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Législatives, prochain gouvernement, 3e mandat...: les confidences de Pr Moussa Baldé

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Législatives, prochain gouvernement, 3e mandat...: les confidences de Pr Moussa Baldé

Les dernières Législatives ont été rudement disputées à Kolda. Même si la coalition Benno Bokk Yaakar a gagné au niveau départemental, elle a été dominée par Yewwi Askanwi au niveau communal.
La percée de Sonko en Casamance serait-elle à l'origine? Pr Moussa Baldé donne son avis dans l'entretien qu'il a  accordé à Seneweb. 
Dans cette interview, il a aussi été question du recul de la coalition au pouvoir (de 125 à 82 députés), de l'éventuelle 3e candidature du Président Macky Sall, du prochain gouvernement, entre autres.
Pr Baldé s'est aussi prononcé sur la situation et les perspectives de l'agriculture au Sénégal.
Auteur: Seneweb Tv
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Comments

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    Casadinké.. il y a 2 ans

    Vous parlez beaucoup pour faire ta promotion, guemeul yallah way. Vous avez jamais imaginé d'être ministre. 

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    il y a 2 ans

    Ces gens de APR/BENNO soit ils sont idiots soit ils font semblant...cette defaite est unique dans les annales du monde et dire qu'ils ont vole au max pour attenuer la chute si non ils ne valent meme pas 75 deputes...continuer a narguer les gens rek...2024 gnu nokate len nokh you woor vous allez degager par la force ou bien vos cadavres seront traines dans les rues de ce pays... fofou laniou nara dem ak yen puisque vous etes des animaux sauvages! 

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    sow il y a 2 ans

    l'opposition invente et ment mais c'est dommage et c'est dangereux de stigmatiser Podor pensant que c' est de l'intelligence politique les urnes sont  transparentes donc les représentants des partis étaient où ? si c'est vrai pourquoi avoir signer les pv vous savez les podorois peuvent affirmer haut et fort qu'on vote Benno tout le monnde et après  cessez de jouer avec  la division la stigmatisation si tout ça arrive c'est le senegal qui va perdre 

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    il y a 2 ans

    Le plus gros cancre du gouvernement

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    reply_author il y a 2 ans

    A toute la classe politique, opposants ou pas. Si on laisse Macky Sall au pouvoir après 2024, on aura créer un monstre qui va estampiller toute ambition politique. Le sang ne ment pas.

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    il y a 2 ans

    A toute la classe politique, opposants ou pas. Si on laisse Macky Sall au pouvoir après 2024, on aura créer un monstre qui va estampiller toute ambition politique. Le sang ne ment pas.

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    il y a 2 ans

    Vive son excellence Macky Sall

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    Ff il y a 2 ans

    Maky à plus de votants Donc Maky je suis pour 3 ème Manda

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    Ff il y a 2 ans

    Maky à plus de votants Donc Maky je suis pour 3 ème Manda

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    reply_author il y a 2 ans

    Macky si bopam il sait que les carrottes sont cuites ...il cherche une porte de sortie s'il insiste il sortira les pieds devant SOIT C'EST LUI SOIT C'EST NOUS...ON EST FATIGUES....ON NE JOUE PAS!!!! 

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    il y a 2 ans

    Un humoriste français, Coluche pour ne pas le citer, avait sorti une très jolie phrase pour illustrer les élections... il disait : "si les élections pouvaient changer quelque chose, il y a longtemps qu'elles seraient interdites...".  C'est amusant de voir comment une certaine partie de la population n'est même pas allé voter. Ceux là ont déjà compris que tous ces candidats qui se pressent pour avoir une place au soleil de la république ne sont là que pour leurs propres intérêts. Ensuite il y a une autre partie qui y croit encore et qui s'imagine qu'en virant Macky pour mettre Sonko à sa place va changer quelque chose. Ignorant que la politique d'un pays comme le nôtre et comme la plupart des autres nations se fait dans les grandes multinationales, les grandes banques, les groupes pétroliers, les médias et dans les chancelleries et les ambassades ou les réunions secrètes de ceux qui dirigent le monde. La marge de manoeuvre de nos dirigeants se réduit au minimum, à pas grand-chose en réalité... même Macron que les jeunes détestent autant appelle Bruxelles tous les matins pour prendre ses intructions et ses directives qui elle même prend ses ordres à Washington qui les reçoit de Wall street ou de la banque mondiale.  Alors ne nous donnons pas trop d'importance. Sachons rester humbles et surtout lucides.

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    reply_author il y a 2 ans

    yaw degnay fowe sa khel...nous on ne joue pas!!! Les Maliens , les Russes les Chinois et autres disent non et vont sous peu reussir... toi tu patauges dans des cacas de fosses sceptiques en plein Dakar et nous dis de ne pas bouger nos culs pour changer tout ce bordel mais voyons!!!! 

