BRAVO PRESI MACKY.
MAINTENANT POUR MIEUX FAIRE IL FAUT PENSER A PARTIR ... VOUS EN AVEZ DEJA BEAUCOUP FAIT POUR LE SENEGAL ...
ON NE PEUT PAS TOUT FAIRE DANS UNE VIE ... SI, PARTIR !!! RENONCER AU 3E MANDAT ...
BROVO A LUI ENCORE ...
IL NE VOUS RESTE PLUS QU'A SAUVER LA PAIX AU SENEGAL EN COMMENÇANT PAR FAIRE VOS VALISES DES MAINTENANT POUR 2024 ... COMME UN GRAND PATRIOTE AIMANT LE SENEGAL ....
C'EST L'ULTIME CHOSE QUE VOUS POUVEZ OFFRIR AU SENEGAL POUR HONORER CE BEAU BILAN O COMBIEN POMPEUX ...
AH J'OUBLIE ... LIBEREZ TOUS CES PRISONNIERS POLITIQUES AVANT DE PARTIR ... IL Y'EN A TROP ... CE N'EST PAS BON POUR VOTRE IMAGE DE FIN DE REGNE ... ENCORE MOINS POUR L'IMAGE DU SENEGAL ...
LIBEREZ OMAR, KARIM, PAPE ALE ... ET AUTRES J'EN PASSE ... ILS SONT NOMBREUX ... POUR BIEN FINIR LE BOULOT ...
SANS RANCUNE ...
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
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davantage le passeport
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Franchement doyna non sens.
Senegal deuk bo khamenai wakh rekk liguey zero, pays à scandale, pays d'hommes d'affaires verreux, pays de feneants; pays de malversation, âys de corruption, pays de faits divers.
Ne pensez pas à se devellopper à ce rythme. Tapalai bakhoul
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avez une hépatite B chronique avec une charge virale de 200 depuis plus de 5 ans et qui a entraîné une cirrhose du foie. J'ai été guérie avec les produits à base de plantes du Docteur Nelson Salim. Je suis tombé sur ses annonces sur cette page avec des séries de témoignages. J'ai décidé d'essayer le phytothérapeute et j'ai passé une commande pour ses produits que j'ai reçus à mon adresse via DHL - service dans les 4 jours, et avec ses instructions, j'ai utilisé le produit pendant 21 jours. Après avoir terminé les traitements à base de plantes selon les directives du phytothérapeute, j'ai effectué un test d'hépatite et mon résultat était négatif, sans aucune trace du virus dans mon sang. Je le recommande à toute personne atteinte de VPH, fibrome, arthrite, prostate, herpès, MPOC, psoriasis. Ses infos. E-mail; drnelsonsalim10@gmail.com
ajoutez-le sur le texte WhatsApp : +212711099960
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🤣 Laissez moi moi aller regarder un film porno. cet enfantillage c'est pas pour nous.
Justice pour Fulbert Sambou et Didier Badji. DIRPA pourquoi vous étes silencieux , les 2 morts ne vous concenent pas?
L'armée des USA est 1 millions de fois plus puissante que nous mais il sufit qu'un soldats , même de 1ère classe soit dans la moindre difficulté pour qu le monde entier tremble. nous on n'a même pas de quoi nous nourir, tout est quémandé et on t assassine nos soldats sans communiqué
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MONSIEUR LE PM PENSEZ AUX 07 EX AGENTS DE L ARM LICENCIES ABUSIVMENT MEME SI LE TRIBUNAL A ORDONNE LE PAYEMENT MEME SI LE PRESIDENT A DONNE DES INSTRUCTIONS FERMES RIEN LE DG REFUSE AU NOM DE QUOI YEUMANDE
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Djigüen bou amoul robe rouge, c'est très très rare surtout les filles broussardes comme Mareme Faye, Adji Sarr et vos prostitués que vous avez l'habitude d'amener au Radisson, Terrou bi, sur la petite côte et dans vos appartements.
