Apparement tonton Amadou passe a l'offensive. Il commence a comprendre que c est un match de gladiateurs et la seule facon de survivre c est de gagner le combat. Il faudra descendre dans l arene. Quant au Tonton ecrivain il y a encore des gens pour soutenir ce genre d energumenes. Un pays ou les gens font des choses aux antipodes de la religion, de la morale et de l ethique mais qu on absout des qu ils font quelques sorties fumantes.
L'énoncé des chapitres m'inquiète.
L'ensemble de ces sujets aurait pu tenir en 3 ou 4 chapitres.
Il manque les questions de
Vision et d'horizon
Les programmez économiques et la tendance des résultats
La vision sécuritaire
La stratégie régionale, sous régionale, africaine et internationale
La puissance armée les partenariats et engagements
La politique sociale
L'intégrité territoriale
Le culturel
L'éducation
avez une hépatite B chronique avec une charge virale de 200 depuis plus de 5 ans et qui a entraîné une cirrhose du foie. J'ai été guérie avec les produits à base de plantes du Docteur Nelson Salim. Je suis tombé sur ses annonces sur cette page avec des séries de témoignages. J'ai décidé d'essayer le phytothérapeute et j'ai passé une commande pour ses produits que j'ai reçus à mon adresse via DHL - service dans les 4 jours, et avec ses instructions, j'ai utilisé le produit pendant 21 jours. Après avoir terminé les traitements à base de plantes selon les directives du phytothérapeute, j'ai effectué un test d'hépatite et mon résultat était négatif, sans aucune trace du virus dans mon sang. Je le recommande à toute personne atteinte de VPH, fibrome, arthrite, prostate, herpès, MPOC, psoriasis. Ses infos. E-mail; drnelsonsalim10@gmail.com
ajoutez-le sur le texte WhatsApp : +212711099960
Je préfère écouter Sa Ndiogou et Cheikh Bara Ndiaye que de lire Cheikh Yerim. Cheikh Bara nous a déjà décortiqué tous ces points dans ses rubriques quotidiens.
Rires, il n'a pas encore digéré son emprisonnement de vieux violeur. Il jouait le jeu rek mais il l'a toujours à travers la gorge.
Rien de vraiment 9 puisque nous savons déjà tout ça. On s'attendait à des révélations croustillantes sur le CLAN mais que nenni.
Si ce livre est un résumé des scandales à gogo des 11 ans de Macky, il n'y a donc rien de 9 et ce livre est donc tout sauf un brûlot comme on essaye de nous le faire croire.
la Constitution de 2001 les deux premières résolutions : limitation des mandats à deux et quinquennat. Mais a systématiquement refusé d’admettre l’interdiction du cumul des fonctions de chef d’Etat et de chef de parti.
En résumé, on peut légitimement se poser la question de savoir sur quel argument juridique pertinent pourraient se fonder les partisans du 3ème mandat, pour faire croire que le Président Sall pourrait composter allègrement un billet non valide et prendre le train en marche de l’élection présidentielle de 2024 ? Comment croire que les membres du Conseil Constitutionnel pourraient valider un tel billet sans renier leur propre jurisprudence et sans violer les dispositions claires de la Constitution ?
MACKY SALL FACE A SON DESTIN ET A CELUI DU SENEGAL
Il faut faire attention. Le Sénégal n’est pas la Guinée. Et le Président Sall peut se frayer une sortie autre que celle de Alpha Condé. Il est face à son destin. A lui de choisir : ou imposer l’épreuve de force où il a tout à perdre, ou se hisser au rang de garant de l’unité nationale et de la paix civile en prenant courageusement les mesures correctives ou de sauvegarde de l’Unité nationale et de la paix civile.
La société sénégalaise est en crise profonde : crise morale, crise politique, crise sociale, crise des institutions. Elle connaît des fractures profondes qui doivent être lucidement analysées et courageusement traitées. Notre système démocratique est en panne et connaît même des régressions : l’exercice des libertés publiques est souvent un vain mot. La prison est devenue une variable d’ajustement politique. Notre justice est défaillante et peine à s’affranchir des contraintes politiques au plan pénal. Notre système éducatif est lui-même en crise à tous les niveaux d’enseignement. Une explosion à caractère politique et social, du type de celui de mars 2021 ou d’un autre type aussi grave n’est pas à écarter
Avant même de faire des conjectures sur ce que le gaz ou le pétrole allaient rapporter au budget du Sénégal il faut, à très court terme, que le Président de la République en exercice, chef de l’État, garant de l’unité nationale et de la paix civile et sociale, se fasse violence et s’élève au-dessus des passions et ne perde pas de vue que le pouvoir dure un temps et ne doit être exercé que dans l’intérêt général. Et cet intérêt général commande qu’il fasse des compromis et prépare dans de bonnes conditions la plus importante échéance politique de 2024, l’élection présidentielle
La démocratie n’est après tout que l’art de faire des compromis, comme le Président Abdou Diouf a eu à le faire à deux reprises, en discutant avec son principal challenger et en formant par deux fois des gouvernements d’union nationale qui ont permis la confection du premier code électoral consensuel du Sénégal en 1992.
Les mesures d’apaisement qui nous paraissent aller dans ce sens sont de deux ordres : Les unes sont individuelles et les autres portent sur les conditions d’une bonne élection. Les mesures d’amnistie intéressant particulièrement des leaders politiques tels que Khalifa Ababacar Sall et Karim Wade doivent très rapidement être traduites en actes législatifs pour que l’élection de 2024 soit ouverte. La libération de tous les prisonniers dont les détentions sont totalement ou partiellement liées à des motifs politiques ou sont les conséquences de prise de position politique doit être effective.