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    refondation immediate il y a 2 ans

    Cette région de koda eu des nominations cependant ces incapabables de sinistres ne sont qu'aux services de leur interets personnels On se connait dans ce pays et il faut balayer tous ces mecréants 7 Dg et un sinistre et des milliards pour corrompre ,ils exultent avec un résultat ignoble. Mame Boye c'est un vaniteux,moussa balde un aigri  , bibi balde un avare ,barry un handicapé du moment et oury bailo un maitre chanteur.

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    il y a 2 ans

    Benno 82 yewwi 56 comme au basket qui a gagné ? Question pour moi nullard 🤔

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    reply_author il y a 2 ans

    Non je ne suis pas d'accords, je suis contre le gouvernment mais lui il a participer à multiplier la production agricole par 3

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    Papis il y a 2 ans

    Inviter le ministre sans parler d'agriculture ou à peine.... Il faut le faire...  

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    Macky korr Marieme Faye il y a 2 ans

    Enfin c'est facile d'incriminer des facteurs exogènes comme la pandémie à covid 19 où la guerre en Ukraine. Il faut faire une évaluation et une analyse exactes des résultats du vote du 31 Juillet. Quel message vous a donné l'électorat sénégalais. Mr. Le ministre a oublié de citer les inondations parmi les causes du recul de la performance de BBY . Sinon le réveil risque d'être brutal.

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    Benji il y a 2 ans

    Avant 1960 la région de kolda était peuplée de Diola et socé est un peu de Peulh firdo environ la population était à peu près 100000 personnes après l'indépendance Sékou Touré à chasser les peuls fouta qui sont arrivés en massive dans cette région par la complicité de senghor qui avait donné l'hospitalité à ses pauvres malheureux peuls mais n'avait pas pensé que les peuls font des enfants que des rats raison pour laquelle la région de kolda est peuplée de poulard 

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    il y a 2 ans

    Moussa toi n'a rien à dire espèce hypocrite.tu as été couyone dans ton propre bureau les millions que a distribuer.

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    il y a 2 ans

    Les Touré du Saloum c'est Cheikhou Touré qui les avait chassés de la Guinée aussi ?

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    Anonyme il y a 2 ans

    De 125 députés en 2019, le nombre de députés BBY a chuté en  juillet 2022 à 82. C’est la loi Murphy du crash qui joue pleinement et de plein effet. Cette tendance inexorable baissière  s’inscrit dans les convulsions populaires de mars 2020. Il ne faut pas s’entêter ni s’aveugler sur des réalités objectives et concrètes omniprésentes qui suivent leurs cours comme un fleuve tranquille. Tout ce qui monte finit par descendre. Il ne faut pas avoir l’échine raide mais savoir se plier au gré des convulsions et des circonstances. Il se fait tard, sans délai, se mettre à préparer la relève dans ses rangs dans l’ordre et la discipline sans tergiversation ni hésitations aucunes. Le temps est compté .

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    Anonyme il y a 2 ans

    De 125 députés en 2019, le nombre de députés BBY a chuté en  juillet 2022 à 82. C’est la loi Murphy du crash qui joue pleinement et de plein effet. Cette tendance inexorable baissière  s’inscrit dans les convulsions populaires de mars 2020. Il ne faut pas s’entêter ni s’aveugler sur des réalités objectives et concrètes omniprésentes qui suivent leurs cours comme un fleuve tranquille. Tout ce qui monte finit par descendre. Il ne faut pas avoir l’échine raide mais savoir se plier au gré des convulsions et des circonstances. Il se fait tard, sans délai, se mettre à préparer la relève dans ses rangs dans l’ordre et la discipline sans tergiversation ni hésitations aucunes. Le temps est compté .

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    Anonyme il y a 2 ans

    De 125 députés en 2019, le nombre de députés BBY a chuté en  juillet 2022 à 82. C’est la loi Murphy du crash qui joue pleinement et de plein effet. Cette tendance inexorable baissière  s’inscrit dans les convulsions populaires de mars 2020. Il ne faut pas s’entêter ni s’aveugler sur des réalités objectives et concrètes omniprésentes qui suivent leurs cours comme un fleuve tranquille. Tout ce qui monte finit par descendre. Il ne faut pas avoir l’échine raide mais savoir se plier au gré des convulsions et des circonstances. Il se fait tard, sans délai, se mettre à préparer la relève dans ses rangs dans l’ordre et la discipline sans tergiversation ni hésitations aucunes. Le temps est compté .

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    Pleurs il y a 2 ans

    La capacité de contorsion dont font montre certains profs. (Ismaêl et tutti quanti ou touti kanté) est sidérant. Triste fin des apprentis "après-dieu".

