L’Association générale pour la sauvegarde des valeurs de Lat Dior Ngoné Latyr Diop, héros national du Sénégal (AGEHN), célèbre le 137e anniversaire de sa disparition, du 26 au 27 octobre à Thilmakha Mbakoun, dans la région de Louga. Un événement inédit pour se rappeler les moments héroïques de cette grande figure de l'histoire du Sénégal qui a fait face à la pénétration coloniale avec honneur et dignité.
Lat Dior Diop est l'un des plus grands chevaliers d'honneur de la résistance contre les oppresseurs. La communauté artistique du Sénégal et sa famille le célèbrent en compagnie de toute la communauté artistique du Sénégal. Pour cette année, la jeunesse est à l'honneur, avec des hommages aux Linguères et petites-filles de Lat Dior Diop.
Dans un entretien avec Seneweb, Saër Diop, petit fils du héros, par ailleurs porte-parole de l'AGEHN, est revenu sur les innovations de l'activité, entre autres sujets.
Auteur: Alioune Badara MANÉ/Aliou Ba/Maty Ndiaye
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Comments
il y a 1 an
J'ai oublié le nom du traitre qui l'a tué. Il s'agit d'un traitre bien de chez nous qui a rejoint l'armée française. Je l'avais lu à plusieurs reprises. Quelqu'un peut-il me le rappeler ?
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
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Un faux type, tu parles de Aliou Sow le laobé, de Bass procureur le traite, de Macky Sall le tyran et tu veux nous faire croire que ce que vous insuniez n' est pas politique. Bande de crétins. Lat Dior ngone Laty ne doit pas étre satisfait de votre posture.
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ce que je peux te dire c'est que lors de cette ultime bataille les français combattaient avec l'armée de Demba War Sall, celle d'Ibra Fatim Sarr et celle de Samba Laobé Boury qui étaient favorables au colon. mais effectivement même l'armée française était majoritairement noire avec un mélange de métropolitains blancs et de « français » noirs et mulâtres (c'est comme ça qu'ils disaient pour les métis) des Quatres communes pour les hauts gradés et des noirs non francisés qui ne venaient pas des Quatres communes pour les moins qualifiés. c'est un soldat pas du tout qualifié, natif lui même du Cayor je crois qui a tué Lat Dior.
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Je viens de trouver. Le tueur de Lat Dior c'est SOCÉ SOW. On trouve ses photos avec ses médailles militaires pour récompenser son geste. Il parade avec sur son cheval. Il a tué Lat Dior avec son sabre. Tu as raison il y avait peu de blanc dans l'armée coloniale mais les noirs des 4 communes sont des français pour moi, pas différents des antillais même s'ils parlaient wolof. C'est même leur pression pour relier Dakar et Saint Louis en train qui a causé les problèmes et dans les archives ont voit qu'ils passent leur temps à demander une intervention militaire pour protéger leur business commercial et étendre leur influence.
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Lat Dior au yeux de l'Etat colonial a l'epoque etait un hors la loi. Soce sow etait un republicain, soldat spahis, donc qui faisait son job comme tant de senegalais tirailleurs. Deuxio, Alboury ndiaye, vers sa fin a ete renomme ALI malado par les peuls qui ont prie pour lui au Niger (Dosso). Les peuls ont tout donne a Lat dior et alburi.
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Senghor à voulu trouvé un personnage ethniquement, culturellement et religieusement représentatif de la majorité mais Lat Dior n'est pas LE réel héro national du Sénégal.
J'aurai choisi El hadji Omar.
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On dit que c'est Demba War Sall qui l'a tué en complicité avec les blancs.
Mais il faut juste signaler que Lat Dior bien qu'il soit un "guerrier", est tout sauf notre héros national... Combien de ses cousins et oncles Fallén a t-il tués juste pour Damel et Teigne ? Jadis si tu n'étais de la lignée des Fall tu
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La bataille de Mékhé racontée par le lieutenant colonel Canard qui avait en charge le commandement des opérations
"Je n'avais pas fait 500 mètres que toutes les forces de Lat Dior étaient
sur moi. Je fis sonner demi-tour, je fis face à l'ennemi, et un instant après,
nous étions entourés par les gens de Lat Dior. J'estime les forces ennemies
à 7 ou 800 hommes dont 150 cavaliers. Après quelques minutes de combat
acharné, ne pouvant tenir au milieu de cette pluie de balles venant de tous
côtés, je fis sonner demi-tour, et donné l'ordre de suivre le guide Tiekoro.
Je restai à la queue de l'escadron pour tâcher de sauver nos blessés.
Ici commence un épisode terrible : une partie des chevaux étant trop fatigués
pour suivre au trot, restaient en arrière et nous avions tous les cavaliers
de Lat Dior à nos trousses. Je fis une dernière tentative pour arrêter l'ennemi ;
impossible : les chevaux n'en voulaient plus... A partir de ce moment je fus
harcelé continuellement... Un petit nombre de spahis purent rejoindre
Tiékoro. Quant à moi, avec mes officiers, nous restâmes à la queue de
jusqu'à la fin du désastre.
Car c'était bien un désastre qui mettait en péril l'existence, et le
prestige jusqu'alors inébranlé, de l'escadron de spahis su Sénégal.
Le rapport de Canard que nous citons encore est terriblement explicite.
:
Vers dix heures après-midi, toujours poursuivi par les cavaliers de Lat
Dior, il me restait dix hommes. Je fis une dernière fois face à l'ennemi, et 1/4
d'heure après, il ne me restait plus que trois chevaux pour continuer la retraite.
Moi-même j'étais démonté pour la troisième fois. A ce moment suprême
j'appelai Bancal et lui dis : « II est probable que votre cheval vous sauvera.
Rendez compte que j'ai fait tous mes efforts pour empêcher la destruction
complète de l'escadron, et que je vais probablement me faire tuer ici »
... Je restai seul à pied avec un brave spahi noir également à pied. Ma position
n'était pas brillante, j'étais poursuivi et je ne savais pas dans quelle
direction faire route. Le spahi Samba Dio proposa de marcher dans la brousse
et de ne pas se faire tuer inutilement. (On imagine le dialogue sans doute
beaucoup moins académique.) Je suivis ses conseils... et à 8 h 30 du soir j'étais
à Khaoulou.
M. Faidherbe (fils), démonté un instant avant moi, est arrivé à Khaoulou en
même temps que moi, le vétérinaire, le maréchal des logis, 3 brigadiers,
un trompette, 4 spahis blancs, 5 spahis noirs, 4 chevaux sont également arrivés
à Khaoulou vers dix heures du soir.
Dans les villages du Cayor, aujourd'hui, les griots chantent encore
la victoire de Lat Dior à Mekhé. Vainement Pinet-Laprade tenta-t-il
de la camoufler en escarmouche sans importance".
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Tu pouvais pas prétendre devenir Roi au Cayor et au Baol!!!Il a fallu qu'il assassine ses cousins dont notamment Samba Laobé Fall pour devenir Roi.
C'est pourquoi on lui a rendu la pièce de la monnaie car il a été assassiné à son tour.
Bizarrement au Cayor il y a eu 33 Damels et les 32 sont des Fall et le 33ème est Lat Dior et il est le dernier.
On aurait pu choisir comme héros national :Déthié Fondiogou Fall,Alboury Ndiaye,Birima ngoné latyr Fall, Elhadji Omar Tall,Cheikh Ahmadou Bamba,Maba Diakhou Ba etc...Mais pas Lat Dior pour ceux qui connaissent l'histoire.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
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RAPPORT SUR LE COMBAT DE DÉKHÉLé
Conformément aux instructions contenues dans la lettre n° 395 de M. le Gouverneur du Sénégal, la division de spahis placée sous mes ordres, montant à cheval dans la nuit du 25 au 26 octobre 1886 pour se porter de Ndande sur Diadié. Lat Dior, à la tête de ses contingents devait se trouver en ce dernier point. Avec ma division, marchaient des cavaliers et des fantassins volontaires, sous les ordres des chefs indigènes Demba War, Ibra Fatim Sarr et Samba Laobé Boury.
Arrivé à Souguère, j'appris par les habitants que Lat Dior et ses partisans avaient quitté Diadié le 26 pour se rendre à Dékhélé, résidence habituelle de ce chef. Ces renseignements me furent confirmés à Diadié où j'arrivais le 26 à 9 heures du matin. Le 27 à 2 heures du matin, la division montait à cheval pour se porter vers Dékhélé, précédée par les cavaliers et fantassins volontaires ainsi que par des spahis envoyés en éclaireurs. À mon arrivée à Thilmakha, j'appris avec étonnement que Lat Dior n'était plus à Dékhélé, qu'il en était parti dans la nuit et se retirait dans la direction du Baol. Ces renseignements étaient erronés ou plutôt donnés de mauvaise foi par les habitants de Thilmakha car, à la sortie de ce village, un espion de Lat Dior, qui fut fusillé avant que je l'eusse interrogé moi-même, avait avoué que son maître se dirigeait vers l'Ouest, dans la direction de Ndande car ce mouvement de Lat Dior se plaçait entre nous et la ligne ferrée.
À 10 heures du matin, je fis occuper le village de Dékhélé par les volontaires et pousser des reconnaissances dans les directions de Thirouguène, Afia et Diouki. A 11 heures, toutes ces reconnaissances étaient rentrées sans avoir rencontré de parties ennemies. Je pris alors position auprès du puits qui se trouve à 2 kilomètres environ de Dékhélé. Les abords de ce puits, sur un rayon de 30 mètres seulement sont sablonneux et complètement dénudés, tandis que les environs, aussi loin que la vue peut s'étendre, sont couverts de broussailles et de hautes herbes, dépassant de beaucoup la tête d'un cavalier à cheval.
Les six premiers chevaux buvaient. Tout à coup, une fusillade épouvantable éclate sur notre droite. Trois chevaux tombent, foudroyés; six hommes sont mis hors de combat. Je rallie aussitôt la moitié des spahis autour de moi pour riposter. Les partisans de Lat Dior au nombre de 250 à 300, divisés en deux groupes, avaient gagné les abords du puits par une marche extrêmement rapide à travers les hautes herbes. Ils nous livraient un combat acharné. Pendant un quart d'heure on se fusillait de si près que beaucoup d'ennemis eurent leurs vêtements brûlés par la poudre. À 11 heures trois-quarts, j'étais presque maître de la situation. Je fis monter 20 spahis à cheval et me portai un peu en avant. L'ennemi était complètement battu. Son chef Lat Dior restait sur le champ de bataille avec ses deux fils et soixante-dix-huit de ses guerriers les plus renommés. Pendant ce combat si court, les spahis avaient fait des pertes énormes : un tiers de l'effectif en hommes et chevaux avait été mis hors de combat. Tous d'ailleurs avaient rivalisé de bravoure et donnèrent les preuves du plus admirable sang-froid. Parmi eux je tiens à distinguer :
Le trompettiste Samba Assa, atteint de quatre blessures, a continué le feu en tirant à genou. Le spahi Mamadou Sy, ayant eu le bras cassé par une balle, a continué le combat jusqu'à la fin avec son revolver. Le spahi Aliou Bâ n'a cessé de combattre qu'à la troisième blessure. Enfin le spahi Samba N'Diaye, vieux soldat médaillé dont l'éloge n'est plus à faire, atteint de deux blessures, a défendu à ses camarades de le relever avant la fin du combat.
