À trois de la fête de l'Eid al Kabîr communément appelée Tabaski, c’est la grande affluence dans les foirails de la commune de Saint-Louis. Comme l'année dernière, ces points de vente sont bien approvisionnés en moutons. Les éleveurs venus de la Mauritanie et du Mali ont inondé le marché de bétail. Cependant, il faudra débourser plus de 150 000 francs CFA pour espérer avoir un bon bélier. Les vendeurs de mouton (tefank?) expliquent cette cherté du mouton par les prix trop élevés du foin et d’autres aliments de bétail qui ont connu une augmentation considérable. Outre la flambée des prix, certains vendeurs ont déploré le manque de sécurité. Ils craignent l’insécurité qui, selon eux, grandit de jour en jour avec des voleurs qui rôdent autour de leurs enclos.
L’année dernière, à pareille moment, le marché de mouton était aussi bien approvisionné, mais les prix sont trop élevés pour beaucoup de pères et mères de famille qui font tout leur possible pour acheter un mouton et perpétuer le sacrifice du prophète Ibrahim (SAW).
Les ânes et les cancres sont appréciés et mis en avant donc aucune surprise dans le fait que les neurones sont enétat de mort clinique au Sénégal et c'est désespérant !
Beaucoup de contradictions dans ce reportage, notamment sur le prix de l'aliment de bétail.
C'est tellement facile de tendre le micro sans recoupement, sans analyse, ni vérification.
Le journalisme est à l'état de mort clinique au Sénégal et c'est dommage !
Comments (5)
Bonjour, je m'appelle Alisia, j'ai 21 ans) Début du modèle SEXE 18+) J'aime être photographiée nue) Veuillez noter mes photos à l'adresse suivante -- WWW.X21.FUN id08673480
Bonjour, je m'appelle Alissia, j'ai 21 ans) Début du modèle SEXE 18+) J'aime être photographiée nue) Veuillez noter mes photos à l'adresse suivante -- WWW.X21.FUN
Les ânes et les cancres sont appréciés et mis en avant donc aucune surprise dans le fait que les neurones sont enétat de mort clinique au Sénégal et c'est désespérant !
Fait flamber.....écrit avec les pieds.
Beaucoup de contradictions dans ce reportage, notamment sur le prix de l'aliment de bétail. C'est tellement facile de tendre le micro sans recoupement, sans analyse, ni vérification. Le journalisme est à l'état de mort clinique au Sénégal et c'est dommage !
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