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    Pleurs il y a 2 ans

    La capacité de contorsion dont font montre certains profs. (Ismaêl et tutti quanti ou touti kanté) est sidérant. Triste fin des apprentis "après-dieu".

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    il y a 2 ans

    Le ministre de l'agriculture le plus nul et le plus corrompu de ces 12 dernières années. Il passe son temps à vendre les dotations en semences et en engrais. Il forme avec son directeur de cabinet un certain Moussa Mbaye, un inspecteur du trésor, une bande de crapules. Les dotations sont délivrées contre échange d'espèces sonnantes et trébuchantes. La nouvelle assemblée devra diligenter une enquête sur ces marchés opaques. L'ARMP voulait casser ce marché de fournitures en intrants agricoles, mais ce vulgaire voleur a prétexté l'urgence, mais quelle urgence puisque avec la guerre russo ukrainienne il n'y avait pas beaucoup d'engrais sur le marché. On devra vérifier si tous ceux qui ont reçu des dotations ont réellement mis ces produits à la disposition de nos pauvres producteurs. Aucune réunion de coordination pour évaluer le travail des opérateurs privés. Certains sont écartés puisqu'ils refusent de donner de l'argent. Ce secteur est devenu un moyen de blanchir de l'argent sale. Des étrangers et notamment des indiens bénéficient de ces marchés contre de l'argent. Un dossier explosif dans ce secteur  est en préparation et il sortira bientôt. Macky Sall ne peut pas ne pas être au courant puisque c'est lui qui valide la liste.

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    il y a 2 ans

    Je pense que rien ne peut empêcher les politiciens de l'apr de faire dans la politique de l'autruche. Dès que la tête est dans le noir ils se croient  bien invisibles . Comment peut on avoir perdu la majorité à l'assemblée nationale face à l'opposition pour la première fois dans l'histoire politique du Sénégal ( ce qui s'est passé le 31 juillet est inédit . Ce n'était jamais arrivé depuis que le Sénégal existe .) et en même temps se mettre à faire croire à soi même qu'on est satisfait de ce résultat. Ça alors . Nous n'avons jamais eu dans le pays des politiciens qui font autant dans le déni de la réalité . Laissons les se leurrer eux même . Quand ils seront complètement enterrés dans quelques mois même s'ils ne s'arrêtent pas de parler , plus personne ne les entendra . Ce genre de politiciens n'a jamais existé au Sénégal . Il nous faut rester très vigilant pour les mettre définitivement hors d'état de nuire et pour nous en débarrasser cette fois sans équivoque . . Niakk diomm, rey lameigne. Qu'est ce nous avons fait au bon Dieu pour avoir cette espèce de dirigeants sans foi ni loi , malhonnêtes, sans vergogne , menteurs , affabulateurs , detourneurs de deniers publics . De véritables flibustiers . Des aventuriers sortis d'on ne sait où . 

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    VERITE il y a 2 ans

    Puisque l'opposition a la majorité. donc ils n'ont qu'à proposer la criminalisation de LGBT.

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    éclairage .... il y a 2 ans