L’emprisonnement de deux députés du Pur, suite à une bagarre dans l’enceinte de l’Assemblée nationale au cours d’une séance de celle-ci, et impliquant une femme députée ne paraît pas tout à fait conforme au droit. En dehors de toute passion, ce cas relève de la police intérieure de l’Assemblée réglementée par le règlement intérieur de l’Assemblée en son chapitre XIV, articles 53 à 59 (Pour autant que ce règlement intérieur est applicable). «Dans les cas exceptionnels susceptibles de bloquer les travaux tels que : injures, invectives, menaces, bagarre ou agressions, le Président de l’Assemblée nationale peut prononcer l’expulsion temporaire de l’Assemblée». A rapprocher de l’article 53 alinéa 3 : «En cas de crime ou de délit, il fait dresser un procès-verbal et saisit immédiatement le Procureur de la République. Il en rend compte au Bureau de l’Assemblée nationale». Mais pour que le procureur puisse engager une procédure pénale dans ce cas, il doit demander la levée de l’immunité parlementaire de ces députés. En effet ces dispositions de police intérieure sont à distinguer des dispositions du chapitre XIII relatif à l’immunité et plus précisément de l’alinéa 3 du chapitre XIII qui fait référence au cas de flagrant délit ou (fuite) pour délit ou crime commis par le député en dehors de l’Assemblée (dans la vie civile). L’Assemblée a-t-elle levé l’immunité des deux députés ? J’en doute. Le Président de l’Assemblée n’aurait-il pas pu s’en tenir aux sanctions qu’il tient de son pouvoir de police, quitte à ce qu’une solution autre puisse être trouvée dans le cadre de l’Assemblée ? Je le crois.
Enfin, et cela ne relève ni de l’Assemblée nationale et ni du Président de la République, le juge d’instruction de l’affaire dite Sweet-Beauty opposant M. Ousmane Sonko et la dame Adj Sarr, alléguant de viols répétitifs sur sa personne dans le cadre de son lieu de travail qui s’avère être une maison d’habitation aussi, pourrait délivrer les Sénégalais rapidement de leurs peurs, inquiétudes et commentaires malveillants, en rendant une ordonnance qui, dans notre entendement de juriste, ne saurait être qu’un non-lieu, eu égard à tous les éléments entourant cette affaire et étalés dans la presse, et eu égard surtout aux circonstances de lieu et de temps de la prétendue commission de l’infraction décrites par la plaignante même sur un plateau de télévision. Contrairement à ce qui est dit, le juge ne prend pas sa décision uniquement sur la base de son intime conviction. Mais sur les éléments probants qui pourraient caractériser l’infraction et sur l’ensemble des faits attestés qui entourent cette affaire. L’on se demande toujours comment cette affaire a pu franchir l’obstacle de l’enquête préliminaire. Quant aux mesures relatives à de bonnes conditions de déroulement de l’élection de 2024, il paraît urgent de revisiter certaines dispositions du code électoral rendues illisibles ou impraticables à force d’ajouts et de rajouts.
Kader Boye est ancien recteur de l’Université Cheikh Anta Diop (Ucad), ancien doyen de la faculté des Sciences juridiques et politiques de l’Ucad.
POST SCRIPTUM Cet article a été entièrement rédigé et remis à l’éditeur lorsqu’éclata sur les réseaux sociaux l’affaire du post vidéo de Monsieur Ismaïla Madior Fall, ministre de la Justice, Garde des Sceaux. Ses déclarations sont d’une gravité telle que je considère que ce ministre représente un danger pour les institutions. Et par suite, devrait être démis de ses fonctions si le chef de l’État considère que notre Constitution est la Charte fondamentale de notre pays.
Seneweb. Qu est ce que ces chapitres ont d'explosif ??? mais connaissant cheikh yerim il va bientôt nous dire qu'il sait des choses que personne ne sait actuellement au Sénégal et qu'on va voir ce qu'on va voir
L'autre scandale que j'attendais de voir dans le livre c'est le deal qui aura sauvé le fils de Yerim Seck d'un viol indiscutable sur une fillette, suivi de publication d'images.
Tout simplement parceque la fillette a été déshumanisée sur cette affaire. Son honorabilité à jamais souillée.
Le livre aurait dû nous en parler car c'est l'exemple parfait de l'impunité clanique et d'une justice hautement manipulée sous MACKY sall.
Quant à l'affaire de Ousmane Sonko qui arrangerait MACKY, juste le titre présage la manipulation. De rappelle face à pape ngagne Yerim clamait connaître de l'affaire ce que personne ne savait et j'espère que l'occasion s'est présenté avec le livre pour nous dire ce que tout le monde ignore.
Seneweb vous avez un travail pour un article sur le chapitre.
En tout cas c'est le photographe français du palais, Lionel Mandeix, qui a fourni la photo de couverture du livre. Jusqu'où y a t il compromission ou collusion la est la question.
22 chapitres c'est trop...les idées auraient pu être organisées autrement. Ça fait celui qui saute d'idée à idée ou d'évènement à évènement.
Nos journalistes, se cultivent ils , lisent ils ?
la Constitution de 2001 les deux premières résolutions : limitation des mandats à deux et quinquennat. Mais a systématiquement refusé d’admettre l’interdiction du cumul des fonctions de chef d’Etat et de chef de parti.
En résumé, on peut légitimement se poser la question de savoir sur quel argument juridique pertinent pourraient se fonder les partisans du 3ème mandat, pour faire croire que le Président Sall pourrait composter allègrement un billet non valide et prendre le train en marche de l’élection présidentielle de 2024 ? Comment croire que les membres du Conseil Constitutionnel pourraient valider un tel billet sans renier leur propre jurisprudence et sans violer les dispositions claires de la Constitution ?
MACKY SALL FACE A SON DESTIN ET A CELUI DU SENEGAL
Il faut faire attention. Le Sénégal n’est pas la Guinée. Et le Président Sall peut se frayer une sortie autre que celle de Alpha Condé. Il est face à son destin. A lui de choisir : ou imposer l’épreuve de force où il a tout à perdre, ou se hisser au rang de garant de l’unité nationale et de la paix civile en prenant courageusement les mesures correctives ou de sauvegarde de l’Unité nationale et de la paix civile.