Tous ces intrépides soldats se sont montrés si admirables que je me permets de soumettre à la haute bienveillance de M. le Gouverneur un état de propositions de récompenses qu'ils ont si noblement méritées.
Dékhelé, le 27 octobre 1886
Le Capitaine Commandant la division : Valois
(Archives du Sénégal - Fonds A.O.F I-D-48)La glorieuse fin de Lat Dior selon le rapport du capitaine valois qui dirigeait les troupes coloniales lors de la bataille de Dékhelé.
RAPPORT SUR LE COMBAT DE DÉKHÉLÉ
Conformément aux instructions contenues dans la lettre n° 395 de M. le Gouverneur du Sénégal, la division de spahis placée sous mes ordres, montant à cheval dans la nuit du 25 au 26 octobre 1886 pour se porter de Ndande sur Diadié. Lat Dior, à la tête de ses contingents devait se trouver en ce dernier point. Avec ma division, marchaient des cavaliers et des fantassins volontaires, sous les ordres des chefs indigènes Demba War, Ibra Fatim Sarr et Samba Laobé Boury.
Arrivé à Souguère, j'appris par les habitants que Lat Dior et ses partisans avaient quitté Diadié le 26 pour se rendre à Dékhélé, résidence habituelle de ce chef. Ces renseignements me furent confirmés à Diadié où j'arrivais le 26 à 9 heures du matin. Le 27 à 2 heures du matin, la division montait à cheval pour se porter vers Dékhélé, précédée par les cavaliers et fantassins volontaires ainsi que par des spahis envoyés en éclaireurs. À mon arrivée à Thilmakha, j'appris avec étonnement que Lat Dior n'était plus à Dékhélé, qu'il en était parti dans la nuit et se retirait dans la direction du Baol. Ces renseignements étaient erronés ou plutôt donnés de mauvaise foi par les habitants de Thilmakha car, à la sortie de ce village, un espion de Lat Dior, qui fut fusillé avant que je l'eusse interrogé moi-même, avait avoué que son maître se dirigeait vers l'Ouest, dans la direction de Ndande car ce mouvement de Lat Dior se plaçait entre nous et la ligne ferrée.
À 10 heures du matin, je fis occuper le village de Dékhélé par les volontaires et pousser des reconnaissances dans les directions de Thirouguène, Afia et Diouki. A 11 heures, toutes ces reconnaissances étaient rentrées sans avoir rencontré de parties ennemies. Je pris alors position auprès du puits qui se trouve à 2 kilomètres environ de Dékhélé. Les abords de ce puits, sur un rayon de 30 mètres seulement sont sablonneux et complètement dénudés, tandis que les environs, aussi loin que la vue peut s'étendre, sont couverts de broussailles et de hautes herbes, dépassant de beaucoup la tête d'un cavalier à cheval.
Les six premiers chevaux buvaient. Tout à coup, une fusillade épouvantable éclate sur notre droite. Trois chevaux tombent, foudroyés; six hommes sont mis hors de combat. Je rallie aussitôt la moitié des spahis autour de moi pour riposter. Les partisans de Lat Dior au nombre de 250 à 300, divisés en deux groupes, avaient gagné les abords du puits par une marche extrêmement rapide à travers les hautes herbes. Ils nous livraient un combat acharné. Pendant un quart d'heure on se fusillait de si près que beaucoup d'ennemis eurent leurs vêtements brûlés par la poudre. À 11 heures trois-quarts, j'étais presque maître de la situation. Je fis monter 20 spahis à cheval et me portai un peu en avant. L'ennemi était complètement battu. Son chef Lat Dior restait sur le champ de bataille avec ses deux fils et soixante-dix-huit de ses guerriers les plus renommés. Pendant ce combat si court, les spahis avaient fait des pertes énormes : un tiers de l'effectif en hommes et chevaux avait été mis hors de combat. Tous d'ailleurs avaient rivalisé de bravoure et donnèrent les preuves du plus admirable sang-froid. Parmi eux je tiens à distinguer :
Le trompettiste Samba Assa, atteint de quatre blessures, a continué le feu en tirant à genou. Le spahi Mamadou Sy, ayant eu le bras cassé par une balle, a continué le combat jusqu'à la fin avec son revolver. Le spahi Aliou Bâ n'a cessé de combattre qu'à la troisième blessure. Enfin le spahi Samba N'Diaye, vieux soldat médaillé dont l'éloge n'est plus à faire, atteint de deux blessures, a défendu à ses camarades de le relever avant la fin du combat.
Tous ces intrépides soldats se sont montrés si admirables que je me permets de soumettre à la haute bienveillance de M. le Gouverneur un état de propositions de récompenses qu'ils ont si noblement méritées.
Dékhelé, le 27 octobre 1886
Le Capitaine Commandant la division : Valois
(Archives du Sénégal - Fonds A.O.F I-D-48)
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
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a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
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RAPPORT SUR LE COMBAT DE DÉKHÉLé
Conformément aux instructions contenues dans la lettre n° 395 de M. le Gouverneur du Sénégal, la division de spahis placée sous mes ordres, montant à cheval dans la nuit du 25 au 26 octobre 1886 pour se porter de Ndande sur Diadié. Lat Dior, à la tête de ses contingents devait se trouver en ce dernier point. Avec ma division, marchaient des cavaliers et des fantassins volontaires, sous les ordres des chefs indigènes Demba War, Ibra Fatim Sarr et Samba Laobé Boury.
Arrivé à Souguère, j'appris par les habitants que Lat Dior et ses partisans avaient quitté Diadié le 26 pour se rendre à Dékhélé, résidence habituelle de ce chef. Ces renseignements me furent confirmés à Diadié où j'arrivais le 26 à 9 heures du matin. Le 27 à 2 heures du matin, la division montait à cheval pour se porter vers Dékhélé, précédée par les cavaliers et fantassins volontaires ainsi que par des spahis envoyés en éclaireurs. À mon arrivée à Thilmakha, j'appris avec étonnement que Lat Dior n'était plus à Dékhélé, qu'il en était parti dans la nuit et se retirait dans la direction du Baol. Ces renseignements étaient erronés ou plutôt donnés de mauvaise foi par les habitants de Thilmakha car, à la sortie de ce village, un espion de Lat Dior, qui fut fusillé avant que je l'eusse interrogé moi-même, avait avoué que son maître se dirigeait vers l'Ouest, dans la direction de Ndande car ce mouvement de Lat Dior se plaçait entre nous et la ligne ferrée.
À 10 heures du matin, je fis occuper le village de Dékhélé par les volontaires et pousser des reconnaissances dans les directions de Thirouguène, Afia et Diouki. A 11 heures, toutes ces reconnaissances étaient rentrées sans avoir rencontré de parties ennemies. Je pris alors position auprès du puits qui se trouve à 2 kilomètres environ de Dékhélé. Les abords de ce puits, sur un rayon de 30 mètres seulement sont sablonneux et complètement dénudés, tandis que les environs, aussi loin que la vue peut s'étendre, sont couverts de broussailles et de hautes herbes, dépassant de beaucoup la tête d'un cavalier à cheval.
Les six premiers chevaux buvaient. Tout à coup, une fusillade épouvantable éclate sur notre droite. Trois chevaux tombent, foudroyés; six hommes sont mis hors de combat. Je rallie aussitôt la moitié des spahis autour de moi pour riposter. Les partisans de Lat Dior au nombre de 250 à 300, divisés en deux groupes, avaient gagné les abords du puits par une marche extrêmement rapide à travers les hautes herbes. Ils nous livraient un combat acharné. Pendant un quart d'heure on se fusillait de si près que beaucoup d'ennemis eurent leurs vêtements brûlés par la poudre. À 11 heures trois-quarts, j'étais presque maître de la situation. Je fis monter 20 spahis à cheval et me portai un peu en avant. L'ennemi était complètement battu. Son chef Lat Dior restait sur le champ de bataille avec ses deux fils et soixante-dix-huit de ses guerriers les plus renommés. Pendant ce combat si court, les spahis avaient fait des pertes énormes : un tiers de l'effectif en hommes et chevaux avait été mis hors de combat. Tous d'ailleurs avaient rivalisé de bravoure et donnèrent les preuves du plus admirable sang-froid. Parmi eux je tiens à distinguer :
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Le Capitaine Commandant la division : Valois
(Archives du Sénégal - Fonds A.O.F I-D-48)La glorieuse fin de Lat Dior selon le rapport du capitaine valois qui dirigeait les troupes coloniales lors de la bataille de Dékhelé.
RAPPORT SUR LE COMBAT DE DÉKHÉLÉ
Conformément aux instructions contenues dans la lettre n° 395 de M. le Gouverneur du Sénégal, la division de spahis placée sous mes ordres, montant à cheval dans la nuit du 25 au 26 octobre 1886 pour se porter de Ndande sur Diadié. Lat Dior, à la tête de ses contingents devait se trouver en ce dernier point. Avec ma division, marchaient des cavaliers et des fantassins volontaires, sous les ordres des chefs indigènes Demba War, Ibra Fatim Sarr et Samba Laobé Boury.
Arrivé à Souguère, j'appris par les habitants que Lat Dior et ses partisans avaient quitté Diadié le 26 pour se rendre à Dékhélé, résidence habituelle de ce chef. Ces renseignements me furent confirmés à Diadié où j'arrivais le 26 à 9 heures du matin. Le 27 à 2 heures du matin, la division montait à cheval pour se porter vers Dékhélé, précédée par les cavaliers et fantassins volontaires ainsi que par des spahis envoyés en éclaireurs. À mon arrivée à Thilmakha, j'appris avec étonnement que Lat Dior n'était plus à Dékhélé, qu'il en était parti dans la nuit et se retirait dans la direction du Baol. Ces renseignements étaient erronés ou plutôt donnés de mauvaise foi par les habitants de Thilmakha car, à la sortie de ce village, un espion de Lat Dior, qui fut fusillé avant que je l'eusse interrogé moi-même, avait avoué que son maître se dirigeait vers l'Ouest, dans la direction de Ndande car ce mouvement de Lat Dior se plaçait entre nous et la ligne ferrée.
