la suite du référendum constitutionnel du 7 janvier 2001, qui a recueilli 94 % de votes positifs.
En effet, "le président Abdoulaye Wade avait été élu président en 2000, sous l’égide de la Constitution de 1963. Or, le président Macky Sall a été élu en 2012 sous l’égide de la Constitution de 2001 toujours et encore en vigueur", dit-il.
À l'en croire, force est alors de constater que c’est la même Constitution, celle de 2001, qui nous régit encore jusqu’à ce jour où sa plume ou «Kalima» tente de rappeler aux «amnésiques politiques» ou autres «boulimiques alimentaires politiques» que leurs errements ne sauraient distraire. Il n’existe pas de nouvelle Constitution autre que celle de 2001, c’est-à-dire celle de la loi n°2001-03 du 22 janvier 2001. La Constitution de 2016 n’en est pas une, comme tente de le faire croire les bellâtres de la troisième candidature ou du troisième mandat ou du deuxième mandat pour certaines loufoques gens.
En effet, "il n’y a pas eu de Constitution en 2016, mais plutôt une révision constitutionnelle ou modification constitutionnelle ou encore réforme constitutionnelle. Que les pyromanes politiques sachent que cette révision ne portait que sur près de 17 articles que dispose la Constitution de 2001. Il s’agit, entre  autres, des articles 4, 6, 25.1.2.3, 26, 27, 28, 58, 59, 60, 62, 71, 78, 81, 86, 89, 102, et 103, en ma souvenance. Il s’agit de la loi constitutionnelle n°2016-10 du 5 avril 2016. C’est pourquoi ces révisions sont inscrites dans la Constitution de 2001 (LOI N° 001-03 DU 22 JANVIER 2001 PORTANT CONSTITUTION, MODIFIÉE - JORS, numéro spécial 5963 du 22 janvier 2001, p. 27)".
Par ailleurs, Me Gomis explique que la Constitution qui nous régit aujourd’hui avait déjà réglé la question du nombre de mandats qui était limité à deux (2). L’article 27 du Titre III disposait que  « la durée du mandat  du président de la République et de cinq ans. Le mandat est renouvelable une seule fois». Cet article 27 modifié (nouveau) par l’article premier (1er) de la loi constitutionnelle n°2016-10 du 5 avril 2016 portant révision de la Constitution (JORS,  numéro spécial 6926 du  7 avril  2016, p. 505),  dit ce qui suit : «La durée du mandat du président de la République est de cinq ans. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs.»
À la lecture de l’article modifié, on peut allégrement constater qu’en plus de la durée du mandat, le président Macky Sall, pour en finir avec les problèmes que la candidature de Wade en 2012 avait engendrés,  y a ajouté la clause «nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs», pour limiter le nombre de mandats. Cela veut dire que le mandat de Macky Sall acquis en 2001, fait partie du décompte. Et en cela, il s’agit du premier mandat qu’il a exercé. Celui acquis en 2019 est le second et dernier mandat. 
Par ailleurs, analysons le mot «nul».  Nul, en français, est un adjectif indéfini ou un pronom indéfini ou un nom ou adjectif qualificatif. Mais dans ce contexte, c’est l’adjectif indéfini et le pronom indéfini qui nous intéressent. Dans l’hypothèse d’un adjectif, «nul» signifie «aucun» et serait un antonyme à certain, quelque…
Par contre  dans l’hypothèse ou «nul» serait un pronom, il signifierait «personne» ou «aucune personne» ou «nul homme au monde» en wolof «bène mindef ci kaw souf» ne peut faire plus de deux mandats consécutifs. À moins qu’il ne soit homme, ni 'mindef' sur terre, il ne peut faire plus de deux mandats consécutifs, lui le président Macky Sall".
Pour preuve, "lui-même sait qu’il ne peut se présenter en 2024, pour l’avoir dit urbi et orbi à travers tous les médias du monde, dans les institutions mondiales, internationales, régionales et sous-régionales, et même à travers un livre-programme ("Le Sénégal au cœur") pour l’élection de 2019.
En effet, ce sont ses sous-fifres, ces larbins et autres prébendiers qui finassent pour tromper le peuple souverain qui leur a permis d’être là où ils sont. 
Il faut retenir qu’il n’y avait aucune raison, en 2016, de mettre une clause transitoire quelconque portant sur le nombre de mandats. Ceux qui disent qu’il faut reconduire ou qu’il ne faut pas changer une équipe qui gagne sont des simplets, car il n’a jamais était question dans le contrat social qui lie le peuple au président de continuer, en cas de bonnes réalisations, mais de partir au bout de deux mandats. Senghor est parti, Diouf est parti, Wade est parti, malgré toutes leurs réalisations. Macky doit partir et partira pour que quelqu’un d’autre vienne à son tour faire sa part, et ainsi de suite. Il est d’adage que les institutions demeurent, mais les hommes passent.
Il rappelle que "le Prophète Mahomet PSL est parti, Jésus-Christ est parti, mais cela n’a pas tué la foi des croyants. Macky n’est pas plus qu’eux.  Le Sénégal lui survivra, quoi qu’il advienne".
Auteur: Yandé Diop
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Comments

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    2eme quinquennat il y a 2 ans

    Mais Macky n'a pas le droit de laisser le pays entre les mains d'amateurs irresponsables irrespectueux aventuriers et prônes à la violence

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    il y a 2 ans

    Ils vont tous sortir du bois.... sacré. Sonko est grillé depuis ce fameux jour de Janvier 2023.

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    reply_author il y a 2 ans

    Ce n'est pas à Macky de choisir son successeur, s'il ne dépendait que de Wade, Macky ne lui aurait jamais succédé.   La présidence n'est pas la propriété de Macky, elle lui a seulement été confié par le peuple pour un mandat déterminé.

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    il y a 2 ans

    Merci Maître HVG.

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    il y a 2 ans

    La nouvelle consigne sortie ce 18 Janvier 2023 du Bois sacré: tout faire pour empêcher Macky de se présenter. Après constat que Sonko ne sortira pas indemne de son procès avec la gamine.

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    il y a 2 ans

    Quels errements il est toujours en casamance on comprend !! 

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    Deug pire il y a 2 ans

    Merci beaucoup de cette analyse claire et pertinente. Ça fait du bien de savoir qu'il reste encore des gens lucides dans le pays. Waouw.  Ouf de soulagement 

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    DIADIEUF il y a 2 ans

    Merci maitre, c'est claire comme l'eau de roche. Interressant, il y a du Droit et il y'a du Fraçais. Super!

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    il y a 2 ans

    continuez de jouer avec vos neurones en attendant le conseil constitutionnel

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    ibsondiop il y a 2 ans

    En 2001, la durée du mandat était de 5 ans. Mais, par la suite , avant 2012, WADE a fait opérer une modification de l'article en passant par l'Assemblée nationale en ramenant la durée du mandat à 7 ans(c'est pourquoi MACKY a fait 7 ans de 2012 à 2019). Donc, à partir de la date de modification de l'article, la limitation concernait 2 mandats de 7 ans alors que MACKY a fait 1 mandat de 7ans. Le nouveau article de 2016 parle de 2 MANDATS CONSECUTIFS DE 5 ANS. ET N'EST PAS RETROACTIF.

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    reply_author il y a 2 ans

    Sonko est cuit. A point!

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    reply_author il y a 2 ans

    Ya meune doul.post1 . Même si le peuple veut élire boye djiné,mais doit dégager. 

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    reply_author il y a 2 ans

    Ya meune doul.post1 . Même si le peuple veut élire boye djiné,mais doit dégager. 

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    reply_author il y a 2 ans

    Ya meune doul.post1 . Même si le peuple veut élire boye djiné,mais doit dégager. 

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    reply_author il y a 2 ans

    Ya meune doul.post1 . Même si le peuple veut élire boye djiné,mais doit dégager. 

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    reply_author il y a 2 ans

    Ya meune doul.post1 . Même si le peuple veut élire boye djiné,mais doit dégager. 

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    reply_author il y a 2 ans

    Ya meune doul.post1 . Même si le peuple veut élire boye djiné,mais doit dégager. 

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    reply_author il y a 2 ans

    Ya meune doul.post1 . Même si le peuple veut élire boye djiné,mais doit dégager. 

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    reply_author il y a 2 ans

    Ya meune doul.post1 . Même si le peuple veut élire boye djiné,mais doit dégager. 

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    reply_author il y a 2 ans

    Ya meune doul.post1 . Même si le peuple veut élire boye djiné,mais doit dégager. 

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    reply_author il y a 2 ans

    Ya meune doul.post1 . Même si le peuple veut élire boye djiné,mais doit dégager. 

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    reply_author il y a 2 ans

    Nafékh rék! Bayilène séné khél yi nguén di fowé. Il n y a même pas de débat sur le nombre de mandats auxquels MS à droit. Tout a été réglé avec la Constitution de 2016. Wade avait fait du wakh wakhét mais celui que vous essayez de pousser à une troisième candidature n'est rien d'autre d'un vulgaire gougnafier qui n'a aucune once de dignité. La noblesse, ça vous dit quelque chose?

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    il y a 2 ans

    Macky Sall Ngary gorko torodo Lamtoro Bour guédé

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    rombe il y a 2 ans

    Bayil fene

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    il y a 2 ans

    avez une hépatite B chronique avec une charge virale de 200 depuis plus de 5 ans et qui a entraîné une cirrhose du foie.  J'ai été guérie avec les produits à base de plantes du Docteur Nelson Salim.  Je suis tombé sur ses annonces sur cette page avec des séries de témoignages.  J'ai décidé d'essayer le phytothérapeute et j'ai passé une commande pour ses produits que j'ai reçus à mon adresse via DHL - service dans les 4 jours, et avec ses instructions, j'ai utilisé le produit pendant 21 jours.  Après avoir terminé les traitements à base de plantes selon les directives du phytothérapeute, j'ai effectué un test d'hépatite et mon résultat était négatif, sans aucune trace du virus dans mon sang.  Je le recommande à toute personne atteinte de VPH, fibrome, arthrite, prostate, herpès, MPOC, psoriasis.  Ses infos.  E-mail;  drnelsonsalim10@gmail.com   ajoutez-le sur le texte WhatsApp : +212711099960

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    Xosa il y a 2 ans

    Ibsondiop yaaww... Foo diangue français... Lii c'est très clair.  Macky parena ci nguur gi. 