La société sénégalaise est en crise profonde : crise morale, crise politique, crise sociale, crise des institutions. Elle connaît des fractures profondes qui doivent être lucidement analysées et courageusement traitées. Notre système démocratique est en panne et connaît même des régressions : l’exercice des libertés publiques est souvent un vain mot. La prison est devenue une variable d’ajustement politique. Notre justice est défaillante et peine à s’affranchir des contraintes politiques au plan pénal. Notre système éducatif est lui-même en crise à tous les niveaux d’enseignement. Une explosion à caractère politique et social, du type de celui de mars 2021 ou d’un autre type aussi grave n’est pas à écarter
Avant même de faire des conjectures sur ce que le gaz ou le pétrole allaient rapporter au budget du Sénégal il faut, à très court terme, que le Président de la République en exercice, chef de l’État, garant de l’unité nationale et de la paix civile et sociale, se fasse violence et s’élève au-dessus des passions et ne perde pas de vue que le pouvoir dure un temps et ne doit être exercé que dans l’intérêt général. Et cet intérêt général commande qu’il fasse des compromis et prépare dans de bonnes conditions la plus importante échéance politique de 2024, l’élection présidentielle
La démocratie n’est après tout que l’art de faire des compromis, comme le Président Abdou Diouf a eu à le faire à deux reprises, en discutant avec son principal challenger et en formant par deux fois des gouvernements d’union nationale qui ont permis la confection du premier code électoral consensuel du Sénégal en 1992.
Les mesures d’apaisement qui nous paraissent aller dans ce sens sont de deux ordres : Les unes sont individuelles et les autres portent sur les conditions d’une bonne élection. Les mesures d’amnistie intéressant particulièrement des leaders politiques tels que Khalifa Ababacar Sall et Karim Wade doivent très rapidement être traduites en actes législatifs pour que l’élection de 2024 soit ouverte. La libération de tous les prisonniers dont les détentions sont totalement ou partiellement liées à des motifs politiques ou sont les conséquences de prise de position politique doit être effective.
L’emprisonnement de deux députés du Pur, suite à une bagarre dans l’enceinte de l’Assemblée nationale au cours d’une séance de celle-ci, et impliquant une femme députée ne paraît pas tout à fait conforme au droit. En dehors de toute passion, ce cas relève de la police intérieure de l’Assemblée réglementée par le règlement intérieur de l’Assemblée en son chapitre XIV, articles 53 à 59 (Pour autant que ce règlement intérieur est applicable). «Dans les cas exceptionnels susceptibles de bloquer les travaux tels que : injures, invectives, menaces, bagarre ou agressions, le Président de l’Assemblée nationale peut prononcer l’expulsion temporaire de l’Assemblée». A rapprocher de l’article 53 alinéa 3 : «En cas de crime ou de délit, il fait dresser un procès-verbal et saisit immédiatement le Procureur de la République. Il en rend compte au Bureau de l’Assemblée nationale». Mais pour que le procureur puisse engager une procédure pénale dans ce cas, il doit demander la levée de l’immunité parlementaire de ces députés. En effet ces dispositions de police intérieure sont à distinguer des dispositions du chapitre XIII relatif à l’immunité et plus précisément de l’alinéa 3 du chapitre XIII qui fait référence au cas de flagrant délit ou (fuite) pour délit ou crime commis par le député en dehors de l’Assemblée (dans la vie civile). L’Assemblée a-t-elle levé l’immunité des deux députés ? J’en doute. Le Président de l’Assemblée n’aurait-il pas pu s’en tenir aux sanctions qu’il tient de son pouvoir de police, quitte à ce qu’une solution autre puisse être trouvée dans le cadre de l’Assemblée ? Je le crois.
Enfin, et cela ne relève ni de l’Assemblée nationale et ni du Président de la République, le juge d’instruction de l’affaire dite Sweet-Beauty opposant M. Ousmane Sonko et la dame Adj Sarr, alléguant de viols répétitifs sur sa personne dans le cadre de son lieu de travail qui s’avère être une maison d’habitation aussi, pourrait délivrer les Sénégalais rapidement de leurs peurs, inquiétudes et commentaires malveillants, en rendant une ordonnance qui, dans notre entendement de juriste, ne saurait être qu’un non-lieu, eu égard à tous les éléments entourant cette affaire et étalés dans la presse, et eu égard surtout aux circonstances de lieu et de temps de la prétendue commission de l’infraction décrites par la plaignante même sur un plateau de télévision. Contrairement à ce qui est dit, le juge ne prend pas sa décision uniquement sur la base de son intime conviction. Mais sur les éléments probants qui pourraient caractériser l’infraction et sur l’ensemble des faits attestés qui entourent cette affaire. L’on se demande toujours comment cette affaire a pu franchir l’obstacle de l’enquête préliminaire. Quant aux mesures relatives à de bonnes conditions de déroulement de l’élection de 2024, il paraît urgent de revisiter certaines dispositions du code électoral rendues illisibles ou impraticables à force d’ajouts et de rajouts.
Kader Boye est ancien recteur de l’Université Cheikh Anta Diop (Ucad), ancien doyen de la faculté des Sciences juridiques et politiques de l’Ucad.
POST SCRIPTUM Cet article a été entièrement rédigé et remis à l’éditeur lorsqu’éclata sur les réseaux sociaux l’affaire du post vidéo de Monsieur Ismaïla Madior Fall, ministre de la Justice, Garde des Sceaux. Ses déclarations sont d’une gravité telle que je considère que ce ministre représente un danger pour les institutions. Et par suite, devrait être démis de ses fonctions si le chef de l’État considère que notre Constitution est la Charte fondamentale de notre pays.
On sent l'ouvrage écrit à la hâte, avec des commentaires à la petite semaine.
Le problème de nos journalistes, c'est que leurs livres sont souvent une compilation de commentaires de l'actualité et jamais une recherche de fond patiente.
D'accord avec le bilan dressé de la gestion catastrophique de maky sall et de sa cohorte de partisans.
Mais de MAMADOU IBRA KANE à LATIF COULIBALY en passant par CHEIKH YERIM, nos journalistes ont du mal à sortir de l'actualité et à prendre de la hauteur. Ils sont dans le factuel.
Je sais qu'une telle capacité d'abstraction suppose qu'on ait beaucoup de culture historique, philosophique, littéraire.
Malheureusement ce n'est pas la direction que prennent les choses car journaliste au Sénégal aujourd'hui, c'est pas très glorieux. Il suffit d'écouter ou de lire. De sérieux problèmes d'expression !!!