     Les ingrédients d’une crise postélectorale semblent réunis au Sénégal, après la tenue des élections législatives, dimanche 31 juillet. Un pouvoir dont la majorité ne tient plus qu’au ralliement d’au moins un député, une opposition qui dénonce un hold-up et menace de ne pas se laisser « confisquer la victoire ». La question est désormais de savoir si la contestation se jouera devant la justice ou se déversera dans les rues. Depuis mars 2021, la vie politique a provoqué la mort d’au moins dix-sept Sénégalais. Les ingrédients d’une crise postélectorale semblent réunis au Sénégal, après la tenue des élections législatives, dimanche 31 juillet. Un pouvoir dont la majorité ne tient plus qu’au ralliement d’au moins un député, une opposition qui dénonce un hold-up et menace de ne pas se laisser « confisquer la victoire ». La question est désormais de savoir si la contestation se jouera devant la justice ou se déversera dans les rues. Depuis mars 2021, la vie politique a provoqué la mort d’au moins dix-sept Sénégalais. Les ingrédients d’une crise postélectorale semblent réunis au Sénégal, après la tenue des élections législatives, dimanche 31 juillet. Un pouvoir dont la majorité ne tient plus qu’au ralliement d’au moins un député, une opposition qui dénonce un hold-up et menace de ne pas se laisser « confisquer la victoire ». La question est désormais de savoir si la contestation se jouera devant la justice ou se déversera dans les rues. Depuis mars 2021, la vie politique a provoqué la mort d’au moins dix-sept Sénégalais. La démocratie fonctionne encore mais jamais le fossé entre dirigeants et opposants n’a paru aussi grand. Le premier pôle est incarné par le président Macky Sall, qui s’efforce avec la même vigueur depuis 2012 de développer son pays et de réduire comme il l’avait promis « l’opposition à sa plus simple expression ». Ses réalisations économiques sont aussi visibles que l’échec de son second pari. Si ces législatives avaient valeur de référendum sur une éventuelle candidature à un troisième mandat présidentiel en 2024, le message est là : plus de la moitié des votants se sont portés sur l’opposition. Le deuxième pôle est représenté par une figure moins iconoclaste qu’elle n’y paraît dans cette vie politique sénégalaise où se mélangent depuis des décennies personnalités formées à l’extrême gauche et d’autres, proches des confréries religieuses. Pourfendeur de la corruption du pouvoir en place, promoteur de valeurs conservatrices, bien qu’il soit accusé de « viols et menaces de mort » dans un salon de massage, Ousmane Sonko est le reflet d’un certain populisme dans l’air du temps. Il a aussi émergé parce que Macky Sall a neutralisé ses autres rivaux. « Le Sénégal est une démocratie sans démocrates, où les deux leaders ne semblent pas intérioriser les principes du débat contradictoire », souligne le professeur de sciences politiques Derrière ces deux figures apparaissent en filigrane deux Sénégal, l’un dans lequel se retrouvent schématiquement les bénéficiaires de la croissance et l’autre habité de ceux, souvent jeunes, qui attendent dans leur quotidien bien plus qu’un discours autosatisfait du pouvoir. Une troisième voie mériterait d’être entendue. Plus de la moitié des Sénégalais se sont abstenus dimanche. « Tripatouillages » constitutionnels Cette crise de confiance est symptomatique de l’évolution de l’Afrique de l’Ouest francophone qui, il y a à peine dix ans, pouvait se targuer de ses progrès démocratiques et voit aujourd’hui les régimes se maintenir par des « tripatouillages » constitutionnels, et les coups d’Etat militaires se succéder. Déjà en souffrance au Mali, la France peut s’inquiéter de sa relation avec le Sénégal, pays avec lequel elle entretient une intimité complexe. Macky Sall, actuel président de l’Union africaine, est un partenaire privilégié, qui défend aussi les intérêts de son pays et de son continent. Après Vladimir Poutine, il devrait rencontrer Volodymyr Zelensky en août. Un an avant son entrée programmée dans le club des producteurs de pétrole et de gaz, le Sénégal attise aussi les convoitises. A Paris, l’éventualité Sonko fait frémir. La Russie a tout intérêt à faire les yeux doux à un jeune tribun « anticolonialiste ». L’intérêt de l’Elysée est aujourd’hui de convaincre M. Sall de sortir par le haut en 2024 et d’ouvrir le jeu politique à des talents dont le Sénégal ne peut pas manquer. Dans le cas contraire, des protestations, où les intérêts français seront inévitablement visés, ne manqueront pas d’accompagner le maintien du sortant. Une arrivée au pouvoir d’Ousmane Sonko serait, elle, le signe d’un certain rejet populaire, préfigurant une rupture avec un pays central dans la relation de la France à l’Afrique

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    il y a 2 ans

    Vers l’invalidation de l’élection de Guy Maruis Sagna.

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    il y a 2 ans

    B­o­­­n­j­­­o­­­u­­r, j­­e m'a­p­­­p­e­lle Alisa, j'ai 21 ans) Dé­­bu­t du mo­­dèle S­E­­­X­­­E 18+) J'a­­ime êt­re photo­­grap­hiée n­u­­e) Veuil­­lez noter me­­s phot­­os à l'adr­­­esse su­­iva­­nte >> W­­­W­­W­­­.­­­X­­2­1.­­­F­­­U­­­N

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    il y a 2 ans

    B­­­o­n­j­­o­­­u­r, j­­e m'a­­­p­p­­­e­lle Alisa, j'ai 21 a­ns) Dé­­bu­t du mo­­dè­le S­­­E­­X­­E 18+) J'a­­­ime êt­­­re pho­­to­­grap­­hi­ée n­­­u­­e) V­­­e­­u­i­l­­lez no­­ter me­­s phot­­­os à l'adr­esse su­i­­va­­nte >> W­­­W­W­­.­­X­­2­­­1.­­­F­­­U­N id06030345

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    il y a 2 ans

    B­­o­­n­j­­o­­u­­­r, j­­­e m'a­­­p­­p­­­e­lle Alissia, j'ai 21 a­­­ns) Dé­­­bu­­­t du mo­­dè­­­le S­­E­­­X­­E 18+) J'a­­­ime êt­­re pho­­to­grap­­hi­­­ée n­u­­­e) V­­­e­­­u­­­i­­­l­­lez no­ter me­s phot­­os à l'adr­­­esse su­­i­­­va­nte - W­­W­W­.­X­­­2­­1.­F­­U­­­N id01288840

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