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    Puresang il y a 2 ans

    akotti ne nait pas Torodo qui veut. Torodagal c'est dans le sang et non par la magouille, le mensonge, la manipulation. Dans tous les cas Macky sunu keur kén douka fa may Sokhna. Même sunu mouss yar ak sunu mboté bou dioudou il a 3semaines  sakh douko fa am.  

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    Alioune Diouf il y a 2 ans

    Mon cher  Avec tout le respect que je vous dois,Macky n'a pas à juger qui est compétent pour le remplacer et qui ne l'est pas.Seul le peuple est souverain. En ma connaissance, il n'existe pas d' école où l'on forme des présidents. Autre chose: l'administration n'est pas que le gouvernement. L'experience administrative s'acquiert dans d'autres sphères.      

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    il y a 2 ans

    Excellent, maître !!! Clair net et limpide.

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    Paco il y a 2 ans

    Maître pro Sonko jacuzzi 

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    reply_author il y a 2 ans

    C'est pas a lui de decider a qui il laisse le pays; c'est au PEUPLE Senegalais.

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    reply_author il y a 2 ans

    Ce n'est pas à Macky de choisir à qui laisser le pays mais bien le peuple souverain qui se choisira son Président. 

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    il y a 2 ans

    Faut vérifier qui est l auteur de l article. Le langage juridique a une nomenclature différente de celle des pigiste non bacheliers 

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    il y a 2 ans

    Continuons à parler et perdre du temps et de l energie avec nos voyous au pouvoir. Ils se foiutetent de vos textes, arguments, raisonnements, des discours des religieux.... J ai compris cela depuis belle lurette. Les gars de PASTEF qui n avaient pas compris cela, pensaient que le doyen des juges allait le dossier vide Addji dans une poubelle. Ils se levés surpris par une décision qui ne me surprend pas du tout. Continions à produire des textes dont les bandits au pouvoir se moquent. Nous allons nous lever un jour surpris par la décision du Conseil constitutionnel : la candidature de Macky sera acceptée, tous les recpours des partis d opposition seront jetés à la poubelle sans etre regardés parles Sages, comme le doyen des juges l a fait avec tous les éléements de preuves fournis par les avocats de Sonko. Un combat politique se gagne dans le terrain politique, mais jamais dans les tribunaux commandés par l executif. Cessonms d etre naifs, les gars

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    il y a 2 ans

    Tu dois être le seul parmi la horde de ploucs affamés à ne pas être naïf, mon gars. Chapeau 

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    il y a 2 ans

    Il s'appelle comment ?

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    il y a 2 ans

    madior fall,kaye lirr wala ngua nieuw déglou, darra diarrou fi malhonnête 

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    OH! OOOH!!! il y a 2 ans

    Enfin quelqu'un de lucide qui s'exprime. Merci Maître Henri

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    il y a 2 ans

    Maître Henry a plutôt pris un verre de trop. Il est loin d'être lucide.

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    il y a 2 ans

    madior domou thiotou ndeyame fall, kaye lirr wala ngua nieuw déglou, y'aura pas de troisième mandat dans ce pays 

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    il y a 2 ans

    madior domou thiotou ndeyame fall, kaye lirr wala ngua nieuw déglou, y'aura pas de troisième mandat dans ce pays 

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    il y a 2 ans

    madior domou thiotou ndeyame fall, kaye lirr wala ngua nieuw déglou, y'aura pas de troisième mandat dans ce pays 

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    il y a 2 ans

    madior domou thiotou ndeyame fall, kaye lirr wala ngua nieuw déglou, y'aura pas de troisième mandat dans ce pays 

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    il y a 2 ans

    madior domou thiotou ndeyame fall, kaye lirr wala ngua nieuw déglou, y'aura pas de troisième mandat dans ce pays 

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    il y a 2 ans

    madior domou thiotou ndeyame,kaye lirr wala ngua nieuw déglou, y'aura pas de troisième mandat dans ce pays 

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    il y a 2 ans

    madior, domou thiotou ndeyame, kaye lirr wala ngua nieuw déglou, y'aura pas de troisième mandat dans ce pays 

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    il y a 2 ans

    madior domou thiotou ndeyame, kaye lirr wala ngua nieuw déglou, y'aura pas de troisième mandat dans ce pays 

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    il y a 2 ans

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    il y a 2 ans

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    il y a 2 ans

    madior domou thiotou ndeyame, kaye lirr wala ngua nieuw déglou, y'aura pas de troisième mandat dans ce pays 

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    il y a 2 ans

    madior, domou thiotou ndeyame, kaye lirr wala ngua nieuw déglou, y'aura pas de troisième mandat dans ce pays 

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    il y a 2 ans

    madior domou thiotou ndeyame, kaye lirr wala ngua nieuw déglou, y'aura pas de troisième mandat dans ce pays 

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    il y a 2 ans

    madior domou thiotou ndeyame, kaye lirr wala ngua nieuw déglou, y'aura pas de troisième mandat dans ce pays 

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    il y a 2 ans

    madior domou thiotou ndeyame, kaye lirr wala ngua nieuw déglou, y'aura pas de troisième mandat dans ce pays 

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    il y a 2 ans

    maréme thiagga faye porta potty, khassaw badio, khassaw tounn, oyoff seurr, pute et enfant d'une vieille pute internationale au nom de oumi diallo, famille d'arrivistes et de parvenus,sale badolo 

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    il y a 2 ans

    macky qui pue du cul, dinangnou dokk sa soulou baaye, défal lako ritti, nguaye ritti di wango ba reubeuss, gnou tégual sa ndeye si birr prison bii, y'aura pas de troisième mandat dans ce pays 

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    il y a 2 ans

    madior domou thiotou ndeyame, kaye lirr wala ngua nieuw déglou, y'aura pas de troisième mandat dans ce pays, madior,sa sarrap ndeye 

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    il y a 2 ans

    À macky domaram, dinangnou dokk sa soulou baaye, défal lako ritti, nguaye ritti di wango ba reubeuss gnou tégual sa leuffeul ndeye si birr kasso bii, y'aura pas de troisième mandat dans ce pays, gros batard 

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    il y a 2 ans

    maréme thiagga faye, porta potty khassaw data, khassaw tounn, oyoff seurr, pute et enfant d'une vieille pute internationale, y'aura pas de troisième mandat dans ce pays 