À 10 heures du matin, je fis occuper le village de Dékhélé par les volontaires et pousser des reconnaissances dans les directions de Thirouguène, Afia et Diouki. A 11 heures, toutes ces reconnaissances étaient rentrées sans avoir rencontré de parties ennemies. Je pris alors position auprès du puits qui se trouve à 2 kilomètres environ de Dékhélé. Les abords de ce puits, sur un rayon de 30 mètres seulement sont sablonneux et complètement dénudés, tandis que les environs, aussi loin que la vue peut s'étendre, sont couverts de broussailles et de hautes herbes, dépassant de beaucoup la tête d'un cavalier à cheval.
Les six premiers chevaux buvaient. Tout à coup, une fusillade épouvantable éclate sur notre droite. Trois chevaux tombent, foudroyés; six hommes sont mis hors de combat. Je rallie aussitôt la moitié des spahis autour de moi pour riposter. Les partisans de Lat Dior au nombre de 250 à 300, divisés en deux groupes, avaient gagné les abords du puits par une marche extrêmement rapide à travers les hautes herbes. Ils nous livraient un combat acharné. Pendant un quart d'heure on se fusillait de si près que beaucoup d'ennemis eurent leurs vêtements brûlés par la poudre. À 11 heures trois-quarts, j'étais presque maître de la situation. Je fis monter 20 spahis à cheval et me portai un peu en avant. L'ennemi était complètement battu. Son chef Lat Dior restait sur le champ de bataille avec ses deux fils et soixante-dix-huit de ses guerriers les plus renommés. Pendant ce combat si court, les spahis avaient fait des pertes énormes : un tiers de l'effectif en hommes et chevaux avait été mis hors de combat. Tous d'ailleurs avaient rivalisé de bravoure et donnèrent les preuves du plus admirable sang-froid. Parmi eux je tiens à distinguer :
Le trompettiste Samba Assa, atteint de quatre blessures, a continué le feu en tirant à genou. Le spahi Mamadou Sy, ayant eu le bras cassé par une balle, a continué le combat jusqu'à la fin avec son revolver. Le spahi Aliou Bâ n'a cessé de combattre qu'à la troisième blessure. Enfin le spahi Samba N'Diaye, vieux soldat médaillé dont l'éloge n'est plus à faire, atteint de deux blessures, a défendu à ses camarades de le relever avant la fin du combat.
Tous ces intrépides soldats se sont montrés si admirables que je me permets de soumettre à la haute bienveillance de M. le Gouverneur un état de propositions de récompenses qu'ils ont si noblement méritées.
Dékhelé, le 27 octobre 1886
Le Capitaine Commandant la division : Valois
(Archives du Sénégal - Fonds A.O.F I-D-48)
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RAPPORT SUR LE COMBAT DE DÉKHÉLé
Conformément aux instructions contenues dans la lettre n° 395 de M. le Gouverneur du Sénégal, la division de spahis placée sous mes ordres, montant à cheval dans la nuit du 25 au 26 octobre 1886 pour se porter de Ndande sur Diadié. Lat Dior, à la tête de ses contingents devait se trouver en ce dernier point. Avec ma division, marchaient des cavaliers et des fantassins volontaires, sous les ordres des chefs indigènes Demba War, Ibra Fatim Sarr et Samba Laobé Boury.
Arrivé à Souguère, j'appris par les habitants que Lat Dior et ses partisans avaient quitté Diadié le 26 pour se rendre à Dékhélé, résidence habituelle de ce chef. Ces renseignements me furent confirmés à Diadié où j'arrivais le 26 à 9 heures du matin. Le 27 à 2 heures du matin, la division montait à cheval pour se porter vers Dékhélé, précédée par les cavaliers et fantassins volontaires ainsi que par des spahis envoyés en éclaireurs. À mon arrivée à Thilmakha, j'appris avec étonnement que Lat Dior n'était plus à Dékhélé, qu'il en était parti dans la nuit et se retirait dans la direction du Baol. Ces renseignements étaient erronés ou plutôt donnés de mauvaise foi par les habitants de Thilmakha car, à la sortie de ce village, un espion de Lat Dior, qui fut fusillé avant que je l'eusse interrogé moi-même, avait avoué que son maître se dirigeait vers l'Ouest, dans la direction de Ndande car ce mouvement de Lat Dior se plaçait entre nous et la ligne ferrée.
À 10 heures du matin, je fis occuper le village de Dékhélé par les volontaires et pousser des reconnaissances dans les directions de Thirouguène, Afia et Diouki. A 11 heures, toutes ces reconnaissances étaient rentrées sans avoir rencontré de parties ennemies. Je pris alors position auprès du puits qui se trouve à 2 kilomètres environ de Dékhélé. Les abords de ce puits, sur un rayon de 30 mètres seulement sont sablonneux et complètement dénudés, tandis que les environs, aussi loin que la vue peut s'étendre, sont couverts de broussailles et de hautes herbes, dépassant de beaucoup la tête d'un cavalier à cheval.
Les six premiers chevaux buvaient. Tout à coup, une fusillade épouvantable éclate sur notre droite. Trois chevaux tombent, foudroyés; six hommes sont mis hors de combat. Je rallie aussitôt la moitié des spahis autour de moi pour riposter. Les partisans de Lat Dior au nombre de 250 à 300, divisés en deux groupes, avaient gagné les abords du puits par une marche extrêmement rapide à travers les hautes herbes. Ils nous livraient un combat acharné. Pendant un quart d'heure on se fusillait de si près que beaucoup d'ennemis eurent leurs vêtements brûlés par la poudre. À 11 heures trois-quarts, j'étais presque maître de la situation. Je fis monter 20 spahis à cheval et me portai un peu en avant. L'ennemi était complètement battu. Son chef Lat Dior restait sur le champ de bataille avec ses deux fils et soixante-dix-huit de ses guerriers les plus renommés. Pendant ce combat si court, les spahis avaient fait des pertes énormes : un tiers de l'effectif en hommes et chevaux avait été mis hors de combat. Tous d'ailleurs avaient rivalisé de bravoure et donnèrent les preuves du plus admirable sang-froid. Parmi eux je tiens à distinguer :
Le trompettiste Samba Assa, atteint de quatre blessures, a continué le feu en tirant à genou. Le spahi Mamadou Sy, ayant eu le bras cassé par une balle, a continué le combat jusqu'à la fin avec son revolver. Le spahi Aliou Bâ n'a cessé de combattre qu'à la troisième blessure. Enfin le spahi Samba N'Diaye, vieux soldat médaillé dont l'éloge n'est plus à faire, atteint de deux blessures, a défendu à ses camarades de le relever avant la fin du combat.
Tous ces intrépides soldats se sont montrés si admirables que je me permets de soumettre à la haute bienveillance de M. le Gouverneur un état de propositions de récompenses qu'ils ont si noblement méritées.
Dékhelé, le 27 octobre 1886
Le Capitaine Commandant la division : Valois
(Archives du Sénégal - Fonds A.O.F I-D-48)La glorieuse fin de Lat Dior selon le rapport du capitaine valois qui dirigeait les troupes coloniales lors de la bataille de Dékhelé.
RAPPORT SUR LE COMBAT DE DÉKHÉLÉ
Conformément aux instructions contenues dans la lettre n° 395 de M. le Gouverneur du Sénégal, la division de spahis placée sous mes ordres, montant à cheval dans la nuit du 25 au 26 octobre 1886 pour se porter de Ndande sur Diadié. Lat Dior, à la tête de ses contingents devait se trouver en ce dernier point. Avec ma division, marchaient des cavaliers et des fantassins volontaires, sous les ordres des chefs indigènes Demba War, Ibra Fatim Sarr et Samba Laobé Boury.
Arrivé à Souguère, j'appris par les habitants que Lat Dior et ses partisans avaient quitté Diadié le 26 pour se rendre à Dékhélé, résidence habituelle de ce chef. Ces renseignements me furent confirmés à Diadié où j'arrivais le 26 à 9 heures du matin. Le 27 à 2 heures du matin, la division montait à cheval pour se porter vers Dékhélé, précédée par les cavaliers et fantassins volontaires ainsi que par des spahis envoyés en éclaireurs. À mon arrivée à Thilmakha, j'appris avec étonnement que Lat Dior n'était plus à Dékhélé, qu'il en était parti dans la nuit et se retirait dans la direction du Baol. Ces renseignements étaient erronés ou plutôt donnés de mauvaise foi par les habitants de Thilmakha car, à la sortie de ce village, un espion de Lat Dior, qui fut fusillé avant que je l'eusse interrogé moi-même, avait avoué que son maître se dirigeait vers l'Ouest, dans la direction de Ndande car ce mouvement de Lat Dior se plaçait entre nous et la ligne ferrée.
À 10 heures du matin, je fis occuper le village de Dékhélé par les volontaires et pousser des reconnaissances dans les directions de Thirouguène, Afia et Diouki. A 11 heures, toutes ces reconnaissances étaient rentrées sans avoir rencontré de parties ennemies. Je pris alors position auprès du puits qui se trouve à 2 kilomètres environ de Dékhélé. Les abords de ce puits, sur un rayon de 30 mètres seulement sont sablonneux et complètement dénudés, tandis que les environs, aussi loin que la vue peut s'étendre, sont couverts de broussailles et de hautes herbes, dépassant de beaucoup la tête d'un cavalier à cheval.
Les six premiers chevaux buvaient. Tout à coup, une fusillade épouvantable éclate sur notre droite. Trois chevaux tombent, foudroyés; six hommes sont mis hors de combat. Je rallie aussitôt la moitié des spahis autour de moi pour riposter. Les partisans de Lat Dior au nombre de 250 à 300, divisés en deux groupes, avaient gagné les abords du puits par une marche extrêmement rapide à travers les hautes herbes. Ils nous livraient un combat acharné. Pendant un quart d'heure on se fusillait de si près que beaucoup d'ennemis eurent leurs vêtements brûlés par la poudre. À 11 heures trois-quarts, j'étais presque maître de la situation. Je fis monter 20 spahis à cheval et me portai un peu en avant. L'ennemi était complètement battu. Son chef Lat Dior restait sur le champ de bataille avec ses deux fils et soixante-dix-huit de ses guerriers les plus renommés. Pendant ce combat si court, les spahis avaient fait des pertes énormes : un tiers de l'effectif en hommes et chevaux avait été mis hors de combat. Tous d'ailleurs avaient rivalisé de bravoure et donnèrent les preuves du plus admirable sang-froid. Parmi eux je tiens à distinguer :
Le trompettiste Samba Assa, atteint de quatre blessures, a continué le feu en tirant à genou. Le spahi Mamadou Sy, ayant eu le bras cassé par une balle, a continué le combat jusqu'à la fin avec son revolver. Le spahi Aliou Bâ n'a cessé de combattre qu'à la troisième blessure. Enfin le spahi Samba N'Diaye, vieux soldat médaillé dont l'éloge n'est plus à faire, atteint de deux blessures, a défendu à ses camarades de le relever avant la fin du combat.