Si c est vrai Yerim Seck a trahit le deal pour sa liberté conditionnelle. Il va le payer très cher et son fils violeur va retourner en prison.
C'est quoi ces conneries encore ? Yerim Seck ne nous apprend absolument rien qu'on ne sait pas déjà sur Macky Sall. Et seneweb.com veut lui servir de tribune publicitaire pour nous faire acheter ce condensé de conneries. Un torchon.
Je suis sûr, sans l'avoir lu, que les 2 expressions favorites de Yerim figurent dans ce bouquin : " les lambris dorés du palais " et le mot " pedigree" . Il traine ces 2 expressions partout pour les répéter à tout va pour épater la galerie.
Yerim Seck prend vraiment les sénégalais pour des canards sauvages. Il était sorti par une petite porte dérobée de la vie publique et espère revenir par la grande porte de l'histoire en nous servant ce torchon sur Macky Sall, le président le plus détesté de l'histoire politique du Sénégal. Yerim, on t'a vu venir de loin. Peine perdue.
Sur Seneweb, leur champs lexical est tellement maigre qu'ils sont incapables de titrer leurs articles au-delà des termes "explosives, impitoyables, ou terribles révélations, tel se prononce, tel enfonce, tel défonce ou tel fracasse, surprenantes, inattendues, ou extraordinaires réactions, ..." Pauvre presse!
Quand j'étais petite un journaliste savait lire et faire un commentaire explicatif. Quand j'étais petite un journaliste pouvait me faire parcourir un livre par son commentaire. maintenant que j'ai grandi les journalistes me présentent le sommaire en guise commentaire. Senghor, Iba Der, Sada Kane ... vous me manquez!
Seneweb n'est pas un site de journalistes mais de copie/colle
Et seneweb n'a pas de journaliste mais d'anciens chomeurs devenus moderateurs, copieur de contenus appartenent à d'autres VRAIS PRESSES en ligne...
Chez Seneweb ils ne savent meme pas découper une vidéo, défois il te balance une vidéo de 2h pour te parler d'un sujet de 1 mn...de vrais tocards pour résumer,ils ont juste eu la chance d'etre les premiers connus mais niveau qualité de travails on est encore à des siècles lumiéres...je me demande s'ils ne sont pas meme le reflet de la société sénégalaise...
Je sais tu dois te rendre à la Cité damel face au stade père léo SS
Tu y trouverai du jus naturel, des fruit naturel et du très bon ngalax
Sur Seneweb, leur champs lexical est tellement maigre qu'ils sont incapables de titrer leurs articles au-delà des termes "explosives, impitoyables, ou terribles révélations, tel se prononce, tel enfonce, tel défonce ou tel fracasse, surprenantes, inattendues, ou extraordinaires réactions, ..." Pauvre presse!
Wooooow !!!! Franchement les Senewebiens vous êtes GÉNIAUX 🤩 Que Le Seigneur Sublimissime vous récompense pour votre générosité, votre sollicitude, amin, Ça me fait vraiment chaud au coeur que vous ayez été si nombreux à m'apporter votre précieuse aide , love y'all 🧡 🧡 🧡
Je n'ai pas vu SENINDIA citée à côté des chinois. Mais bon j'attends de lire
le livre. Waka entre temps Cheikh Yérim Seck a été corrompu parles
concitoyens de Modi à Dakar.
HA LES LIVRES LES PUBLICATIONS ET LES JOURNALISTES AUTEURS SENEGALAIS !!!!!!! TOUJOURS UNE COMPILATION DE L'ACTUALITE OU DES REVUES DE PRESSE DE TOUS LES JOURS !!!!!!!!!!!
Comments (39)
Bonjour, je m'appelle Alisia, j'ai 21 ans) Début du modèle SEXE 18+) J'aime être photographiée nue) Veuillez noter mes photos à l'adresse suivante -- WWW.X21.FUN id07394143
Bonjour, je m'appelle Alissa, j'ai 21 ans) Début du modèle SEXE 18+) J'aime être photographiée nue) Veuillez noter mes photos à l'adresse suivante ->>> WWW.X21.FUN id02964941
Bonjour, je m'appelle Alisia, j'ai 21 ans) Début du modèle SEXE 18+) J'aime être photographiée nue) Veuillez noter mes photos à l'adresse suivante -- WWW.X21.FUN id08980674
Bonjour, je m'appelle Alisa, j'ai 21 ans) Début du modèle SEXE 18+) J'aime être photographiée nue) Veuillez noter mes photos à l'adresse suivante ->>> WWW.X21.FUN
"ASC Thiappal" l'equipe des 16 "yolom guénios dirige par l'entraineuse Adji SARR :xaxataay: :xaxataay:
On n'écoute pas macky On ne lit pas macky On attend février pour qu'il degage
Apparement tonton Amadou passe a l'offensive. Il commence a comprendre que c est un match de gladiateurs et la seule facon de survivre c est de gagner le combat. Il faudra descendre dans l arene. Quant au Tonton ecrivain il y a encore des gens pour soutenir ce genre d energumenes. Un pays ou les gens font des choses aux antipodes de la religion, de la morale et de l ethique mais qu on absout des qu ils font quelques sorties fumantes.
L'énoncé des chapitres m'inquiète. L'ensemble de ces sujets aurait pu tenir en 3 ou 4 chapitres. Il manque les questions de Vision et d'horizon Les programmez économiques et la tendance des résultats La vision sécuritaire La stratégie régionale, sous régionale, africaine et internationale La puissance armée les partenariats et engagements La politique sociale L'intégrité territoriale Le culturel L'éducation
Cys, ce pervers violeur comme sonko, a peur de retourner en tôle. Il ne faut pas gaspiller vos sous pour ce livre c un vrai torchon.
