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Édition spéciale : tout sur le procès Sonko VS Mame Mbaye Niang

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Auteur: Seneweb TV
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Comments

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    Pays bloqué et divisé il y a 2 ans

    Le Président de la République n'aurait jamais dû autoriser à son Ministre, le très zèlé en complot, Mbaye Niang de soulever ce dossier de plainte de forme pour tenter encore d'affaiblir et disperser son certes coriace adversaire politique. Hélas, ils ont fait de Sonko un opposant à abattre.... " Jusqu'à sa plus simple (voir Zéro)  expression ". Pendant ce temps, notre Pays qui surfe sur le toit de l'Afrique en matière de Football ( avec un peuple très humble en joie, situation sociale et politique obligent) devrait être présentement un Pays dans la sous région ou d'Afrique, un genre d'Eldorado où tous les investisseurs du Monde seraient en train de débarquer présentement. Plus pétrole et gaz en méchoui à déguster. Même pas, notre Pays stagne dans le stress voir la peur de l'instabilité, aujourd'hui ce matin la jeunesse de notre Pays n'est pas allé à l'école et à l'université, y compris certains travailleurs, nombreuses voitures stationnées devant les maisons dans de nombreux quartiers. 

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    Observateur il y a 2 ans

    Si sonko a qualifié le rapport de définitif, il aura tord. Par contre s'il a juste parlé de rapport alors, ce quil dit est vrai, parcequ'il y a bien un pré rapport bouclé , signé , transmis et même fuité; malheureusement le chef de la mission est mort dans des conditions mystérieuses.  Par ailleurs, comme j'ai l'habitude de le dire, depuis un certain temps, les pré-rapports de contôle qui sont l'oeuvre d'agents assermentés sont plus crédibles que les rapports définitifs qui passent par le filtre de politiciens, souvent verreux pour leur valdidation. C'est malheureux, mais notre pays est vraiment tombé très bas.  

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    reply_author il y a 2 ans

    Nous avons tous vu Sonko à la télé accuser mame mbaye niang, il lisait sur son téléphone et se vanter d'avoir des preuves n'est ce pas. Donc pas de commentaires. Vous fatiguez. Le pays est pris en otage. Il faut mettre fin à la récréation 

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    il y a 2 ans

    Chambres meublées  à louer à Cité Keur Gorgui, avec chauffe eau, split . TV, Wifi illimitée, Frigo  Micro Onde.  Tarif à partir 10000 frs Contact 77 103 02 02 / 77 409 60 71 / 76 254 37 32

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    Gueye il y a 2 ans

    Macky est une honte,notre pays ne va pas.

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    reply_author il y a 2 ans

    Avocat du diable. Bravo !!! 

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    reply_author il y a 2 ans

    Hey tu n'es pas Observateur. Tu es partisan de Sonko. Ce que Sonko a dit est clair et net .ya pas de si . Il n'a qu'à en apporter les preuves. Sinon reconnaître qu'il a menti. Il faut aussi au niveau de Pastef que Sonko soit recadré.  Il commet trop de bourdes

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    cnews il y a 2 ans

     Barack Obama a appelé Sonko ce matin pour l"encourager

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    reply_author il y a 2 ans

    Oui c'est vrai. C'est Macky qui est dans la bouche de Sonko. Le Sénégal est mal barré. 

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    il y a 2 ans

    quand sonko bouge ,maky tremble

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    reply_author il y a 2 ans

    Le Monde entier  Vous Observe

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    Observateur il y a 2 ans

    Non, je ne suis pas partisan de Sonko, je suis juste pour la vérité. A savoir le tiercé des meilleurs profils de président en 2024, en dehors des pronostics politiques, exigences de la démocratie, sous une perspective savante, sans aucune prétention, c'est par ordre: 1. Idrissa Seck 2. Amadou BA 3. Ousmane Sonko, Malheureusement, la démocratie ayant son revers populiste pourrait chambouler cet ordre avec la complicité de celui qui ne veut pas libérer le jeu.

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    Complot Macron Macky il y a 2 ans

    Assurance des occidentaux de la France en particulier. L'occident la France en premier lieu ferme la bouche et les yeux devant des abus de droits humain primitifs primaire contre la personne de leader de l'opposition Sénégalaise au lieu de se racheter sur leur mutisme complice avec l'assassinats de 14 citoyens en une journée par Macky Sall grace à sa milice armée accompagnée de sa police politique. non ils parlent plutôt de Bâchard , de la Birmanie , de L'Iran ou y'a rien à voir sauf la paix hormis quelques troubadours finances par l'occident pour déstabiliser. Kennedy, Benazir Bhuto, Anouar El saddat, julfikaar Aly Bhuto, Sinzho Abbey, Ronald Reagan, Faycal Teylouleen waa rewmi Teylouleen waa senegalteylouleenoo gnoun beuggouniou ngeen gaanio:Macky a reçu l'assurance du Soutient de ses maîtres occidentaux pour user de tous les moyens légitimes comme be salis me ou criminels pour conserver le pouvoir en vue de garantir leurs intérêts et la France au premier chef.voila qui explique l'extrémité de son aggression contre l'opposition et Sonko en tête avec des droits accordés aux animaux que Macky lui nie en ce moment ( séquestration , isolation, Bunkerisation ) au vue et sus du monde entier - l'Occident regarde ces images ( leurs média leurs diplomates leurs observateurs ect.....mais personne ne pipe mot en occident - cependant leur média sont occupés à titrer dès unessur l'Iran.l'occident et la France en tête sont complice des abus de pouvoir de Macky - autrement ceci ne saurait être imaginable au Sénégal.

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    Talibé il y a 2 ans

    Sokhna Bator est en fin de régne ! C'est la terminé ! Gassi !

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    il y a 2 ans

    Dans tout pays normal ce Ministre aurait été renvoyé du gouvernement et poursuivi pour faits de détournement de deniers publics. Tout comme ses collègues épinglés par le rapport Covid de la CC . Au Sénégal ils narguent le peuple et insultent les institutions qui les incriminent. Ce n’est pas Sonko mais un rapport de l’Igf et un livre document de TPI / Forum Civil qui ont établi les errements de ce ministre dans le dossier Prodac. Ou est donc sa plainte contre Birahim Seck ? Mais seulement voilà dans ce Senegal de Macky la justice marche sur la tête au service du prince. Il ne faut pas accepter cette parodie pour éliminer un adversaire politique 

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    Gabo il y a 2 ans

    macky salle et ces accolytes, ces sibires, qu'ils sachent que de grands vrais procès leurs attendent en 2024, c'est à dire bientôt !  macky salle : détournement de fond public, enrichissement illicite, haute trahison de serment, favoritisme, népotisme, procès politique connivence avec une fausse justice ! aliou salle : enrichissement illicite, faux et usage de faux contrat, conflit d'intéret, détournement de fond public et privée, gestion administrative défaillant, favoritisme népotisme ! marième faye, enrichissement illicite, népotisme, détournement de fonds sociaux, usurpation de fonction ! mame nbaye niang pour les mêmes chefs d'accusation, étournement, enrichissement illicite, faux et usage de  faux contrat  El hadji diouf : viol et séquestration sur mineur, faux témoignages, usurpation d'identité ! Conduite en état ivresse ( il a été étouffé par le pouvoir cette affaire qui existe bel et bien) Ce sera bientôt tout ça 

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    Ndamli il y a 2 ans

    Je vous avise sollenellement que l'on nous abuse à travers ces histoires de procès qui ne riment à rien. Le gouvernement pour cacher la misère sociale qui s'est installée dans tout le pays, zones urbaines, péri urbaines et rurales. Il suffit de parcourir le pays et même la capitale pour sen rendre compte. La paupérisation partout, symptômes externes béants suite aux impacts de crises externes (covid, guerre) avec comme corrolaire une inflation record jamais enregistrée. Stratégie de fuite d'un gouvernement qui a réussi à faillir sur le thème économique. Au lieu de parler de la souffance du sénégalais on en est réduit à nous mettre une série d'épisodes tragi comiques de politiciens professionnels. Wake up!

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    Poseidon il y a 2 ans

    Sonko doit aussi porter plainte à mame MBAYE niang pour diffamation. Il l'a accusé d'avoir violer sans preuve ni condamnation. Il doit le poursuivre pour s'aligner dans l'esprit Gatsa Gatsa. Et puis en 2024, on remet les points sur le i.