Tous ces intrépides soldats se sont montrés si admirables que je me permets de soumettre à la haute bienveillance de M. le Gouverneur un état de propositions de récompenses qu'ils ont si noblement méritées.
Dékhelé, le 27 octobre 1886
Le Capitaine Commandant la division : Valois
(Archives du Sénégal - Fonds A.O.F I-D-48)
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pour
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a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
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davantage le passeport
Peut être que Lat Dior, Maba ou Coumba Ndoffén n'ont pas guerroyer pour étendre leurs royaume.
Dit plutôt que c'est le soubassement religieux dans la résistance de Cheikhou Omar qui geine le chrétien Senghor.
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"Lat-Dior s'éloigna aussitôt du Ndiambour, mais il se
dirigea vers Nguiguis. annonçant qu'il allait y attaquer
son rival Madiodio. La colonne de Corée reçut l'ordre de
rentrer immédiatement dans le Cayor, sous les ordres (tu
lieutenant-colonel Laprade et le chef de bataillon d'infanterie de marine de Barolet partit aussi avec des troupes
de Saint-Louis. De son côte, le capitaine Flize marcha
également sur Nguiguis avec sa colonne.
pendant ce temps, le capitaine du génie Lorans, charge
de la direction des travaux a Nguiguis et commandant la
garnison, persuade par Madiodio et Samba-Maram-Khay
que, s'il les appuyait avec une partie de sa garnison, ils
seraient assez forts pour battre l'ennemi commun, sortit
le 29 décembre, dans la nuit, avec une compagnie de
tirailleurs, un obusiers et 8 canonniers, vingt-cinq spahis,
vingt ouvrier. du génie, et, suivi des forces de Madiodio,
il alla attaquer Lat-Dior à ngol ngol, a trois lieues de distance. La rencontre eut lieu à la pointe du jour.
L'ennemi se trouva plus nombreux qu'on ne le croyait.
L'armée alliée, composée de gens peu aguerris, fit une
molle résistance en perdant du terrain, de sorte que la
petite troupe du capitaine Lorans eut sur les bras tous
les hommes a pied de l'ennemi, en même temps qu'une
nombreuse cavalerie, débordant les deux ailes, l'entourait
complètement.
Tout le monde comprit qu'il n'y avait plus qu'a mourir
dignement. Le capitaine Lorans et le capitaine des tirailleurs Chevrel, démontés tous deux, et celui-ci blesse,
assistèrent stoïquement, jusqu'à ce qu'ils fussent tués
eux-mêmes, la destruction de leurs hommes, tirailleurs
et ouvriers, qui combattaient jusqu'au dernier soupir. Les
sept canonniers et l'adjudant Guichard se tirent hacher
sur leur pièce. Le peloton de spahis, perdu au milieu
d'une affreuse bagarre où il ne reconnaissait plus ni amis
ni ennemis, dégage notre damel Madiodio, et, tout en
perdant son chef, le sous-lieutenant Duport de Saint Victor, et quatre spahis, il parvint a atteindre Nguiguis,
ramenant le damel et huit spahis blesses. Les vainqueurs
poursuivirent les fuyards jusqu'à la redoute, d'où ils se
tirent repousser eu faisant des pertes sensibles. (50 décembre 1865.)
En somme, de 140 hommes environ dont se composait
la colonne, il ne revint que 20 spahis dont blessés,
2 officiers, 1 docteur et 6 tirailleurs dont 5 blesses; nos
alliés perdirent eu outre beaucoup de monde.
Apres ce désastre, où l'honneur de nos armes était seul
reste sauf, Lat-Dior, sachant que trois colonnes convergeaient vers lui, se retira de nouveau sur la frontière du
Baol.
Immédiatement l'ordre fut envoyé aux troupes de faire
leur jonction à Nguiguis, sous le commandement du lieutenant-colonel du génie Laprade, et de se mettre poursuivre a outrance Lat-Dior, même dans le Baol.
On se porta donc a la frontière; mais Lat-Dior, faisant
un détour, nous évita, rentra de nouveau dans le Gayor,
et se porta a Ngol, dans le Guet, cauton où il est né et sur
lequel il savait pouvoir compter.
Le lieutenant-colonel Laprade passa quatre jours a
punir les villages où il trouva les dépouilles de nos soldats,
et à intimider le roi du Baol pour qu'il ne permit plus a
nos ennemis de se réfugier chez lui, d'y laisser leurs
biens et leurs familles pour venir commettre des agressions dans le Cayor"
Tiré du livre de Faidherbe " LE SÉNÉGAL- la France dans l'Afrique occidentale"
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El hadji Omar a été le cauchemard des français. Il a résisté à la conquête et à l'évangélisation des populations par les armes mais également par l'islamisation.
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Que du bla bla.
Lat Dior Dior est un usurpateur du pouvoir de ses oncles. Un sanguinaire qui ne mérite pas d'être le héro national du Sénégal.
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Nos héros nationaux en se combattant sans cesse les uns contre les autres, ont aussi été des collaborateurs des colons pour se défaire les uns des autres. La derniere bataille de Lat Dior opposé à la construction du chemin de fer ce fut Madiodio Fall( fournit une grande part du bataillon) qui a collabora avec les colons( au nombre de 150 au cours cette bataille mais sur-équipé)pour vaincre et éliminner Lat Dior( 250 a 300 hommes) les siens et deux de ses fils. Lat Dior aussi a eu ses moments de collaboration contre ses adversaires locaux.Ils n'en demeurent pas moins nos héros nationaux, de braves et excellent guerriers, courageux et vaillants. La devise a toujours fonctionné: Diviser pour regner et nous avons toujours été divisés donc séculairement faibles...Sans passion, sans partisannerie vaine, avec véracité et realisme sachons regarder les choses en face
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Nos héros nationaux en se combattant sans cesse les uns contre les autres, ont aussi été des collaborateurs des colons pour se défaire les uns des autres. La derniere bataille de Lat Dior opposé à la construction du chemin de fer ce fut Madiodio Fall( fournit une grande part du bataillon) qui a collabora avec les colons( au nombre de 150 au cours cette bataille mais sur-équipé)pour vaincre et éliminner Lat Dior( 250 a 300 hommes) les siens et deux de ses fils. Lat Dior aussi a eu ses moments de collaboration contre ses adversaires locaux.Ils n'en demeurent pas moins nos héros nationaux, de braves et excellent guerriers, courageux et vaillants. La devise a toujours fonctionné: Diviser pour regner et nous avons toujours été divisés donc séculairement faibles...Sans passion, sans partisannerie vaine, avec véracité et realisme sachons regarder les choses en face
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Va apprendre l'histoire de Latdior aulieu de délirer, tous ceux que lat dior a tué sont soit francais soit des envahisseurs du cayor. Ensuite il n'a rien usurpé car au cayor c'est par la lignée maternelle que l'on peut préntendre au trone et il eremplissait cette condition. Je comprends que tu soit un descendant de traitres spahis
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El hadji oumar était un colon . Il n'était pas un résistant . Il voulait islamiser les bambaras du Soudan qu'il a massacrés. Il n'a pas eu une seule victoire contre le colon
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L'armée de El hadji Omar a pris au français et occupé le fort de médine durant 4 mois. C'était un chef de guerre mais aussi un lettré, un intellectuel qui a freiné l'évangélisation dans une grande partie de l'Afrique de l'ouest.
Cheikh Ahmadou Bamba a été déporté parce que les français avaient gardé le spectre de Cheikhou Omar. Ils avaient une peur bleue du mot Djihad.
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c'est pas vrai! el hadji oumar n'a jamais réussi à prendre le fort de médine. Il a assiégé ce fort (défendu par une dixaine de français et quelques bambaras) pendant 4 mois sans pouvoir y pénéter. Les renforts sont arrivés avec faidherbe et ont mis en déroute les forces d'el hadji omar. Donc jamais il n'a pris le fort de médine défendu par le lieutenant Paul Holle.
El hadji omar n'a jamais eu la moindre victoire face aux colons
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Ces grands hommes ont commis 2 erreurs tragiques :
- se convertir à l'islam.
- utiliser les colons occidentaux pour régler des conflits internes.
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avez une hépatite B chronique avec une charge virale de 200 depuis plus de 5 ans et qui a entraîné une cirrhose du foie. J'ai été guérie avec les produits à base de plantes du Docteur Nelson Salim. Je suis tombé sur ses annonces sur cette page avec des séries de témoignages. J'ai décidé d'essayer le phytothérapeute et j'ai passé une commande pour ses produits que j'ai reçus à mon adresse via DHL - service dans les 4 jours, et avec ses instructions, j'ai utilisé le produit pendant 21 jours. Après avoir terminé les traitements à base de plantes selon les directives du phytothérapeute, j'ai effectué un test d'hépatite et mon résultat était négatif, sans aucune trace du virus dans mon sang. Je le recommande à toute personne atteinte de HPV, de fibromes, d'hémorroïdes, d'arthrite, d'hypertrophie de la prostate, d'herpès, de BPCO, de psoriasis. Ses infos. E-mail; drnelsonsalim10@gmail.com
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Tu es soit bamana, soit batard français parce que tu récités les livres mensongers du côlon. Cheikhou Oumar a même pris de armes dans ce fort.
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Lat-Dior était effectivement un excellent stratège militaire. Et ce que j'ai apprécié ici, c'est que les arguments et contre-arguments des commentaires ( même partisans, sont basés sur des faits: les alliances, les collaborations, les légitimités ou illégitimités du statut de héros).
Et c'est vrai que Lat-Dior a été choisi comme héros emblèmatique comme le rôle aurait pu être aussi bien rempli par une autre de ces figures citées: ce qui me choque, c'est que l'on parle d'armées composées de 200 à 300 hommes. Cela prouve que nous avons subi la colonisation parce que nous étions divisés, plus confiants à nous allier aux colons qu'à nos semblables.
