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Alerte de serigne Abdou Khoudoss « Sonko da wara guéneu sinon.. sokhnam yii »

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Alerte de serigne Abdou Khoudoss « Sonko da wara guéneu sinon.. sokhnam yii »

Alerte de serigne Abdou Khoudoss « Sonko da wara guéneu sinon.. sokhnam yii »
Auteur: Seyda Jamilatou-Seneweb Tv
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Comments

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    MISTER T il y a 1 an

    Quand on se trouve dans un pays où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics et qu'une partie de l'élite est pourrie et s'accapare tout. Les avocats qui se sont engagés dans la représentation du pouvoir devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges. Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire : Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité. Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête aux gouvernants en dénonçant leur gestion désastreuse, leurs actes de prédation et leurs mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée. Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une fréquentation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à une parodie de procès, où face à l'incapacité de prouver un viol, le juge avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à neutraliser politiquement ce turbulant opposant. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer dans le pays, et le gouvernement avait prétendu le dépôt d'un mandat d'arrêt international qui n'a jamais existé. Malgré cela, Branco avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse et défier le pouvoir. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu un cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler après une prétendu inculpation de plusieurs crimes.   Ainsi, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie. La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses nervis pour réprimer violemment, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'avait ouvert aucune enquête sur ces meurtres. Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui avait attribué plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections. Durant cette période, tous les efforts sont faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique. Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilisait actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique de propagande anti-Sonko. De faux attentats et des attaques sont organiées par le pouvoir pour le coller sur le dos des partisants de Sonko. Le mot terrorisme est devenu leur argument passu pour emprisonner plus de milles citoyens inoncents. La terreur ayant pour but de museler tous ceux qui osaient donner leur opinion. A ce jour, en dehors de ceux de la diaspora, plus personne n'ose critiquer au Sénégal cette gouvernance mafieuse. Une armée de mercenaires de la plume est mobilisée pour soit disant répondre aux critiques des intellectuels  qui osent encore dénoncer ce vent d'injustice qui s'abat sur le Sénégal. Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra. Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé. D'ici là, au sein de son camp compsé d'hyennes assoifées de pouvoir, la bataille sera bientôt déclarée ; on attend le début du spectacle pour compter les points. Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir. Nous vous attendons dans les bureaux de vote dans quelques mois quoique conscient de votre chute, vous allez peut être nous sortir de votre chapeau un recul de deux ans ou un parainage de laissant concourir que votre poulain et quelques pantins à votre solde.

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    MISTER T il y a 1 an

    Quand on se trouve dans un pays où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics et qu'une partie de l'élite est pourrie et s'accapare tout. Les avocats qui se sont engagés dans la représentation du pouvoir devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges. Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire : Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité. Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête aux gouvernants en dénonçant leur gestion désastreuse, leurs actes de prédation et leurs mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée. Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une fréquentation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à une parodie de procès, où face à l'incapacité de prouver un viol, le juge avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à neutraliser politiquement ce turbulant opposant. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer dans le pays, et le gouvernement avait prétendu le dépôt d'un mandat d'arrêt international qui n'a jamais existé. Malgré cela, Branco avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse et défier le pouvoir. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu un cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler après une prétendu inculpation de plusieurs crimes.   Ainsi, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie. La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses nervis pour réprimer violemment, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'avait ouvert aucune enquête sur ces meurtres. Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui avait attribué plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections. Durant cette période, tous les efforts sont faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique. Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilisait actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique de propagande anti-Sonko. De faux attentats et des attaques sont organiées par le pouvoir pour le coller sur le dos des partisants de Sonko. Le mot terrorisme est devenu leur argument passu pour emprisonner plus de milles citoyens inoncents. La terreur ayant pour but de museler tous ceux qui osaient donner leur opinion. A ce jour, en dehors de ceux de la diaspora, plus personne n'ose critiquer au Sénégal cette gouvernance mafieuse. Une armée de mercenaires de la plume est mobilisée pour soit disant répondre aux critiques des intellectuels  qui osent encore dénoncer ce vent d'injustice qui s'abat sur le Sénégal. Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra. Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé. D'ici là, au sein de son camp compsé d'hyennes assoifées de pouvoir, la bataille sera bientôt déclarée ; on attend le début du spectacle pour compter les points. Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir. Nous vous attendons dans les bureaux de vote dans quelques mois quoique conscient de votre chute, vous allez peut être nous sortir de votre chapeau un recul de deux ans ou un parainage de laissant concourir que votre poulain et quelques pantins à votre solde.

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    MISTER T il y a 1 an

    Quand on se trouve dans un pays où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics et qu'une partie de l'élite est pourrie et s'accapare tout. Les avocats qui se sont engagés dans la représentation du pouvoir devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges. Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire : Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité. Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête aux gouvernants en dénonçant leur gestion désastreuse, leurs actes de prédation et leurs mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée. Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une fréquentation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à une parodie de procès, où face à l'incapacité de prouver un viol, le juge avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à neutraliser politiquement ce turbulant opposant. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer dans le pays, et le gouvernement avait prétendu le dépôt d'un mandat d'arrêt international qui n'a jamais existé. Malgré cela, Branco avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse et défier le pouvoir. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu un cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler après une prétendu inculpation de plusieurs crimes.   Ainsi, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie. La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses nervis pour réprimer violemment, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'avait ouvert aucune enquête sur ces meurtres. Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui avait attribué plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections. Durant cette période, tous les efforts sont faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique. Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilisait actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique de propagande anti-Sonko. De faux attentats et des attaques sont organiées par le pouvoir pour le coller sur le dos des partisants de Sonko. Le mot terrorisme est devenu leur argument passu pour emprisonner plus de milles citoyens inoncents. La terreur ayant pour but de museler tous ceux qui osaient donner leur opinion. A ce jour, en dehors de ceux de la diaspora, plus personne n'ose critiquer au Sénégal cette gouvernance mafieuse. Une armée de mercenaires de la plume est mobilisée pour soit disant répondre aux critiques des intellectuels  qui osent encore dénoncer ce vent d'injustice qui s'abat sur le Sénégal. Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra. Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé. D'ici là, au sein de son camp compsé d'hyennes assoifées de pouvoir, la bataille sera bientôt déclarée ; on attend le début du spectacle pour compter les points. Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir. Nous vous attendons dans les bureaux de vote dans quelques mois quoique conscient de votre chute, vous allez peut être nous sortir de votre chapeau un recul de deux ans ou un parainage de laissant concourir que votre poulain et quelques pantins à votre solde.

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    Galo il y a 1 an

    C'est qui ce crétin là, il sort d'ou ? Thieey Sénégal 

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    malaw il y a 1 an

    lo wakh

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