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    il y a 2 ans

    La réponse de L’Observateur n’a pas tardé après les accusations de Cheikh Yérim Seck dans l’affaire d’avortement présumé. Dans une publication intitulée “Au pro-fesseur Cheikh Yérim Seck”, le journal déclare que le journaliste raconte des mensonges à leur encontre et qu’il serait en quête de victimisation. Voici la réplique in-texto : A L’Obs, il n’est pas dans nos habitudes de tirer sur l’ambulance, de relever des sottises et des inepties, surtout provenant d’un confrère dont on reconnaît amplement le mérite journalistique, même si l’homme, égocentrique et manipulateur, est un pro-fesseur, un titulaire de chair(e), expert en dialectique libidinale, dont la philosophie de vie ne va pas plus loin que le bas de son nombril. A L’Obs, on aurait aimé avoir toujours affaire à l’obsédé textuel, à l’ancien pisse-copie de Jeune Afrique, à l’analyste politique à qui la Rédaction a souvent ouvert ses colonnes… Pas à ce quinqua accablé, un peu trop facile de la braguette, une nouvelle fois embourbé dans un présumé fait-divers sexuel. Par charité musulmane, nous voilà depuis quelques jours empêtrés dans un exercice de contorsionnisme journalistique pour tenter de ramasser à la petite cuillère ce qui reste de la dignité de ce père de famille. A L’Obs, encore une fois, on aurait aimé ne jamais entretenir ce débat, ne jamais répondre à cette provocation calculée, délibérée et virulente de Cheikh Yérim Seck. Dans un exercice d’auto-érotisme, une masturbation intellectuelle digne d’un habitué des faits divers, le journaliste a osé traiter, dans son blog hier soir, des supposés «gros mensonges de L’Observateur» sur cette affaire de mœurs, d’avortement présumé plus précisément, pour laquelle il vient d’être placé sous contrôle judiciaire. Une malencontreuse outrecuidance. Mais pour laisser la mousse au frais dans cette affaire qui n’aurait jamais été notre tasse de thé, si elle n’avait pas connu un développement judiciaire, voilà qui mérite explications. Afin que nul n’en ignore, voici le détail des échanges entre L’Obs et Cheikh Yérim Seck depuis l’ébruitement de «l’affaire Ngoné Thiam» : Dimanche 21 juin 2020. Un peu avant minuit. La rédaction de L’Observateur reçoit une information selon laquelle le journaliste Cheikh Yérim Seck est convoqué le lendemain à la Section de recherches de la Gendarmerie de Colobane à propos d’une enquête sur une affaire d’avortement clandestin dans laquelle il serait cité. Après plusieurs tentatives de recoupements auprès de sources autorisées, la rédaction de L’Observateur décide d’appeler le principal concerné pour vérifier l’information. C’est notre journaliste Jules Souleymane Ndiaye qui est chargé de joindre le patron de «Yerimpost» au téléphone. A 00h 28 mn, dans la nuit du dimanche au lundi, un premier message est envoyé à Cheikh Yérim Seck par notre journaliste : «Salam Grand. Je veux vous parler en urgence.» Aucune réponse. 00h32 mn : Notre journaliste l’appelle une deuxième fois et il décroche son téléphone. La discussion va durer 35 secondes. Notre journaliste : «Bonsoir doyen, c’est Jules Souleymane Ndiaye du journal L’Observateur. J’espère que je ne vous dérange pas ?» Cheikh Yérim Seck : «Non, non» Notre journaliste : «Nous avons reçu une information selon laquelle vous allez retourner à la Section de recherche demain matin pour répondre à une convocation ?» Lui : «Je n’ai reçu aucune convocation !» Après concertation, la Rédaction de L’Observateur décide de surseoir à la publication d’un article. Surprise ! Le lendemain, le journal EnQuête fait sa «Une» sur la présumée affaire d’avortement clandestin. Et contrairement à ce qu’il avait dit la veille à L’Observateur, Cheikh Yérim Seck défère à la convocation de la Gendarmerie de Colobane à 12 heures. PREMIER MENSONGE DU JOURNALISTE. Lundi 22 juin 2020. Cheikh Yérim Seck passe plusieurs heures aux mains des enquêteurs lors de son audition à la Section de recherches de la Gendarmerie de Colobane, avant d’être libéré sur convocation. Après sa sortie de la Caserne Samba Diéry Diallo, notre journaliste Jules Souleymane Ndiaye a tenté à plusieurs reprises d’entrer en contact avec le patron de «Yérimpost»  pour recueillir sa version de son audition. Entre 21h40 et 23h09, notre journaliste a appelé sur son téléphone à cinq (5) reprises. Sans succès. Ce n’est qu’aux environs de 00h31mn, dans la nuit du lundi au mardi, que notre journaliste a pu entrer en contact avec Cheikh Yérim Seck. Notre journaliste : «C’est toujours moi, Jules Souleymane Ndiaye du journal L’Observateur. On voulait savoir ce qui s’est passé lors de votre face-à-face avec les gendarmes ? Qu’est-ce qu’on vous reproche ?» Cheikh Yérim Seck : «Donc, vous n’avez toujours pas écrit votre papier ?»   Notre journaliste : «Non, pas encore.» Lui : «Appelle-moi sur Whatsapp» 00H34 mn. Notre journaliste l’appelle sur Whatsapp et il décroche. Cheikh Yérim Seck : «Bon, l’affaire est simple.» Notre journaliste : «Permettez-moi d’enregistrer…» Lui : «Non, pas besoin d’enregistrer, c’est simple. La fille, elle s’appelle Ngoné Thiam. Elle avait des soucis financiers, elle m’a contacté pour me demander 200 000 FCFA dont j’ignore l’usage.» Notre journaliste : «Mais ici, on parle d’une affaire de grossesse et d’avortement. On dit que la fille qui vous accuse d’être l’auteur de sa grossesse, serait mineure.» Lui : «Je ne suis pas l’auteur de cette grossesse. La fille a été intimidée, c’est la raison pour laquelle elle a changé de version en me citant. J’ai dit aux enquêteurs ce que je devais leur dire et ils m’ont laissé rentrer.» 00H38mn. Cheikh Yérim Seck  envoie un message écrit sur  Whatsapp à notre journaliste. Cheikh Yérim Seck : «Elle a 29 ans, contrairement à ce qui a été dit.» 00H39 mn. Cheikh Yérim Seck rappelle de lui-même notre journaliste. Cheikh Yérim Seck : «Ne me citez pas. L’enquête est toujours en cours. Je vous ai juste donné les informations.» Notre journaliste : «Ok, c’est noté.» 1H20 mn. Cheikh Yérim Seck envoie un autre message écrit à notre journaliste. Cheikh Yérim Seck : «Ngoné Thiam 29 ans» C’est cette version du journaliste confrontée aux informations obtenues de plusieurs sources qui ont nourri l’article publié par L’Observateur dans son édition du mardi 23 juin 2020. A la page 7, au troisième paragraphe du texte intitulé «Les détails de l’audition de Cheikh Yérim Seck», il est écrit ceci à la dernière ligne : «la fille N. Thiam serait âgée de…29 ans.» Contrairement à ce qu’il cherche à faire croire dans sa tentative de manipulation de l’opinion, c’est Cheikh Yérim Seck en personne qui a appris à L’Observateur le nom (Ngoné Thiam) et l’âge (29 ans) de son accusatrice. DEUXIEME MENSONGE DE CHEIKH YERIM SECK. Dans son post publié hier sur son blog «Yerimpost», le journaliste écrit ceci : «Ce journal (L’OBS, Ndlr) écrit ce matin qu’un audio exploité suite à une réquisition de la Sonatel indique que j’ai demandé à Mme Thiam de procéder à une IVG. C’est un énorme mensonge. Cet audio n’a absolument rien à voir avec cette question.» Dans son édition datée du jeudi 25 juin 2020, L’Observateur a consacré sa page 7 à la présumée affaire d’avortement clandestin. Trois articles y ont été rédigés par nos journalistes : le premier est intitulé «Cheikh Yérim Seck, Ngoné Thiam et Khadija Faye sous contrôle judiciaire, l’infirmier Yaya Sow en prison», le deuxième «Les téléphones auraient tenu parole» et le troisième «Des peines allant de 6 mois à 10 ans de prison ferme». Dans aucun de ces différents articles, il n’a été mentionné l’exploitation d’un audio. C’est Cheikh Yérim Seck qui vient, à travers son post, d’apprendre à la rédaction de L’Observateur l’existence de ce fameux audio. TROISIÈME MENSONGE DE CHEIKH YÉRIM SECK. A L’Obs, on sait que ce personnage folklorique, shooté au luxe et au lucre, est accro à l’interdit et au faux, mais il n’était pas question cette fois-ci de le laisser perpétrer sa sale besogne. D’exposer notre journal aux éclaboussures des saillies incontrôlées de ce champion de la mauvaise foi, qui ne voit la réalité que par le prisme de ses envies et de ses pulsions. Cette volonté de jeter l’anathème sur le travail factuel effectué par nos journalistes, cette quête de victimisation, cette tentative d’allumer un contrefeu ne sauraient prospérer face à l’abjecte réalité d’une sordide affaire sexuelle. A L’Obs, on aurait pu en dire beaucoup plus sur cette «affaire Ngoné Thiam», comme on aurait pu ouvrir le «dossier Touba» et bien d’autres histoires sur lesquelles la justice semble – pour l’instant- faire l’impasse. Mais on a – pour le moment- fait le choix des armes pour ne pas davantage blesser les âmes sensibles de ce pays. LA REDACTION

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    il y a 2 ans

    oumyata diallo, vieille pute internationale, y'aura pas de troisième mandat dans ce pays, vieille enculée va 

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    il y a 2 ans

    Salam à vous ! C'est comme le M23 avec Me WADE lorsqu'il a voulut s'installer  pour un 3ème mandat et que son Excellence qui est actuellement dans le délire d'une quête de résidence permanente dans la cité où arriver à l'angle de la GESTION puis au tournant à droite des AFFAIRES qui mène vers le Rond-point de la CITÉ. Et bien qu'il sache que cette Cité Sénégalaise ne donne aux immigrés que 2ans de jouissance des avantages de celle-ci et qu'au delà de ce délai NUL ne peut y séjourner.  Merci de bien vouloir accepter ces quelques Conseils pour éviter de rallonger votre procédure d'expulsion dont le procédé ne sera pas d'ordre prioritaire contrairement à ceux qui la RECPECT. PS: SÉNÉGAL 🇸🇳  BÉNE BOOP LEUH KÉÉNE MEUNOU KOO XAAR NIAAR #République_Sénégalaise #Travaillons  #Naniou_Wagni_Waax_Djiii #BEUGUENTÉ #SÉNÉGAL _FIRST #SÉNÉGALAIS_D'ABORD

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    il y a 2 ans

    Salam à vous ! C'est comme le M23 avec Me WADE lorsqu'il a voulut s'installer  pour un 3ème mandat et que son Excellence qui est actuellement dans le délire d'une quête de résidence permanente dans la cité où arriver à l'angle de la GESTION puis au tournant à droite des AFFAIRES qui mène vers le Rond-point de la CITÉ. Et bien qu'il sache que cette Cité Sénégalaise ne donne aux immigrés que 2ans de jouissance des avantages de celle-ci et qu'au delà de ce délai NUL ne peut y séjourner.  Merci de bien vouloir accepter ces quelques Conseils pour éviter de rallonger votre procédure d'expulsion dont le procédé ne sera pas d'ordre prioritaire contrairement à ceux qui la RECPECT. PS: SÉNÉGAL 🇸🇳  BÉNE BOOP LEUH KÉÉNE MEUNOU KOO XAAR NIAAR #République_Sénégalaise #Travaillons  #Naniou_Wagni_Waax_Djiii #BEUGUENTÉ #SÉNÉGAL _FIRST #SÉNÉGALAIS_D'ABORD  

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    il y a 2 ans

    Salam à vous ! C'est comme le M23 avec Me WADE lorsqu'il a voulut s'installer  pour un 3ème mandat et que son Excellence qui est actuellement dans le délire d'une quête de résidence permanente dans la cité où arriver à l'angle de la GESTION puis au tournant à droite des AFFAIRES qui mène vers le Rond-point de la CITÉ. Et bien qu'il sache que cette Cité Sénégalaise ne donne aux immigrés que 2ans de jouissance des avantages de celle-ci et qu'au delà de ce délai NUL ne peut y séjourner.  Merci de bien vouloir accepter ces quelques Conseils pour éviter de rallonger votre procédure d'expulsion dont le procédé ne sera pas d'ordre prioritaire contrairement à ceux qui la RECPECT. PS: SÉNÉGAL 🇸🇳  BÉNE BOOP LEUH KÉÉNE MEUNOU KOO XAAR NIAAR #République_Sénégalaise #Travaillons  #Naniou_Wagni_Waax_Djiii #BEUGUENTÉ #SÉNÉGAL _FIRST #SÉNÉGALAIS_D'ABORD 😎😎😎

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    il y a 2 ans

    Ce type a sûrement abusé de la cocaïne. Son cerveau doit être totalement sclérosé. Sinon même un bébé sait que 7 tétées sont différents de 5 tétées. 