Que fait la gendarmerie des Maristes ? A la cité ÉlisabethDiouf on vient de partout pour y fumer du yamba à l'air libre
"ASC Thiappal" l'equipe des 16 "yolom guénios dirige par l'entraineuse Adji SARR
Que fait la gendarmerie des Maristes ? A la cité ÉlisabethDiouf on vient de partout pour y fumer du yamba à l'air libre
avez une hépatite B chronique avec une charge virale de 200 depuis plus de 5 ans et qui a entraîné une cirrhose du foie. J'ai été guérie avec les produits à base de plantes du Docteur Nelson Salim. Je suis tombé sur ses annonces sur cette page avec des séries de témoignages. J'ai décidé d'essayer le phytothérapeute et j'ai passé une commande pour ses produits que j'ai reçus à mon adresse via DHL - service dans les 4 jours, et avec ses instructions, j'ai utilisé le produit pendant 21 jours. Après avoir terminé les traitements à base de plantes selon les directives du phytothérapeute, j'ai effectué un test d'hépatite et mon résultat était négatif, sans aucune trace du virus dans mon sang. Je le recommande à toute personne atteinte de VPH, fibrome, arthrite, prostate, herpès, MPOC, psoriasis. Ses infos. E-mail; drnelsonsalim10@gmail.com ajoutez-le sur le texte WhatsApp : +212711099960
Je préfère écouter Sa Ndiogou et Cheikh Bara Ndiaye que de lire Cheikh Yerim. Cheikh Bara nous a déjà décortiqué tous ces points dans ses rubriques quotidiens.
Rires, il n'a pas encore digéré son emprisonnement de vieux violeur. Il jouait le jeu rek mais il l'a toujours à travers la gorge.
Rien de vraiment 9 puisque nous savons déjà tout ça. On s'attendait à des révélations croustillantes sur le CLAN mais que nenni. Si ce livre est un résumé des scandales à gogo des 11 ans de Macky, il n'y a donc rien de 9 et ce livre est donc tout sauf un brûlot comme on essaye de nous le faire croire.
la Constitution de 2001 les deux premières résolutions : limitation des mandats à deux et quinquennat. Mais a systématiquement refusé d’admettre l’interdiction du cumul des fonctions de chef d’Etat et de chef de parti. En résumé, on peut légitimement se poser la question de savoir sur quel argument juridique pertinent pourraient se fonder les partisans du 3ème mandat, pour faire croire que le Président Sall pourrait composter allègrement un billet non valide et prendre le train en marche de l’élection présidentielle de 2024 ? Comment croire que les membres du Conseil Constitutionnel pourraient valider un tel billet sans renier leur propre jurisprudence et sans violer les dispositions claires de la Constitution ? MACKY SALL FACE A SON DESTIN ET A CELUI DU SENEGAL Il faut faire attention. Le Sénégal n’est pas la Guinée. Et le Président Sall peut se frayer une sortie autre que celle de Alpha Condé. Il est face à son destin. A lui de choisir : ou imposer l’épreuve de force où il a tout à perdre, ou se hisser au rang de garant de l’unité nationale et de la paix civile en prenant courageusement les mesures correctives ou de sauvegarde de l’Unité nationale et de la paix civile. La société sénégalaise est en crise profonde : crise morale, crise politique, crise sociale, crise des institutions. Elle connaît des fractures profondes qui doivent être lucidement analysées et courageusement traitées. Notre système démocratique est en panne et connaît même des régressions : l’exercice des libertés publiques est souvent un vain mot. La prison est devenue une variable d’ajustement politique. Notre justice est défaillante et peine à s’affranchir des contraintes politiques au plan pénal. Notre système éducatif est lui-même en crise à tous les niveaux d’enseignement. Une explosion à caractère politique et social, du type de celui de mars 2021 ou d’un autre type aussi grave n’est pas à écarter Avant même de faire des conjectures sur ce que le gaz ou le pétrole allaient rapporter au budget du Sénégal il faut, à très court terme, que le Président de la République en exercice, chef de l’État, garant de l’unité nationale et de la paix civile et sociale, se fasse violence et s’élève au-dessus des passions et ne perde pas de vue que le pouvoir dure un temps et ne doit être exercé que dans l’intérêt général. Et cet intérêt général commande qu’il fasse des compromis et prépare dans de bonnes conditions la plus importante échéance politique de 2024, l’élection présidentielle La démocratie n’est après tout que l’art de faire des compromis, comme le Président Abdou Diouf a eu à le faire à deux reprises, en discutant avec son principal challenger et en formant par deux fois des gouvernements d’union nationale qui ont permis la confection du premier code électoral consensuel du Sénégal en 1992. Les mesures d’apaisement qui nous paraissent aller dans ce sens sont de deux ordres : Les unes sont individuelles et les autres portent sur les conditions d’une bonne élection. Les mesures d’amnistie intéressant particulièrement des leaders politiques tels que Khalifa Ababacar Sall et Karim Wade doivent très rapidement être traduites en actes législatifs pour que l’élection de 2024 soit ouverte. La libération de tous les prisonniers dont les détentions sont totalement ou partiellement liées à des motifs politiques ou sont les conséquences de prise de position politique doit être effective. L’emprisonnement de deux députés du Pur, suite à une bagarre dans l’enceinte de l’Assemblée nationale au cours d’une séance de celle-ci, et impliquant une femme députée ne paraît pas tout à fait conforme au droit. En dehors de toute passion, ce cas relève de la police intérieure de l’Assemblée réglementée par le règlement intérieur de l’Assemblée en son chapitre XIV, articles 53 à 59 (Pour autant que ce règlement intérieur est applicable). «Dans les cas exceptionnels susceptibles de bloquer les travaux tels que : injures, invectives, menaces, bagarre ou agressions, le Président de l’Assemblée nationale peut prononcer l’expulsion temporaire de l’Assemblée». A rapprocher de l’article 53 alinéa 3 : «En cas de crime ou de délit, il fait dresser un procès-verbal et saisit immédiatement le Procureur de la République. Il en rend compte au Bureau de l’Assemblée nationale». Mais pour que le procureur puisse engager une procédure pénale dans ce cas, il doit demander la levée de l’immunité parlementaire de ces