Ce qui a fait ces héros, c'est leur résistance au colon. Que nous, les fils et petits-fils perpétuions cet héritage, c'est ça leur offrir l'immortalité.
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Comments
J'ai oublié le nom du traitre qui l'a tué. Il s'agit d'un traitre bien de chez nous qui a rejoint l'armée française. Je l'avais lu à plusieurs reprises. Quelqu'un peut-il me le rappeler ?
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Il était sous les ordres du capitaine Valois.
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Un faux type, tu parles de Aliou Sow le laobé, de Bass procureur le traite, de Macky Sall le tyran et tu veux nous faire croire que ce que vous insuniez n' est pas politique. Bande de crétins. Lat Dior ngone Laty ne doit pas étre satisfait de votre posture.
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ce que je peux te dire c'est que lors de cette ultime bataille les français combattaient avec l'armée de Demba War Sall, celle d'Ibra Fatim Sarr et celle de Samba Laobé Boury qui étaient favorables au colon. mais effectivement même l'armée française était majoritairement noire avec un mélange de métropolitains blancs et de « français » noirs et mulâtres (c'est comme ça qu'ils disaient pour les métis) des Quatres communes pour les hauts gradés et des noirs non francisés qui ne venaient pas des Quatres communes pour les moins qualifiés. c'est un soldat pas du tout qualifié, natif lui même du Cayor je crois qui a tué Lat Dior.
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C'est Socé Sow qui a tué Lat Dior.
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Lat Dior Ngone latyr Diop, n est pas mort.
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Je viens de trouver. Le tueur de Lat Dior c'est SOCÉ SOW. On trouve ses photos avec ses médailles militaires pour récompenser son geste. Il parade avec sur son cheval. Il a tué Lat Dior avec son sabre. Tu as raison il y avait peu de blanc dans l'armée coloniale mais les noirs des 4 communes sont des français pour moi, pas différents des antillais même s'ils parlaient wolof. C'est même leur pression pour relier Dakar et Saint Louis en train qui a causé les problèmes et dans les archives ont voit qu'ils passent leur temps à demander une intervention militaire pour protéger leur business commercial et étendre leur influence.
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Lat Dior au yeux de l'Etat colonial a l'epoque etait un hors la loi. Soce sow etait un republicain, soldat spahis, donc qui faisait son job comme tant de senegalais tirailleurs. Deuxio, Alboury ndiaye, vers sa fin a ete renomme ALI malado par les peuls qui ont prie pour lui au Niger (Dosso). Les peuls ont tout donne a Lat dior et alburi.
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Normal. Soce sow etait un soldat
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Senghor à voulu trouvé un personnage ethniquement, culturellement et religieusement représentatif de la majorité mais Lat Dior n'est pas LE réel héro national du Sénégal. J'aurai choisi El hadji Omar.
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On dit que c'est Demba War Sall qui l'a tué en complicité avec les blancs. Mais il faut juste signaler que Lat Dior bien qu'il soit un "guerrier", est tout sauf notre héros national... Combien de ses cousins et oncles Fallén a t-il tués juste pour Damel et Teigne ? Jadis si tu n'étais de la lignée des Fall tu
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Elh Omar était conquérent pas un résistant.
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Elh Omar était conquérent pas un résistant.
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La bataille de Mékhé racontée par le lieutenant colonel Canard qui avait en charge le commandement des opérations "Je n'avais pas fait 500 mètres que toutes les forces de Lat Dior étaient sur moi. Je fis sonner demi-tour, je fis face à l'ennemi, et un instant après, nous étions entourés par les gens de Lat Dior. J'estime les forces ennemies à 7 ou 800 hommes dont 150 cavaliers. Après quelques minutes de combat acharné, ne pouvant tenir au milieu de cette pluie de balles venant de tous côtés, je fis sonner demi-tour, et donné l'ordre de suivre le guide Tiekoro. Je restai à la queue de l'escadron pour tâcher de sauver nos blessés. Ici commence un épisode terrible : une partie des chevaux étant trop fatigués pour suivre au trot, restaient en arrière et nous avions tous les cavaliers de Lat Dior à nos trousses. Je fis une dernière tentative pour arrêter l'ennemi ; impossible : les chevaux n'en voulaient plus... A partir de ce moment je fus harcelé continuellement... Un petit nombre de spahis purent rejoindre Tiékoro. Quant à moi, avec mes officiers, nous restâmes à la queue de jusqu'à la fin du désastre. Car c'était bien un désastre qui mettait en péril l'existence, et le prestige jusqu'alors inébranlé, de l'escadron de spahis su Sénégal. Le rapport de Canard que nous citons encore est terriblement explicite. : Vers dix heures après-midi, toujours poursuivi par les cavaliers de Lat Dior, il me restait dix hommes. Je fis une dernière fois face à l'ennemi, et 1/4 d'heure après, il ne me restait plus que trois chevaux pour continuer la retraite. Moi-même j'étais démonté pour la troisième fois. A ce moment suprême j'appelai Bancal et lui dis : « II est probable que votre cheval vous sauvera. Rendez compte que j'ai fait tous mes efforts pour empêcher la destruction complète de l'escadron, et que je vais probablement me faire tuer ici » ... Je restai seul à pied avec un brave spahi noir également à pied. Ma position n'était pas brillante, j'étais poursuivi et je ne savais pas dans quelle direction faire route. Le spahi Samba Dio proposa de marcher dans la brousse et de ne pas se faire tuer inutilement. (On imagine le dialogue sans doute beaucoup moins académique.) Je suivis ses conseils... et à 8 h 30 du soir j'étais à Khaoulou. M. Faidherbe (fils), démonté un instant avant moi, est arrivé à Khaoulou en même temps que moi, le vétérinaire, le maréchal des logis, 3 brigadiers, un trompette, 4 spahis blancs, 5 spahis noirs, 4 chevaux sont également arrivés à Khaoulou vers dix heures du soir. Dans les villages du Cayor, aujourd'hui, les griots chantent encore la victoire de Lat Dior à Mekhé. Vainement Pinet-Laprade tenta-t-il de la camoufler en escarmouche sans importance".
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Tu pouvais pas prétendre devenir Roi au Cayor et au Baol!!!Il a fallu qu'il assassine ses cousins dont notamment Samba Laobé Fall pour devenir Roi. C'est pourquoi on lui a rendu la pièce de la monnaie car il a été assassiné à son tour. Bizarrement au Cayor il y a eu 33 Damels et les 32 sont des Fall et le 33ème est Lat Dior et il est le dernier. On aurait pu choisir comme héros national :Déthié Fondiogou Fall,Alboury Ndiaye,Birima ngoné latyr Fall, Elhadji Omar Tall,Cheikh Ahmadou Bamba,Maba Diakhou Ba etc...Mais pas Lat Dior pour ceux qui connaissent l'histoire.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
RAPPORT SUR LE COMBAT DE DÉKHÉLé Conformément aux instructions contenues dans la lettre n° 395 de M. le Gouverneur du Sénégal, la division de spahis placée sous mes ordres, montant à cheval dans la nuit du 25 au 26 octobre 1886 pour se porter de Ndande sur Diadié. Lat Dior, à la tête de ses contingents devait se trouver en ce dernier point. Avec ma division, marchaient des cavaliers et des fantassins volontaires, sous les ordres des chefs indigènes Demba War, Ibra Fatim Sarr et Samba Laobé Boury. Arrivé à Souguère, j'appris par les habitants que Lat Dior et ses partisans avaient quitté Diadié le 26 pour se rendre à Dékhélé, résidence habituelle de ce chef. Ces renseignements me furent confirmés à Diadié où j'arrivais le 26 à 9 heures du matin. Le 27 à 2 heures du matin, la division montait à cheval pour se porter vers Dékhélé, précédée par les cavaliers et fantassins volontaires ainsi que par des spahis envoyés en éclaireurs. À mon arrivée à Thilmakha, j'appris avec étonnement que Lat Dior n'était plus à Dékhélé, qu'il en était parti dans la nuit et se retirait dans la direction du Baol. Ces renseignements étaient erronés ou plutôt donnés de mauvaise foi par les habitants de Thilmakha car, à la sortie de ce village, un espion de Lat Dior, qui fut fusillé avant que je l'eusse interrogé moi-même, avait avoué que son maître se dirigeait vers l'Ouest, dans la direction de Ndande car ce mouvement de Lat Dior se plaçait entre nous et la ligne ferrée. À 10 heures du matin, je fis occuper le village de Dékhélé par les volontaires et pousser des reconnaissances dans les directions de Thirouguène, Afia et Diouki. A 11 heures, toutes ces reconnaissances étaient rentrées sans avoir rencontré de parties ennemies. Je pris alors position auprès du puits qui se trouve à 2 kilomètres environ de Dékhélé. Les abords de ce puits, sur un rayon de 30 mètres seulement sont sablonneux et complètement dénudés, tandis que les environs, aussi loin que la vue peut s'étendre, sont couverts de broussailles et de hautes herbes, dépassant de beaucoup la tête d'un cavalier à cheval. Les six premiers chevaux buvaient. Tout à coup, une fusillade épouvantable éclate sur notre droite. Trois chevaux tombent, foudroyés; six hommes sont mis hors de combat. Je rallie aussitôt la moitié des spahis autour de moi pour riposter. Les partisans de Lat Dior au nombre de 250 à 300, divisés en deux groupes, avaient gagné les abords du puits par une marche extrêmement rapide à travers les hautes herbes. Ils nous livraient un combat acharné. Pendant un quart d'heure on se fusillait de si près que beaucoup d'ennemis eurent leurs vêtements brûlés par la poudre. À 11 heures trois-quarts, j'étais presque maître de la situation. Je fis monter 20 spahis à cheval et me portai un peu en avant. L'ennemi était complètement battu. Son chef Lat Dior restait sur le champ de bataille avec ses deux fils et soixante-dix-huit de ses guerriers les plus renommés. Pendant ce combat si court, les spahis avaient fait des pertes énormes : un tiers de l'effectif en hommes et chevaux avait été mis hors de combat. Tous d'ailleurs avaient rivalisé de bravoure et donnèrent les preuves du plus admirable sang-froid. Parmi eux je tiens à distinguer : Le trompettiste Samba Assa, atteint de quatre blessures, a continué le feu en tirant à genou. Le spahi Mamadou Sy, ayant eu le