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    il y a 2 ans

    En fait les magistrats et les FDS ont demandé à Macky des moyens pour anéantir Sonko et ses partisans, ce dernier à non seulement décaissé plus de 100 milliard officieusement pour acheter des armes les camps en sont discrètement remplis. Ils ont aussi demandé l’augmenté très sensible des effectifs, les officiers de la gendarmerie et de la police disposent voiture 4X4 rutilante de génération. Donc ils sont dans l’obligation de fournir des résultats, c’est ce qui explique les arrestations tout azimut 99% des personnes sont arrêtées pour des motifs fallacieux, c’est la politique des chiffres, ils ont obligé des squatter les réseaux sociaux pour avoir quelque chose

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    il y a 2 ans

    arretez de travailler sortez de vos bureaux les voitures doivent clacsonner

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    il y a 2 ans

    La diaspora euhhh diaspourrie envoie de l'argent aux jeunes pour brûler le pays. Beaucoup de jeunes ont encaissé les western Union mais sont restés à la maison. Ils disent que si Sonko a les preuves qu'il les montre.  Leurs stratégies ne marchent plus car ils s'attaquent à tout le monde, mêmes nos chefs religieux sont attaqués et insultés par les membres de Pasteef. Personne ne viendra se faire tuer pour quelqu'un qui insulte ton chef religieux. Même le PUR a tourné le dos à Pasteef.

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    il y a 2 ans

    Il faudra commencer par brûler les quartiers dans la banlieue 

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    reply_author il y a 2 ans

    Ils ont tiré une balle réel et bléssé quelqu'un de l'entourage.   Macky Sall a donné l'ordre de tuer SONKO.

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    il y a 2 ans

    Dans tout pays normal ce Ministre aurait été renvoyé du gouvernement et poursuivi pour faits de détournement de deniers publics. Tout comme ses collègues épinglés par le rapport Covid de la CC . Au Sénégal ils narguent le peuple et insultent les institutions qui les incriminent. Ce n’est pas Sonko mais un rapport de l’Igf et un livre document de TPI / Forum Civil qui ont établi les errements de ce ministre dans le dossier Prodac. Ou est donc sa plainte contre Birahim Seck ? Mais seulement voilà dans ce Senegal de Macky la justice marche sur la tête au service du prince. Il ne faut pas accepter cette parodie pour éliminer un adversaire politique 

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    Dëgg Rekk il y a 2 ans

    Notre justice est très en retard sur les nouvelles technologies. Pour éviter tous troubles à l'ordre public, ce procès pourrait s'effectuer en ligne sous format visio-conf. 

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    reply_author il y a 2 ans

    Tu n'as honte de mentir !

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    il y a 2 ans

    Allez taper sur internet vous allez voir sur le site pro Macky Sall DakarActu cet article publiè en juin 2018 ou le site publie le rapport de l'IGF sur le prodac  Exclusif : Rapport complet de l’I.G.F. sur le PRODAC (DOCUMENTS) Dakaractu a rattrapé au vol le lièvre soulevé, il y a quelques jours, par nos confrères de Libération. En clair, nous avons pu nous procurer le rapport qui défraie la chronique, portant sur la rondelette somme de 29.600.536.000 F Cfa Ttc, qui serait à l’origine de la démission spectaculaire de Mame Mbaye Niang.La responsabilité de celui qui était ministre de tutelle au moment des faits est-elle engagée dans la chaîne qui semble lier, par les mêmes soupçons de surfacturation, le PRODAC, alors managé par Jean Pierre Senghor à sa supposée complice, l’entreprise israélienne Green 2000 ? Jugez-en par vous-même ! Pourquoi Mbaye Niang n'a pas attaqué ce site d'informations à l'époque en 2018 pour diffamation ?  Pouirquoi il attendu que Ousmane Sonko parle de ce rapport pour qu'il porte plainte ?  Pourquoi l'instruction de cette plainte est si rapide de la part du ministère public ?

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    il y a 2 ans

    Voilà le 2ème mandat de Macky : - Mal gouvernance  - Détournements de deniers publics - Malversations  - Emprisonnement et traque des opposants - Assassinat de jeunes sénégalais  - Chomage massif qui oblige des milliers de jeunes sénégalais à mourir en mer - Bradage de nos ressources aux étrangers - Enrichissement illicite des proches et du CLAN  - ECHEC TOTAL SUR TOUS LES PLANS   

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    reply_author il y a 2 ans

    Do bayi doul, tu es de l'apr

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    reply_author il y a 2 ans

    il sera jugé, le seul ex président qui le sera in chaallah

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    il y a 2 ans

    Allez taper sur internet vous allez voir sur le site pro Macky Sall DakarActu cet article publiè en juin 2018 ou le site publie le rapport de l'IGF sur le prodac Exclusif : Rapport complet de l’I.G.F. sur le PRODAC (DOCUMENTS)Dakaractu a rattrapé au vol le lièvre soulevé, il y a quelques jours, par nos confrères de Libération. En clair, nous avons pu nous procurer le rapport qui défraie la chronique, portant sur la rondelette somme de 29.600.536.000 F Cfa Ttc, qui serait à l’origine de la démission spectaculaire de Mame Mbaye Niang.La responsabilité de celui qui était ministre de tutelle au moment des faits est-elle engagée dans la chaîne qui semble lier, par les mêmes soupçons de surfacturation, le PRODAC, alors managé par Jean Pierre Senghor à sa supposée complice, l’entreprise israélienne Green 2000 ? Jugez-en par vous-même !Pourquoi Mbaye Niang n'a pas attaqué ce site d'informations à l'époque en 2018 pour diffamation ? Pouirquoi a t il attendu que Ousmane Sonko parle de ce rapport pour qu'il porte plainte ? Pourquoi l'instruction de cette plainte est si rapide de la part du ministère public ?

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    il y a 2 ans

    Il faut respecter nos forces de l'ordre pourquoi ne pas aller tout simplement répondre. Vous deux anges  qui sont ne faillent pas à leur rapport. Vous avez une part de responsabilité si vous dites des mensonges pour enflammer le pays. thi kanamou Yalla vous répondrez de vos actes. N'oubliez pas votre code de déontologie. Dieu est le Seul juge

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    Maty 3 pommes il y a 2 ans

    Maty doit avoir posé conseil aujourd'hui. Aka Ame djote, non djaute

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    qe il y a 2 ans

    Il n' y aura pas de tention politique, ce guignol macky, sa cours composée de mackystras malhonnêtes, son mackycontitutionel et ses acolythes seront tous boutés dehors, hors d'état de nuire inchalah. Seul le peuple souverain détenteur du pouvoir fera la loi en face de ses organisations criminelles et corompues ! Toutes ces organisations promacky (magistrats, juges et consorts sont disqualifiés, leurs avis qu'ils l'insèrent dans leurs anus, ça ne concerne plus le peuple sénégalais souverain.  

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    reply_author il y a 2 ans

    toi va sur DakarAct ul y a le rapport publiè en 2018 pourquoi Mame Baye Niang n'a pas attaqué en justice DakarActu à l'époque ? 

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    reply_author il y a 2 ans

    Sonko n' pas dit qu'il ne va pas répondre au contraire il appelle tout le monde à venir au procès bayile nafègue saytané bika done

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    reply_author il y a 2 ans

    Mais je n' ai pas compris que vous parlez des droits de Ousmane Sonko qui passe tous les jours a bafouer les règles ,  tout le pays est bloqué, vous êtes entrain de jouer avec le feu, si aujourd'hui cette affaire n'est pas jugée + les  autres pendant , alors le pays va s'enfoncer dans l'abîme tout le monde va payer.

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    Mamourr il y a 2 ans

    En tout cas, jamais dans l'histoire du Sénégal, on a vu un homme politique aussi persécuté. Même Mamadou DIA n'a pas autant souffert que Sonko.  C'est inacceptable que toutes les forces du pays, toute cette armada ne soient utilisées que contre Ousmane SONKO. Il y a des limites à tout dans cette vie. Même sans Sonko, les sénégalais n'accepteront pas cette 3ème candidature illégale.   Y EN A MARRE au lieu de travailler à développer notre pays, le régime ne pense qu'à mettre des batons dans les roues de Sonko. Mais Dieu est au contrôle de TOUT et c'est ce qu'il ne faut pas oublier.

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    il y a 2 ans

    LA VERITE EST QUE C'EST LE COMMANDITAIRE DE TOUT CECI QUI EST LE VRAI DETOURNEUR.

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    reply_author il y a 2 ans

    C'est juste des enfoirés la majeure partie, d'entre eux son des ressortissants des pays voisin, qui ne reve que de l'effondrement de notre cher pays. Sonko mom c'est un imbecile egoïste  

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    street boy il y a 2 ans

    Ces gens sont de vrais cancer pour ce pays  

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    il y a 2 ans

    Macky a eu plus de 70000 milliards de CFA de budget et n'a rien foutu. Il a lamentablement échoué et veut brûler le pays. 

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    reply_author il y a 2 ans

    On s'en tamponne le crampon. 

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    il y a 2 ans

    Quelle honte. Sonko traîné dans la boue par un soukh soukhatt de Macky, ndah meuna fène rek... Thiey adouna 

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    street boy il y a 2 ans

    Toujours dans vos manipulations, il organise des gens pour mener des actes de sabotages, il brules des bien publique vous nous parler intégrité. Vous êtes pathetique  

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    reply_author il y a 2 ans

    Après les Honneurs, voici venus les Moments de Honte d'être SÉNÉGALAIS 🇸🇳  la Politique  l'ennemie numero 1 de ce pays.       Après les Honneurs, voici venus les Moments de Honte d'être SÉNÉGALAIS 🇸🇳  la Politique  l'ennemie numero 1 de ce pays.       Après les Honneurs, voici venus les Moments de Honte d'être SÉNÉGALAIS 🇸🇳  la Politique  l'ennemie numero 1 de ce pays.