députés. En effet ces dispositions de police intérieure sont à distinguer des dispositions du chapitre XIII relatif à l’immunité et plus précisément de l’alinéa 3 du chapitre XIII qui fait référence au cas de flagrant délit ou (fuite) pour délit ou crime commis par le député en dehors de l’Assemblée (dans la vie civile). L’Assemblée a-t-elle levé l’immunité des deux députés ? J’en doute. Le Président de l’Assemblée n’aurait-il pas pu s’en tenir aux sanctions qu’il tient de son pouvoir de police, quitte à ce qu’une solution autre puisse être trouvée dans le cadre de l’Assemblée ? Je le crois. Enfin, et cela ne relève ni de l’Assemblée nationale et ni du Président de la République, le juge d’instruction de l’affaire dite Sweet-Beauty opposant M. Ousmane Sonko et la dame Adj Sarr, alléguant de viols répétitifs sur sa personne dans le cadre de son lieu de travail qui s’avère être une maison d’habitation aussi, pourrait délivrer les Sénégalais rapidement de leurs peurs, inquiétudes et commentaires malveillants, en rendant une ordonnance qui, dans notre entendement de juriste, ne saurait être qu’un non-lieu, eu égard à tous les éléments entourant cette affaire et étalés dans la presse, et eu égard surtout aux circonstances de lieu et de temps de la prétendue commission de l’infraction décrites par la plaignante même sur un plateau de télévision. Contrairement à ce qui est dit, le juge ne prend pas sa décision uniquement sur la base de son intime conviction. Mais sur les éléments probants qui pourraient caractériser l’infraction et sur l’ensemble des faits attestés qui entourent cette affaire. L’on se demande toujours comment cette affaire a pu franchir l’obstacle de l’enquête préliminaire. Quant aux mesures relatives à de bonnes conditions de déroulement de l’élection de 2024, il paraît urgent de revisiter certaines dispositions du code électoral rendues illisibles ou impraticables à force d’ajouts et de rajouts. Kader Boye est ancien recteur de l’Université Cheikh Anta Diop (Ucad), ancien doyen de la faculté des Sciences juridiques et politiques de l’Ucad. POST SCRIPTUM Cet article a été entièrement rédigé et remis à l’éditeur lorsqu’éclata sur les réseaux sociaux l’affaire du post vidéo de Monsieur Ismaïla Madior Fall, ministre de la Justice, Garde des Sceaux. Ses déclarations sont d’une gravité telle que je considère que ce ministre représente un danger pour les institutions. Et par suite, devrait être démis de ses fonctions si le chef de l’État considère que notre Constitution est la Charte fondamentale de notre pays.
Seneweb. Qu est ce que ces chapitres ont d'explosif ??? mais connaissant cheikh yerim il va bientôt nous dire qu'il sait des choses que personne ne sait actuellement au Sénégal et qu'on va voir ce qu'on va voir
L'autre scandale que j'attendais de voir dans le livre c'est le deal qui aura sauvé le fils de Yerim Seck d'un viol indiscutable sur une fillette, suivi de publication d'images. Tout simplement parceque la fillette a été déshumanisée sur cette affaire. Son honorabilité à jamais souillée. Le livre aurait dû nous en parler car c'est l'exemple parfait de l'impunité clanique et d'une justice hautement manipulée sous MACKY sall. Quant à l'affaire de Ousmane Sonko qui arrangerait MACKY, juste le titre présage la manipulation. De rappelle face à pape ngagne Yerim clamait connaître de l'affaire ce que personne ne savait et j'espère que l'occasion s'est présenté avec le livre pour nous dire ce que tout le monde ignore. Seneweb vous avez un travail pour un article sur le chapitre.
La couverture du livre ressemble à l'auteur : FOLKLORIQUE.
En tout cas c'est le photographe français du palais, Lionel Mandeix, qui a fourni la photo de couverture du livre. Jusqu'où y a t il compromission ou collusion la est la question.
22 chapitres c'est trop...les idées auraient pu être organisées autrement. Ça fait celui qui saute d'idée à idée ou d'évènement à évènement. Nos journalistes, se cultivent ils , lisent ils ?
la Constitution de 2001 les deux premières résolutions : limitation des mandats à deux et quinquennat. Mais a systématiquement refusé d’admettre l’interdiction du cumul des fonctions de chef d’Etat et de chef de parti. En résumé, on peut légitimement se poser la question de savoir sur quel argument juridique pertinent pourraient se fonder les partisans du 3ème mandat, pour faire croire que le Président Sall pourrait composter allègrement un billet non valide et prendre le train en marche de l’élection présidentielle de 2024 ? Comment croire que les membres du Conseil Constitutionnel pourraient valider un tel billet sans renier leur propre jurisprudence et sans violer les dispositions claires de la Constitution ? MACKY SALL FACE A SON DESTIN ET A CELUI DU SENEGAL Il faut faire attention. Le Sénégal n’est pas la Guinée. Et le Président Sall peut se frayer une sortie autre que celle de Alpha Condé. Il est face à son destin. A lui de choisir : ou imposer l’épreuve de force où il a tout à perdre, ou se hisser au rang de garant de l’unité nationale et de la paix civile en prenant courageusement les mesures correctives ou de sauvegarde de l’Unité nationale et de la paix civile. La société sénégalaise est en crise profonde : crise morale, crise politique, crise sociale, crise des institutions. Elle connaît des fractures profondes qui doivent être lucidement analysées et courageusement traitées. Notre système démocratique est en panne et connaît même des régressions : l’exercice des libertés publiques est souvent un vain mot. La prison est devenue une variable d’ajustement politique. Notre justice est défaillante et peine à s’affranchir des contraintes politiques au plan pénal. Notre système éducatif est lui-même en crise à tous les niveaux d’enseignement. Une explosion à caractère politique et social, du type de celui de mars 2021 ou d’un autre type aussi grave n’est pas à écarter Avant même de faire des conjectures sur ce que le gaz ou le pétrole allaient rapporter au budget du Sénégal il faut, à très court terme, que le Président de la République en exercice, chef de l’État, garant de l’unité nationale et de la paix civile et sociale, se fasse violence et s’élève au-dessus des passions et ne perde pas de vue que le pouvoir