bras cassé par une balle, a continué le combat jusqu'à la fin avec son revolver. Le spahi Aliou Bâ n'a cessé de combattre qu'à la troisième blessure. Enfin le spahi Samba N'Diaye, vieux soldat médaillé dont l'éloge n'est plus à faire, atteint de deux blessures, a défendu à ses camarades de le relever avant la fin du combat. Tous ces intrépides soldats se sont montrés si admirables que je me permets de soumettre à la haute bienveillance de M. le Gouverneur un état de propositions de récompenses qu'ils ont si noblement méritées. Dékhelé, le 27 octobre 1886 Le Capitaine Commandant la division : Valois (Archives du Sénégal - Fonds A.O.F I-D-48)La glorieuse fin de Lat Dior selon le rapport du capitaine valois qui dirigeait les troupes coloniales lors de la bataille de Dékhelé. RAPPORT SUR LE COMBAT DE DÉKHÉLÉ Conformément aux instructions contenues dans la lettre n° 395 de M. le Gouverneur du Sénégal, la division de spahis placée sous mes ordres, montant à cheval dans la nuit du 25 au 26 octobre 1886 pour se porter de Ndande sur Diadié. Lat Dior, à la tête de ses contingents devait se trouver en ce dernier point. Avec ma division, marchaient des cavaliers et des fantassins volontaires, sous les ordres des chefs indigènes Demba War, Ibra Fatim Sarr et Samba Laobé Boury. Arrivé à Souguère, j'appris par les habitants que Lat Dior et ses partisans avaient quitté Diadié le 26 pour se rendre à Dékhélé, résidence habituelle de ce chef. Ces renseignements me furent confirmés à Diadié où j'arrivais le 26 à 9 heures du matin. Le 27 à 2 heures du matin, la division montait à cheval pour se porter vers Dékhélé, précédée par les cavaliers et fantassins volontaires ainsi que par des spahis envoyés en éclaireurs. À mon arrivée à Thilmakha, j'appris avec étonnement que Lat Dior n'était plus à Dékhélé, qu'il en était parti dans la nuit et se retirait dans la direction du Baol. Ces renseignements étaient erronés ou plutôt donnés de mauvaise foi par les habitants de Thilmakha car, à la sortie de ce village, un espion de Lat Dior, qui fut fusillé avant que je l'eusse interrogé moi-même, avait avoué que son maître se dirigeait vers l'Ouest, dans la direction de Ndande car ce mouvement de Lat Dior se plaçait entre nous et la ligne ferrée. À 10 heures du matin, je fis occuper le village de Dékhélé par les volontaires et pousser des reconnaissances dans les directions de Thirouguène, Afia et Diouki. A 11 heures, toutes ces reconnaissances étaient rentrées sans avoir rencontré de parties ennemies. Je pris alors position auprès du puits qui se trouve à 2 kilomètres environ de Dékhélé. Les abords de ce puits, sur un rayon de 30 mètres seulement sont sablonneux et complètement dénudés, tandis que les environs, aussi loin que la vue peut s'étendre, sont couverts de broussailles et de hautes herbes, dépassant de beaucoup la tête d'un cavalier à cheval. Les six premiers chevaux buvaient. Tout à coup, une fusillade épouvantable éclate sur notre droite. Trois chevaux tombent, foudroyés; six hommes sont mis hors de combat. Je rallie aussitôt la moitié des spahis autour de moi pour riposter. Les partisans de Lat Dior au nombre de 250 à 300, divisés en deux groupes, avaient gagné les abords du puits par une marche extrêmement rapide à travers les hautes herbes. Ils nous livraient un combat acharné. Pendant un quart d'heure on se fusillait de si près que beaucoup d'ennemis eurent leurs vêtements brûlés par la poudre. À 11 heures trois-quarts, j'étais presque maître de la situation. Je fis monter 20 spahis à cheval et me portai un peu en avant. L'ennemi était complètement battu. Son chef Lat Dior restait sur le champ de bataille avec ses deux fils et soixante-dix-huit de ses guerriers les plus renommés. Pendant ce combat si court, les spahis avaient fait des pertes énormes : un tiers de l'effectif en hommes et chevaux avait été mis hors de combat. Tous d'ailleurs avaient rivalisé de bravoure et donnèrent les preuves du plus admirable sang-froid. Parmi eux je tiens à distinguer : Le trompettiste Samba Assa, atteint de quatre blessures, a continué le feu en tirant à genou. Le spahi Mamadou Sy, ayant eu le bras cassé par une balle, a continué le combat jusqu'à la fin avec son revolver. Le spahi Aliou Bâ n'a cessé de combattre qu'à la troisième blessure. Enfin le spahi Samba N'Diaye, vieux soldat médaillé dont l'éloge n'est plus à faire, atteint de deux blessures, a défendu à ses camarades de le relever avant la fin du combat. Tous ces intrépides soldats se sont montrés si admirables que je me permets de soumettre à la haute bienveillance de M. le Gouverneur un état de propositions de récompenses qu'ils ont si noblement méritées. Dékhelé, le 27 octobre 1886 Le Capitaine Commandant la division : Valois (Archives du Sénégal - Fonds A.O.F I-D-48)
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
RAPPORT SUR LE COMBAT DE DÉKHÉLé Conformément aux instructions contenues dans la lettre n° 395 de M. le Gouverneur du Sénégal, la division de spahis placée sous mes ordres, montant à cheval dans la nuit du 25 au 26 octobre 1886 pour se porter de Ndande sur Diadié. Lat Dior, à la tête de ses contingents devait se trouver en ce dernier point. Avec ma division, marchaient des cavaliers et des fantassins volontaires, sous les ordres des chefs indigènes Demba War, Ibra Fatim Sarr et Samba Laobé Boury. Arrivé à Souguère, j'appris par les habitants que Lat Dior et ses partisans avaient quitté Diadié le 26 pour se rendre à Dékhélé, résidence habituelle de ce chef. Ces renseignements me furent confirmés à Diadié où j'arrivais le 26 à 9 heures du matin. Le 27 à 2 heures du matin, la division montait à cheval pour se porter vers Dékhélé, précédée par les cavaliers et fantassins volontaires ainsi que par des spahis envoyés en éclaireurs. À mon arrivée à Thilmakha, j'appris avec étonnement que Lat Dior n'était plus à Dékhélé, qu'il en était parti dans la nuit et se retirait dans la direction du Baol. Ces renseignements étaient erronés ou plutôt donnés de mauvaise foi par les habitants de Thilmakha car, à la sortie de ce village, un espion de Lat Dior, qui fut fusillé avant que je l'eusse interrogé moi-même, avait avoué que son maître se dirigeait vers l'Ouest, dans la direction de Ndande car ce mouvement de Lat Dior se plaçait entre nous et la ligne ferrée. À 10 heures du matin, je fis occuper le village de Dékhélé par les volontaires et pousser des reconnaissances dans les directions de Thirouguène, Afia et Diouki. A 11 heures, toutes ces reconnaissances étaient rentrées sans avoir rencontré de parties ennemies. Je pris alors position auprès du puits qui se trouve à 2 kilomètres environ de Dékhélé. Les abords de ce puits, sur un rayon de 30 mètres seulement sont sablonneux et complètement dénudés, tandis que les environs, aussi loin que la vue peut s'étendre, sont couverts de broussailles et de hautes herbes, dépassant de beaucoup la tête d'un cavalier à cheval. Les six premiers chevaux buvaient. Tout à coup, une fusillade épouvantable éclate sur notre droite. Trois chevaux tombent, foudroyés; six hommes sont mis hors de combat. Je rallie aussitôt la moitié des spahis autour de moi pour riposter. Les partisans de Lat Dior au nombre de 250 à 300, divisés en deux groupes, avaient gagné les abords du puits par une marche extrêmement rapide à travers les hautes herbes. Ils nous livraient un combat acharné. Pendant un quart d'heure on se fusillait de si près que beaucoup d'ennemis eurent leurs vêtements brûlés par la poudre. À 11 heures trois-quarts, j'étais presque maître de la situation. Je fis monter 20 spahis à cheval et me portai un peu en avant. L'ennemi était complètement battu. Son chef Lat Dior restait sur le champ de bataille avec ses deux fils et soixante-dix-huit de ses guerriers les plus renommés. Pendant ce combat si court, les spahis avaient fait des pertes énormes : un tiers de l'effectif en hommes et chevaux avait été mis hors de combat. Tous d'ailleurs avaient rivalisé de bravoure et donnèrent les preuves du plus admirable sang-froid. Parmi eux je tiens à distinguer : Le trompettiste Samba Assa, atteint de quatre blessures, a continué le feu en tirant à genou. Le spahi Mamadou Sy, ayant eu le bras cassé par une balle, a continué le combat jusqu'à la fin avec son revolver. Le spahi Aliou Bâ n'a cessé de combattre qu'à la troisième blessure. Enfin le spahi Samba N'Diaye, vieux soldat médaillé dont l'éloge n'est plus à faire, atteint de deux blessures, a défendu à ses camarades de le relever avant la fin du combat. Tous ces intrépides soldats se sont montrés si admirables que je me permets de soumettre à la haute bienveillance de M. le Gouverneur un état de propositions de récompenses qu'ils ont si noblement méritées. Dékhelé, le 27 octobre 1886 Le Capitaine Commandant la division : Valois (Archives du Sénégal - Fonds A.O.F I-D-48)La glorieuse fin de Lat Dior selon le rapport du capitaine valois qui dirigeait les troupes coloniales lors de la bataille de Dékhelé. RAPPORT SUR LE COMBAT DE DÉKHÉLÉ Conformément aux instructions contenues dans la lettre n° 395 de M. le Gouverneur du Sénégal, la division de spahis placée sous mes ordres, montant à cheval dans la nuit du 25 au 26 octobre 1886 pour se porter de Ndande sur Diadié. Lat Dior, à la tête de ses contingents devait se trouver en ce dernier point. Avec ma division, marchaient des cavaliers et des fantassins volontaires, sous les ordres des chefs indigènes Demba War, Ibra Fatim Sarr et Samba Laobé Boury. Arrivé à Souguère, j'appris par les habitants que Lat Dior et ses partisans avaient quitté Diadié le 26 pour se rendre à Dékhélé, résidence habituelle de ce chef. Ces renseignements me furent confirmés à Diadié où j'arrivais le 26 à 9 heures du matin. Le 27 à 2 heures du matin, la division montait à cheval pour se porter vers Dékhélé, précédée par les cavaliers et fantassins volontaires ainsi que par des spahis envoyés en éclaireurs. À mon arrivée à Thilmakha, j'appris avec étonnement que Lat Dior n'était plus à Dékhélé, qu'il en était parti dans la nuit et se retirait dans la direction du Baol. Ces renseignements étaient erronés ou plutôt donnés de mauvaise foi par les habitants de Thilmakha car, à la sortie de ce village, un espion de Lat Dior, qui fut fusillé avant que je l'eusse interrogé moi-même, avait avoué que son maître se dirigeait vers l'Ouest, dans la direction de Ndande car ce mouvement de Lat Dior se plaçait entre nous et la ligne ferrée. À 10 