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Violences contre les enfants : L’organisation JGEN mène le combat

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Le département de Pikine a abrité la première étape du projet sida/CSO mise en place par l'organisation JGEN. 
L'objectif général est de procéder au lancement des activités du projet qui vont durer cinq années au niveau des départements bénéficiaires, à savoir Pikine et Kaolack. Plusieurs acteurs se sont réunis dans la banlieue, lors d'un atelier de lancement tenu ce lundi pour se pencher sur comment éradiquer les discriminations fondées sur le sexe y compris les grossesses précoces. À cet effet, JGEN a peint un tableau sombre et révèle des chiffres alarmants. 
 Selon l'organisation, les violences faites aux enfants ont connu une augmentation considérable, surtout en 2020 (violences sexistes 12,4 %, économiques 84 %, physique 39 % et psychologique 31 % ). Et pour résoudre ces problèmes qui touchent cette couche de la société, les acteurs ont dressé une feuille de route et annoncé l'implication de la société civile dans le projet pour l'amélioration des conditions de vie des enfants. Les membres de JGEN dénoncent ainsi certaines attitudes, croyances et pratiques traditionnelles qui portent préjudice aux enfants dans la jouissance de leurs droits en particulier les filles. 
 Ainsi, JGEN demande l'application stricte de la loi et des politiques nationales ratifiées par l'État du Sénégal pour soutenir la protection des enfants. 
Auteur: Adiouma Ndiaye (Correspondant Pikine-Guédiawaye)
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Comments

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    Alioune il y a 2 ans

    il faut arreter ce mascara. luttez contre la violence tout court.  il faut une bonne éducation de base et ça commence au sommet de l'etat. Etre tolérent, ne pas appeler à la violence, bayi diaay dolé, yeureum sa morom (Gor Djiguén Mak ak Ndaw). Na kou nek guiss sa bop si sa morom.  l'education au matérnel c'est là ou tout dois commencer puisque nous n'avons plus les contes de nos parents quand il y'avait pas de téléphone abruti. 

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    il y a 2 ans

    Surtout faire moins d enfants ! Sinon nous allons noyer ce pays, comme le Niger avec ses 7, 5 enfants en moyenne par femme ! A ce rythme l Etat ne peut même pas suivre ! Surtout avec la polygamie, le tout multiplié par 2, 3 ou 4 ? La courbe est exponentielle ! Il faut changer, maintenant !

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    Hè! il y a 2 ans

    La première violence faite à un enfant, c'est de le faire venir au monde sans pouvoir le prendre financièrement en charge, pour lui assurer au moins le minimum: nourriture, eau, santé, électricité, instruction, jeux...   Mais croire que comme le dit ce stupide dicton: "A chaque fois que Le Bon Dieu donne vie à une âme, c'est qu'Il mettra du riz dans sa bouche",  c'est être irresponsable. 

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    reply_author il y a 2 ans

    toi tu es un malade mental,eduquer un enfant se resume a leui pourvoir des jeux,electricite,c'est ca ta contribution pour les enfants du pays ,va te promener waye tu dois etre un ane en divagation ou un fou qui s'est echappe de son asile.

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    il y a 2 ans

    ESpece de cromagnon,"HE",TU CROIS QUE C'EST ca qui eduque un enfant.Lui donner des jeux,courant,instruction , tu n'as rien a apporter ferme la.Tu dois etre un fou qui s'est echappe de son asile ou alors un ane en divagation.C'est ca eduquer un enfant ,tu crois que c'est manger seulement ,avoir des jeux qui resument la vie d'un enfant ,il faut aller apprendre avant de dire du n'importe quoi.

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    il y a 2 ans

    Dès que l'on parle de l explosion démographique comme une des causes des problèmes actuels de l'Afrique, les obscurantistes crient haro sur le baudet ! Mais un enfant c'est des besoins à prendre en charge et faire des enfants sans planification peut annihiler les efforts de développement. Réfléchir sur la croissance démographique de l'Afrique devient une question vitale. 

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    il y a 2 ans

    Baaxna! Vous croyez que les Talibés de la rue sont des enfants de familles aisées ? Beaucoup emmènent leurs enfants au Dara par d autres raisons que l apprentissage du Coran. Dans ce pays il y a des femmes avec 8 gosses, et même 14 ! Vous vous rendez compte ? Il fut un temps, nous vivions de l agriculture, et ça allait avec. Mais plus maintenant. Le pays a changé. Dans une ville, avec dix enfants, comment gérer ça ? Cessons d être des égoistes, pensons à nos enfants, à la communauté, au pays et à son avenir qui ne dépendra des nombreux enfants mais d une politique saine, économiquement mais démographiquement. Limitons.

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