La robe rouge c'est le dress code que veulent les faibles d'esprits qui regardaient les films X au cinema Liberté, El Mansour, ou Tally bou Bëss: le cas de plusieurs comeontown de BBY.
Pour vous donnez un autre indice, j’ai une soeur qui a une boutique de vente de vetements chics pour les femmes.
Du temps de la serie Ruby, ses commandes en robe rouge explosaient et figurez que c’etaient les maîtresses de Ministres de Wade qui sont maintenant les plus proches de Macky qui en voulaient
.
SONKO n'es pas de ce genre. Il est pieux et de très bonne foi.
Dou ay affairou tate mokoyy danël.
Il a un niveau de spiritualité qui devient inéluctablement un bouclier contre toute tentation. MashAllah.
C'est là où on en est avec kou Sëleu Ki.
Restez là à le calomnier ou à dire du mal sur son dos ne fait que le grandir encore et encore une fois de plus.
Il est une personne Hybride la batterie de sa notoriete et de son charisme se rechargent à chaque fois que vous l’éprouvez de la plus abjecte des manières ou que vous conspirez à le nuire.
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Pensez à nos nouveaux TerroGangsters. La sécurité de là où il y a des foules, suivre les faux billets et les Armureries sur trottoir ou ambulantes.
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Le niveau de nos Premier Ministre n'est pas reluisant.
On avait touché le fond, le plus bas historique, avec Souleymane Ndèye Ndiaye, Premier Ministre cartouchard multirécidiviste a l'Université.
Avec Amadou Ba, c'est certainement mieux, homme intelligent et structuré, mais il reste que l'on peut encore faire mieux. Le problème de Amadou Ba , c'est qu'on dirait qu'il s'abaisse volontairement pour ne pas faire de l'ombre à Macky
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Comme disait Nelson Mandela " J'ai appris que le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de la vaincre" merci Mr le Premier pour cette clairvoyance
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L’offre de service de santé sera améliorée en quantité et en qualité. Cet effort sera accentué, notamment avec la construction du Centre polyclinique de l’Hôpital Principal, des centres hospitaliers nationaux El Hadji Malick Sy de Tivaouane, Alioune Badara Cissé de Saint-Louis et d’Oncologie de Diamniadio et du centre hospitalier régional de Ourossogui.
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YEURMANDE POUR LES 07 EX TRAVAILLEURS DE L ARM CHER PREMIER MINISTRE LE PRESIDENT MACKY SALL AVAIT DONNE DES INSTRUCTIONS FERMES POUR LE PAIEMENT DES DROITS CHER PREMIER NOUS SUIVONS ATTENTIVEMENT VOTRE DECLARATION YEURMANDE POUR CES PAUVRES PERES DE FAMILLE
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Auparavant, chaque patient déboursait, en moyenne, 6 millions de FCFA par an. En 2010, la séance était ramenée à 10.000 FCFA au lieu de 35.000 FCFA dans le public et 60.000 FCFA dans le privé. La prise en charge de ces dépenses onéreuses par l’État, est une vraie bouffée d’oxygène pour ces milliers de Sénégalais insuffisants rénaux. L’État a accompagné cette mesure de gratuité par la construction et l’équipement de centres de dialyse pratiquement dans toutes les régions du Sénégal
Merci M le PM💯
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Merci pour votre vision claire et concise pour l'employabilité des jeunes à travers l’éducation, la formation aux métiers et de création d’activités génératrices de revenus, à l’image du 3FPT et de la DER/FJ qui a financé entre 2018 et 2021 plus de 161 mille bénéficiaires et créé plus de 100 mille emplois directs et de 200 mille emplois indirects.
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Personne n'écoute plus ces charabia et encore moins quand il s'agit d'un PM fantoche qui n'est élu que pour combler un vide et une farce dont la durée est de 12 mois.
