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Hydraulique rurale : La société Aquatech chassée de Mboro

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La société Aquatech a été chassée de Mboro depuis plus de 7 mois, par le mouvement «Aquatech Dégage» qui a pris, depuis lors, la gestion des ouvrages hydrauliques dans la commune. Selon El Hadji Malick Guèye Coordonnateur du mouvement, tout se passe bien depuis lors, car l’eau coule à flots et les populations sont plus que satisfaites et viennent régulièrement s’acquitter du paiement des factures.Il s’y ajoute que le mouvement «Aquatech Dégage» est parvenu à payer une dette de 57 millions de Fcfa léguée par la gestion d’Aquatech. Il accuse cependant l’autorité administrative qui, tenant coûte que coûte à ce que la gestion des forages reviennent entre les mains d’Aquatech, de dire partout que les problèmes persistent, avec aujourd’hui des difficultés sans précédent.«Ce qui est totalement contraire à la réalité» dit-il, avant d’ajouter que jamais les clés des forages de Mboro ne seront confiées à Aquatech. Selon L’AS qui donne l’information, El Hadji Malick Guèye a exprimé le souhait du mouvement de rencontrer les plus hautes autorités de l’hydraulique, pour discuter de toutes les questions afin que la gestion soit encore plus efficiente.
Auteur: Seneweb News
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Comments

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    il y a 3 ans

    il faut aussi chasser sen eau.

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    il y a 3 ans

    sen eau ces imbéciles................

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    il y a 3 ans

    La souveraineté au peuple. Ne jamais laisser le destin d'un peuple entre les mains d'un groupe d'affairistes qui est un danger pour le développement des populations. L'autorité administrative doit rester raisonnable et savoir raison garder. Les poppulations sont maintenant en paix il ne faut surtout pas créer de problèmes.

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    SECTEUR il y a 3 ans

    LES AUTRES LOCALITEES OU CE DSP EST PRESENT DOIVENT FAIRE LA MEME CHOSE QUE MBORO . MON LE PRESIDENT VOUS DEVEZ REVOIR LES DSP ET FAIRE UNE EVALUATION DE LA DISTRIBUTION DE L EAU DANS LE MONDE RURAL CAR Y A TROP DE PROBLEMES SURTOUT DANS LE BASSIN ARACHIDIER .LE MINISTERE DE L HYDRAULIQUE DE L EDUCATION ET DE LA SANTE NE DOIVENT ETRE CONFIER A DES POLITICIENS SINON C EST LA DECHE

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    il y a 3 ans

    La gestion dès forages nécessite des compétences surtout l'aspect technique avec les grosses pannes (ouvrages de captage, pompe ou  Château d'Eau ) qui demandent des moyens financiers ayant conséquents . Je vous de chercher un partenaire technique et financier qui pourra vous appuyer en cas grosses pannes . Pour la réforme de la gestion des forages ruraux elle est bonne dans sa conception mais c'est son application qui n'a pas été bien mise en œuvre. le processus de la réforme a débuté en 1981 et abouti en 2014. Mais le sevrage des Asufors a été brutal et avec tâtonnement des nouveaux dirigeants de l'hydraulique tout le travail est tombé à l'eau. Avec beaucoup amertumes que les agents de l'hydraulique vivent cette situation Car ils se sont sacrifiés durant des années pour améliorer l'approvisionnement en eau des populations rurales mais hélas la situation se dégrade de jour en jour.

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    long mais instructif il y a 3 ans

