"Un pays vit de fiscalité" : Gorgui Wade Ndoye répond à Sonko, "la presse du Sénégal agonise"
Face au secteur privé, Ousmane Sonko a souligné l'importance de la fiscalité. "Un pays vit de fiscalité, mais elle ne doit pas l'étouffer", a-t-il déclaré.
Pourtant, un secteur pâtit de la nouvelle politique du gouvernement Diomaye Faye - Ousmane Sonko : la presse. Ce que le journaliste El Hadji Gorgui Wade Ndoye a signifié au chef du gouvernement. "Monsieur le Premier Ministre, la Presse du Sénégal est étouffée, s'étouffe et agonise ! Souffles rédemptrices ! Souffles vivicatrices ! Souffles de Renaissance !", a-t-il écrit.
Le dernier exemple en date de cette crise qui touche la presse est le communiqué du Groupe Futurs Médias, qui a annoncé une restructuration interne face aux problèmes financiers.
Commentaires (5)
Monsieur gorgui Ndoye pour être sérieux et responsable il faut commencer d'abord par dire la vérité à tes confrères de la presse c'est ce qu'a fait l'avocat MameAdama gueye hier soir sur le plateaudemaimouna ndour faye. Ils ont accumulé des dettes fiscales immenses pendant des années et ne donnent aucun signe de vouloir le reconnaître et donner des gages pour les payer. Avant de demander des droits il faut d'abord remplir ses devoirs.
YOUTUBE Va tuer de télés, des journaux etdes radios. Donc s'adapter ou périr.
A qui la faute si la presse agonise?
Messieurs les journalistes, il faut réinventer votre modèle économique et changer de paradigme.
Il faut que vous travailliez sur la qualité. Les Senegalais veulent bien acheter les journaux mais faudrait qu ils la trouvent. Le contenu et la qualité rédactionnelle laissent à désirer.
Ceci est vrai aussi bien pour la presse ecrite que pour la presse parlée. Certains des journalistes prononcent mal certains mots en français pour la presse parlée - Television, radio , etc .Certains te diront , par exemple, estatut, escolaire, con dam ner , etc .
En tout cas certains Senegalais ne mettront pas leur argent là où ils desapprennent . De plus l argent du contribuable est utile ailleurs.
Aux jeunes journalistes. Il faut vous que vous vous cultiviez.
tu preferes vivre en suisse occupes de tes affaires
Des entreprises privées de presse ou de commerce de mécanique ou d industrie doivent faire face a leurs obligation ou fermer boutique. Arrêtez de faire le culte de la malhonnêteté .
Certaines personnes de la presse sénégalaise ne sont pas logiques, pourquoi ces gens pensent l'état doit toujours les entretenir.
Un pays pauvre avec 18M de sénégalais avec des centaines d'organe de presse(privés) ils servent à quoi réellement pour que l'état leur verse l'argent du contribuable.
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