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Le projet des 100 mille logements est une des composantes du Programme "Zéro bidonville", une initiative au cœur du dispositif opérationnel de la nouvelle politique de l’habitat du Gouvernement dont les premiers lots seront livrés avant le 31 décembre 2023.
Merci PR MACKY SALL de penser à votre population
Macky REK
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Vous remarquerez comme moi que dans leurs discours de politique générale, ces ndiathiars parleront de tous les problèmes du Sénégal mais jamais de fraude électorale ou de lutte contre la corruption, de détournement de deniers publics,dl'instrumentalisation de.la justice !
On se demande bien pourquoi ?! 😂😂😂
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Vous remarquerez comme moi que dans leurs discours de politique générale, ces ndiathiars parleront de tous les problèmes du Sénégal mais jamais de fraude électorale ou de lutte contre la corruption, de détournement de deniers publics,dl'instrumentalisation de.la justice !
On se demande bien pourquoi ?! 😂😂😂
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Sacre Sénégal ou des hommes publics simples fonctionnaires enrichis devenus milliardaires et dont le seul mérite est d’avoir su piller sans coup férir les caisses publiques sont célèbres et récompensés. Qu’on ne nous parle surtout pas de compétence ce Mr n’est rien d’autre qu’un pietre bureaucrate kleptomane qu’on a déjà vu a la commade …Il était a Paris pour quémander une aide budgetaire comme son President au début de son 1er mandat. C’est tout un symbole de la gestion Macky du début a la fin et ca dit tout sur l’état de nos comptes publics
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Amadou Ba ne tient pas encore avec l'autorité qu'il faut son équipe. Malheureusement, ce discours était plein de banalités, de lieux communs, de poncifs. Des généralités, comme dans un mauvais discours de politique générale.
A écouter cette litanie de boueux pieux et folkloriques, on se dit que lanplupart des cabinets ministériels qui y ont contribué ou bien s'y sont pris trop tard, ou bien ont considéré avoir des choses plus sérieuses à faire, ou bien ont voulu cyniquement nuire au PM, ..ou bien sont dramatiquement incompétents !
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Ce sont les mêmes blablas insipides, le type de discours endormants qu'ils nous ont toujours servi, depuis les indépendances. Ces gens-là n'ont aucune foi en leur peuple et en leurs potentialités humaines et économiques. Toute leur politique de merde (je m'en excuse du terme) est fondée sur la corruption, l'aliénation aux néo colons et aux détournements de nos maigres ressources. Ils n’ont jamais pensé une politique d'envergure et d'avenir pour le pays. Tout ce qui les préoccupe, ce sont leurs petites personnes insignifiantes au regard des enjeux de survie et d'avenir légitimement escomptés par leurs populations miséreuses. En vérité il y'a une urgence à sauver ce pays des prédateurs voraces qui le dirigent. Un changement de paradigme devrait s'opérer, afin bouter au dehors ce système et ceux qui l'entretiennent juste pour leurs intérêts égoïstes et ceux de leurs maitres néo colons tapis dans l'ombre. Les échanges commerciaux entre le Sénégal pays serviteur et la France pays maitre vient de se terminer. Malheureusement depuis plus de 60 ans, c'est le même disque, le même tempo qui prévaut. Ce disque doit être rayé, il est temps de le changer, ce régime avec son système d'aliénation, n'est plus habilité à diriger ce pays. Game is over ! Il faudrait absolument mettre fin à cet impérialisme néocolonial qui n'a que trop duré et inhibe tous les espoirs portés sur les plans d'émergence du Sénégal en particulier et de l'Afrique subsaharienne en général. Comme l'a si bien dit PROS "il faut que la France lève son genou sur notre cou. C’est là où se situe la vraie problématique, le défi qu'il nous faudrait impérativement relever, pour nous permettre de respirer économiquement.
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J'ai l'impression que ce gus parle de Macky comme s'il était un mécène qui dépense son propre argent pour faire les réalisations dont il nous parle! Tabarnak on lui a donné des milliers de millards pour faire ce travail!!!
est-ce qu'il veut une médaille pourça!