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    il y a 2 ans

    Bande d'hypocrites. Qui est Sonko pour refuser d'obtempérer face aux force de l'ordre. Vous refusez de voir la vérité en face, force doit rester à la loi.

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    il y a 2 ans

    Ces journalites commentent trop.. donner des informations svp et faites des lives avec vos journalistes sur place 

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    Fisher il y a 2 ans

    Journaliste et ou avocat de Sonko? Doyna waar 

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    il y a 2 ans

    La Femme aida niass et Mohamed diallo racontent des contreverites.  Toujours Sonko insulte les forces de defense et autre. Soyez justes .  Certains reporters font des jugements de valeurs 

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    Pauvre journalistes il y a 2 ans

    Pauvres "journalistes "!! Vous n'êtes pas des journalistes mais des opposants!! Vous n'êtes pas à équidistance par rapport à ce problème ! On va bien que vous êtes là pour Sonko. On devrait fermer votre plateforme !!!

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    Pauvre journalistes il y a 2 ans

    Pauvres "journalistes "!! Vous n'êtes pas des journalistes mais des opposants!! Vous n'êtes pas à équidistance par rapport à ce problème ! On va bien que vous êtes là pour Sonko. On devrait fermer votre plateforme !!!

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    reply_author il y a 2 ans

    Qu'elle communauté internationale ? Quand ça vous chante France dégage , Macky et au service de la communauté et maintenant , vous voulez cette presse étrangère soit témoin de ce qui se passe au Sénégal mon oeil......  Refus d'obtempérer aux forces de défense et de sécurité. chaque jour que Dieu il se joue de la république, pendant beaucoup d'écoles n'ont pas faits cours, il se veut se pavoiser dans les rues de Dakar comme si de rien été, et personne n'en parle même vous les journalistes , on 'est dans quel pays ?????

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    Le pays s'enfonce dans la merd il y a 2 ans

    Qu'elle communauté internationale ? Quand ça vous chante France dégage , Macky et au service de la communauté et maintenant , vous voulez cette presse étrangère soit témoin de ce qui se passe au Sénégal mon oeil......  Refus d'obtempérer aux forces de défense et de sécurité. chaque jour que Dieu il se joue de la république, pendant beaucoup d'écoles n'ont pas faits cours, il se veut se pavoiser dans les rues de Dakar comme si de rien été, et personne n'en parle même vous les journalistes , on 'est dans quel pays ?????

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    Takou il y a 2 ans

    La, je viens de retrouver de vrais journalistes sur la question ! La vrai question, y a-t-il detournement ou non ?

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    il y a 2 ans

    Un journaliste digne de ce nom a le devoir d'etre objectif. Mame Mbaye NIANG avait démissionné  suite a une clameure publique et s'est mis à la disposition de la justice.(chose que Ousmane Sonko n'a pas fait) Mieux encore, pour toute accusation de detournement il a formelement porté plainte, Sonko ne fait que rallonger la liste et a notons qu'a mainte reprise Mame Mbaye NIANG a eu gain de cause. Aujourd'hui il demande a ce fameu O.S qui dit detenir le fameu rapport, de venir le remettre a la justice et si tel est cas il est pret a se contituer prisonnier. Soyons veridique kou dee souba yak sa bamel.

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    reply_author il y a 2 ans

    Barack, saway bayil méw

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    reply_author il y a 2 ans

    Le site DakarActu a publie le rapport de l'IGF incriminant Mame MBaye Niang le 18 juin 2018 et pourtant il n'a pas porte plainte contre DAkarActu  Des l'instant que Sonko evoque ce rapport c'est la justice partisane qui est mise en branle

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    BOUNKHATAB il y a 2 ans

    Cette affaire doit etre videe aujourdhui. Ce pays ne peut pas vivre cette situation chaque mois a cause de renvois infinis. A chaque fois les partisans de sonko vont barrer la route a son vehicule pour qu il ne rende pas au tribunal.A chaque fois, les FDS vont le conduire manu militari au tribunal.A chaque fois ses partisans vont bruler des auchan et des bus DDD.Et rebelote jusqu en 2024 .

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    il y a 2 ans

    A retenir un procès politique ne se gagne pas au tribunal

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    il y a 2 ans

    💥 Chers Manifestans sur votre passage, detruissez tous ce que Macky Sall a Fait  Guerre day saf Mondial.. les DDD  les Auchans les Totals. Tout.     💥 Chers Manifestans sur votre passage, detruissez tous ce que Macky Sall a Fait  Guerre day saf Mondial.. les DDD  les Auchans les Totals. Tout.       💥 Chers Manifestans sur votre passage, detruissez tous ce que Macky Sall a Fait  Guerre day saf Mondial.. les DDD  les Auchans les Totals. Tout.       💥 Chers Manifestans sur votre passage, detruissez tous ce que Macky Sall a Fait  Guerre day saf Mondial.. les DDD  les Auchans les Totals. Tout.

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    reply_author il y a 2 ans

    Arrêtez de mentir 

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    il y a 2 ans

    💥 Chers Manifestans sur votre passage, detruissez tous ce que Macky Sall a Fait  Guerre day saf Mondial.. les DDD  les Auchans les Totals. Tout.

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    Le Monde.fr il y a 2 ans