dure un temps et ne doit être exercé que dans l’intérêt général. Et cet intérêt général commande qu’il fasse des compromis et prépare dans de bonnes conditions la plus importante échéance politique de 2024, l’élection présidentielle La démocratie n’est après tout que l’art de faire des compromis, comme le Président Abdou Diouf a eu à le faire à deux reprises, en discutant avec son principal challenger et en formant par deux fois des gouvernements d’union nationale qui ont permis la confection du premier code électoral consensuel du Sénégal en 1992. Les mesures d’apaisement qui nous paraissent aller dans ce sens sont de deux ordres : Les unes sont individuelles et les autres portent sur les conditions d’une bonne élection. Les mesures d’amnistie intéressant particulièrement des leaders politiques tels que Khalifa Ababacar Sall et Karim Wade doivent très rapidement être traduites en actes législatifs pour que l’élection de 2024 soit ouverte. La libération de tous les prisonniers dont les détentions sont totalement ou partiellement liées à des motifs politiques ou sont les conséquences de prise de position politique doit être effective. L’emprisonnement de deux députés du Pur, suite à une bagarre dans l’enceinte de l’Assemblée nationale au cours d’une séance de celle-ci, et impliquant une femme députée ne paraît pas tout à fait conforme au droit. En dehors de toute passion, ce cas relève de la police intérieure de l’Assemblée réglementée par le règlement intérieur de l’Assemblée en son chapitre XIV, articles 53 à 59 (Pour autant que ce règlement intérieur est applicable). «Dans les cas exceptionnels susceptibles de bloquer les travaux tels que : injures, invectives, menaces, bagarre ou agressions, le Président de l’Assemblée nationale peut prononcer l’expulsion temporaire de l’Assemblée». A rapprocher de l’article 53 alinéa 3 : «En cas de crime ou de délit, il fait dresser un procès-verbal et saisit immédiatement le Procureur de la République. Il en rend compte au Bureau de l’Assemblée nationale». Mais pour que le procureur puisse engager une procédure pénale dans ce cas, il doit demander la levée de l’immunité parlementaire de ces députés. En effet ces dispositions de police intérieure sont à distinguer des dispositions du chapitre XIII relatif à l’immunité et plus précisément de l’alinéa 3 du chapitre XIII qui fait référence au cas de flagrant délit ou (fuite) pour délit ou crime commis par le député en dehors de l’Assemblée (dans la vie civile). L’Assemblée a-t-elle levé l’immunité des deux députés ? J’en doute. Le Président de l’Assemblée n’aurait-il pas pu s’en tenir aux sanctions qu’il tient de son pouvoir de police, quitte à ce qu’une solution autre puisse être trouvée dans le cadre de l’Assemblée ? Je le crois. Enfin, et cela ne relève ni de l’Assemblée nationale et ni du Président de la République, le juge d’instruction de l’affaire dite Sweet-Beauty opposant M. Ousmane Sonko et la dame Adj Sarr, alléguant de viols répétitifs sur sa personne dans le cadre de son lieu de travail qui s’avère être une maison d’habitation aussi, pourrait délivrer les Sénégalais rapidement de leurs peurs, inquiétudes et commentaires malveillants, en rendant une ordonnance qui, dans notre entendement de juriste, ne saurait être qu’un non-lieu, eu égard à tous les éléments entourant cette affaire et étalés dans la presse, et eu égard surtout aux circonstances de lieu et de temps de la prétendue commission de l’infraction décrites par la plaignante même sur un plateau de télévision. Contrairement à ce qui est dit, le juge ne prend pas sa décision uniquement sur la base de son intime conviction. Mais sur les éléments probants qui pourraient caractériser l’infraction et sur l’ensemble des faits attestés qui entourent cette affaire. L’on se demande toujours comment cette affaire a pu franchir l’obstacle de l’enquête préliminaire. Quant aux mesures relatives à de bonnes conditions de déroulement de l’élection de 2024, il paraît urgent de revisiter certaines dispositions du code électoral rendues illisibles ou impraticables à force d’ajouts et de rajouts. Kader Boye est ancien recteur de l’Université Cheikh Anta Diop (Ucad), ancien doyen de la faculté des Sciences juridiques et politiques de l’Ucad. POST SCRIPTUM Cet article a été entièrement rédigé et remis à l’éditeur lorsqu’éclata sur les réseaux sociaux l’affaire du post vidéo de Monsieur Ismaïla Madior Fall, ministre de la Justice, Garde des Sceaux. Ses déclarations sont d’une gravité telle que je considère que ce ministre représente un danger pour les institutions. Et par suite, devrait être démis de ses fonctions si le chef de l’État considère que notre Constitution est la Charte fondamentale de notre pays.
pourquoi ce torchon et pas l'article de kader boye , jusqu'à present invisible sur seneweb meme l"article de jean pierre correa a disparu
On sent l'ouvrage écrit à la hâte, avec des commentaires à la petite semaine. Le problème de nos journalistes, c'est que leurs livres sont souvent une compilation de commentaires de l'actualité et jamais une recherche de fond patiente. D'accord avec le bilan dressé de la gestion catastrophique de maky sall et de sa cohorte de partisans. Mais de MAMADOU IBRA KANE à LATIF COULIBALY en passant par CHEIKH YERIM, nos journalistes ont du mal à sortir de l'actualité et à prendre de la hauteur. Ils sont dans le factuel. Je sais qu'une telle capacité d'abstraction suppose qu'on ait beaucoup de culture historique, philosophique, littéraire. Malheureusement ce n'est pas la direction que prennent les choses car journaliste au Sénégal aujourd'hui, c'est pas très glorieux. Il suffit d'écouter ou de lire. De sérieux problèmes d'expression !!!
Ce livre est finance' par le ministre Amadou Ba. Il veut pousser Macky a la sortie pour se positionner comme candidat APR
Si c est vrai Yerim Seck a trahit le deal pour sa liberté conditionnelle. Il va le payer très cher et son fils violeur va retourner en prison.
Chapitre 1: je prends les capotes, Chapitre 2:je sonkoïse la petite, Chapitre: le juge nike ma race, Chapitre 4: la prison c'est dur.
Chapitre 1: je prends les capotes, Chapitre 2:je sonkoïse la petite, Chapitre: le juge nike ma race, Chapitre 4: la prison c'est dur.