    IDEM AU SENEGAL Au Monténégro, l'autoroute chinoise à un milliard qui ne va nulle part est, à la fin, financée en partie par la France. Vous me direz, un milliard, on n’est plus à ça près. C’est petit, presque mesquin de se pencher sur une “fuite” d’un milliard dans une coque déjà percée par de multiples déficits et dettes de centaines de milliards d'euros. Tant il est devenu “naturel”, que l’”unité de compte” passée dans le langage politique et économique ambiant soit la centaine de milliards d’euros. Au dessous, ça ne compte plus. Ça ne se voit plus. Ça n’intéresse même plus. Enfin presque. Sauf quand il s’agit, bien sûr, de remettre sur le tapis la réforme du chômage (dans le seul le but de sous-indemniser les victimes de la guerre économique, au premier rang desquelles les jeunes, les femmes, les précaires aux carrières hachées) et la réforme des retraites. Les retraités, ces “jouisseurs de la vie” qui comme on le sait grâce à la propagande officielle mènent un train de vie bien supérieur à celui des actifs, eux qui “ont foutu en l’air la planète” de surcroît, et qui ont même l’outrecuidance de vivre (trop ? , 13 ans pour certains aux dernières nouvelles ) longtemps. Un peu de culpabilisation bien pointée et de vindicte publique ciblée est toujours bien utile quand le seul but, froid, calculé, mais non assumé, est de “faire des économies”, de l’autre main. On l’a compris : mort aux faibles car ce sont des générateurs d’entropie dans la mécanique économique en marche du nouveau monde, et dans celle de la start-up nation. Et là, l’unité de compte n’est pas la centaine de milliards. Chaque centime économisé, soudain, compte : pas de place pour les ”poids-morts”, on balance le lest par dessus bord, on coupe la corde, car les derniers de cordée ralentissent l’ascension. Là il n y a pas de “petites économies”, tout est bon à prendre, même le plus sordide. Par contre, en même temps, une Institution financière française vient de refinancer un emprunt pourri (bad debt) d’un milliard en faveur du… Monténégro. Dont il est quasiment certain que cet emprunt ne sera jamais remboursé et pour cause : le PIB du Monténégro étant de l’ordre de 5 milliards,  …à peine. Alors pourquoi ce généreux don déguisé en prêt accordé en toute “discrétion” ? C’est là où l’histoire ne manque pas de sel. Le Monténégro est un de ces ”confettis” résultant de l’éclatement de ex-Yougoslavie et de la guerre des Balkans qui s’en est suivie… Bien entendu, le Monténégro est aujourd’hui un fervent candidat au prochain “élargissement” de l’Union Européenne et, bien entendu, aussi un très fervent candidat à ses “largesses” au titre de l’IPA (Instrument for Pre Accession). L’IPA, pour les non-initiés, c’est l’équivalent moderne inventé par l’UE de la “manne” biblique, ou du fameux cargo-cult. Dès qu’un pays tiers manifeste son intention d’être candidat à rejoindre l'UE , il reçoit des sommes considérables au titre des fonds européens. Un “cadeau de bienvenue” en somme. En contrepartie de quoi ce “candidat” promet d’adhérer aux “valeurs” de l’UE, en particulier l’ Etat de droit, les droits de l’homme, la lutte contre la corruption, la bonne et saine gestion économique, etc. Or, comme la Commission Européenne ne lève pas directement d’impôt, ni ne génère de richesses d’ailleurs, l’argent des fonds européens provient en fait du contribuable européen, vous, moi, et ne fait que transiter par Bruxelles, qui le distribue. Le Monténégro a déjà “touché” l’IPA et, bien entendu après avoir juré fidélité à l’Union Européenne et à ses fameuses valeurs, continue à percevoir la manne. Et bien entendu, exactement dans le même temps, le même Monténégro “fricote” avec les Chinois, qui introduisent aussi sec leur vers (à soie) dans le fruit. C’est ainsi que les chinois “vendent” la “nouvelle route de la soie” au Monténégro. Un argument utilisé en interne pour s’assurer des élections nationales, l’équivalent, en somme, de nos chers trams de province qui ont « fait » tant de maires à une époque. Et une autoroute qui relierait le port de mer de Bar, en face de Bari, sur l’Adriatique à Belgrade (en Serbie) en passant par la capitale Podgorica en est l’aboutissement. En 2015 , les travaux pharaoniques démarrent. Comme le Monténégro n’a pas les disponibilités (les fonds Européens ayant déjà été dissipés), les Chinois, bons princes, leur “offrent” le financement qui va avec : un milliard de dollars (944 millions pour être précis), aucun remboursement pendant les 6 premières années. Évidemment, il y a un “collatéral”, au cas où le Monténégro ne pourrait pas rembourser. La Chine se rembourserait en actifs et en terres et notamment avec le port stratégique sur la mer adriatique : Bar. Les 6 ans se sont écoulés ; les gouvernements ont changé, les enveloppes ont circulé, les cigales ont chanté, et début 2021, l'État monténégrin se retrouve dans l’incapacité de rembourser. Les chinois vont donc appliquer la clause du contrat. Mais les Monténégrins n’aiment pas cette clause pourtant signée. Ils sont d’humeur chagrine. Alors l’autoroute ? voie sans issue ? chemin de croix ? Que nenni ! L’Europe (et son contribuable) est là ! Le gouvernement monténégrin fait donc appel à la Commission Européenne, pour qu’elle rembourse les Chinois en lieu et place du Monténégro, ou, a minima, qu’elle refinance ce prêt (pas plus remboursable aujourd’hui qu’il ne le sera demain). Or la Commission, qui en est instanément d’accord (pourquoi d’ailleurs ?, on peut légitimement se poser la question) ne peut le faire directement, ses statuts ne le permettent pas. C’est ainsi qu’elle sollicite, dans la coulisse, certains de ses Etats membres. L’Italie (dont le Monténégro est pourtant un ancien gouvernorat et où encore 15 % de la population parle l’italien), et l’Allemagne (pays le plus riche et l’un des moins endettés de l’UE) un temps pressentis se “défaussent”. La France via une Institution financière, elle bien sûr, accepte de reprendre ce prêt (en fait un don déguisé). Dont acte.  

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