Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
L'Assemblée nationale accélère la cadence pour le vote de la loi d'amnistie générale. Chose que ne veulent pas entendre les familles des victimes des manifestations de 2021 à 2024, qui cherchent tous les voies et moyens pour l’attaquer.
Amnesty International rejoint la vague de protestations contre loi d'amnistie examinée à l'Assemblée nationale ce lundi. Selon l'organisation, cette loi est un déni de justice.
Le porte-parole du gouvernement, Abdou Karim Fofana, a accordé un entretien au média français Brut.
La loi d'amnistie tant décriée, ne profite-t-elle pas plus aux forces de l'ordre, accusées d'exactions et de tortures sur des manifestants durant les dernières années ?
L’Assemblée nationale en mode fast-track. Saisie en procédure d’urgence, la Conférence des présidents du Parlement s’est réuni hier pour fixer la date de la plénière à l’effet d’examiner le projet de loi portant amnistie des faits ayant eu lieu entre le 1er février 2021 et le 25 février 2024.
Les maires sont dans tous leurs états. Ils ne goûtent pas de devoir faire supporter à leurs maigres recettes la hausse des revenus des comptables publics et receveurs des collectivités territoriales et de leurs groupements.
« Macky Sall veut nous imposer une amnésie collective ». C’est l’avis de Thierno Bocoum
En recevant les conclusions du dialogue national ce lundi, Macky Sall a évoqué la date de la Présidentielle, qui pourrait être fixée le 2 juin si...
Ce lundi, Macky Sall a reçu les conclusions du dialogue national
Au rassemblement de ce 2 mars, des militants d'Ousmane Sonko ont eu une altercation avec ceux de Taxawu Sénégal de Khalifa Sall. Interrogé, l'ancien maire de Dakar et candidat à la Présidentielle de 2024 a parlé d'un incident "inélégant et inadmissible" et a appelé à l'unité.
La loi d’amnistie visant les faits commis entre février 2012 et février 2024 n’est pas du goût de certains opposants...
Lors du rassemblement du 2 mars, des militants d'Ousmane Sonko et ceux de Khalifa Sall ont eu une altercation.
Le rapport du dialogue national a été remis au Président de la République ce lundi.
Le projet de loi portant amnistie annoncée par le chef de l’État lors du dialogue national, vise l'apaisement du climat politique et social, le renforcement de la cohésion nationale,la consolidation du dialogue national, afin de permettre à certaines personnes qui ont eu maille à partir avec la justice de participer pleinement à la vie démocratique. Si elle est votée à l’Assemblée nationale, la loi sera exécutée comme loi de l'État.
C'était l'une des questions majeures lors du dialogue national : le processus électoral va-t-il se poursuivre ou sera-t-il recommencé ?
Thierno Bocoum réagit après la publication de l’exposé des motifs de la loi d’amnistie. Pour l’ancien parlementaire, cette loi est « du grand n’importe quoi » dit-il sur une publication facebook faite ce lundi 4 mars.
Macky Sall l'a annoncé à plusieurs reprises, il compte quitter le pouvoir dès le 2 avril et ne restera pas une minute de plus à la tête du pays. Le chef de l'Etat aurait même actionné le Conseil constitutionnel pour avis. Mais si Macky Sall souhaite quitter le pouvoir, il y a un moyen bien plus simple.
La conférence des présidents a été convoquée en réunion ce lundi à 15h après la saisine de l'Assemblée nationale.
Après le dialogue national initié par le Président de la République Macky Sall , les deux commissions qui étaient à pied d’œuvre pour dégager les conclusions issues de cette concertation vont remettre, ce lundi, leurs travaux au Chef de l’Etat.
Le chef de l'Etat passe à l'acte.