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Sacré Guéwel!! Il est es train de nous bassiner avec ce qui a été fait mais ne nous dit pas ce qu'il compte faire!!! C'est ça une DPG!!!
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On ne peut pas faire du Sénégal un paradis avec de l'arachide et quelques kilos d'or de Sabodala. Peut-être qu'Allah a pitié de nous et nous a envoyé du pétrole. Les générations montantes seront certainement mieux loties que les séniors vieillissants. Qu'Allah prête longue vie à tout le monde niou niame thi touti book avant de tourner les talons.
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Merci beaucoup monsieur le PM, un homme bien choisi à la place. Vous êtes très compétent pour le bon déroulement et le développement du pays.
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Où sont Massata Samb et Mamadou Samb.Les députés continuent à faire leur travail sans se soucier d'eux.Quel pire PUR? Quant aux raisons de leur fugitif aucune réaction de leur guide moustaphachidine.C'est horrible et regrettable dans une démocratie .Dans ce pays il y a des complots le peuple doit régler .ça .A ne plus en croire.Réfléchissons ensemble.
?
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Pour nous les góorgóolu ce DPG n’est que du papier hygiénique. C’est une utopie de croire qu’ils seront en mesure de réaliser ce qu’ils non réussi depuis douze-ans. Ay dóor la rekk.
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c'est parce que les députés ont vu passé tellemnt de ministres depuis prés d'un mois qu'ils confondent la DGP avec la session budgétaire
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BRAVO PRESI MACKY. MAINTENANT POUR MIEUX FAIRE IL FAUT PENSER A PARTIR ... VOUS EN AVEZ DEJA BEAUCOUP FAIT POUR LE SENEGAL ... ON NE PEUT PAS TOUT FAIRE DANS UNE VIE ... SI, PARTIR !!! RENONCER AU 3E MANDAT ... BROVO A LUI ENCORE ... IL NE VOUS RESTE PLUS QU'A SAUVER LA PAIX AU SENEGAL EN COMMENÇANT PAR FAIRE VOS VALISES DES MAINTENANT POUR 2024 ... COMME UN GRAND PATRIOTE AIMANT LE SENEGAL .... C'EST L'ULTIME CHOSE QUE VOUS POUVEZ OFFRIR AU SENEGAL POUR HONORER CE BEAU BILAN O COMBIEN POMPEUX ... AH J'OUBLIE ... LIBEREZ TOUS CES PRISONNIERS POLITIQUES AVANT DE PARTIR ... IL Y'EN A TROP ... CE N'EST PAS BON POUR VOTRE IMAGE DE FIN DE REGNE ... ENCORE MOINS POUR L'IMAGE DU SENEGAL ... LIBEREZ OMAR, KARIM, PAPE ALE ... ET AUTRES J'EN PASSE ... ILS SONT NOMBREUX ... POUR BIEN FINIR LE BOULOT ... SANS RANCUNE ...
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Il est ministre ou Premier Ministre?
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Les MBOUMBAYEURS NATIOANAUX payés gracieusement par les baadoolos contribuables sénégalais. Quel gâchis !