    Du président Macky Sall ou de l’opposant Ousmane Sonko, on ne sait qui avait le plus de craintes ces dernières heures à Dakar. Alors que devait s’ouvrir le procès du second, jeudi 16 mars dans la matinée, les deux camps étaient à cran. Chacun se prépare à débuter un face-à-face décisif en vue de la présidentielle prévue dans moins d’un an, le 25 février 2024. Jusque tard dans la soirée de mercredi, les déflagrations des grenades de désencerclement et des tirs de gaz lacrymogènes ont résonné Cité Keur Gorgui, le quartier de Dakar où vit Ousmane Sonko. Des heurts entre manifestants et forces de l’ordre ont eu lieu dans plusieurs banlieues de la capitale, comme à Keur Massar, et en province, dont la ville sainte de Touba. La coalition de la majorité présidentielle, Benno Bokk Yakaar, a accusé l’opposition d’être « irresponsable » et de chercher à « déstabiliser les institutions ». Les forces de l’ordre étaient décidées à empêcher tout rassemblement des sympathisants d’Ousmane Sonko, qui a fait de la mobilisation de la rue sa principale arme. Dès le début de la journée de mercredi, c’est autour du domicile de l’opposant que se cristallisaient les tensions, alors que des policiers lourdement équipés s’étaient déployés dès la matinée, empêchant quiconque d’entrer ou de sortir. Pas question pour les forces de l’ordre de permettre une nouvelle démonstration de force. La veille, Ousmane Sonko était encore parvenu à réunir des dizaines de milliers de militants qui, malgré l’attente, l’avaient accueilli comme une « idole » lorsqu’il était monté sur la scène d’un « giga meeting » de l’opposition aux Parcelles Assainies, l’un des quartiers les plus peuplés de la capitale sénégalaise. Devant une foule largement composée de jeunes urbains, qui constituent sa base électorale, il avait mis en garde les magistrats « instrumentalisés par Macky Sall », les invitant à « respecter la loi du peuple » et à ne pas participer à une stratégie qu’il qualifie de tentative de « liquidation politique ». Sonko, un martyr aux yeux de ses partisans Jeudi, le candidat à la présidentielle de 2024 joue son avenir politique. Il est attendu devant le tribunal correctionnel de Dakar dans un procès pour diffamation intenté par Mame Mbaye Niang, le ministre du tourisme, qu’il a accusé de détournement de fonds. L’audience s’est ouverte une première fois il y a un mois avant d’être reportée. Déjà, Dakar avait été le théâtre d’une forte mobilisation et d’une vive tension. L’opposant avait été ramené chez lui par des policiers qui avaient brisé la vitre de sa voiture, une scène diffusée en direct sur les réseaux sociaux. Une autre affaire pèse sur Ousmane Sonko, par ailleurs maire de Ziguinchor, la grande ville de Casamance. Celui-ci est accusé de « viols et menaces de mort » par Adji Sarr, l’employée du salon de massage Sweet Beauty qu’il avait l’habitude de fréquenter pour ses maux de dos. S’il est condamné à plus de trois mois d’emprisonnement ferme ou à plus de six mois avec sursis dans l’un de ces dossiers, le code électoral prévoit l’inéligibilité. Ousmane Sonko sera alors définitivement écarté de la course à la présidentielle. Loin de l’avoir handicapé, ces multiples affaires judiciaires ont fait du principal opposant au camp du chef de l’Etat un martyr aux yeux de ses partisans. « C’est un complot, une affaire strictement politique, instrumentalisée par le pouvoir de Macky Sall dans le dessein exclusif d’écarter un candidat qui, de loin, semble être un des mieux placés pour remporter la prochaine élection présidentielle », a déclaré M. Sonko lui-même. Il a pour argument la mise hors-jeu par le passé d’anciens adversaires du président Macky Sall. Karim Wade, le fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, a été disqualifié après avoir été condamné, en 2015, à six ans de prison ferme pour enrichissement illicite. Khalifa Sall (aucun lien de parenté avec le président) a été condamné à cinq ans de prison en 2018 pour détournements de fonds lorsqu’il était maire de Dakar, et son incarcération a mis fin à ses rêves de candidature à la présidentielle de 2019. Verbe direct et idéologie souverainiste « Ousmane Sonko ne doit pas être la troisième victime de Macky Sall, a martelé M. Sonko lors du meeting du 14 mars. Je suis candidat et mon “frère” Khalifa Sall, que Macky Sall a empêché d’être candidat en 2019, sera candidat lui aussi parce que nous ne permettrons plus à Macky Sall de choisir les candidats à l’élection présidentielle », a-t-il averti. Il souhaite imposer « la candidature de tous les leaders de l’opposition ». Quasiment inconnu du grand public il y a sept ans, cet ancien inspecteur des impôts a eu la trajectoire d’une comète politique depuis sa radiation de la fonction publique en 2016. Le décret présidentiel reprochait alors à l’ex-brillant élève sorti major de l’Ecole nationale d’administration sénégalaise d’avoir manqué à « l’obligation de discrétion professionnelle » en ayant créé le premier syndicat au sein de son institution. Cette signature de Macky Sall s’est révélée être un accélérateur de carrière politique. D’abord élu député, le président des Patriotes du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef) arrive troisième lors de la présidentielle de 2019. Il poursuit son ascension en prenant la mairie de Ziguinchor lors des municipales de janvier 2022. Même s’il n’occupe aucun poste de direction officielle au sein de la coalition Yewwi Askan Wi, il s’impose alors comme le leader de l’opposition. Avec son verbe direct et son idéologie souverainiste, Ousmane Sonko détonne et séduit dans un paysage politique qui a du mal à se renouveler. Il revendique son panafricanisme et son patriotisme. Il prône une sortie progressive du franc CFA et tourne le dos aux Occidentaux, France en tête, suscitant l’inquiétude de certaines chancelleries. « Cette opposition n’espère trouver son salut que dans l’invective, les injures, la fuite en avant et la manipulation », dénonçait ces derniers jours la coalition présidentielle. Macky Sall suspecté de vouloir briguer un troisième mandat Une rupture de style et de fond qui déstabilise au sommet de l’Etat sénégalais, mais aussi au sein d’une opposition habituée à un plus grand classicisme. Parmi les détracteurs de Macky Sall, tous s’affichent désormais unis face à un président suspecté de vouloir briguer un troisième mandat. Une initiative « inconstitutionnelle » selon l’opposition, mais légale aux yeux de la majorité, qui souligne que la révision constitutionnelle de 2016 permet à son chef de se représenter. Avec son verbe direct et son idéologie souverainiste, Ousmane Sonko détonne et séduit dans un paysage politique qui a du mal à se renouveler. Il revendique son panafricanisme et son patriotisme. Il prône une sortie progressive du franc CFA et tourne le dos aux Occidentaux, France en tête, suscitant l’inquiétude de certaines chancelleries. « Cette opposition n’espère trouver son salut que dans l’invective, les injures, la fuite en avant et la manipulation », dénonçait ces derniers jours la coalition présidentielle. Macky Sall suspecté de vouloir briguer un troisième mandat Une rupture de style et de fond qui déstabilise au sommet de l’Etat sénégalais, mais aussi au sein d’une opposition habituée à un plus grand classicisme. Parmi les détracteurs de Macky Sall, tous s’affichent désormais unis face à un président suspecté de vouloir briguer un troisième mandat. Une initiative « inconstitutionnelle » selon l’opposition, mais légale aux yeux de la majorité, qui souligne que la révision constitutionnelle de 2016 permet à son chef de se représenter. Avec son verbe direct et son idéologie souverainiste, Ousmane Sonko détonne et séduit dans un paysage politique qui a du mal à se renouveler. Il revendique son panafricanisme et son patriotisme. Il prône une sortie progressive du franc CFA et tourne le dos aux Occidentaux, France en tête, suscitant l’inquiétude de certaines chancelleries. « Cette opposition n’espère trouver son salut que dans l’invective, les injures, la fuite en avant et la manipulation », dénonçait ces derniers jours la coalition présidentielle. Macky Sall suspecté de vouloir briguer un troisième mandat Une rupture de style et de fond qui déstabilise au sommet de l’Etat sénégalais, mais aussi au sein d’une opposition habituée à un plus grand classicisme. Parmi les détracteurs de Macky Sall, tous s’affichent désormais unis face à un président suspecté de vouloir briguer un troisième mandat. Une initiative « inconstitutionnelle » selon l’opposition, mais légale aux yeux de la majorité, qui souligne que la révision constitutionnelle de 2016 permet à son chef de se représenter. Macky Sall pourrait-il être tenté de suivre la voie tracée par le président ivoirien, Alassane Ouattara, en 2020 ? Pour l’instant, le chef de l’Etat refuse de dévoiler ses intentions, alimentant les fantasmes, les crispations et les diatribes de son meilleur ennemi, qui lui promet « un combat mortel ».    

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    il y a 2 ans

    Sonko a humilié Macky dans les urnes, Macky cherche à se venger en utilisant les fds, c’est un homme méchant et rancunier, 100 élection face à SONKO Macky sera laminé 100 FOIS

