Un nouveau cas de suicide agite Ngoyé, une commune située dans la région de Diourbel. Babacar Sène s'est donné la mort par pendaison dans la maison familiale au village de Khandiar. Selon la Rfm, la victime, âgée de 46 ans, suivait des soins traditionnels. La source ajoute que ce drame porte à neuf le nombre de cas de suicide recensés dans la localité en moins d'un an.
Auteur: Seneweb News
Comments (7)
Cette partie du Sénégal qui est le Baol, ils sont trés fanatiques, rien dans leurs têtes, ils sont pris en otage par le secte maraboutique Mbacké Mbacké, ils ne savent même pas que le suicide est bani en l'islam.
le baol est l'ancienne province la plus confondue. le baol d'hier ne correspond pas au baol d'aujourd'hui. le baol d'aujourd'hui, c'est autour de khombole, réfan, ngoundiane, bambey... le baol d'hier avait comme comptoir commercial saly portudal. c'est vrai c'est peuplé de beaucoup de gens peu lettré et entre les tradition wolof/sérére..donc, un peu paumés.,
Le pse a nourri tes parents
c'est a cause du pse
Les suicides sont nombreux en milieu serere et peul parce qu'ils sont très fiers et n'aiment pas la honte contrairement aux wolofs niakk diome
le suicide est un acte de lacheté. Il faut affronter les difficultés
Que Dieu nous préserve du stress et de la dépression surtout causée par les gens qui nous entourent
Les Sénégalais sont fatigués et stressés
RIP!! Mais gnakk diiné ak ngueum, je pene ci la bokk.
Arrêtez de juger aussi rapidement ! C'est facile de fustiger quand on n'est pas dans la peau de la personne. La plupart des personnes qui se donnent la mort ne sont plus dans un état psychique stable au moment des faits. C'est très facile de toujours utiliser la réligion.
C'est dans ces zone qu'on trouve les plus grands talibés mourides fanatiques. Ils sont tellement dévoués à satisfaire les caprices de leurs serignes qu'ils s'oublient. Les serignes ayant compris qu'ils sont en terre conquise, multiplient les exigences et les " sass ". La réalité les rattrape , ils font face à leurs besoins et à ceux de leurs familles auxquels ils n'ont aucune solution. Le temps qu'ils devaient passer à chercher des moyens et des solutions pour leurs propres problèmes, ils l'ont passé à servir d'esclave à leurs marabouts. Ils se retrouvent dans un étau qui continue de serrer jusqu'à l'étranglement.
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