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🤣 Laissez moi moi aller regarder un film porno. cet enfantillage c'est pas pour nous. Justice pour Fulbert Sambou et Didier Badji. DIRPA pourquoi vous étes silencieux , les 2 morts ne vous concenent pas? L'armée des USA est 1 millions de fois plus puissante que nous mais il sufit qu'un soldats , même de 1ère classe soit dans la moindre difficulté pour qu le monde entier tremble. nous on n'a même pas de quoi nous nourir, tout est quémandé et on t assassine nos soldats sans communiqué
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MONSIEUR LE PM PENSEZ AUX 07 EX AGENTS DE L ARM LICENCIES ABUSIVMENT MEME SI LE TRIBUNAL A ORDONNE LE PAYEMENT MEME SI LE PRESIDENT A DONNE DES INSTRUCTIONS FERMES RIEN LE DG REFUSE AU NOM DE QUOI YEUMANDE
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Djigüen bou amoul robe rouge, c'est très très rare surtout les filles broussardes comme Mareme Faye, Adji Sarr et vos prostitués que vous avez l'habitude d'amener au Radisson, Terrou bi, sur la petite côte et dans vos appartements. La robe rouge c'est le dress code que veulent les faibles d'esprits qui regardaient les films X au cinema Liberté, El Mansour, ou Tally bou Bëss: le cas de plusieurs comeontown de BBY. Pour vous donnez un autre indice, j’ai une soeur qui a une boutique de vente de vetements chics pour les femmes. Du temps de la serie Ruby, ses commandes en robe rouge explosaient et figurez que c’etaient les maîtresses de Ministres de Wade qui sont maintenant les plus proches de Macky qui en voulaient . SONKO n'es pas de ce genre. Il est pieux et de très bonne foi. Dou ay affairou tate mokoyy danël. Il a un niveau de spiritualité qui devient inéluctablement un bouclier contre toute tentation. MashAllah. C'est là où on en est avec kou Sëleu Ki. Restez là à le calomnier ou à dire du mal sur son dos ne fait que le grandir encore et encore une fois de plus. Il est une personne Hybride la batterie de sa notoriete et de son charisme se rechargent à chaque fois que vous l’éprouvez de la plus abjecte des manières ou que vous conspirez à le nuire.
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Juste une photocopie écrite par le chef.
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bien dit on ne sait pas dans ce vaudeville sil est ministre ou premier ministre...du pareil au meme
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Pensez à nos nouveaux TerroGangsters. La sécurité de là où il y a des foules, suivre les faux billets et les Armureries sur trottoir ou ambulantes.
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Le niveau de nos Premier Ministre n'est pas reluisant. On avait touché le fond, le plus bas historique, avec Souleymane Ndèye Ndiaye, Premier Ministre cartouchard multirécidiviste a l'Université. Avec Amadou Ba, c'est certainement mieux, homme intelligent et structuré, mais il reste que l'on peut encore faire mieux. Le problème de Amadou Ba , c'est qu'on dirait qu'il s'abaisse volontairement pour ne pas faire de l'ombre à Macky
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Comme disait Nelson Mandela " J'ai appris que le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de la vaincre" merci Mr le Premier pour cette clairvoyance
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Santé, les inondations, le projet des 100 mille logements… l’inclusion sociale au cœur de la DPG
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Ou est passé le rapport de la gendarmerie
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L’offre de service de santé sera améliorée en quantité et en qualité. Cet effort sera accentué, notamment avec la construction du Centre polyclinique de l’Hôpital Principal, des centres hospitaliers nationaux El Hadji Malick Sy de Tivaouane, Alioune Badara Cissé de Saint-Louis et d’Oncologie de Diamniadio et du centre hospitalier régional de Ourossogui.
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YEURMANDE POUR LES 07 EX TRAVAILLEURS DE L ARM CHER PREMIER MINISTRE LE PRESIDENT MACKY SALL AVAIT DONNE DES INSTRUCTIONS FERMES POUR LE PAIEMENT DES DROITS CHER PREMIER NOUS SUIVONS ATTENTIVEMENT VOTRE DECLARATION YEURMANDE POUR CES PAUVRES PERES DE FAMILLE
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Auparavant, chaque patient déboursait, en moyenne, 6 millions de FCFA par an. En 2010, la séance était ramenée à 10.000 FCFA au lieu de 35.000 FCFA dans le public et 60.000 FCFA dans le privé. La prise en charge de ces dépenses onéreuses par l’État, est une vraie bouffée d’oxygène pour ces milliers de Sénégalais insuffisants rénaux. L’État a accompagné cette mesure de gratuité par la construction et l’équipement de centres de dialyse pratiquement dans toutes les régions du Sénégal Merci M le PM💯
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Merci pour votre vision claire et concise pour l'employabilité des jeunes à travers l’éducation, la formation aux métiers et de création d’activités génératrices de revenus, à l’image du 3FPT et de la DER/FJ qui a financé entre 2018 et 2021 plus de 161 mille bénéficiaires et créé plus de 100 mille emplois directs et de 200 mille emplois indirects.