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    il y a 2 ans

    Du président Macky Sall ou de l’opposant Ousmane Sonko, on ne sait qui avait le plus de craintes ces dernières heures à Dakar. Alors que devait s’ouvrir le procès du second, jeudi 16 mars dans la matinée, les deux camps étaient à cran. Chacun se prépare à débuter un face-à-face décisif en vue de la présidentielle prévue dans moins d’un an, le 25 février 2024. Jusque tard dans la soirée de mercredi, les déflagrations des grenades de désencerclement et des tirs de gaz lacrymogènes ont résonné Cité Keur Gorgui, le quartier de Dakar où vit Ousmane Sonko. Des heurts entre manifestants et forces de l’ordre ont eu lieu dans plusieurs banlieues de la capitale, comme à Keur Massar, et en province, dont la ville sainte de Touba. La coalition de la majorité présidentielle, Benno Bokk Yakaar, a accusé l’opposition d’être « irresponsable » et de chercher à « déstabiliser les institutions ». Les forces de l’ordre étaient décidées à empêcher tout rassemblement des sympathisants d’Ousmane Sonko, qui a fait de la mobilisation de la rue sa principale arme. Dès le début de la journée de mercredi, c’est autour du domicile de l’opposant que se cristallisaient les tensions, alors que des policiers lourdement équipés s’étaient déployés dès la matinée, empêchant quiconque d’entrer ou de sortir. Pas question pour les forces de l’ordre de permettre une nouvelle démonstration de force. La veille, Ousmane Sonko était encore parvenu à réunir des dizaines de milliers de militants qui, malgré l’attente, l’avaient accueilli comme une « idole » lorsqu’il était monté sur la scène d’un « giga meeting » de l’opposition aux Parcelles Assainies, l’un des quartiers les plus peuplés de la capitale sénégalaise. Devant une foule largement composée de jeunes urbains, qui constituent sa base électorale, il avait mis en garde les magistrats « instrumentalisés par Macky Sall », les invitant à « respecter la loi du peuple » et à ne pas participer à une stratégie qu’il qualifie de tentative de « liquidation politique ». Sonko, un martyr aux yeux de ses partisans Jeudi, le candidat à la présidentielle de 2024 joue son avenir politique. Il est attendu devant le tribunal correctionnel de Dakar dans un procès pour diffamation intenté par Mame Mbaye Niang, le ministre du tourisme, qu’il a accusé de détournement de fonds. L’audience s’est ouverte une première fois il y a un mois avant d’être reportée. Déjà, Dakar avait été le théâtre d’une forte mobilisation et d’une vive tension. L’opposant avait été ramené chez lui par des policiers qui avaient brisé la vitre de sa voiture, une scène diffusée en direct sur les réseaux sociaux. Une autre affaire pèse sur Ousmane Sonko, par ailleurs maire de Ziguinchor, la grande ville de Casamance. Celui-ci est accusé de « viols et menaces de mort » par Adji Sarr, l’employée du salon de massage Sweet Beauty qu’il avait l’habitude de fréquenter pour ses maux de dos. S’il est condamné à plus de trois mois d’emprisonnement ferme ou à plus de six mois avec sursis dans l’un de ces dossiers, le code électoral prévoit l’inéligibilité. Ousmane Sonko sera alors définitivement écarté de la course à la présidentielle. Loin de l’avoir handicapé, ces multiples affaires judiciaires ont fait du principal opposant au camp du chef de l’Etat un martyr aux yeux de ses partisans. « C’est un complot, une affaire strictement politique, instrumentalisée par le pouvoir de Macky Sall dans le dessein exclusif d’écarter un candidat qui, de loin, semble être un des mieux placés pour remporter la prochaine élection présidentielle », a déclaré M. Sonko lui-même. Il a pour argument la mise hors-jeu par le passé d’anciens adversaires du président Macky Sall. Karim Wade, le fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, a été disqualifié après avoir été condamné, en 2015, à six ans de prison ferme pour enrichissement illicite. Khalifa Sall (aucun lien de parenté avec le président) a été condamné à cinq ans de prison en 2018 pour détournements de fonds lorsqu’il était maire de Dakar, et son incarcération a mis fin à ses rêves de candidature à la présidentielle de 2019. Verbe direct et idéologie souverainiste « Ousmane Sonko ne doit pas être la troisième victime de Macky Sall, a martelé M. Sonko lors du meeting du 14 mars. Je suis candidat et mon “frère” Khalifa Sall, que Macky Sall a empêché d’être candidat en 2019, sera candidat lui aussi parce que nous ne permettrons plus à Macky Sall de choisir les candidats à l’élection présidentielle », a-t-il averti. Il souhaite imposer « la candidature de tous les leaders de l’opposition ». Quasiment inconnu du grand public il y a sept ans, cet ancien inspecteur des impôts a eu la trajectoire d’une comète politique depuis sa radiation de la fonction publique en 2016. Le décret présidentiel reprochait alors à l’ex-brillant élève sorti major de l’Ecole nationale d’administration sénégalaise d’avoir manqué à « l’obligation de discrétion professionnelle » en ayant créé le premier syndicat au sein de son institution. Cette signature de Macky Sall s’est révélée être un accélérateur de carrière politique. D’abord élu député, le président des Patriotes du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef) arrive troisième lors de la présidentielle de 2019. Il poursuit son ascension en prenant la mairie de Ziguinchor lors des municipales de janvier 2022. Même s’il n’occupe aucun poste de direction officielle au sein de la coalition Yewwi Askan Wi, il s’impose alors comme le leader de l’opposition. Avec son verbe direct et son idéologie souverainiste, Ousmane Sonko détonne et séduit dans un paysage politique qui a du mal à se renouveler. Il revendique son panafricanisme et son patriotisme. Il prône une sortie progressive du franc CFA et tourne le dos aux Occidentaux, France en tête, suscitant l’inquiétude de certaines chancelleries. « Cette opposition n’espère trouver son salut que dans l’invective, les injures, la fuite en avant et la manipulation », dénonçait ces derniers jours la coalition présidentielle. Macky Sall suspecté de vouloir briguer un troisième mandat Une rupture de style et de fond qui déstabilise au sommet de l’Etat sénégalais, mais aussi au sein d’une opposition habituée à un plus grand classicisme. Parmi les détracteurs de Macky Sall, tous s’affichent désormais unis face à un président suspecté de vouloir briguer un troisième mandat. Une initiative « inconstitutionnelle » selon l’opposition, mais légale aux yeux de la majorité, qui souligne que la révision constitutionnelle de 2016 permet à son chef de se représenter. Avec son verbe direct et son idéologie souverainiste, Ousmane Sonko détonne et séduit dans un paysage politique qui a du mal à se renouveler. Il revendique son panafricanisme et son patriotisme. Il prône une sortie progressive du franc CFA et tourne le dos aux Occidentaux, France en tête, suscitant l’inquiétude de certaines chancelleries. « Cette opposition n’espère trouver son salut que dans l’invective, les injures, la fuite en avant et la manipulation », dénonçait ces derniers jours la coalition présidentielle. Macky Sall suspecté de vouloir briguer un troisième mandat Une rupture de style et de fond qui déstabilise au sommet de l’Etat sénégalais, mais aussi au sein d’une opposition habituée à un plus grand classicisme. Parmi les détracteurs de Macky Sall, tous s’affichent désormais unis face à un président suspecté de vouloir briguer un troisième mandat. Une initiative « inconstitutionnelle » selon l’opposition, mais légale aux yeux de la majorité, qui souligne que la révision constitutionnelle de 2016 permet à son chef de se représenter. Avec son verbe direct et son idéologie souverainiste, Ousmane Sonko détonne et séduit dans un paysage politique qui a du mal à se renouveler. Il revendique son panafricanisme et son patriotisme. Il prône une sortie progressive du franc CFA et tourne le dos aux Occidentaux, France en tête, suscitant l’inquiétude de certaines chancelleries. « Cette opposition n’espère trouver son salut que dans l’invective, les injures, la fuite en avant et la manipulation », dénonçait ces derniers jours la coalition présidentielle. Macky Sall suspecté de vouloir briguer un troisième mandat Une rupture de style et de fond qui déstabilise au sommet de l’Etat sénégalais, mais aussi au sein d’une opposition habituée à un plus grand classicisme. Parmi les détracteurs de Macky Sall, tous s’affichent désormais unis face à un président suspecté de vouloir briguer un troisième mandat. Une initiative « inconstitutionnelle » selon l’opposition, mais légale aux yeux de la majorité, qui souligne que la révision constitutionnelle de 2016 permet à son chef de se représenter. Macky Sall pourrait-il être tenté de suivre la voie tracée par le président ivoirien, Alassane Ouattara, en 2020 ? Pour l’instant, le chef de l’Etat refuse de dévoiler ses intentions, alimentant les fantasmes, les crispations et les diatribes de son meilleur ennemi, qui lui promet « un combat mortel ».    

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    il y a 2 ans

    La femme la plus haïe du Sénégal est arrivée sur la pointe des pieds, dans un lieu tenu secret à Dakar. Les traits tirés, vêtue d’une longue djellaba noire et d’un léger foulard mauve, son entrée tout en sobriété dans la pièce tranche avec le vacarme que suscite la simple évocation de son nom. Prononcez-le, « Adji Sarr », et, au Séngal, le visage de votre interlocuteur oscillera entre la raillerie, la rage, rarement l’indifférence ou la compassion. Pour certains de ses compatriotes, elle est la femme à abattre depuis qu’elle a accusé Ousmane Sonko, l’un des opposants les plus virulents au régime, de viols répétés.A tout juste 22 ans, Adji Sarr vit comme une prisonnière dans son propre pays. En témoignent ces trois policiers qui la suivent comme son ombre pour la protéger. Ou ses changements fréquents d’adresse (cinq en un an) et de numéro de téléphone. Cette vie en liberté surveillée a commencé en février 2021. Les tensions sociales, exacerbées par la crise sanitaire et économique, sont alors vives au Sénégal et le pays s’enflamme après l’arrestation d’Ousmane Sonko dans les semaines qui suivent les accusations. En cinq jours de violences, treize personnes perdent la vie. L’homme politique crie au complot, l’affaire privée se mue en affaire d’Etat.La jeune femme, que Le Monde a pu rencontrer à la mi-février 2022, raconte : « Tout un pays m’accuse d’être responsable de ces morts. C’est très lourd. Mais je ne veux plus rester silencieuse, je dois donner ma version des faits. » A l’été 2020, après de longues années à travailler comme bonne à tout faire chez une commerçante, elle est recrutée par un salon de massage, le Sweet Beauty Spa, situé dans un quartier résidentiel de Dakar. Adji Sarr assure n’y avoir pratiqué que des massages classiques – sans prestations sexuelles – jusqu’à sa rencontre avec Ousmane Sonko, qui l’aurait violée, selon elle, à cinq reprises entre juin 2020 et février 2021.« La première fois, au moment de se déshabiller pour le massage, il a déposé ses deux armes sur une table. Cela m’a intimidée. Après la prestation, il a réclamé un “plus”. J’ai refusé. Il a insisté et m’a violée. Il me répétait qu’il serait le futur président du Sénégal et que je n’avais pas intérêt à parler, que personne ne me croirait. »Dépeinte en « arriviste »Pourquoi être restée travailler dans ce salon, se demandent nombre de Sénégalais ? « Après le premier viol, sous le choc, j’ai fui dans mon village. Mais sans mon salaire de 60 000 francs CFA (92 euros), je ne pouvais plus payer les frais de santé de ma tante malade, qui m’a élevée. Et la gérante du salon m’avait promis que cela ne se reproduirait plus », se justifie-t-elle. Mais « le mec », comme elle l’appelle, serait revenu le 21 décembre 2020. « J’ai eu la peur de ma vie en ouvrant la porte. » D’après son récit, il la viole deux fois dans un bain à remous après un massage classique. En raison de son état – la jeune femme affirme avoir été incapable de s’asseoir pendant une semaine –, ses collègues l’auraient encouragée à porter plainte, ce qu’elle finira par faire, le 2 février 2021. 

