Calendar icon
Sunday 08 June, 2025
Weather icon
á Dakar
Close icon
Se connecter

Guinée : Le président Umaro Sissoco Embalo rend visite à Mamady Doumbouya

image

Umaro Sissoco Ambalo reçu par Mamady Doumbouya

Le président bissau-guinéen, Umaro Sissoco Embalo, s'est rendu ce mercredi  20 octobre à Conakry. Selon un communiqué de la présidence bissau-guinéenne, le chef de l’Etat a été reçu par le colonel Mamady Doumbouya, Président du Comité national du rassemblement et du développement (Cnrd). 
Umaro Sissoco Embalo semble être l’un des premiers présidents de l’Afrique de l’Ouest, voisine de la Guinée, à se déplacer depuis la prestation de serment du nouveau président putschiste. D'après Umaro Siccoco Embalo, ce déplacement entre  «dans le cadre d’une visite d’amitié et de travail», fait-il savoir sur Twitter
Auteur: Ndeye Maty Diagne
ESABAT banner

Comments

  • image
    Maa il y a 3 ans

    Alpha Condé va l'en vouloir comme jamais 

  • image
    il y a 3 ans

    Thiey le "filston"

  • image
    il y a 3 ans

    Ahaha! Le modèle de politique à l'africaine est unique. Toujours en ordre dispersé! Certains se dictent et d autres dictés...

  • image
    reply_author il y a 3 ans

    Alpha Conde c'est du passe.  Il est devenu inoffensive et inutile. C'est ca le pouvoir il faut savoir le quitter au bon moment dans l'honneur et la dignite car dans tous les cas il y aura un moment ou il quittera de lui meme la personne qui le detient et l'exerce.  Le temps du pouvoir c'est quelque chose de predestine.

  • image
    reply_author il y a 3 ans

    Alpha Conde c'est du passe.  Il est devenu inoffensive et inutile. C'est ca le pouvoir il faut savoir le quitter au bon moment dans l'honneur et la dignite car dans tous les cas il y aura un moment ou il quittera de lui meme la personne qui le detient et l'exerce.  Le temps du pouvoir c'est quelque chose de predestine.

  • image
    reply_author il y a 3 ans

    ils ont bien fait,  c'est un seul peuple divisé par des frontières absurdes imposées par les colons. bonne continuation.

  • image
    reply_author il y a 3 ans

    ils ont bien fait,  c'est un seul peuple divisé par des frontières absurdes imposées par les colons. bonne continuation.

  • image
    il y a 3 ans

    S'ils étaient tous intelligents: Macky, Barro, Doumbouyou, Embalo, le militaire malien. Ils allaient faire une federation gérer bien les ressources ne rien detourner. 

  • image
    Wakh deug il y a 3 ans

    Quelle humiliation pour Alpha Condé.  

  • image
    Non frérot ! il y a 3 ans

    Là pas d'accord avec mon frère Emballo. Erreur diplomatique et manque de solidarité envers  la Cdeao. Cette visite ne s'imposait pas en inutilité. Tu n'as pas été commis par la communauté africaine. 

  • image
    il y a 3 ans

    Il est clairement venu accomplir une mission pour la France. il a recu des instructions de Paris ou il a ete en visite officielle pour la premiere fois de lhistoire de la guinnee Bissau , grace a lequation Doumbouya a Konakry

  • image
    reply_author il y a 3 ans

    no meunè toud "bien gérer les ressources" ak "macky sall" dans une même phrase iowitt ??

