Déclenchée jeudi dernier, la grève des travailleurs de la CBAO devrait se poursuivre cette semaine. Mais en coulisses, l’on s’active pour la fin de ce mouvement d’humeur qui indispose les clients de la banque marocaine.Les Échos renseigne ce mardi que le directeur de la filiale sénégalaise d’Attijariwafa Bank, Mounir Oudghiri, est au Maroc depuis la semaine dernière sur convocation de son Conseil d’administration. Les membres de cette assemblée veulent être édifiés sur la racine du problème, renseigne le journal.La même source rapporte qu’en même temps, le directeur du Travail et de la Sécurité sociale, Karim Cissé, a pris contact avec les grévistes pour voir «les points sur lesquels il est possible de négocier, en attendant de gérer les autres».Ce n’est pas tout. «Le Palais de la République est également entré dans la danse. De hautes autorités du Palais ont en effet câblé certains membres du collège (des délégués des travailleurs de la CBAO) pour voir s’il était possible de résoudre certains de leurs problèmes et de dépasser cette situation», souffle Les Échos.
Auteur: Seneweb News
Comments (16)
Mais ces travailleurs de la CBAO ou du moins, ceux avec qui j'ai eu à collaborer méritent tout ce qu'on leur faire subir. Ils ne respectent personne.ils traitent les clients comme des moins que rien...je suis désolé mais ils n'ont que ce qu'ils méritent
Si l'Etat du Sénégal a des parts dans cette banque, cela suppose qu'il ait au moins un administrateur qui siège au Conseil d'administration, qu'y fait il ? J'espère qu'il ne se contente pas de vérifier et certifier seulement les comptes de bilan qui lui sont soumis, mais quand même les conditions de travail des Sénégalais sont conformes aux conventions du pays.
une banque de cette envergure doit avoir un Directeur Sénégalais. il faut l'imposer au conseil d'administration de la banque qui est au Maroc. De toute façon ils ont des interets au senegal, il faut se faire respecter. Et puis c'est une banque pas éthique, ils ne voient que le profit avec des taux d'interet exhorbitants. De ce point de vue les banques françaises sont le moindre mal.
IL FAUT ETRE BETE POUR PERMETTRE A UNE BANQUE ETRANGERE DE FAIRE DU CRDIT DANS VOTRE MONNAIE.AUCUN SENEGALAIS NE PEUT AVOIR UNE LICENSE BANCAIRE AU MAROC.
Aucun sénégalais n'a cherché à avoir une licence bancaire au Sénégal, donc aucun sénégalais ne l'a demandera ailleurs. Les banquiers en Afrique de l'ouest sont nigerians, ghanaens, burkinabe, ivoiriens etc
Prenez vos droits et c'est tout Bon courage
Cette banque ne respecte pas ses clients qui sont leur principal bailleur. Imaginez qu'elle a suspendu unilatéralement le principe du guichet unique plombant de fait l'économie de certains acteurs. Les travailleurs n'ont qu'à s'en faire qu'à eux-mêmes car ils sont d'une arrogance inouïe à l'égard des clients qui sont pourtant leurs compatriotes. Nos autorités ont peur des banques qui ont refusé l'application des 19 mesures de gratuité de la BCEAO ; le Maroc n'en a cure de la BCEAO.
C'est ça le problème..moi je v eux quitter cette banque de merde
Les travailleurs des autres banques devaient s'unir. Le mal est partout, certes à des degrés moindres. Par exemple, les intérimaires sont balancés de banque en banque pendant des années. Ou ils sont utilisés par une même banque, en leur faisant signer des contrats de mise à disposition avec une autre société d'intérim, à chaque fois que le précédent contrat arrive à terme.
Les travailleurs des autres banques devaient s'unir. Le mal est partout, certes à des degrés moindres. Par exemple, les intérimaires sont balancés de banque en banque pendant des années. Ou ils sont utilisés par une même banque, en leur faisant signer des contrats de mise à disposition avec une autre société d'intérim, à chaque fois que le précédent contrat arrive à terme.
Toute crise se résout autour de la table de négociation. le Top Management de CBAO Sénégal doit appeler à des discussions. Les deux parties doivent tenir compte de l'impact économique et social de la grève ; la CBAO est une Grande Banque, elle pèse sur la société et l'économie .