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    Licko il y a 2 ans

    Je suis attristé et atterré de vos commentaires je sais pas si vous êtes des journalistes où des partisans faut être juste le dis sonko à vilipender public un homme tout en estimant détenir des preuves alors qu'on lui demande juste de brandir ces preuves et on passe à autre chose mais vous entendre parler c'est comme si c'est Ousmane sonko la victime alors c'est lui l'accusateur 

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    reply_author il y a 2 ans

    Merci pour ce commentaire véridique 

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    APR DEBOUT il y a 2 ans

    MAME MBAYE PRODAC  VOLEUR JEAN  PIERRE  SENGHOR  VOLEUR  36  Milliards en l'air MAME MBAYE PRODAC  VOLEUR JEAN  PIERRE  SENGHOR  VOLEUR  36  Milliards en l'air MAME MBAYE PRODAC  VOLEUR JEAN  PIERRE  SENGHOR  VOLEUR  36  Milliards en l'air MAME MBAYE PRODAC  VOLEUR JEAN  PIERRE  SENGHOR  VOLEUR  36  Milliards en l'air MAME MBAYE PRODAC  VOLEUR JEAN  PIERRE  SENGHOR  VOLEUR  36  Milliards en l'air MAME MBAYE PRODAC  VOLEUR JEAN  PIERRE  SENGHOR  VOLEUR  36  Milliards en l'air MAME MBAYE PRODAC  VOLEUR JEAN  PIERRE  SENGHOR  VOLEUR  36  Milliards en l'air

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    BOUNKHATAB il y a 2 ans

    si vous avez lu le rapport et que vous dites que mame mbaye niang est epingle a hauteur de 29 milliards ,vous mentez.  Tout le projet PRODAC est au montant de 29 milliards et au moment ou le rapport de l IGF etait redige, il y avait au maximum, une somme de 3 milliards qui avait ete decaissee.Comment , en  ce moment precis, mame mbaye niang pouvait detourner 29 milliards ??? Meme dans le fameux livre de birahim seck, il n est nullement question de detournement mais de possibilite d influence et de lobying  pour celui qui pilote le projet.

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    APR DEBOUT il y a 2 ans

    MAME MBAYE PRODAC  VOLEUR JEAN  PIERRE  SENGHOR  VOLEUR  36  Milliards en l'air MAME MBAYE PRODAC  VOLEUR JEAN  PIERRE  SENGHOR  VOLEUR  36  Milliards en l'air MAME MBAYE PRODAC  VOLEUR JEAN  PIERRE  SENGHOR  VOLEUR  36  Milliards en l'air MAME MBAYE PRODAC  VOLEUR JEAN  PIERRE  SENGHOR  VOLEUR  36  Milliards en l'air MAME MBAYE PRODAC  VOLEUR JEAN  PIERRE  SENGHOR  VOLEUR  36  Milliards en l'air MAME MBAYE PRODAC  VOLEUR JEAN  PIERRE  SENGHOR  VOLEUR  36  Milliards en l'air MAME MBAYE PRODAC  VOLEUR JEAN  PIERRE  SENGHOR  VOLEUR  36  Milliards en l'air

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    reply_author il y a 2 ans

    tu mens comme tu respire : 16.03.2023 Journal le Monde.fr Du président Macky Sall ou de l’opposant Ousmane Sonko, on ne sait qui avait le plus de craintes ces dernières heures à Dakar. Alors que devait s’ouvrir le procès du second, jeudi 16 mars dans la matinée, les deux camps étaient à cran. Chacun se prépare à débuter un face-à-face décisif en vue de la présidentielle prévue dans moins d’un an, le 25 février 2024. Jusque tard dans la soirée de mercredi, les déflagrations des grenades de désencerclement et des tirs de gaz lacrymogènes ont résonné Cité Keur Gorgui, le quartier de Dakar où vit Ousmane Sonko. Des heurts entre manifestants et forces de l’ordre ont eu lieu dans plusieurs banlieues de la capitale, comme à Keur Massar, et en province, dont la ville sainte de Touba. La coalition de la majorité présidentielle, Benno Bokk Yakaar, a accusé l’opposition d’être « irresponsable » et de chercher à « déstabiliser les institutions ». Les forces de l’ordre étaient décidées à empêcher tout rassemblement des sympathisants d’Ousmane Sonko, qui a fait de la mobilisation de la rue sa principale arme. Dès le début de la journée de mercredi, c’est autour du domicile de l’opposant que se cristallisaient les tensions, alors que des policiers lourdement équipés s’étaient déployés dès la matinée, empêchant quiconque d’entrer ou de sortir. Pas question pour les forces de l’ordre de permettre une nouvelle démonstration de force. La veille, Ousmane Sonko était encore parvenu à réunir des dizaines de milliers de militants qui, malgré l’attente, l’avaient accueilli comme une « idole » lorsqu’il était monté sur la scène d’un « giga meeting » de l’opposition aux Parcelles Assainies, l’un des quartiers les plus peuplés de la capitale sénégalaise. Devant une foule largement composée de jeunes urbains, qui constituent sa base électorale, il avait mis en garde les magistrats « instrumentalisés par Macky Sall », les invitant à « respecter la loi du peuple » et à ne pas participer à une stratégie qu’il qualifie de tentative de « liquidation politique ». Sonko, un martyr aux yeux de ses partisans Jeudi, le candidat à la présidentielle de 2024 joue son avenir politique. Il est attendu devant le tribunal correctionnel de Dakar dans un procès pour diffamation intenté par Mame Mbaye Niang, le ministre du tourisme, qu’il a accusé de détournement de fonds. L’audience s’est ouverte une première fois il y a un mois avant d’être reportée. Déjà, Dakar avait été le théâtre d’une forte mobilisation et d’une vive tension. L’opposant avait été ramené chez lui par des policiers qui avaient brisé la vitre de sa voiture, une scène diffusée en direct sur les réseaux sociaux. Une autre affaire pèse sur Ousmane Sonko, par ailleurs maire de Ziguinchor, la grande ville de Casamance. Celui-ci est accusé de « viols et menaces de mort » par Adji Sarr, l’employée du salon de massage Sweet Beauty qu’il avait l’habitude de fréquenter pour ses maux de dos. S’il est condamné à plus de trois mois d’emprisonnement ferme ou à plus de six mois avec sursis dans l’un de ces dossiers, le code électoral prévoit l’inéligibilité. Ousmane Sonko sera alors définitivement écarté de la course à la présidentielle. Loin de l’avoir handicapé, ces multiples affaires judiciaires ont fait du principal opposant au camp du chef de l’Etat un martyr aux yeux de ses partisans. « C’est un complot, une affaire strictement politique, instrumentalisée par le pouvoir de Macky Sall dans le dessein exclusif d’écarter un candidat qui, de loin, semble être un des mieux placés pour remporter la prochaine élection présidentielle », a déclaré M. Sonko lui-même. Il a pour argument la mise hors-jeu par le passé d’anciens adversaires du président Macky Sall. Karim Wade, le fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, a été disqualifié après avoir été condamné, en 2015, à six ans de prison ferme pour enrichissement illicite. Khalifa Sall (aucun lien de parenté avec le président) a été condamné à cinq ans de prison en 2018 pour détournements de fonds lorsqu’il était maire de Dakar, et son incarcération a mis fin à ses rêves de candidature à la présidentielle de 2019. Verbe direct et idéologie souverainiste « Ousmane Sonko ne doit pas être la troisième victime de Macky Sall, a martelé M. Sonko lors du meeting du 14 mars. Je suis candidat et mon “frère” Khalifa Sall, que Macky Sall a empêché d’être candidat en 2019, sera candidat lui aussi parce que nous ne permettrons plus à Macky Sall de choisir les candidats à l’élection présidentielle », a-t-il averti. Il souhaite imposer « la candidature de tous les leaders de l’opposition ». Quasiment inconnu du grand public il y a sept ans, cet ancien inspecteur des impôts a eu la trajectoire d’une comète politique depuis sa radiation de la fonction publique en 2016. Le décret présidentiel reprochait alors à l’ex-brillant élève sorti major de l’Ecole nationale d’administration sénégalaise d’avoir manqué à « l’obligation de discrétion professionnelle » en ayant créé le premier syndicat au sein de son institution. Cette signature de Macky Sall s’est révélée être un accélérateur de carrière politique. D’abord élu député, le président des Patriotes du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef) arrive troisième lors de la présidentielle de 2019. Il poursuit son ascension en prenant la mairie de Ziguinchor lors des municipales de janvier 2022. Même s’il n’occupe aucun poste de direction officielle au sein de la coalition Yewwi Askan Wi, il s’impose alors comme le leader de l’opposition. Avec son verbe direct et son idéologie souverainiste, Ousmane Sonko détonne et séduit dans un paysage politique qui a du mal à se renouveler. Il revendique son panafricanisme et son patriotisme. Il prône une sortie progressive du franc CFA et tourne le dos aux Occidentaux, France en tête, suscitant l’inquiétude de certaines chancelleries. « Cette opposition n’espère trouver son salut que dans l’invective, les injures, la fuite en avant et la manipulation », dénonçait ces derniers jours la coalition présidentielle. Macky Sall suspecté de vouloir briguer un troisième mandat Une rupture de style et de fond qui déstabilise au sommet de l’Etat sénégalais, mais aussi au sein d’une opposition habituée à un plus grand classicisme. Parmi les détracteurs de Macky Sall, tous s’affichent désormais unis face à un président suspecté de vouloir briguer un troisième mandat. Une initiative « inconstitutionnelle » selon l’opposition, mais légale aux yeux de la majorité, qui souligne que la révision constitutionnelle de 2016 permet à son chef de se représenter. Avec son verbe direct et son idéologie souverainiste, Ousmane Sonko détonne et séduit dans un paysage politique qui a du mal à se renouveler. Il revendique son panafricanisme et son patriotisme. Il prône une sortie progressive du franc CFA et tourne le dos aux Occidentaux, France en tête, suscitant l’inquiétude de certaines chancelleries. « Cette opposition n’espère trouver son salut que dans l’invective, les injures, la fuite en avant et la manipulation », dénonçait ces derniers jours la coalition présidentielle. Macky Sall suspecté de vouloir briguer un troisième mandat Une rupture de style et de fond qui déstabilise au sommet de l’Etat sénégalais, mais aussi au sein d’une opposition habituée à un plus grand classicisme. Parmi les détracteurs de Macky Sall, tous s’affichent désormais unis face à un président suspecté de vouloir briguer un troisième mandat. Une initiative « inconstitutionnelle » selon l’opposition, mais légale aux yeux de la majorité, qui souligne que la révision constitutionnelle de 2016 permet à son chef de se représenter. Avec son verbe direct et son idéologie souverainiste, Ousmane Sonko détonne et séduit dans un paysage politique qui a du mal à se renouveler. Il revendique son panafricanisme et son patriotisme. Il prône une sortie progressive du franc CFA et tourne le dos aux Occidentaux, France en tête, suscitant l’inquiétude de certaines chancelleries. « Cette opposition n’espère trouver son salut que dans l’invective, les injures, la fuite en avant et la manipulation », dénonçait ces derniers jours la coalition présidentielle. Macky Sall suspecté de vouloir briguer un troisième mandat Une rupture de style et de fond qui déstabilise au sommet de l’Etat sénégalais, mais aussi au sein d’une opposition habituée à un plus grand classicisme. Parmi les détracteurs de Macky Sall, tous s’affichent désormais unis face à un président suspecté de vouloir briguer un troisième mandat. Une initiative « inconstitutionnelle » selon l’opposition, mais légale aux yeux de la majorité, qui souligne que la révision constitutionnelle de 2016 permet à son chef de se représenter. Macky Sall pourrait-il être tenté de suivre la voie tracée par le président ivoirien, Alassane Ouattara, en 2020 ? Pour l’instant, le chef de l’Etat refuse de dévoiler ses intentions, alimentant les fantasmes, les crispations et les diatribes de son meilleur ennemi, qui lui promet « un combat mortel ».      