  • image
    reply_author il y a 3 ans

    Et mercalex sweety beauty boy aussi! Mister impôts et domaines les truands 

  • image
    il y a 3 ans

    guinee bissau c'est pareil, un coup d'etat peut arriver n'imorte quand

  • image
    il y a 3 ans

    Urgent! Thierno Monénembo menace Doumbouya par une lettre ouverte: Que faire ? Impossible pour un pays à la croisée des chemins comme la Guinée, de contourner cette question de tous les jours que Lénine a rendue célèbre, presque énigmatique. Oui, que faire en cette période trouble où pour la seconde fois de notre chaotique histoire, nous sommes conduits à emprunter le chemin d’une difficile transition : celle de tous les espoirs, celle de tous les dangers ? Ou plutôt que ne pas faire ? Inverser la question n’a rien d’incongru, rien de provocateur. A bien y penser, le génie en politique, ce n’est pas de savoir ce qu’il faut faire, c’est de savoir ce qu’il ne faut pas faire. Interrogé sur la gestion des Indépendances africaines, à la fin  du siècle dernier, Aimé Césaire (il fut un ami de Fodéba Keïta et un soutien inestimable pour Sékou Touré quand celui-ci était encore présentable) avait dit ceci : « La Guinée, c’est exactement cela qu’il ne fallait pas faire ». Venant d’un homme aussi averti que le grand poète martiniquais, cette affirmation sonne comme un sérieux rappel à l’ordre adressé à notre intraitable bonne conscience nationale. Cela veut dire que si nous ne changeons pas de cap, que si  nous continuons à avancer les yeux fermés, ce sera très vite, le plongeon dans l’abîme.  Nous avons tendance à croire que puisque « c’est nous, les Guinéens », tout ce que nous disons et faisons est parfait. Or, le bilan est là : désastreux à tous les niveaux. Si désastreux que de notre Indépendance, il ne reste plus que la sonorité du mot. Un vrai travail de nigauds ! Cette transition-ci est notre dernière carte, nous avons grillé toutes les autres. C’est le moment ou jamais de faire une pause, de reprendre nos esprits. Nous nous trouvons aujourd’hui dans une étroite passerelle, haut perchée au-dessus du vide. La moindre erreur nous sera fatale à nous tous, au Colonel Doumbouya en premier lieu. D’abord, quel est notre problème ? Aucun ! La Guinée n’a pas de problème, elle n’a que des faux problèmes (le tribalisme en est le plus gros). Par définition, le faux problème est insoluble. En Mathématique, quand l’énoncé est faux, l’équation ne débouche sur aucune solution. Sékou Touré et ceux qui l’ont suivi, ont fait de leurs problèmes personnels, les problèmes du pays. Sortons du culte du chef, éloignons-nous de la démagogie, de la bassesse d’âme, de l’étroitesse d’esprit et de la  mesquinerie ! Soyons des hommes ! Voyons loin, voyons grand ! Seulement, faisons vite, nous n’avons pas le temps de nous perdre dans des considérations inutiles. Les autorités de transition n’ont ni la compétence ni la légitimité d’aborder les questions de fond. Leur rôle se résume en deux points : expédier les affaires courantes et organiser des élections au-dessus de tout soupçon. C’est tout. La bonne transition, c’est la transition brève. La bonne transition, c’est la transition propre. Colonel Doumbouya, ne faites pas comme Sékouba Konaté : ne succombez pas aux charmes démoniaques du tribalisme et des magouilles de toutes sortes qui vont avec. La Guinée est une famille, mon colonel. Malheureusement, les discours haineux de Sékou Touré, de Lansana Conté et d’Alpha Condé ont dangereusement fragilisé sa cohésion. Si vous reproduisez l’arnaque de 2010, je vous assure qu’elle va exploser en mille morceaux. Rien, ni personne ne pourra l’empêcher. Colonel, vous ne le savez peut-être pas, mais il n’y a rien de plus fragile qu’un pays. Tierno Monénembo (in Le Lynx) 

  • image
    reply_author il y a 3 ans

    Elle est où exactement la menace dans ce qu'il a écrit? Vous êtes quel genre d'homme vous, à prêter à un texte, une portée qu'il n'a pas? Vous connaissez la définition du mot "menace"? Je répète: "quel genre d'homme êtes-vous?" Le genre qui invente des problèmes là où il n'y en a pas pour semer la m...? Le genre dont les capacités intellectuelles sont si faibles qu'il en est complexé et se permet alors de pointer les autres du doigt pour mieux se sentir dans sa peau?

Participer à la Discussion