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    Al il y a 2 ans

    Reveille toi si tu dois tétée deux fois que tu tête 5 fois en premier et tête 7 fois en deuxième. Tu as finis tes tétée. Donc nul n'a le droit que de deux mandats. Ne parle pas de la durée d'une mandat mais le nombre de mandats. Donc réveillez vous. Personne n'est indispensable donc il faut laisser le fauteuil sénégalais pour un autre sénégalais. Le Sénégal est là et restera personne n'est le Sénégal 

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    il y a 2 ans

    Goore YALA deug Qu ALAAH te protège.qu ALAAH nous juge en toute justice té kou ame say plans YALA la eupi plans. 

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    il y a 2 ans

    Que dire juste merci de nous faire revoir ou  juste relire la vérité oui , ce monde mieux ce Sénégal a patient juste au sénégalais donc , ces suiveur , oui maudit argent , oui tous ces soit disants politiciens qui par à ou par b , merde de vie ils retourne faire la politique après être vu mis à la porte revient pour leur roi , merde de vie vergogne , tu ne tue oui ,j'aime dire merde de vie ce beau pays ou moi lebou mbao , oui si suis née , voir , ce beau pays , par je ne sait ,quoi qui leurs chattouye , ils retourne or devant la télé or par journaux se leve et dire oui il sa faire un 3 émet mandat , à vous merde de vie encore maudit argent , moi loin de mon pays dite moi juste quel réalisation ce peuple peux être fière de vos actes merde de politique un avion ,l'argent tu peuple des dettes encore est encore, je vais me taire, donner sa vie pour ce Sénégal , si moi le le ferait ou non now i am sure no no et no, tous qui par à ou b les deniers public son dans vos comptes in challah après vie jugement , se faire briller encore et encore , svp pas de pleurnichard , Amine

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    il y a 2 ans

    Encore un Avocat du diable sorti de nulle part ! Qui est tu, Gomis ?

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    SAGA AFRIQUE il y a 2 ans

    Rire il est avocat de quoi  il est tellement  nul comme avocat il ne comprends  rien mais dans tout  ça ton analyse n'a pas de valeur  n'y de sens ce qui compte c'est le conseil constitutionnel  qui compte idiot nul .

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    Baye Ndiaga Sène il y a 2 ans

    la réforme constitutionnelle de 2016 qui a notamment réduit la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans ne comportait pas, au second alinéa, de disposition expresse incluant le premier mandat de Macky Sall dans le décompte du nombre de mandats limité.  Ce qui plaiderait, à l’en croire, pour la thèse selon laquelle le septennat accompli entre 2012 et 2019 ne serait pas comptabilisé dans le décompte qui sera évalué en 2024.Le président Macky Sall peut être candidat.

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    senegal il y a 2 ans

    loppositon actuel que des vrai amateures

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    Baye Ndiaga Sène il y a 2 ans

    Le président Macky Sall peut être candidat. Aucune loi, aucune constitution ne lui interdit d’être candidat. Tant que cette constitution existe, personne ne pourra l’empêcher d’être candidat.

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    Sénégal il y a 2 ans

    null peut empecher macky sall a ce presenter. sa candidature cest une demande national

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    jullio il y a 2 ans

    Le Professeur Jacques Mariel Nzouankeu,  Professeur de Droit public à l’Université Cheikh Anta Diop depuis une cinquantaine d’année. Il a eu à enseigner l’actuel ministre de la Justice, Ismaïla Madior Fall avait fait une analyse de situation, pour apporter des éclaircis sur la question d’une possibilité, pour le Président Macky Sall, d’avoir trois mandats successifs. Le Professeur est péremptoire là-dessus : Macky SALL  peut bel et bien se présenter et briguer un mandat en 2024, même s’il parvient à remporter la Présidentielle de 2019

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    Sénégal il y a 2 ans

    “Cette haute Juridiction avait été saisie par le Président de la République sur le projet de révision de la Constitution. La question que le Président de la République lui avait posée peut être paraphrasée ainsi : “Désormais, le Président de la République sera élu pour un mandat de 5 ans. Nul ne pourra faire plus de deux mandats exécutifs. Est-ce que je peux appliquer cette nouvelle durée du mandat présidentiel à mon mandat en cours ? (…)” Le Conseil constitutionnel, dans sa Décision n°1/C/2016 du 12 février 2016, avait répondu qu’au regard de la pratique constitutionnelle et des précédents, «le mandat en cours au moment de l’entrée en vigueur de la loi de révision, par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle» (paragraphe 30 des motifs) ; en conséquence, avait–il ajouté dans son dispositif, la loi nouvelle sur la durée du mandat du Président de la République ne peut pas s’appliquer au mandat en cours. Autrement dit, le mandat en cours est écarté du champ du nouvel article 27. Cela signifie qu’on ne peut pas le comptabiliser comme l’un des deux mandats autorisés par l’article 27»

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    kiné diop il y a 2 ans

    Macky Sall nous doit ce 2ème quinquennat ce n'est plus lui c'est le peuple qui le réclame. Nous exigeons la tete de ce pays quelqu'un de compétent un responsable travailleur pour un Sénégal Meilleur et on ne change pas une équipe qui gagne on a tous vu ses réalisations favorables.  

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    Cheikh Gaye il y a 2 ans

    Le Conseil constitutionnel, dans sa Décision n°1/C/2016 du 12 février 2016, avait répondu qu’au regard de la pratique constitutionnelle et des précédents, «le mandat en cours au moment de l’entrée en vigueur de la loi de révision, par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle» (paragraphe 30 des motifs) ; en conséquence, avait–il ajouté dans son dispositif, la loi nouvelle sur la durée du mandat du Président de la République ne peut pas s’appliquer au mandat en cours. Autrement dit, le mandat en cours est écarté du champ du nouvel article 27. Cela signifie qu’on ne peut pas le comptabiliser comme l’un des deux mandats autorisés par l’article 27». En termes plus clairs, si le Président Macky Sall est élu Président de la République en 2019 en application de l’article 27 de la Constitution, il lui sera conféré un premier mandat de 5 ans. En 2024, s’il décide de se présenter à l’élection présidentielle, sa candidature sera recevable. S’il est élu, il briguera un deuxième mandat consécutif de 5 ans”.

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    Mamadou Lamine Diop il y a 2 ans

    la candidature dy president Sall est inévitable et c'est une demande nationale 

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    kiné diaw il y a 2 ans

    Macky SALL peut bel et bien se présenter et briguer un mandat en 2024, même s’il parvient à remporter la Présidentielle de 2019. Le Professeur explique que : “La question est réglée par le nouvel article 27 de la Constitution (…). Il est ainsi conçu : ‘Article 27 – “La durée du mandat du Président de la République est de cinq ans. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs”.’En cela, il relève le fait qu'”aucune disposition de la Constitution ne règlemente la dévolution des mandats du Président Macky Sall, c’est-à-dire la manière dont ils vont se succéder (…). Nulle part, il n’est écrit que le mandat de 7 ans est, ou n’est pas compris dans le décompte des deux mandats consécutifs du nouvel article 27. Habituellement, ces questions sont traitées dans les dispositions transitoires ; mais dans la Constitution ainsi révisée, les dispositions transitoires ont été supprimées”.

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    khadiadiatou diallo il y a 2 ans

    En termes plus clairs, le Pr explique que “si le Président Macky Sall est élu Président de la République en 2019 en application de l’article 27 de la Constitution, il lui sera conféré un premier mandat de 5 ans. En 2024, s’il décide de se présenter à l’élection présidentielle, sa candidature sera recevable. S’il est élu, il briguera un deuxième mandat consécutif de 5 ans”.

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    aziz mboup il y a 2 ans

    “Cette haute Juridiction avait été saisie par le Président de la République sur le projet de révision de la Constitution. La question que le Président de la République lui avait posée peut être paraphrasée ainsi : “Désormais, le Président de la République sera élu pour un mandat de 5 ans. Nul ne pourra faire plus de deux mandats exécutifs. Est-ce que je peux appliquer cette nouvelle durée du mandat présidentiel à mon mandat en cours ? (…)” Le Conseil constitutionnel, dans sa Décision n°1/C/2016 du 12 février 2016, avait répondu qu’au regard de la pratique constitutionnelle et des précédents, «le mandat en cours au moment de l’entrée en vigueur de la loi de révision, par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle» (paragraphe 30 des motifs) ; en conséquence, avait–il ajouté dans son dispositif, la loi nouvelle sur la durée du mandat du Président de la République ne peut pas s’appliquer au mandat en cours. Autrement dit, le mandat en cours est écarté du champ du nouvel article 27. Cela signifie qu’on ne peut pas le comptabiliser comme l’un des deux mandats autorisés par l’article 27».

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    la république il y a 2 ans

    En termes plus clairs, le Pr explique que “si le Président Macky Sall est élu Président de la République en 2019 en application de l’article 27 de la Constitution, il lui sera conféré un premier mandat de 5 ans. En 2024, s’il décide de se présenter à l’élection présidentielle, sa candidature sera recevable. S’il est élu, il briguera un deuxième mandat consécutif de 5 ans”.

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    moustapha diagne il y a 2 ans

    Le peuple a confiance au président . Nous irons avec lui jusqu'au bout pour un troisieme mandat inchaala. Les propos de monsieur Henri Valentin Gomis sont bien vrais et confirmés avec l'article 27 de la constitution. Ouvrez grand vos orreilles Macky Sall a bien droit a un second mandat sa candidature est bien recevable et valide.