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    reply_author il y a 2 ans

    tu mens comme tu respire : 16.03.2023 Journal le Monde.fr Du président Macky Sall ou de l’opposant Ousmane Sonko, on ne sait qui avait le plus de craintes ces dernières heures à Dakar. Alors que devait s’ouvrir le procès du second, jeudi 16 mars dans la matinée, les deux camps étaient à cran. Chacun se prépare à débuter un face-à-face décisif en vue de la présidentielle prévue dans moins d’un an, le 25 février 2024. Jusque tard dans la soirée de mercredi, les déflagrations des grenades de désencerclement et des tirs de gaz lacrymogènes ont résonné Cité Keur Gorgui, le quartier de Dakar où vit Ousmane Sonko. Des heurts entre manifestants et forces de l’ordre ont eu lieu dans plusieurs banlieues de la capitale, comme à Keur Massar, et en province, dont la ville sainte de Touba. La coalition de la majorité présidentielle, Benno Bokk Yakaar, a accusé l’opposition d’être « irresponsable » et de chercher à « déstabiliser les institutions ». Les forces de l’ordre étaient décidées à empêcher tout rassemblement des sympathisants d’Ousmane Sonko, qui a fait de la mobilisation de la rue sa principale arme. Dès le début de la journée de mercredi, c’est autour du domicile de l’opposant que se cristallisaient les tensions, alors que des policiers lourdement équipés s’étaient déployés dès la matinée, empêchant quiconque d’entrer ou de sortir. Pas question pour les forces de l’ordre de permettre une nouvelle démonstration de force. La veille, Ousmane Sonko était encore parvenu à réunir des dizaines de milliers de militants qui, malgré l’attente, l’avaient accueilli comme une « idole » lorsqu’il était monté sur la scène d’un « giga meeting » de l’opposition aux Parcelles Assainies, l’un des quartiers les plus peuplés de la capitale sénégalaise. Devant une foule largement composée de jeunes urbains, qui constituent sa base électorale, il avait mis en garde les magistrats « instrumentalisés par Macky Sall », les invitant à « respecter la loi du peuple » et à ne pas participer à une stratégie qu’il qualifie de tentative de « liquidation politique ». Sonko, un martyr aux yeux de ses partisans Jeudi, le candidat à la présidentielle de 2024 joue son avenir politique. Il est attendu devant le tribunal correctionnel de Dakar dans un procès pour diffamation intenté par Mame Mbaye Niang, le ministre du tourisme, qu’il a accusé de détournement de fonds. L’audience s’est ouverte une première fois il y a un mois avant d’être reportée. Déjà, Dakar avait été le théâtre d’une forte mobilisation et d’une vive tension. L’opposant avait été ramené chez lui par des policiers qui avaient brisé la vitre de sa voiture, une scène diffusée en direct sur les réseaux sociaux. Une autre affaire pèse sur Ousmane Sonko, par ailleurs maire de Ziguinchor, la grande ville de Casamance. Celui-ci est accusé de « viols et menaces de mort » par Adji Sarr, l’employée du salon de massage Sweet Beauty qu’il avait l’habitude de fréquenter pour ses maux de dos. S’il est condamné à plus de trois mois d’emprisonnement ferme ou à plus de six mois avec sursis dans l’un de ces dossiers, le code électoral prévoit l’inéligibilité. Ousmane Sonko sera alors définitivement écarté de la course à la présidentielle. Loin de l’avoir handicapé, ces multiples affaires judiciaires ont fait du principal opposant au camp du chef de l’Etat un martyr aux yeux de ses partisans. « C’est un complot, une affaire strictement politique, instrumentalisée par le pouvoir de Macky Sall dans le dessein exclusif d’écarter un candidat qui, de loin, semble être un des mieux placés pour remporter la prochaine élection présidentielle », a déclaré M. Sonko lui-même. Il a pour argument la mise hors-jeu par le passé d’anciens adversaires du président Macky Sall. Karim Wade, le fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, a été disqualifié après avoir été condamné, en 2015, à six ans de prison ferme pour enrichissement illicite. Khalifa Sall (aucun lien de parenté avec le président) a été condamné à cinq ans de prison en 2018 pour détournements de fonds lorsqu’il était maire de Dakar, et son incarcération a mis fin à ses rêves de candidature à la présidentielle de 2019. Verbe direct et idéologie souverainiste « Ousmane Sonko ne doit pas être la troisième victime de Macky Sall, a martelé M. Sonko lors du meeting du 14 mars. Je suis candidat et mon “frère” Khalifa Sall, que Macky Sall a empêché d’être candidat en 2019, sera candidat lui aussi parce que nous ne permettrons plus à Macky Sall de choisir les candidats à l’élection présidentielle », a-t-il averti. Il souhaite imposer « la candidature de tous les leaders de l’opposition ». Quasiment inconnu du grand public il y a sept ans, cet ancien inspecteur des impôts a eu la trajectoire d’une comète politique depuis sa radiation de la fonction publique en 2016. Le décret présidentiel reprochait alors à l’ex-brillant élève sorti major de l’Ecole nationale d’administration sénégalaise d’avoir manqué à « l’obligation de discrétion professionnelle » en ayant créé le premier syndicat au sein de son institution. Cette signature de Macky Sall s’est révélée être un accélérateur de carrière politique. D’abord élu député, le président des Patriotes du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef) arrive troisième lors de la présidentielle de 2019. Il poursuit son ascension en prenant la mairie de Ziguinchor lors des municipales de janvier 2022. Même s’il n’occupe aucun poste de direction officielle au sein de la coalition Yewwi Askan Wi, il s’impose alors comme le leader de l’opposition. Avec son verbe direct et son idéologie souverainiste, Ousmane Sonko détonne et séduit dans un paysage politique qui a du mal à se renouveler. Il revendique son panafricanisme et son patriotisme. Il prône une sortie progressive du franc CFA et tourne le dos aux Occidentaux, France en tête, suscitant l’inquiétude de certaines chancelleries. « Cette opposition n’espère trouver son salut que dans l’invective, les injures, la fuite en avant et la manipulation », dénonçait ces derniers jours la coalition présidentielle. Macky Sall suspecté de vouloir briguer un troisième mandat Une rupture de style et de fond qui déstabilise au sommet de l’Etat sénégalais, mais aussi au sein d’une opposition habituée à un plus grand classicisme. Parmi les détracteurs de Macky Sall, tous s’affichent désormais unis face à un président suspecté de vouloir briguer un troisième mandat. Une initiative « inconstitutionnelle » selon l’opposition, mais légale aux yeux de la majorité, qui souligne que la révision constitutionnelle de 2016 permet à son chef de se représenter. Avec son verbe direct et son idéologie souverainiste, Ousmane Sonko détonne et séduit dans un paysage politique qui a du mal à se renouveler. Il revendique son panafricanisme et son patriotisme. Il prône une sortie progressive du franc CFA et tourne le dos aux Occidentaux, France en tête, suscitant l’inquiétude de certaines chancelleries. « Cette opposition n’espère trouver son salut que dans l’invective, les injures, la fuite en avant et la manipulation », dénonçait ces derniers jours la coalition présidentielle. Macky Sall suspecté de vouloir briguer un troisième mandat Une rupture de style et de fond qui déstabilise au sommet de l’Etat sénégalais, mais aussi au sein d’une opposition habituée à un plus grand classicisme. Parmi les détracteurs de Macky Sall, tous s’affichent désormais unis face à un président suspecté de vouloir briguer un troisième mandat. Une initiative « inconstitutionnelle » selon l’opposition, mais légale aux yeux de la majorité, qui souligne que la révision constitutionnelle de 2016 permet à son chef de se représenter. Avec son verbe direct et son idéologie souverainiste, Ousmane Sonko détonne et séduit dans un paysage politique qui a du mal à se renouveler. Il revendique son panafricanisme et son patriotisme. Il prône une sortie progressive du franc CFA et tourne le dos aux Occidentaux, France en tête, suscitant l’inquiétude de certaines chancelleries. « Cette opposition n’espère trouver son salut que dans l’invective, les injures, la fuite en avant et la manipulation », dénonçait ces derniers jours la coalition présidentielle. Macky Sall suspecté de vouloir briguer un troisième mandat Une rupture de style et de fond qui déstabilise au sommet de l’Etat sénégalais, mais aussi au sein d’une opposition habituée à un plus grand classicisme. Parmi les détracteurs de Macky Sall, tous s’affichent désormais unis face à un président suspecté de vouloir briguer un troisième mandat. Une initiative « inconstitutionnelle » selon l’opposition, mais légale aux yeux de la majorité, qui souligne que la révision constitutionnelle de 2016 permet à son chef de se représenter. Macky Sall pourrait-il être tenté de suivre la voie tracée par le président ivoirien, Alassane Ouattara, en 2020 ? Pour l’instant, le chef de l’Etat refuse de dévoiler ses intentions, alimentant les fantasmes, les crispations et les diatribes de son meilleur ennemi, qui lui promet « un combat mortel ».   publie également le montant de la dette publique , un trou béant sans fonds.   