heures du matin, je fis occuper le village de Dékhélé par les volontaires et pousser des reconnaissances dans les directions de Thirouguène, Afia et Diouki. A 11 heures, toutes ces reconnaissances étaient rentrées sans avoir rencontré de parties ennemies. Je pris alors position auprès du puits qui se trouve à 2 kilomètres environ de Dékhélé. Les abords de ce puits, sur un rayon de 30 mètres seulement sont sablonneux et complètement dénudés, tandis que les environs, aussi loin que la vue peut s'étendre, sont couverts de broussailles et de hautes herbes, dépassant de beaucoup la tête d'un cavalier à cheval. Les six premiers chevaux buvaient. Tout à coup, une fusillade épouvantable éclate sur notre droite. Trois chevaux tombent, foudroyés; six hommes sont mis hors de combat. Je rallie aussitôt la moitié des spahis autour de moi pour riposter. Les partisans de Lat Dior au nombre de 250 à 300, divisés en deux groupes, avaient gagné les abords du puits par une marche extrêmement rapide à travers les hautes herbes. Ils nous livraient un combat acharné. Pendant un quart d'heure on se fusillait de si près que beaucoup d'ennemis eurent leurs vêtements brûlés par la poudre. À 11 heures trois-quarts, j'étais presque maître de la situation. Je fis monter 20 spahis à cheval et me portai un peu en avant. L'ennemi était complètement battu. Son chef Lat Dior restait sur le champ de bataille avec ses deux fils et soixante-dix-huit de ses guerriers les plus renommés. Pendant ce combat si court, les spahis avaient fait des pertes énormes : un tiers de l'effectif en hommes et chevaux avait été mis hors de combat. Tous d'ailleurs avaient rivalisé de bravoure et donnèrent les preuves du plus admirable sang-froid. Parmi eux je tiens à distinguer : Le trompettiste Samba Assa, atteint de quatre blessures, a continué le feu en tirant à genou. Le spahi Mamadou Sy, ayant eu le bras cassé par une balle, a continué le combat jusqu'à la fin avec son revolver. Le spahi Aliou Bâ n'a cessé de combattre qu'à la troisième blessure. Enfin le spahi Samba N'Diaye, vieux soldat médaillé dont l'éloge n'est plus à faire, atteint de deux blessures, a défendu à ses camarades de le relever avant la fin du combat. Tous ces intrépides soldats se sont montrés si admirables que je me permets de soumettre à la haute bienveillance de M. le Gouverneur un état de propositions de récompenses qu'ils ont si noblement méritées. Dékhelé, le 27 octobre 1886 Le Capitaine Commandant la division : Valois (Archives du Sénégal - Fonds A.O.F I-D-48)
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
RAPPORT SUR LE COMBAT DE DÉKHÉLé Conformément aux instructions contenues dans la lettre n° 395 de M. le Gouverneur du Sénégal, la division de spahis placée sous mes ordres, montant à cheval dans la nuit du 25 au 26 octobre 1886 pour se porter de Ndande sur Diadié. Lat Dior, à la tête de ses contingents devait se trouver en ce dernier point. Avec ma division, marchaient des cavaliers et des fantassins volontaires, sous les ordres des chefs indigènes Demba War, Ibra Fatim Sarr et Samba Laobé Boury. Arrivé à Souguère, j'appris par les habitants que Lat Dior et ses partisans avaient quitté Diadié le 26 pour se rendre à Dékhélé, résidence habituelle de ce chef. Ces renseignements me furent confirmés à Diadié où j'arrivais le 26 à 9 heures du matin. Le 27 à 2 heures du matin, la division montait à cheval pour se porter vers Dékhélé, précédée par les cavaliers et fantassins volontaires ainsi que par des spahis envoyés en éclaireurs. À mon arrivée à Thilmakha, j'appris avec étonnement que Lat Dior n'était plus à Dékhélé, qu'il en était parti dans la nuit et se retirait dans la direction du Baol. Ces renseignements étaient erronés ou plutôt donnés de mauvaise foi par les habitants de Thilmakha car, à la sortie de ce village, un espion de Lat Dior, qui fut fusillé avant que je l'eusse interrogé moi-même, avait avoué que son maître se dirigeait vers l'Ouest, dans la direction de Ndande car ce mouvement de Lat Dior se plaçait entre nous et la ligne ferrée. À 10 heures du matin, je fis occuper le village de Dékhélé par les volontaires et pousser des reconnaissances dans les directions de Thirouguène, Afia et Diouki. A 11 heures, toutes ces reconnaissances étaient rentrées sans avoir rencontré de parties ennemies. Je pris alors position auprès du puits qui se trouve à 2 kilomètres environ de Dékhélé. Les abords de ce puits, sur un rayon de 30 mètres seulement sont sablonneux et complètement dénudés, tandis que les environs, aussi loin que la vue peut s'étendre, sont couverts de broussailles et de hautes herbes, dépassant de beaucoup la tête d'un cavalier à cheval. Les six premiers chevaux buvaient. Tout à coup, une fusillade épouvantable éclate sur notre droite. Trois chevaux tombent, foudroyés; six hommes sont mis hors de combat. Je rallie aussitôt la moitié des spahis autour de moi pour riposter. Les partisans de Lat Dior au nombre de 250 à 300, divisés en deux groupes, avaient gagné les abords du puits par une marche extrêmement rapide à travers les hautes herbes. Ils nous livraient un combat acharné. Pendant un quart d'heure on se fusillait de si près que beaucoup d'ennemis eurent leurs vêtements brûlés par la poudre. À 11 heures trois-quarts, j'étais presque maître de la situation. Je fis monter 20 spahis à cheval et me portai un peu en avant. L'ennemi était complètement battu. Son chef Lat Dior restait sur le champ de bataille avec ses deux fils et soixante-dix-huit de ses guerriers les plus renommés. Pendant ce combat si court, les spahis avaient fait des pertes énormes : un tiers de l'effectif en hommes et chevaux avait été mis hors de combat. Tous d'ailleurs avaient rivalisé de bravoure et donnèrent les preuves du plus admirable sang-froid. Parmi eux je tiens à distinguer : Le trompettiste Samba Assa, atteint de quatre blessures, a continué le feu en tirant à genou. Le spahi Mamadou Sy, ayant eu le bras cassé par une balle, a continué le combat jusqu'à la fin avec son revolver. Le spahi Aliou Bâ n'a cessé de combattre qu'à la troisième blessure. Enfin le spahi Samba N'Diaye, vieux soldat médaillé dont l'éloge n'est plus à faire, atteint de deux blessures, a défendu à ses camarades de le relever avant la fin du combat. Tous ces intrépides soldats se sont montrés si admirables que je me permets de soumettre à la haute bienveillance de M. le Gouverneur un état de propositions de récompenses qu'ils ont si noblement méritées. Dékhelé, le 27 octobre 1886 Le Capitaine Commandant la division : Valois (Archives du Sénégal - Fonds A.O.F I-D-48)La glorieuse fin de Lat Dior selon le rapport du capitaine valois qui dirigeait les troupes coloniales lors de la bataille de Dékhelé. RAPPORT SUR LE COMBAT DE DÉKHÉLÉ Conformément aux instructions contenues dans la lettre n° 395 de M. le Gouverneur du Sénégal, la division de spahis placée sous mes ordres, montant à cheval dans la nuit du 25 au 26 octobre 1886 pour se porter de Ndande sur Diadié. Lat Dior, à la tête de ses contingents devait se trouver en ce dernier point. Avec ma division, marchaient des cavaliers et des fantassins volontaires, sous les ordres des chefs indigènes Demba War, Ibra Fatim Sarr et Samba Laobé Boury. Arrivé à Souguère, j'appris par les habitants que Lat Dior et ses partisans avaient quitté Diadié le 26 pour se rendre à Dékhélé, résidence habituelle de ce chef. Ces renseignements me furent confirmés à Diadié où j'arrivais le 26 à 9 heures du matin. Le 27 à 2 heures du matin, la division montait à cheval pour se porter vers Dékhélé, précédée par les cavaliers et fantassins volontaires ainsi que par des spahis envoyés en éclaireurs. À mon arrivée à Thilmakha, j'appris avec étonnement que Lat Dior n'était plus à Dékhélé, qu'il en était parti dans la nuit et se retirait dans la direction du Baol. Ces renseignements étaient erronés ou plutôt donnés de mauvaise foi par les habitants de Thilmakha car, à la sortie de ce village, un espion de Lat Dior, qui fut fusillé avant que je l'eusse interrogé moi-même, avait avoué que son maître se dirigeait vers l'Ouest, dans la direction de Ndande car ce mouvement de Lat Dior se plaçait entre nous et la ligne ferrée. À 10 heures du matin, je fis occuper le village de Dékhélé par les volontaires et pousser des reconnaissances dans les directions de Thirouguène, Afia et Diouki. A 11 heures, toutes ces reconnaissances étaient rentrées sans avoir rencontré de parties ennemies. Je pris alors position auprès du puits qui se trouve à 2 kilomètres environ de Dékhélé. Les abords de ce puits, sur un rayon de 30 mètres seulement sont sablonneux et complètement dénudés, tandis que les environs, aussi loin que la vue peut s'étendre, sont couverts de broussailles et de hautes herbes, dépassant de beaucoup la tête d'un cavalier à cheval. Les six premiers chevaux buvaient. Tout à coup, une fusillade épouvantable éclate sur notre droite. Trois chevaux tombent, foudroyés; six hommes sont mis hors de combat. Je rallie aussitôt la moitié des spahis autour de moi pour riposter. Les partisans de Lat Dior au nombre de 250 à 300, divisés en deux groupes, avaient gagné les abords du puits par une marche extrêmement rapide à travers les hautes herbes. Ils nous livraient un combat acharné. Pendant un quart d'heure on se fusillait de si près que beaucoup d'ennemis eurent leurs vêtements brûlés par la poudre. À 11 heures trois-quarts, j'étais presque maître de la situation. Je fis monter 20 spahis à cheval et me portai un peu en avant. L'ennemi était complètement battu. Son chef Lat Dior restait sur le champ de bataille avec ses deux fils et soixante-dix-huit de ses guerriers les plus renommés. Pendant ce combat si court, les spahis avaient fait des pertes énormes : un tiers de l'effectif en hommes et chevaux avait été mis hors de combat. Tous d'ailleurs avaient rivalisé de bravoure et donnèrent les preuves du plus admirable sang-froid. Parmi eux je tiens à distinguer : Le trompettiste Samba Assa, atteint de quatre blessures, a continué le feu en tirant à genou. Le spahi Mamadou Sy, ayant eu le bras cassé par une balle, a continué le combat jusqu'à la fin avec son revolver. Le spahi Aliou Bâ n'a cessé de combattre qu'à la troisième blessure. Enfin le spahi Samba N'Diaye, vieux soldat médaillé dont l'éloge n'est plus à faire, atteint de deux blessures, a défendu à ses camarades de le relever avant la fin du combat. Tous ces intrépides soldats se sont montrés si admirables que je me permets de soumettre à la haute bienveillance de M. le Gouverneur un état de propositions de récompenses qu'ils ont si noblement méritées. Dékhelé, le 27 octobre 1886 Le Capitaine Commandant la division : Valois (Archives du Sénégal - Fonds A.O.F I-D-48)