Un dont les parents ont donne naissance a un menteur
C'est quoi ces conneries encore ? Yerim Seck ne nous apprend absolument rien qu'on ne sait pas déjà sur Macky Sall. Et seneweb.com veut lui servir de tribune publicitaire pour nous faire acheter ce condensé de conneries. Un torchon. Je suis sûr, sans l'avoir lu, que les 2 expressions favorites de Yerim figurent dans ce bouquin : " les lambris dorés du palais " et le mot " pedigree" . Il traine ces 2 expressions partout pour les répéter à tout va pour épater la galerie. Yerim Seck prend vraiment les sénégalais pour des canards sauvages. Il était sorti par une petite porte dérobée de la vie publique et espère revenir par la grande porte de l'histoire en nous servant ce torchon sur Macky Sall, le président le plus détesté de l'histoire politique du Sénégal. Yerim, on t'a vu venir de loin. Peine perdue.
Le ciel est bleu. Tu comprends? Yerim voice
Savez ou je peux commander the best tiebou Dieune a sacre coeur sans blague je veux feter avec mes amis mon aniversaire et manger un tiebou dieun
Il faut aller a Pekesse pour le tiebou dieune
"ASC Thiappal" l'equipe des 16 "yolom guénios dirige par l'entraineuse Adji SARR
Sur Seneweb, leur champs lexical est tellement maigre qu'ils sont incapables de titrer leurs articles au-delà des termes "explosives, impitoyables, ou terribles révélations, tel se prononce, tel enfonce, tel défonce ou tel fracasse, surprenantes, inattendues, ou extraordinaires réactions, ..." Pauvre presse!
On s'en fout On écoute pas macky on ne lit pas macky On s'en bat les couiiiiles T'aurait pu écrire sur Pr Sonko
On s'en fout On écoute pas macky on ne lit pas macky On s'en bat les couiiiiles T'aurait pu écrire sur Pr Sonko
Premiere contradiction Bilan materiel fort appreciable Ces deficits du bilan materiel L'un ou l'autre.......mon cher
C'est un prostitué intellectuel pour lui si l'un ne marche pas l'autre va marcher
khana macky n'a pas cédé a tes chantages 😂😂
Rien d'explosif. Juste des articles subjectifs sur la politique générale du gouvernement.
"Cette affaire Sonko..." 😊Vous avez compris ce qu'il veut dire????
Je ne sais pas, tout ce que je sais c'est que "Sonko" est le mot magique pour avoir des vues, de l'audience, du buzz …
"ASC Thiappal" l'equipe des 16 "yolom guénios dirige par l'entraineuse Adji SARR
Comme il est malhonnete comme intellectuel, il ne parle pas du scandale des 94 milliards qui impliquent son ami Tahirou Sarr
Quand j'étais petite un journaliste savait lire et faire un commentaire explicatif. Quand j'étais petite un journaliste pouvait me faire parcourir un livre par son commentaire. maintenant que j'ai grandi les journalistes me présentent le sommaire en guise commentaire. Senghor, Iba Der, Sada Kane ... vous me manquez!
ahahhahahahah wakh deug !
Seneweb n'est pas un site de journalistes mais de copie/colle Et seneweb n'a pas de journaliste mais d'anciens chomeurs devenus moderateurs, copieur de contenus appartenent à d'autres VRAIS PRESSES en ligne... Chez Seneweb ils ne savent meme pas découper une vidéo, défois il te balance une vidéo de 2h pour te parler d'un sujet de 1 mn...de vrais tocards pour résumer,ils ont juste eu la chance d'etre les premiers connus mais niveau qualité de travails on est encore à des siècles lumiéres...je me demande s'ils ne sont pas meme le reflet de la société sénégalaise...
C'est a cause de la generalisation du wolof dans l'espace mediatique Ca pousse a la mediocrite malheureusement Deug nekhoul
Savez-vous où je peux commander du Ngalakh dans Dakar ? Ngalakh bou nèkh saff tiguidèguè la nammeu
allez à ouest foire après brioche dorée et demandez passou food
773747761
Je sais tu dois te rendre à la Cité damel face au stade père léo SS Tu y trouverai du jus naturel, des fruit naturel et du très bon ngalax
Je te conseille Cabou Food. C'est un fou de ngalax qui te le dir
Kharal paques ngua dem mártir de l'ouganda. Grand Aloyse ak Pa kichon dinagne andi ngalakh
Sur Seneweb, leur champs lexical est tellement maigre qu'ils sont incapables de titrer leurs articles au-delà des termes "explosives, impitoyables, ou terribles révélations, tel se prononce, tel enfonce, tel défonce ou tel fracasse, surprenantes, inattendues, ou extraordinaires réactions, ..." Pauvre presse!
En tout cas Marieme Faye fait du bon ngalakh
Wooooow !!!! Franchement les Senewebiens vous êtes GÉNIAUX 🤩 Que Le Seigneur Sublimissime vous récompense pour votre générosité, votre sollicitude, amin, Ça me fait vraiment chaud au coeur que vous ayez été si nombreux à m'apporter votre précieuse aide , love y'all 🧡 🧡 🧡
Je n'ai pas vu SENINDIA citée à côté des chinois. Mais bon j'attends de lire le livre. Waka entre temps Cheikh Yérim Seck a été corrompu parles concitoyens de Modi à Dakar.
HA LES LIVRES LES PUBLICATIONS ET LES JOURNALISTES AUTEURS SENEGALAIS !!!!!!! TOUJOURS UNE COMPILATION DE L'ACTUALITE OU DES REVUES DE PRESSE DE TOUS LES JOURS !!!!!!!!!!!
En parlant de champ lexical ne pas oublier '' regardez les fracassantes déclarations de tel''
Savez ou je peux commander the best tiebou Dieune a sacre coeur sans blague je veux feter avec mes amis mon aniversaire et manger un tiebou dieun
Resto Grain de Mil
Supermarche Casino Sahm
Bref Yirim a écrit pour ne rien dire finalement
Salam l'équipe type savez ou je peux trouver un excellent forox thiaya bien aménagé avec des laxass dignes de confiance
le Grand Cafe - Cite Keur Korgui
Participer à la Discussion