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    moustapha diagne il y a 2 ans

    Le peuple a confiance au président . Nous irons avec lui jusqu'au bout pour un troisieme mandat inchaala. Les propos de monsieur Henri Valentin Gomis sont bien vrais et confirmés avec l'article 27 de la constitution. Ouvrez grand vos orreilles Macky Sall a bien droit a un second mandat sa candidature est bien recevable et valide.

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    moustapha diagne il y a 2 ans

    Le peuple a confiance au président . Nous irons avec lui jusqu'au bout pour un troisieme mandat inchaala. Les propos de monsieur Henri Valentin Gomis sont bien vrais et confirmés avec l'article 27 de la constitution. Ouvrez grand vos orreilles Macky Sall a bien droit a un second mandat sa candidature est bien recevable et valide.

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    moustapha diagne il y a 2 ans

    Le peuple a confiance au président . Nous irons avec lui jusqu'au bout pour un troisieme mandat inchaala. Les propos de monsieur Henri Valentin Gomis sont bien vrais et confirmés avec l'article 27 de la constitution. Ouvrez grand vos orreilles Macky Sall a bien droit a un second mandat sa candidature est bien recevable et valide.

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    amina jasmine il y a 2 ans

    le président est bien élligible pour les éléctions de 2024 et sa candidature est une demande sociale .

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    amina jasmine il y a 2 ans

    le président est bien élligible pour les éléctions de 2024 et sa candidature est une demande sociale .

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    moustapha diagne il y a 2 ans

    Le peuple a confiance au président . Nous irons avec lui jusqu'au bout pour un troisieme mandat inchaala. Les propos de monsieur Henri Valentin Gomis sont bien vrais et confirmés avec l'article 27 de la constitution. Ouvrez grand vos orreilles Macky Sall a bien droit a un second mandat sa candidature est bien recevable et valide.

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    Aicha Thiam il y a 2 ans

    Le peuple a confiance au président . Nous irons avec lui jusqu'au bout pour un troisieme mandat inchaala. Les propos de monsieur Henri Valentin Gomis sont bien vrais et confirmés avec l'article 27 de la constitution. Ouvrez grand vos orreilles Macky Sall a bien droit a un second mandat sa candidature est bien recevable et valide.

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    malick ndoye il y a 2 ans

    Le peuple a confiance au président . Nous irons avec lui jusqu'au bout pour un troisieme mandat inchaala. Les propos de monsieur Henri Valentin Gomis sont bien vrais et confirmés avec l'article 27 de la constitution. Ouvrez grand vos orreilles Macky Sall a bien droit a un second mandat sa candidature est bien recevable et valide.

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    LA VOIX il y a 2 ans

    En termes plus clairs, le Pr explique que “si le Président Macky Sall est élu Président de la République en 2019 en application de l’article 27 de la Constitution, il lui sera conféré un premier mandat de 5 ans. En 2024, s’il décide de se présenter à l’élection présidentielle, sa candidature sera recevable. S’il est élu, il briguera un deuxième mandat consécutif de 5 ans”.

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    Gora Sarr il y a 2 ans

     Que vous le voulez ou pas Macky éligible pour 2024. Le professeur Jacques Mariel Nzouankeu relève le fait qu'”aucune disposition de la Constitution ne règlemente la dévolution des mandats du Président Macky Sall, c’est-à-dire la manière dont ils vont se succéder (…). Nulle part, il n’est écrit que le mandat de 7 ans est, ou n’est pas compris dans le décompte des deux mandats consécutifs du nouvel article 27. Habituellement, ces questions sont traitées dans les dispositions transitoires ; mais dans la Constitution ainsi révisée, les dispositions transitoires ont été supprimées”.

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    Khady Sene il y a 2 ans

     Que vous le voulez ou pas Macky éligible pour 2024. Le professeur Jacques Mariel Nzouankeu relève le fait qu'”aucune disposition de la Constitution ne règlemente la dévolution des mandats du Président Macky Sall, c’est-à-dire la manière dont ils vont se succéder (…). Nulle part, il n’est écrit que le mandat de 7 ans est, ou n’est pas compris dans le décompte des deux mandats consécutifs du nouvel article 27. Habituellement, ces questions sont traitées dans les dispositions transitoires ; mais dans la Constitution ainsi révisée, les dispositions transitoires ont été supprimées”.

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    Catherine il y a 2 ans

     Mais ici tout le monde sait qu'il a faits deux mandats, mais de combien d'années? la constitution est claire en disant deux mandats de 5 ans et Macky si je ne me trompe pas n'a pas encore fait deux mandats de 5 ans donc il est dans ses droits.    

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    Zeynab Fall il y a 2 ans

    Cette haute Juridiction avait été saisie par le Président de la République sur le projet de révision de la Constitution. La question que le Président de la République lui avait posée peut être paraphrasée ainsi : “Désormais, le Président de la République sera élu pour un mandat de 5 ans. Nul ne pourra faire plus de deux mandats exécutifs. Est-ce que je peux appliquer cette nouvelle durée du mandat présidentiel à mon mandat en cours ? (…)” Le Conseil constitutionnel, dans sa Décision n°1/C/2016 du 12 février 2016, avait répondu qu’au regard de la pratique constitutionnelle et des précédents, «le mandat en cours au moment de l’entrée en vigueur de la loi de révision, par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle» (paragraphe 30 des motifs) ; en conséquence, avait–il ajouté dans son dispositif, la loi nouvelle sur la durée du mandat du Président de la République ne peut pas s’appliquer au mandat en cours. Autrement dit, le mandat en cours est écarté du champ du nouvel article 27. Cela signifie qu’on ne peut pas le comptabiliser comme l’un des deux mandats autorisés par l’article 27».

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    moustapha il y a 2 ans

    En termes plus clairs, le Pr explique que “si le Président Macky Sall est élu Président de la République en 2019 en application de l’article 27 de la Constitution, il lui sera conféré un premier mandat de 5 ans. En 2024, s’il décide de se présenter à l’élection présidentielle, sa candidature sera recevable. S’il est élu, il briguera un deuxième mandat consécutif de 5 ans

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    BOY Casamance il y a 2 ans

    Le Macky SALL peut bel et bien se présenter et briguer un mandat en 2024, la constitution Sénégalaise parle de mandat de 5ans c'est a dire de quinquénant. Le Président Macky Sall a fait un mandat de 5ans il a le droit de faire autre mandat de 5ans et d'ailleur c'est une demande sociale que la population Sénégalaise reclame.

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    il y a 2 ans

    IL est clair que le premier mandat de sept ans n'en fait pas parti d'ou on parle ici du du deuxième quinquennat , Macky a le droit de se présenter au élections 2024 pour un second mandat de 5ans.

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    Mohamed diallo il y a 2 ans

    Le président de la république peut bel et bien se présenter aux élections présidentielles de 2024 car il est éligible. IL faut noter que la constitution dit que nul ne peut faire plus de deux mandats de 5 ans consécutif. Et le président de la république a fait à la tête du pays d’un mandat de 5 ans et de 7 ans. Et il important de comprendre que l’entrée en vigueur de la reformulation de l’article 27 de la constitution qui limite à 5 ans la durée des deux mandats du président de la république n’incombe à rien le premier mandat du président car la reformulation est faite lorsque le chef de l’état à entamer le mandat. Donc le président a le droit de poser sa candidature autant de fois qu'il veut. Et le deuxième quinquennat est réclamé par tous les personnes conscientes du travail que le président de la république a fournit depuis son arrivé au pouvoir.         Président Macky Sall notre choix

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    Dija kone il y a 2 ans

    Le président de la république peut bel et bien se présenter aux élections présidentielles de 2024 car il est éligible. IL faut noter que la constitution dit que nul ne peut faire plus de deux mandats de 5 ans consécutif. Et le président de la république a fait à la tête du pays d’un mandat de 5 ans et de 7 ans. Et il important de comprendre que l’entrée en vigueur de la reformulation de l’article 27 de la constitution qui limite à 5 ans la durée des deux mandats du président de la république n’incombe à rien le premier mandat du président car la reformulation est faite lorsque le chef de l’état à entamer le mandat. Donc le président a le droit de poser sa candidature autant de fois qu'il veut. Et le deuxième quinquennat est réclamé par tous les personnes conscientes du travail que le président de la république a fournit depuis son arrivé au pouvoir.         Président Macky Sall notre choix

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    Samba Sall il y a 2 ans

    Nous ne voyons pas pourquoi la question du troisième mandat fait débat puisque Macky est éligible. En termes plus clairs, le Pr Jacques Mariel Nzouankeu explique que “si le Président Macky Sall est élu Président de la République en 2019 en application de l’article 27 de la Constitution, il lui sera conféré un premier mandat de 5 ans. En 2024, s’il décide de se présenter à l’élection présidentielle, sa candidature sera recevable. S’il est élu, il briguera un deuxième mandat consécutif de 5 ans”.

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    BEN OMAR NIASSE il y a 2 ans

    Le Professeur poursuit en rappelant que cette question avait été traitée, par le Conseil constitutionnel, avant le référendum “Cette haute Juridiction avait été saisie par le Président de la République sur le projet de révision de la Constitution. La question que le Président de la République lui avait posée peut être paraphrasée ainsi : “Désormais, le Président de la République sera élu pour un mandat de 5 ans. Nul ne pourra faire plus de deux mandats exécutifs. Est-ce que je peux appliquer cette nouvelle durée du mandat présidentiel à mon mandat en cours ? (…)” Le Conseil constitutionnel, dans sa Décision n°1/C/2016 du 12 février 2016, avait répondu qu’au regard de la pratique constitutionnelle et des précédents, «le mandat en cours au moment de l’entrée en vigueur de la loi de révision, par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle» (paragraphe 30 des motifs) ; en conséquence, avait–il ajouté dans son dispositif, la loi nouvelle sur la durée du mandat du Président de la République ne peut pas s’appliquer au mandat en cours. Autrement dit, le mandat en cours est écarté du champ du nouvel article 27. Cela signifie qu’on ne peut pas le comptabiliser comme l’un des deux mandats autorisés par l’article 27» En termes plus clairs, le Pr explique que “si le Président Macky Sall est élu Président de la République en 2019 en application de l’article 27 de la Constitution, il lui sera conféré un premier mandat de 5 ans. En 2024, s’il décide de se présenter à l’élection présidentielle, sa candidature sera recevable. S’il est élu, il briguera un deuxième mandat consécutif de 5 ans”.