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Peut être que Lat Dior, Maba ou Coumba Ndoffén n'ont pas guerroyer pour étendre leurs royaume. Dit plutôt que c'est le soubassement religieux dans la résistance de Cheikhou Omar qui geine le chrétien Senghor.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
"Lat-Dior s'éloigna aussitôt du Ndiambour, mais il se dirigea vers Nguiguis. annonçant qu'il allait y attaquer son rival Madiodio. La colonne de Corée reçut l'ordre de rentrer immédiatement dans le Cayor, sous les ordres (tu lieutenant-colonel Laprade et le chef de bataillon d'infanterie de marine de Barolet partit aussi avec des troupes de Saint-Louis. De son côte, le capitaine Flize marcha également sur Nguiguis avec sa colonne. pendant ce temps, le capitaine du génie Lorans, charge de la direction des travaux a Nguiguis et commandant la garnison, persuade par Madiodio et Samba-Maram-Khay que, s'il les appuyait avec une partie de sa garnison, ils seraient assez forts pour battre l'ennemi commun, sortit le 29 décembre, dans la nuit, avec une compagnie de tirailleurs, un obusiers et 8 canonniers, vingt-cinq spahis, vingt ouvrier. du génie, et, suivi des forces de Madiodio, il alla attaquer Lat-Dior à ngol ngol, a trois lieues de distance. La rencontre eut lieu à la pointe du jour. L'ennemi se trouva plus nombreux qu'on ne le croyait. L'armée alliée, composée de gens peu aguerris, fit une molle résistance en perdant du terrain, de sorte que la petite troupe du capitaine Lorans eut sur les bras tous les hommes a pied de l'ennemi, en même temps qu'une nombreuse cavalerie, débordant les deux ailes, l'entourait complètement. Tout le monde comprit qu'il n'y avait plus qu'a mourir dignement. Le capitaine Lorans et le capitaine des tirailleurs Chevrel, démontés tous deux, et celui-ci blesse, assistèrent stoïquement, jusqu'à ce qu'ils fussent tués eux-mêmes, la destruction de leurs hommes, tirailleurs et ouvriers, qui combattaient jusqu'au dernier soupir. Les sept canonniers et l'adjudant Guichard se tirent hacher sur leur pièce. Le peloton de spahis, perdu au milieu d'une affreuse bagarre où il ne reconnaissait plus ni amis ni ennemis, dégage notre damel Madiodio, et, tout en perdant son chef, le sous-lieutenant Duport de Saint Victor, et quatre spahis, il parvint a atteindre Nguiguis, ramenant le damel et huit spahis blesses. Les vainqueurs poursuivirent les fuyards jusqu'à la redoute, d'où ils se tirent repousser eu faisant des pertes sensibles. (50 décembre 1865.) En somme, de 140 hommes environ dont se composait la colonne, il ne revint que 20 spahis dont blessés, 2 officiers, 1 docteur et 6 tirailleurs dont 5 blesses; nos alliés perdirent eu outre beaucoup de monde. Apres ce désastre, où l'honneur de nos armes était seul reste sauf, Lat-Dior, sachant que trois colonnes convergeaient vers lui, se retira de nouveau sur la frontière du Baol. Immédiatement l'ordre fut envoyé aux troupes de faire leur jonction à Nguiguis, sous le commandement du lieutenant-colonel du génie Laprade, et de se mettre poursuivre a outrance Lat-Dior, même dans le Baol. On se porta donc a la frontière; mais Lat-Dior, faisant un détour, nous évita, rentra de nouveau dans le Gayor, et se porta a Ngol, dans le Guet, cauton où il est né et sur lequel il savait pouvoir compter. Le lieutenant-colonel Laprade passa quatre jours a punir les villages où il trouva les dépouilles de nos soldats, et à intimider le roi du Baol pour qu'il ne permit plus a nos ennemis de se réfugier chez lui, d'y laisser leurs biens et leurs familles pour venir commettre des agressions dans le Cayor" Tiré du livre de Faidherbe " LE SÉNÉGAL- la France dans l'Afrique occidentale"
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
El hadji Omar a été le cauchemard des français. Il a résisté à la conquête et à l'évangélisation des populations par les armes mais également par l'islamisation.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Que du bla bla. Lat Dior Dior est un usurpateur du pouvoir de ses oncles. Un sanguinaire qui ne mérite pas d'être le héro national du Sénégal.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Nos héros nationaux en se combattant sans cesse les uns contre les autres, ont aussi été des collaborateurs des colons pour se défaire les uns des autres. La derniere bataille de Lat Dior opposé à la construction du chemin de fer ce fut Madiodio Fall( fournit une grande part du bataillon) qui a collabora avec les colons( au nombre de 150 au cours cette bataille mais sur-équipé)pour vaincre et éliminner Lat Dior( 250 a 300 hommes) les siens et deux de ses fils. Lat Dior aussi a eu ses moments de collaboration contre ses adversaires locaux.Ils n'en demeurent pas moins nos héros nationaux, de braves et excellent guerriers, courageux et vaillants. La devise a toujours fonctionné: Diviser pour regner et nous avons toujours été divisés donc séculairement faibles...Sans passion, sans partisannerie vaine, avec véracité et realisme sachons regarder les choses en face
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Nos héros nationaux en se combattant sans cesse les uns contre les autres, ont aussi été des collaborateurs des colons pour se défaire les uns des autres. La derniere bataille de Lat Dior opposé à la construction du chemin de fer ce fut Madiodio Fall( fournit une grande part du bataillon) qui a collabora avec les colons( au nombre de 150 au cours cette bataille mais sur-équipé)pour vaincre et éliminner Lat Dior( 250 a 300 hommes) les siens et deux de ses fils. Lat Dior aussi a eu ses moments de collaboration contre ses adversaires locaux.Ils n'en demeurent pas moins nos héros nationaux, de braves et excellent guerriers, courageux et vaillants. La devise a toujours fonctionné: Diviser pour regner et nous avons toujours été divisés donc séculairement faibles...Sans passion, sans partisannerie vaine, avec véracité et realisme sachons regarder les choses en face
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Va apprendre l'histoire de Latdior aulieu de délirer, tous ceux que lat dior a tué sont soit francais soit des envahisseurs du cayor. Ensuite il n'a rien usurpé car au cayor c'est par la lignée maternelle que l'on peut préntendre au trone et il eremplissait cette condition. Je comprends que tu soit un descendant de traitres spahis
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El hadji oumar était un colon . Il n'était pas un résistant . Il voulait islamiser les bambaras du Soudan qu'il a massacrés. Il n'a pas eu une seule victoire contre le colon
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Un ivrogne assoiffé de sang, voilà résumé l'histoire de ton héri de pacotille.
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merci lat dior
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L'armée de El hadji Omar a pris au français et occupé le fort de médine durant 4 mois. C'était un chef de guerre mais aussi un lettré, un intellectuel qui a freiné l'évangélisation dans une grande partie de l'Afrique de l'ouest. Cheikh Ahmadou Bamba a été déporté parce que les français avaient gardé le spectre de Cheikhou Omar. Ils avaient une peur bleue du mot Djihad.
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c'est pas vrai! el hadji oumar n'a jamais réussi à prendre le fort de médine. Il a assiégé ce fort (défendu par une dixaine de français et quelques bambaras) pendant 4 mois sans pouvoir y pénéter. Les renforts sont arrivés avec faidherbe et ont mis en déroute les forces d'el hadji omar. Donc jamais il n'a pris le fort de médine défendu par le lieutenant Paul Holle. El hadji omar n'a jamais eu la moindre victoire face aux colons
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Ces grands hommes ont commis 2 erreurs tragiques : - se convertir à l'islam. - utiliser les colons occidentaux pour régler des conflits internes.
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avez une hépatite B chronique avec une charge virale de 200 depuis plus de 5 ans et qui a entraîné une cirrhose du foie. J'ai été guérie avec les produits à base de plantes du Docteur Nelson Salim. Je suis tombé sur ses annonces sur cette page avec des séries de témoignages. J'ai décidé d'essayer le phytothérapeute et j'ai passé une commande pour ses produits que j'ai reçus à mon adresse via DHL - service dans les 4 jours, et avec ses instructions, j'ai utilisé le produit pendant 21 jours. Après avoir terminé les traitements à base de plantes selon les directives du phytothérapeute, j'ai effectué un test d'hépatite et mon résultat était négatif, sans aucune trace du virus dans mon sang. Je le recommande à toute personne atteinte de HPV, de fibromes, d'hémorroïdes, d'arthrite, d'hypertrophie de la prostate, d'herpès, de BPCO, de psoriasis. Ses infos. E-mail; drnelsonsalim10@gmail.com
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Maba, disciple de El hadj Omar a bien tape pinet laprade le gouverneur de la France Respect au grand Maître peulh
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Tu es soit bamana, soit batard français parce que tu récités les livres mensongers du côlon. Cheikhou Oumar a même pris de armes dans ce fort.
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Lat-Dior était effectivement un excellent stratège militaire. Et ce que j'ai apprécié ici, c'est que les arguments et contre-arguments des commentaires ( même partisans, sont basés sur des faits: les alliances, les collaborations, les légitimités ou illégitimités du statut de héros). Et c'est vrai que Lat-Dior a été choisi comme héros emblèmatique comme le rôle aurait pu être aussi bien rempli par une autre de ces figures citées: ce qui me choque, c'est que l'on parle d'armées composées de 200 à 300 hommes. Cela prouve que nous avons subi la colonisation parce que nous étions divisés, plus confiants à nous allier aux colons qu'à nos semblables. Ce qui a fait ces héros, c'est leur résistance au colon. Que nous, les fils et petits-fils perpétuions cet héritage, c'est ça leur offrir l'immortalité.
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Il etait aussi esclavagiste
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