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Toutes mes félicitations M le Pm pour les efforts que vous fournissez pour lutter contre la vie chère
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Amadou Ba l'homme qu'il faut à la place qu'ils faut. Les Sénégalais ont beaucoup d'espoir pour ce nouveau gouvernement
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Personne n'écoute plus ces charabia et encore moins quand il s'agit d'un PM fantoche qui n'est élu que pour combler un vide et une farce dont la durée est de 12 mois.
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Ndeysaan Beugueu guen ligueyy wayer kho len sen entourage
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Game over, sonko 2024
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Merci M le Pm pour les engagements en faveur des femmes
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Le projet des 100 mille logements est une des composantes du Programme "Zéro bidonville", une initiative au cœur du dispositif opérationnel de la nouvelle politique de l’habitat du Gouvernement dont les premiers lots seront livrés avant le 31 décembre 2023. Merci PR MACKY SALL de penser à votre population Macky REK
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Vous remarquerez comme moi que dans leurs discours de politique générale, ces ndiathiars parleront de tous les problèmes du Sénégal mais jamais de fraude électorale ou de lutte contre la corruption, de détournement de deniers publics,dl'instrumentalisation de.la justice ! On se demande bien pourquoi ?! 😂😂😂
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Sacre Sénégal ou des hommes publics simples fonctionnaires enrichis devenus milliardaires et dont le seul mérite est d’avoir su piller sans coup férir les caisses publiques sont célèbres et récompensés. Qu’on ne nous parle surtout pas de compétence ce Mr n’est rien d’autre qu’un pietre bureaucrate kleptomane qu’on a déjà vu a la commade …Il était a Paris pour quémander une aide budgetaire comme son President au début de son 1er mandat. C’est tout un symbole de la gestion Macky du début a la fin et ca dit tout sur l’état de nos comptes publics
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Amadou Ba ne tient pas encore avec l'autorité qu'il faut son équipe. Malheureusement, ce discours était plein de banalités, de lieux communs, de poncifs. Des généralités, comme dans un mauvais discours de politique générale. A écouter cette litanie de boueux pieux et folkloriques, on se dit que lanplupart des cabinets ministériels qui y ont contribué ou bien s'y sont pris trop tard, ou bien ont considéré avoir des choses plus sérieuses à faire, ou bien ont voulu cyniquement nuire au PM, ..ou bien sont dramatiquement incompétents !
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Amadou Ba amoul punch. Il ne pourra pas motiver l'équipe gouvernementale
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Amadou Ba amoul punch. Il ne pourra pas motiver l'équipe gouvernementale
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Ce sont les mêmes blablas insipides, le type de discours endormants qu'ils nous ont toujours servi, depuis les indépendances. Ces gens-là n'ont aucune foi en leur peuple et en leurs potentialités humaines et économiques. Toute leur politique de merde (je m'en excuse du terme) est fondée sur la corruption, l'aliénation aux néo colons et aux détournements de nos maigres ressources. Ils n’ont jamais pensé une politique d'envergure et d'avenir pour le pays. Tout ce qui les préoccupe, ce sont leurs petites personnes insignifiantes au regard des enjeux de survie et d'avenir légitimement escomptés par leurs populations miséreuses. En vérité il y'a une urgence à sauver ce pays des prédateurs voraces qui le dirigent. Un changement de paradigme devrait s'opérer, afin bouter au dehors ce système et ceux qui l'entretiennent juste pour leurs intérêts égoïstes et ceux de leurs maitres néo colons tapis dans l'ombre. Les échanges commerciaux entre le Sénégal pays serviteur et la France pays maitre vient de se terminer. Malheureusement depuis plus de 60 ans, c'est le même disque, le même tempo qui prévaut. Ce disque doit être rayé, il est temps de le changer, ce régime avec son système d'aliénation, n'est plus habilité à diriger ce pays. Game is over ! Il faudrait absolument mettre fin à cet impérialisme néocolonial qui n'a que trop duré et inhibe tous les espoirs portés sur les plans d'émergence du Sénégal en particulier et de l'Afrique subsaharienne en général. Comme l'a si bien dit PROS "il faut que la France lève son genou sur notre cou. C’est là où se situe la vraie problématique, le défi qu'il nous faudrait impérativement relever, pour nous permettre de respirer économiquement.