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    good guy il y a 2 ans

    Tes propos n'ont pas de poids pour faire pencher la balance. La question est réglée par le nouvel article 27 de la Constitution. Il est ainsi conçu : Article 27 – La durée du mandat du Président de la République est de cinq ans. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs. En cela, il relève le fait qu'aucune disposition de la Constitution ne règlemente la dévolution des mandats du Président Macky Sall, c’est-à-dire la manière dont ils vont se succéder. Nulle part, il n’est écrit que le mandat de 7 ans est, ou n’est pas compris dans le décompte des deux mandats consécutifs du nouvel article 27. Habituellement, ces questions sont traitées dans les dispositions transitoires ; mais dans la Constitution ainsi révisée, les dispositions transitoires ont été supprimées.

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    oulimata diop il y a 2 ans

    Macky Sall sera le candidat idéal en 2024, il continuera sa règne inch allah, nul ne peut le remplacer donc soumettons à la volonté de Dieu, c'est lui le candidat de la nation, on a le Ter, bRt, les ponts tout cela grâce à lui? Guédiawaye est devenu comme Dubaï en un clin d'oeil et il est trop sage à son coin, il ne commet aucun bruit, Merci beaucoup Sal Ngary Lamtoro Mbouroo Guédéé.

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    THE ROCK il y a 2 ans

    Inutile d'en faire tout un plat, candidature de Macky Sall est valable.

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    Moussa Diop il y a 2 ans

    En termes plus clairs, le Pr explique que “si le Président Macky Sall est élu Président de la République en 2019 en application de l’article 27 de la Constitution, il lui sera conféré un premier mandat de 5 ans. En 2024, s’il décide de se présenter à l’élection présidentielle, sa candidature sera recevable. S’il est élu, il briguera un deuxième mandat consécutif de 5 ans”.

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    Hawa Diallo il y a 2 ans

    Le Professeur explique que : “La question est réglée par le nouvel article 27 de la Constitution (…). Il est ainsi conçu : ‘Article 27 – “La durée du mandat du Président de la République est de cinq ans. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs”.’  

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    Sallim MBT il y a 2 ans

    «La durée du mandat du président de la République est de cinq ans. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs.» Pour éviter la répétition de "cinq ans" elle n'a pas dit: «Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs de cinq ans.». Pour ceux qui comprennent le Français !

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    Sallim MBT il y a 2 ans

    «La durée du mandat du président de la République est de cinq ans. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs.» Pour éviter la répétition de "cinq ans" elle n'a pas dit: «Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs de cinq ans.». Pour ceux qui ne comprennent pas le Français !

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    Levraipeuple il y a 2 ans

    Professeur, il ne faut pas oublier qu'en 2012, les opposants disait que Me Wade n'avait pas le droit de briguer un troisième mandat tout en savant en âme et en conscience que Wade était éligible malgré cela,  ils l'ont fait pour le mettre en mal avec la population en plus le conseil constutitiponnelle avait validé sa candidature. C'est le même combat avec Macky Sall, l'opposition a comme arme la manipulation, la désinformation et la violence verbale.

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    reply_author il y a 2 ans

    Professeur, il ne faut pas oublier qu'en 2012, les opposants disait que Me Wade n'avait pas le droit de briguer un troisième mandat tout en savant en âme et en conscience que Wade était éligible malgré cela,  ils l'ont fait pour le mettre en mal avec la population en plus le conseil constutitiponnelle avait validé sa candidature. C'est le même combat avec Macky Sall, l'opposition a comme arme la manipulation, la désinformation et la violence verbale.

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    Deug Rek il y a 2 ans

    Professeur, il ne faut pas oublier qu'en 2012, les opposants disait que Me Wade n'avait pas le droit de briguer un troisième mandat tout en savant en âme et en conscience que Wade était éligible malgré cela,  ils l'ont fait pour le mettre en mal avec la population en plus le conseil constutitiponnelle avait validé sa candidature. C'est le même combat avec Macky Sall, l'opposition a comme arme la manipulation, la désinformation et la violence verbale.

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    Sam il y a 2 ans

    N'oublions pas le rapport des cours des comptes  

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    Sam il y a 2 ans

    N'oublions pas le rapport des cours des comptes  

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    Sam il y a 2 ans

    N'oublions pas le rapport des cours des comptes  

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    il y a 2 ans

    madior domou thiotou sarrap ndeyame,kaye lirr wala ngua nieuw déglou, y'aura pas de troisième mandat, domou thiagga,sa deuthieuw dattap ndeye 

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    Cheikh il y a 2 ans

    Toi qui dit qu'il ne sait rien. Comprend à la 3e personne ne prend jamais S.  Comme votre phacophère vous avez toujours de la misère avec 3.

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    Nkhson il y a 2 ans

    Ces ogres bouffons d'apernoceurs, avides de gains faciles et de bamboula criminelle à outrance, rêvent debout. Vous pensez que les sénégalais sont assez dupes pour laisser le soin là des voleurs et autres prédateurs de nos maigres deniers publics, perpétuer leur sinistre entreprise de destruction du pays. Ces faussaires, escrocs politiques notoires, manipulateurs invétérés, accusent l'opposition qu'ils diabolisent de vouloir déstabiliser le pays. Alors qu'ils savent pertinemment que leur mentor Djimbori est juridiquement et légitimement disqualifié pour oser présenter une candidature à un autre mandat. Il l'a lui-même déclaré à plusieurs occasions de même que certains de ses collaborateurs. Djimbori n'a qu'à prendre ses responsabilités s'il se décide au forcing en passant par son docile Conseil Constitutionnel, désapprouvé par la plupart des sénégalais. Ces derniers feront certainement face à cette forfaiture au gout d'un coup d'état constitutionnel, inadmissible dans un état de droit. "Mbedioum kanam, boroma koy fadjal boppam", Le peuple l'attend de pied ferme, s'il se décide à passer ce cap dans son arrogance injuste et injustifiée. Game is over ! Il sera obligé de l'admettre une bonne fois pour toute.

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    Dress il y a 2 ans

    Ça dioum Deguit Gomis 

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    Tima kane il y a 2 ans

    Le Professeur Jacques Mariel Nzouankeu, Professeur de Droit public à l’Université Cheikh Anta Diop depuis une cinquantaine d’année. Il a eu à enseigner l’actuel ministre de la Justice, Ismaïla Madior Fall avait fait une analyse de situation, pour apporter des éclaircis sur la question d’une possibilité, pour le Président Macky Sall, d’avoir trois mandats successifs. Le Professeur est péremptoire là-dessus : Macky SALL peut bel et bien se présenter et briguer un mandat en 2024, même s’il parvient à remporter la Présidentielle de 2019.    Le Professeur explique que : “La question est réglée par le nouvel article 27 de la Constitution (…). Il est ainsi conçu : ‘Article 27 – “La durée du mandat du Président de la République est de cinq ans. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs”.’   En cela, il relève le fait qu'”aucune disposition de la Constitution ne règlemente la dévolution des mandats du Président Macky Sall, c’est-à-dire la manière dont ils vont se succéder (…). Nulle part, il n’est écrit que le mandat de 7 ans est, ou n’est pas compris dans le décompte des deux mandats consécutifs du nouvel article 27. Habituellement, ces questions sont traitées dans les dispositions transitoires ; mais dans la Constitution ainsi révisée, les dispositions transitoires ont été supprimées”.   Le Professeur poursuit en rappelant que cette question avait été traitée, par le Conseil constitutionnel, avant le référendum.   “Cette haute Juridiction avait été saisie par le Président de la République sur le projet de révision de la Constitution. La question que le Président de la République lui avait posée peut être paraphrasée ainsi : “Désormais, le Président de la République sera élu pour un mandat de 5 ans. Nul ne pourra faire plus de deux mandats exécutifs. Est-ce que je peux appliquer cette nouvelle durée du mandat présidentiel à mon mandat en cours ? (…)” Le Conseil constitutionnel, dans sa Décision n°1/C/2016 du 12 février 2016, avait répondu qu’au regard de la pratique constitutionnelle et des précédents, «le mandat en cours au moment de l’entrée en vigueur de la loi de révision, par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle» (paragraphe 30 des motifs) ; en conséquence, avait–il ajouté dans son dispositif, la loi nouvelle sur la durée du mandat du Président de la République ne peut pas s’appliquer au mandat en cours. Autrement dit, le mandat en cours est écarté du champ du nouvel article 27. Cela signifie qu’on ne peut pas le comptabiliser comme l’un des deux mandats autorisés par l’article 27»

