Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
La très grande majorité des candidats qualifiés à la présidentielle ainsi qu'un important collectif citoyen ont rejeté vendredi le dialogue proposé par le chef de l'Etat pour fixer la date de l'élection et tenter de sortir d'une crise profonde.
Pour fixer la date de la présidentielle, Macky Sall a opté pour le dialogue. Des échanges qui se tiendront à partir de ce lundi, a-t-il annoncé, et qui doivent réunir l’ensemble de la classe politique. Toutefois, 16 des candidats à la présidentielle n’y seront pas. Selon ces derniers, si un dialogue doit se tenir, cela devrait être entre le président Macky Sall et les 19 candidats déjà validés par le Conseil Constitutionnel.
Lors de son entretien hier avec la presse nationale, le chef de l’État a évoqué l’éventualité d'une liberté provisoire pour Ousmane Sonko et son candidat Bassirou Diomaye Faye, en renvoyant la balle aux avocats qui doivent introduire une demande de liberté provisoire auprès du parquet.
Le préfet de Dakar s'est opposé à la tenue du rassemblement qui était projeté par le Front pour la défense de la démocratie, cet après-midi à 15 h, à la place de la Nation. Chérif Mouhamadou Blondin Ndiaye a expliqué ses motivations aux initiateurs Salma Fall, Mame Birame Wathie et Serigne Saliou Guèye.
Des 19 candidats à la Présidentielle validés par le Conseil constitutionnel, 16 ont décidé de décliner l'invite au dialogue du président Macky Sall, qui commencera le lundi 26 février. Ce dialogue, qui devrait se tenir sur deux jours, aura pour principal sujet le choix de la date du scrutin présidentiel.
C’est le flou total, après l’entretien du chef de l’État accordé à la presse sénégalaise, dont Seneweb. Aucune date pour la Présidentielle, aucune clarification sur le processus électoral n’a été apportée par Macky Sall. Ce qui attise les inquiétudes du professeur Babacar Gaye d'Aar Sunu Élection.
Après son entretien, hier, avec quatre médias nationaux, dont Seneweb, le président Macky Sall a pris les airs ce vendredi. Le chef de l'État est attendu à Abuja, au Nigeria.
Le président Macky Sall a évoqué hier une probable mise en liberté provisoire du candidat Bassirou Diomaye Diakhar Faye, "afin qu'il puisse participer au dialogue".
L’Union des magistrats du Sénégal (UMS) affirme sa solidarité agissante à l’endroit du juge du 2e cabinet. Ce dernier, note l’entité, a été visé par des greffiers. « Nul n’est au-dessus des lois, pas même les acteurs de la justice ». Les magistrats qualifient ce qui s’est passé au tribunal le 22 février 2024 de situation inédite.
"Comme candidate spoliée de mon parrainage injustement invalidé, je ne participerai à aucun dialogue ni concertation, encore moins à un entretien ou une causerie avec le président Macky_Sall", a écrit l'ancienne Première ministre à travers un communiqué parvenu à Seneweb.
La question est revenue hier lors de l’entretien que le chef de l’État, Macky Sall, a accordé à des médias nationaux dont Seneweb.
Accusé par certaines personnes d’avoir une nationalité française, le candidat à la Présidentielle et leader de la coalition Khalifa Président dément.
Le collectif citoyen sénégalais Aar Sunu Election a dit vendredi à Dakar refuser le dialogue proposé la veille par le chef de l'Etat Macky Sall pour fixer la date de l'élection, reportée à une date indéterminée.
Candidat à la Présidentielle, Aly Ngouille a suivi avec attention la déclaration de Macky Sall ce jeudi, qui a suspendu la date de la Présidentielle à un dialogue national. Cependant, l'ancien ministre de l'intérieur, qui déclarait récemment accepter le dialogue convié par le chef de l'Etat, a changé d'avis.
Dans un texte, Issa Sall, ancien Directeur de publication de Nouvel Horizon, livre sa lecture sur l’entretien accordé par Macky Sall à la presse nationale.
L'interview accordée par Macky Sall à 4 médias sénégalais, dont Seneweb, a permis de lever le voile sur plusieurs aspects. Cependant, pour la date de la Présidentielle que tous les Sénégalais attendaient, le chef de l'Etat a suspendu la signature du décret convoquant le collège électoral à la tenue d'une concertation avec les acteurs politiques, notamment les différents candidats, le lundi 26 février.
L’appel au dialogue du Chef de l’État n’a pas reçu une réponse favorable du Docteur Cheikh Tidiane Dièye.
À travers une publication sur X, l’Ambassade des États Unis au Sénégal a réagi après la sortie du Président de la République, Macky Sall, ce jeudi 22 février.
Deux responsables du collectif citoyen Aar Sunu Election ont maintenu vendredi que la présidentielle devait avoir lieu avant le 2 avril, rejetant la position la veille du chef de l'Etat suspendant la date à un dialogue politique.
Il dit approuver la proposition du chef de l'État visant à résoudre cette équation et sortir le pays de l'impasse.