L'Etat n'a pas à se mêler de cette affaire sauf à veiller au respect des lois et règlements. Il est temps que les autres comprennent que nous sommes chez nous et nous n'accpterons plus le diktat des étrangers. Ils ne sont pas en terrain conquis. On ne veut rien que le droit, tout le droit, rien que le droit et surtout le droit Pas moins que ce qui est accordé aux employés marocains
Je t'informe que l'État est actionnaire dans cette banque. Il n'a pas d'autre choix que de s'en mêler. C'est trop facile de venir faire des profits immenses dans un pays sans rien pour les employés qui travaillent dur dans des conditions difficiles.
Parfois quand je vois des investisseurs vouloir investir au Sénégal, je me demande s'ils connaissent bien ce pays où on a pas le culte du travail, ni le sens des affaires. Les syndicats et les hommes politiques ont droit de vie et de morts sur les entreprises. En 1990, quand l'Etat a voulu confié à la société française Gestran, la gestion de la Sotrac, il a été combattu par les synicats, et le gouvernement était obligé de laisser tomber. on connait la suite. Conclusion: partout où ce sont les syndicats qui dirigent, c'est la catastrophe!
Hors sujet ! T'aurai eu 2 sur 20 si c'était une dissertation
09:29 AM,dans le Privé,les salariés travaillent comme des dingues. Dans les secteurs comme celui de la Banque,l horaire de travail est de 40H/semaine,mais les gens font parfois le double,sans paiement des heures supplémentaires ,cnformément aux dispositions du code du travail et des conventions collectives. Dans le Privé,la pression ,le stress et parfois les harcellements profressionnels sont monnaies courantes. D ailleurs lorsque ces gens démissionnent pour rejoindre le Secteur Public,ils ont le sentiment qu ils ne travaillent plus,tellement le laisser_aller y est énorme. J ai un ancien collègue qui a rejoint La Fonction Publique et qui me dit qu il se demande s il mérite le salaire et les avantages qu il a à la Fonction Publique. Il va jusqu a assimililer son travail actuel à la sinécure ( percevoir un salaire sans avoir rien fait en contrepartie). Le salaire,c est la contrepartie d une prestation,et les rapports employeurs:employés sont réglementés.Donc,que chacun respecte ses Devoirs et tout le monde aura ses Droits.POINT FINAL
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Si les droits des travailleurs sont respectés, il n'y aura pas de grève. Investir ne veut pas dire tout rafler, il faut permettre à ceux qui vont le travail de vivre dignement.les salaires de misères, on en trouve a la pelle dans tout les lieux de travail du Sénégal et parfois, des écarts de salaires entre cadres et autres qui dépassent l'entendement.
Si les droits des travailleurs sont respectés, il n'y aura pas de grève. Investir ne veut pas dire tout rafler, il faut permettre à ceux qui vont le travail de vivre dignement.les salaires de misères, on en trouve a la pelle dans tout les lieux de travail du Sénégal et parfois, des écarts de salaires entre cadres et autres qui dépassent l'entendement.
Si les droits des travailleurs sont respectés, il n'y aura pas de grève. Investir ne veut pas dire tout rafler, il faut permettre à ceux qui vont le travail de vivre dignement.les salaires de misères, on en trouve a la pelle dans tout les lieux de travail du Sénégal et parfois, des écarts de salaires entre cadres et autres qui dépassent l'entendement.
Eup bakh neu si lakh bou tang! Espérons maintenant une issue heureuse après toute cette agitation Ceux qui luttent sont ceux qui vivent
C'est la raison pour laquelle il est difficile de faire du business au Sénégal. Du point de vue professionnel, nous avons hérité de ce qu'il y'a de pire chez les français (les mouvements syndicaux) sans avoir leur niveau de développement. Hier l'Inde a signé un partenarait avec la Tanzanie pour développer trois zones industrielles avec des usines indiennes. Le Sénégal ne pourra jamais développer pareilles zones industrielles à cause des syndicats, des grèves et de nos prétencieux salariés.
Wa waw les morts ne peuvent plus lutter.💪🏾
Si c'était au Maroc, pas de directeur de banque negro!!!!
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