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    Tima kane il y a 2 ans

    Le Professeur Jacques Mariel Nzouankeu, Professeur de Droit public à l’Université Cheikh Anta Diop depuis une cinquantaine d’année. Il a eu à enseigner l’actuel ministre de la Justice, Ismaïla Madior Fall avait fait une analyse de situation, pour apporter des éclaircis sur la question d’une possibilité, pour le Président Macky Sall, d’avoir trois mandats successifs. Le Professeur est péremptoire là-dessus : Macky SALL peut bel et bien se présenter et briguer un mandat en 2024, même s’il parvient à remporter la Présidentielle de 2019.    Le Professeur explique que : “La question est réglée par le nouvel article 27 de la Constitution (…). Il est ainsi conçu : ‘Article 27 – “La durée du mandat du Président de la République est de cinq ans. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs”.’   En cela, il relève le fait qu'”aucune disposition de la Constitution ne règlemente la dévolution des mandats du Président Macky Sall, c’est-à-dire la manière dont ils vont se succéder (…). Nulle part, il n’est écrit que le mandat de 7 ans est, ou n’est pas compris dans le décompte des deux mandats consécutifs du nouvel article 27. Habituellement, ces questions sont traitées dans les dispositions transitoires ; mais dans la Constitution ainsi révisée, les dispositions transitoires ont été supprimées”.   Le Professeur poursuit en rappelant que cette question avait été traitée, par le Conseil constitutionnel, avant le référendum.   “Cette haute Juridiction avait été saisie par le Président de la République sur le projet de révision de la Constitution. La question que le Président de la République lui avait posée peut être paraphrasée ainsi : “Désormais, le Président de la République sera élu pour un mandat de 5 ans. Nul ne pourra faire plus de deux mandats exécutifs. Est-ce que je peux appliquer cette nouvelle durée du mandat présidentiel à mon mandat en cours ? (…)” Le Conseil constitutionnel, dans sa Décision n°1/C/2016 du 12 février 2016, avait répondu qu’au regard de la pratique constitutionnelle et des précédents, «le mandat en cours au moment de l’entrée en vigueur de la loi de révision, par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle» (paragraphe 30 des motifs) ; en conséquence, avait–il ajouté dans son dispositif, la loi nouvelle sur la durée du mandat du Président de la République ne peut pas s’appliquer au mandat en cours. Autrement dit, le mandat en cours est écarté du champ du nouvel article 27. Cela signifie qu’on ne peut pas le comptabiliser comme l’un des deux mandats autorisés par l’article 27»

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    Tima kane il y a 2 ans

    Le Professeur Jacques Mariel Nzouankeu, Professeur de Droit public à l’Université Cheikh Anta Diop depuis une cinquantaine d’année. Il a eu à enseigner l’actuel ministre de la Justice, Ismaïla Madior Fall avait fait une analyse de situation, pour apporter des éclaircis sur la question d’une possibilité, pour le Président Macky Sall, d’avoir trois mandats successifs. Le Professeur est péremptoire là-dessus : Macky SALL peut bel et bien se présenter et briguer un mandat en 2024, même s’il parvient à remporter la Présidentielle de 2019.    Le Professeur explique que : “La question est réglée par le nouvel article 27 de la Constitution (…). Il est ainsi conçu : ‘Article 27 – “La durée du mandat du Président de la République est de cinq ans. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs”.’   En cela, il relève le fait qu'”aucune disposition de la Constitution ne règlemente la dévolution des mandats du Président Macky Sall, c’est-à-dire la manière dont ils vont se succéder (…). Nulle part, il n’est écrit que le mandat de 7 ans est, ou n’est pas compris dans le décompte des deux mandats consécutifs du nouvel article 27. Habituellement, ces questions sont traitées dans les dispositions transitoires ; mais dans la Constitution ainsi révisée, les dispositions transitoires ont été supprimées”.   Le Professeur poursuit en rappelant que cette question avait été traitée, par le Conseil constitutionnel, avant le référendum.   “Cette haute Juridiction avait été saisie par le Président de la République sur le projet de révision de la Constitution. La question que le Président de la République lui avait posée peut être paraphrasée ainsi : “Désormais, le Président de la République sera élu pour un mandat de 5 ans. Nul ne pourra faire plus de deux mandats exécutifs. Est-ce que je peux appliquer cette nouvelle durée du mandat présidentiel à mon mandat en cours ? (…)” Le Conseil constitutionnel, dans sa Décision n°1/C/2016 du 12 février 2016, avait répondu qu’au regard de la pratique constitutionnelle et des précédents, «le mandat en cours au moment de l’entrée en vigueur de la loi de révision, par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle» (paragraphe 30 des motifs) ; en conséquence, avait–il ajouté dans son dispositif, la loi nouvelle sur la durée du mandat du Président de la République ne peut pas s’appliquer au mandat en cours. Autrement dit, le mandat en cours est écarté du champ du nouvel article 27. Cela signifie qu’on ne peut pas le comptabiliser comme l’un des deux mandats autorisés par l’article 27»

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    Tima kane il y a 2 ans

    Le Professeur Jacques Mariel Nzouankeu, Professeur de Droit public à l’Université Cheikh Anta Diop depuis une cinquantaine d’année. Il a eu à enseigner l’actuel ministre de la Justice, Ismaïla Madior Fall avait fait une analyse de situation, pour apporter des éclaircis sur la question d’une possibilité, pour le Président Macky Sall, d’avoir trois mandats successifs. Le Professeur est péremptoire là-dessus : Macky SALL peut bel et bien se présenter et briguer un mandat en 2024, même s’il parvient à remporter la Présidentielle de 2019.    Le Professeur explique que : “La question est réglée par le nouvel article 27 de la Constitution (…). Il est ainsi conçu : ‘Article 27 – “La durée du mandat du Président de la République est de cinq ans. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs”.’   En cela, il relève le fait qu'”aucune disposition de la Constitution ne règlemente la dévolution des mandats du Président Macky Sall, c’est-à-dire la manière dont ils vont se succéder (…). Nulle part, il n’est écrit que le mandat de 7 ans est, ou n’est pas compris dans le décompte des deux mandats consécutifs du nouvel article 27. Habituellement, ces questions sont traitées dans les dispositions transitoires ; mais dans la Constitution ainsi révisée, les dispositions transitoires ont été supprimées”.   Le Professeur poursuit en rappelant que cette question avait été traitée, par le Conseil constitutionnel, avant le référendum.   “Cette haute Juridiction avait été saisie par le Président de la République sur le projet de révision de la Constitution. La question que le Président de la République lui avait posée peut être paraphrasée ainsi : “Désormais, le Président de la République sera élu pour un mandat de 5 ans. Nul ne pourra faire plus de deux mandats exécutifs. Est-ce que je peux appliquer cette nouvelle durée du mandat présidentiel à mon mandat en cours ? (…)” Le Conseil constitutionnel, dans sa Décision n°1/C/2016 du 12 février 2016, avait répondu qu’au regard de la pratique constitutionnelle et des précédents, «le mandat en cours au moment de l’entrée en vigueur de la loi de révision, par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle» (paragraphe 30 des motifs) ; en conséquence, avait–il ajouté dans son dispositif, la loi nouvelle sur la durée du mandat du Président de la République ne peut pas s’appliquer au mandat en cours. Autrement dit, le mandat en cours est écarté du champ du nouvel article 27. Cela signifie qu’on ne peut pas le comptabiliser comme l’un des deux mandats autorisés par l’article 27»

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    Tima kane il y a 2 ans

    Le Professeur Jacques Mariel Nzouankeu, Professeur de Droit public à l’Université Cheikh Anta Diop depuis une cinquantaine d’année. Il a eu à enseigner l’actuel ministre de la Justice, Ismaïla Madior Fall avait fait une analyse de situation, pour apporter des éclaircis sur la question d’une possibilité, pour le Président Macky Sall, d’avoir trois mandats successifs. Le Professeur est péremptoire là-dessus : Macky SALL peut bel et bien se présenter et briguer un mandat en 2024, même s’il parvient à remporter la Présidentielle de 2019.    Le Professeur explique que : “La question est réglée par le nouvel article 27 de la Constitution (…). Il est ainsi conçu : ‘Article 27 – “La durée du mandat du Président de la République est de cinq ans. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs”.’   En cela, il relève le fait qu'”aucune disposition de la Constitution ne règlemente la dévolution des mandats du Président Macky Sall, c’est-à-dire la manière dont ils vont se succéder (…). Nulle part, il n’est écrit que le mandat de 7 ans est, ou n’est pas compris dans le décompte des deux mandats consécutifs du nouvel article 27. Habituellement, ces questions sont traitées dans les dispositions transitoires ; mais dans la Constitution ainsi révisée, les dispositions transitoires ont été supprimées”.   Le Professeur poursuit en rappelant que cette question avait été traitée, par le Conseil constitutionnel, avant le référendum.   “Cette haute Juridiction avait été saisie par le Président de la République sur le projet de révision de la Constitution. La question que le Président de la République lui avait posée peut être paraphrasée ainsi : “Désormais, le Président de la République sera élu pour un mandat de 5 ans. Nul ne pourra faire plus de deux mandats exécutifs. Est-ce que je peux appliquer cette nouvelle durée du mandat présidentiel à mon mandat en cours ? (…)” Le Conseil constitutionnel, dans sa Décision n°1/C/2016 du 12 février 2016, avait répondu qu’au regard de la pratique constitutionnelle et des précédents, «le mandat en cours au moment de l’entrée en vigueur de la loi de révision, par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle» (paragraphe 30 des motifs) ; en conséquence, avait–il ajouté dans son dispositif, la loi nouvelle sur la durée du mandat du Président de la République ne peut pas s’appliquer au mandat en cours. Autrement dit, le mandat en cours est écarté du champ du nouvel article 27. Cela signifie qu’on ne peut pas le comptabiliser comme l’un des deux mandats autorisés par l’article 27»

