Le syndicat des travailleurs du secteur primaire a déposé ce mercredi 8 janvier un préavis de grève afin d’exiger le respect du protocole d’accord signé le 1er décembre 2022 par le ministère de la Fonction publique et les syndicats du secteur primaire.
Dans un communiqué parvenu à Seneweb ce jour, ce syndicat dénonce entre autres « les disparités, entre les agents du secteur des pêches et les autres agents de la fonction publique, dans la rémunération », « l'absence de perspectives de carrière pour les contractuels » et « l'insuffisance des moyens logistiques dans tout le département ».
Ainsi pour ce premier plan d’actions de l’année 2025, ces travailleurs du secteur primaire exigent notamment l’amélioration de leurs conditions de travail. En effet, ils demandent « la mise en place d'un fonds commun des agents du Ministère des Pêches, des Infrastructures Maritimes et Portuaires (MPIMP) et du secteur primaire », « la généralisation de l'indemnité de logement », « l'octroi d'une indemnité de risque à tous les agents du Ministère en charge des Pêches » et « l'intégration des contractuels dans la Fonction publique ».
Pour rappel, le 1er décembre 2022, le ministère de la Fonction publique et les syndicats du secteur primaire avaient signé un accord portant sur 60% du montant initial des indemnités avec la création d’un comité technique chargé d’étudier la possibilité de mettre en place un fonds commun dans le secteur primaire afin d’améliorer les conditions de travail des agents.
D’ici au 7 février, s’il n’obtient pas satisfaction, le syndicat des travailleurs du secteur primaire menace d’aller en grève
Auteur: Léna THIOUNE
Comments (9)
L'indemnité de logement doit être juste pour tous les fonctionnaires
Il n’y a plus de centrales syndicales. On a des mangeurs de cotisations syndicales !
J'ai jamais eu confiance à ce nouveau régime. Le pays s'engouffre, la population souffre et aucune solution n'est apportée ni proposée. L'espoir s'envole ou meurt à petit feu. A bas la dictature ou le jay dole.
Les chevaux de trois (les syndicats alimentaires) entrent dans la danse dans le cadre de la stratégie de déstabilisation d'une opposition en mal de programme. Les syndicats n'ignorent pas que la situation économique et financière que le nouveau régime a hérité est catastrophique et vouloir en rajouter me semble inopportun et inacceptable si l'intérêt du pays passe avant. D'autan plus que la plus part des revendications portent sur les rémunérations et primes. Il est normal de chercher à améliorer ses conditions de vie quand on travaille mais vouloir demander l'impossible relève du chantage. Cependant l'état a l'obligation de les rencontrer et tenir un langage de vérité en leur donnant rendez vous en 2026 tout en cherchant à résoudre ce qui peut 'être maintenant.
Dèt waye ! Si vous partez en grève , nous allons mangé du To.
nikez des guenons comme votre maitre
Et c’est maintenant que vous voulez vous faire entendre ? Y’a un un nouveau gouvernement on profite on met la pression. Vos frères agriculteurs sont resté 3 ans sans payer leur dette. Pourtant ils sont restés polis sans bruit
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tay rek nguène di xam ni nguur wouté na ak oppochission
On nous avait vendu qu'avec la fin des accords de pêche avec l'union européenne ce serait fabuleux pour le secteur de la pêche 😂😂😂 Vraiment deukk bi yakhouna. Tout ça à cause des mensonges du profiteur de guenon
FOUTEZ NOUS LA PAIX VOUS AVEZ BIEN DES FONDS COMMUNS MEME SI C'est SOUS UNE AUTRE APPELATION La répartition des amendes en matière de pêche, fixée par décret, est la suivante : - 45% à la Caisse d'encouragement à la pêche et à ses industries annexes (CEPIA) - 20% au fonctionnement des moyens de surveillance de la structure qui a procédé à l'arraisonnement - 10% à la structure chargée de la surveillance pour son fonctionnement (PSPS) - 15% aux agents verbalisateurs et aux tiers ayant aidé à la découverte de l'infraction - 10% aux agents de la Direction de l'Océanographie et des Pêches maritimes (DOPM)
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