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    reply_author il y a 2 ans

    les sournaleux sont comme les rats, ils quittent le navire avant le naufrage recopier les rapports envoyés par le palais est plus facile, ce sont de minables alimentaires.  

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    reply_author il y a 2 ans

    ce sont les gendarmes et policiers qui ont barré la route à Sonko, la vidéo ne peut pas mentir . des abrutis se prennent pour des reporters   

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    Kekendo il y a 2 ans

      “ Fi kou fi deh, yaye perte” C’est le language de lachete qu’avaient tenu certains de nos arrieres grand-parents quand le negrier blanc etait venu capturer et rendre esclaves leurs freres noirs. Ces laches ont refuse de se battre, ont refuse de se revolter et ont refuse de se rebeller. Chacun preferant chercher comment sauver sa tete. Cette lachete a dure presque 400 ans .Le resultat est que des millions d’africains on ete captures et vendus comme esclaves dans les Ameriques et a cause de cette triste histoire, les africains sont aujourdhui le peuple le plus meprise sur cette terre. Apres l’esclavage, ce fut la colonization. Quand l’armee coloniale est arrivee, certains de nos grand-parents ont encore tenu le meme language de lachete: “ Fi Kou fi deh, yaye, perte” Ces laches ont prefere collaborer avec le colon que de se rebeller , que de se revolter, que de faire face a l’ennemi. Ceux qui ont ose se rebeller contre le pouvoir colonial on ete ou assassins ou deportes ( Samori, Serigne Touba, Aline Sitoe, Etc….). Il se dit qu’il y avait meme des collaborateurs informateurs dans le milieu proche de Serigne Touba qui rapportaient tous ces faits et gestes aux colons. D’autres laches  avaient simplement prefere integrer l’armee coloniale pour se battre contre leurs freres africains et les tuaient comme des mouches parceque l’armee colonial avait la suporiorite materielle. Cette lachete a permis une penetration coloniale  rapide et sanglante. Ces laches qui n’ont pas eu le courage de defendre leur patrie et leur people ont permis et facilite la colonization, l’humiliation et l’exploitation des peoples africains. Apres les independances, quand le pouvoir neo-coloniale a orchestre  un faux coup d’etat pour mettre fin au reve de Mamadou Dia de faire du Senegal une nation independante, souveraine et prospere, Nos laches peres ont encore dit la meme chose; “ Ki Kou fi deh, yaye perte” Ils venaient encore une fois de rater une occasion d’entrer dans l’histoire de l’humanite. Il est triste de constater que les petits fils de laches, disent encore la meme chose aujourdhui : ” Fi Kou Fi deh , yaye perte” . Et pourtant , nous avons deja tout perdu: notre dignite, nos resources, notre independence, meme notre liberte de choisir nos dirigeants. Depuis plus de 600 ans que les africains baissent la tete et en silence acceptent un sort qui les accable parcequ’ils refusent de se battre  , parceque’ ils preferent le samblant de paix dans l’injustice, parcequ’ils preferent etre soumis a un ordre etabli qui les rend chaque jour plus pauvres, ou tout simplement parceque comme ils le disent avec une lachete d’une simplicite effrayante: “ Fi kou deh, yaye perte” . Tous les peuples du monde se sont battus pour leur souverenaite, pour leur dignite, pour leur liberte, pour leur prosperite . Au Senegal , aujourdhui le pouvoir est accapare par une mafia avec a sa tete Pablo Escobar Sall. Cette mafia utilize l’appareil d’etat, et la justice pour s’enrichir au detriment du people. Quand un honnete juge demissione de la justice parceque affirme t-il “cette justice a demissione” . C’est un devoir urgent de faire face et d’enlever Macky et sa mafia du pouvoir. Comme toute mafia, une mafia ne peut etre combattue que par la force. Seul un soulevement populaire total et violent peut enlever Macky et ses maquisard du pouvoir. Et ce soulevement doit se faire tout de suite et maintenant. Il faut etre dupe pour penser que les elections de 2024 seront transparentes et domocratiques. Aussi longtemps que Macky organisera des elections presidentielles, il va toujours tricher pour les remporter. Il n’y a rien a attendre de 2024, donc le changement doit se faire maintenant.       La generation senegalaise actuelle est grace a la magie de l’internet beaucoup plus consciente des enjeux et des defis du monde actuel. Ils sont prets pour relever ces defis. Mais pour cela ils doivent d;abord prendre le pouvoir et par TOUS LES MOYENS NECESSAIRES ET LE PLUS RAPIDEMENT POSSIBLE. Et je vais finir par rappeller ce que disait fierement feu Sidy lamine Niass: ” Seule une revolution totale peut changer definitevement notre pays le Senegal”   

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    Commentaire il y a 2 ans

    Bonne question "le pays s'enfonce dans la merde". On est dans un pays ou l'etat de droit a foutu le camp depuis longtemps.  De toute facon, si de par le passe le pays a eu une certaine image de democratie, eh bien, le masque est tombe avec les evenements d'aujourd'hui. Lisez la presse francaise, britannique ou americaine.  Au meme rang que le Cameroun et le Congo. Ni plus ni moins.

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    jean il y a 2 ans

    rien que sa tete  prouve que c'est un menteur et voleur soulard 

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    Seybatou Diop reply_author il y a 2 ans

    La théorie du complot, toujours et partout, à n'importe quel moment....   C'est bien trop facile!Peut-on, Doit-on laisser quelqu'un salir l'honneur d'une autre personne, le traiter de voleur.  sans raison? OSonko l'a accusé, je me demande pour quelle bonne raison? S'il dispose de preuves, qu'il nous les mette sur la table du juge! Un point, une trait, une virgule, 2 points d'exclamation...  

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