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J'ai l'impression que ce gus parle de Macky comme s'il était un mécène qui dépense son propre argent pour faire les réalisations dont il nous parle! Tabarnak on lui a donné des milliers de millards pour faire ce travail!!! est-ce qu'il veut une médaille pourça!
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BOO SELEI DOO DEM AY SWEET BEAUTE EN PLEINE HEURE COUVRE FEU (covid) DI LAKATOU
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Sacré Guéwel!! Il est es train de nous bassiner avec ce qui a été fait mais ne nous dit pas ce qu'il compte faire!!! C'est ça une DPG!!!
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Vous n'avez pas écouté alors... En plus des réalisations , il a longuement parlé des perspectives
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On ne peut pas faire du Sénégal un paradis avec de l'arachide et quelques kilos d'or de Sabodala. Peut-être qu'Allah a pitié de nous et nous a envoyé du pétrole. Les générations montantes seront certainement mieux loties que les séniors vieillissants. Qu'Allah prête longue vie à tout le monde niou niame thi touti book avant de tourner les talons.
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Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah 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Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah b
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah 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Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah b
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah 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Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah b
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah 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Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah 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Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Merci beaucoup monsieur le PM, un homme bien choisi à la place. Vous êtes très compétent pour le bon déroulement et le développement du pays.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
TOUTES NOS FELICITIONS PM. Vous êtes d'une compétence sans faille. Diereudieuf
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah 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Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah 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Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah 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Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah 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Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah 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Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah Blah blah blah blah 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Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Où sont Massata Samb et Mamadou Samb.Les députés continuent à faire leur travail sans se soucier d'eux.Quel pire PUR? Quant aux raisons de leur fugitif aucune réaction de leur guide moustaphachidine.C'est horrible et regrettable dans une démocratie .Dans ce pays il y a des complots le peuple doit régler .ça .A ne plus en croire.Réfléchissons ensemble. ?
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Espérons qu'il parte le plus tôt possible 😂😂😂
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Waaw mba am nga ligéy walla ci sambaymbaayan yi nga bokk?
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Pour nous les góorgóolu ce DPG n’est que du papier hygiénique. C’est une utopie de croire qu’ils seront en mesure de réaliser ce qu’ils non réussi depuis douze-ans. Ay dóor la rekk.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Le griot 👎🏿👎🏿👎🏿👎🏿
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
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Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah 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blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah 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blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah 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blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah Blah blah blah blah blah blah blah blah blah
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
c'est parce que les députés ont vu passé tellemnt de ministres depuis prés d'un mois qu'ils confondent la DGP avec la session budgétaire
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Bonjour, je m'appelle Alisa, j'ai 21 ans) Début du modèle SEXE 18+) J'aime être photographiée nue) Veuillez noter mes photos à l'adresse suivante -- WWW.X21.FUN
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Bonjour, je m'appelle Alissia, j'ai 21 ans) Début du modèle SEXE 18+) J'aime être photographiée nue) Veuillez noter mes photos à l'adresse suivante -> WWW.X21.FUN id06630033
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Bonjour, je m'appelle Alissa, j'ai 21 ans) Début du modèle SEXE 18+) J'aime être photographiée nue) Veuillez noter mes photos à l'adresse suivante --- WWW.X21.FUN id03473082
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
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