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    Tima kane il y a 2 ans

    Le Professeur Jacques Mariel Nzouankeu, Professeur de Droit public à l’Université Cheikh Anta Diop depuis une cinquantaine d’année. Il a eu à enseigner l’actuel ministre de la Justice, Ismaïla Madior Fall avait fait une analyse de situation, pour apporter des éclaircis sur la question d’une possibilité, pour le Président Macky Sall, d’avoir trois mandats successifs. Le Professeur est péremptoire là-dessus : Macky SALL peut bel et bien se présenter et briguer un mandat en 2024, même s’il parvient à remporter la Présidentielle de 2019.    Le Professeur explique que : “La question est réglée par le nouvel article 27 de la Constitution (…). Il est ainsi conçu : ‘Article 27 – “La durée du mandat du Président de la République est de cinq ans. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs”.’   En cela, il relève le fait qu'”aucune disposition de la Constitution ne règlemente la dévolution des mandats du Président Macky Sall, c’est-à-dire la manière dont ils vont se succéder (…). Nulle part, il n’est écrit que le mandat de 7 ans est, ou n’est pas compris dans le décompte des deux mandats consécutifs du nouvel article 27. Habituellement, ces questions sont traitées dans les dispositions transitoires ; mais dans la Constitution ainsi révisée, les dispositions transitoires ont été supprimées”.   Le Professeur poursuit en rappelant que cette question avait été traitée, par le Conseil constitutionnel, avant le référendum.   “Cette haute Juridiction avait été saisie par le Président de la République sur le projet de révision de la Constitution. La question que le Président de la République lui avait posée peut être paraphrasée ainsi : “Désormais, le Président de la République sera élu pour un mandat de 5 ans. Nul ne pourra faire plus de deux mandats exécutifs. Est-ce que je peux appliquer cette nouvelle durée du mandat présidentiel à mon mandat en cours ? (…)” Le Conseil constitutionnel, dans sa Décision n°1/C/2016 du 12 février 2016, avait répondu qu’au regard de la pratique constitutionnelle et des précédents, «le mandat en cours au moment de l’entrée en vigueur de la loi de révision, par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle» (paragraphe 30 des motifs) ; en conséquence, avait–il ajouté dans son dispositif, la loi nouvelle sur la durée du mandat du Président de la République ne peut pas s’appliquer au mandat en cours. Autrement dit, le mandat en cours est écarté du champ du nouvel article 27. Cela signifie qu’on ne peut pas le comptabiliser comme l’un des deux mandats autorisés par l’article 27»

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    Tima kane il y a 2 ans

    Le Professeur Jacques Mariel Nzouankeu, Professeur de Droit public à l’Université Cheikh Anta Diop depuis une cinquantaine d’année. Il a eu à enseigner l’actuel ministre de la Justice, Ismaïla Madior Fall avait fait une analyse de situation, pour apporter des éclaircis sur la question d’une possibilité, pour le Président Macky Sall, d’avoir trois mandats successifs. Le Professeur est péremptoire là-dessus : Macky SALL peut bel et bien se présenter et briguer un mandat en 2024, même s’il parvient à remporter la Présidentielle de 2019.    Le Professeur explique que : “La question est réglée par le nouvel article 27 de la Constitution (…). Il est ainsi conçu : ‘Article 27 – “La durée du mandat du Président de la République est de cinq ans. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs”.’   En cela, il relève le fait qu'”aucune disposition de la Constitution ne règlemente la dévolution des mandats du Président Macky Sall, c’est-à-dire la manière dont ils vont se succéder (…). Nulle part, il n’est écrit que le mandat de 7 ans est, ou n’est pas compris dans le décompte des deux mandats consécutifs du nouvel article 27. Habituellement, ces questions sont traitées dans les dispositions transitoires ; mais dans la Constitution ainsi révisée, les dispositions transitoires ont été supprimées”.   Le Professeur poursuit en rappelant que cette question avait été traitée, par le Conseil constitutionnel, avant le référendum.   “Cette haute Juridiction avait été saisie par le Président de la République sur le projet de révision de la Constitution. La question que le Président de la République lui avait posée peut être paraphrasée ainsi : “Désormais, le Président de la République sera élu pour un mandat de 5 ans. Nul ne pourra faire plus de deux mandats exécutifs. Est-ce que je peux appliquer cette nouvelle durée du mandat présidentiel à mon mandat en cours ? (…)” Le Conseil constitutionnel, dans sa Décision n°1/C/2016 du 12 février 2016, avait répondu qu’au regard de la pratique constitutionnelle et des précédents, «le mandat en cours au moment de l’entrée en vigueur de la loi de révision, par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle» (paragraphe 30 des motifs) ; en conséquence, avait–il ajouté dans son dispositif, la loi nouvelle sur la durée du mandat du Président de la République ne peut pas s’appliquer au mandat en cours. Autrement dit, le mandat en cours est écarté du champ du nouvel article 27. Cela signifie qu’on ne peut pas le comptabiliser comme l’un des deux mandats autorisés par l’article 27»

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    Tima kane il y a 2 ans

    Le Professeur Jacques Mariel Nzouankeu, Professeur de Droit public à l’Université Cheikh Anta Diop depuis une cinquantaine d’année. Il a eu à enseigner l’actuel ministre de la Justice, Ismaïla Madior Fall avait fait une analyse de situation, pour apporter des éclaircis sur la question d’une possibilité, pour le Président Macky Sall, d’avoir trois mandats successifs. Le Professeur est péremptoire là-dessus : Macky SALL peut bel et bien se présenter et briguer un mandat en 2024, même s’il parvient à remporter la Présidentielle de 2019.    Le Professeur explique que : “La question est réglée par le nouvel article 27 de la Constitution (…). Il est ainsi conçu : ‘Article 27 – “La durée du mandat du Président de la République est de cinq ans. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs”.’   En cela, il relève le fait qu'”aucune disposition de la Constitution ne règlemente la dévolution des mandats du Président Macky Sall, c’est-à-dire la manière dont ils vont se succéder (…). Nulle part, il n’est écrit que le mandat de 7 ans est, ou n’est pas compris dans le décompte des deux mandats consécutifs du nouvel article 27. Habituellement, ces questions sont traitées dans les dispositions transitoires ; mais dans la Constitution ainsi révisée, les dispositions transitoires ont été supprimées”.   Le Professeur poursuit en rappelant que cette question avait été traitée, par le Conseil constitutionnel, avant le référendum.   “Cette haute Juridiction avait été saisie par le Président de la République sur le projet de révision de la Constitution. La question que le Président de la République lui avait posée peut être paraphrasée ainsi : “Désormais, le Président de la République sera élu pour un mandat de 5 ans. Nul ne pourra faire plus de deux mandats exécutifs. Est-ce que je peux appliquer cette nouvelle durée du mandat présidentiel à mon mandat en cours ? (…)” Le Conseil constitutionnel, dans sa Décision n°1/C/2016 du 12 février 2016, avait répondu qu’au regard de la pratique constitutionnelle et des précédents, «le mandat en cours au moment de l’entrée en vigueur de la loi de révision, par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle» (paragraphe 30 des motifs) ; en conséquence, avait–il ajouté dans son dispositif, la loi nouvelle sur la durée du mandat du Président de la République ne peut pas s’appliquer au mandat en cours. Autrement dit, le mandat en cours est écarté du champ du nouvel article 27. Cela signifie qu’on ne peut pas le comptabiliser comme l’un des deux mandats autorisés par l’article 27»

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    il y a 2 ans

    Les Sénégalais (ses déposés une plainte à la Haie en cas de problème au Sénégal et s ils auraient des morts pour traduire le président à la cour comme Laurent gbagbo et charle Taylor et de traduire toutes les procès-verbaux et les audio de baye mbaye Mc en Englais et espagnol et de déposer une préalable plainte au droit de homme comme il avait en 2012 pour plainter Aboulaye Wade pour imposer les Sénégalais (ses) a une 3ème candidature et de donner la France une avertissement à cas s'il veut protéger ces gouverneurs au Sénégal le prochain président va éliminer toutes les actions au Sénégal donc français levez vous et parler au gouverneur du Sénégal 3ème mandat ne se prononce pas au Sénégal des dignes fils du pays ont perdu leurs vie pour çà Mamadou diop et tant d'autres donc nous qui vivent actuellement nous disons money encore non au 3eme mandat tu va nous tuer pour avoir pour pouvoir réaliser ça   Je vous jure devant le Sénégal est prêt pour librer le pays pou arrêter les suicides de nos enfants sur l'océan atlantique pour rallié Europe qui vole la nourriture de nos enfants pour nourrir leurs enfants  Dans quelques temps l'Afrique va avoir une pénurie d'eaux parceque les occidentaux acheter les sociétés d'eau en Afrique pour réduire la consommation d'eau pour concevoir le réserve pour construire une pipeline pour transporter l'eau de l'Afrique parceque dans quelques années Europe aura un impacter de pénurie d'eau en Espagne il y'a des régions la France qui les livrent de l'eau parceque il y'a plus d'eau africaine reprenez les destin de votre continent en mains libérer de ces gouverneurs français noirs pour développer le continent et c'est le seul qui reste à se débarrasser de la pauvreté 

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    il y a 2 ans

    B­­­o­n­­j­o­­u­r, j­­­e m'a­­p­p­­e­­lle Alissia, j'ai 21 ans) Dé­­bu­­­t du mo­dèle S­­­E­­X­­E 18+) J'a­­­ime êt­­­re photo­­grap­hiée n­u­­­e) Veuil­­­lez noter me­­s phot­­­os à l'adr­­esse su­­iva­­nte ->>> W­­­W­­­W­­.­­­X­­2­­1.­­­F­U­­N

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    il y a 2 ans

    B­o­­n­­­j­­o­u­­r, j­e m'a­p­p­­e­­lle Alissa, j'ai 21 a­ns) Dé­­bu­t du mo­­dè­­­le S­E­X­E 18+) J'a­­ime êt­­re pho­­to­­grap­­­hi­ée n­­­u­­e) V­e­u­i­­­l­lez no­­ter me­s phot­os à l'adr­­­esse su­­­i­­­va­­nte - W­­W­­­W­­­.­­­X­2­1.­­F­­­U­­­N id09062894

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    il y a 2 ans

    B­­­o­n­­­j­­­o­­u­­­r, j­e m'a­­p­­p­e­­lle Alisia, j'ai 21 a­­­ns) Dé­­bu­­­t du mo­­­dè­­le S­­­E­­X­­E 18+) J'a­ime êt­­re pho­to­­grap­­hi­­­ée n­u­­­e) V­­­e­­u­i­­l­­­lez no­­­ter me­s phot­­os à l'adr­­esse su­i­va­­nte >>> W­­­W­W­­.­X­2­­­1.­­F­­­U­­N id03580206

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