Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Participer ou pas au dialogue politique auquel nous avons été conviés par Monsieur le Président de la République, Macky Sall ?
Le Comité d'Initiatives du parti MDIS/LIGGÉEY SÉNÉGAL CI JÀMM, présidé par Samba Ndiaye, ancien directeur des grands trains, s'est réuni le 25 février 2024 pour aborder les récents développements politiques du pays.
Commentant la dernière sortie du Président Macky Sall, le professeur de droit constitutionnel Babacar Guèye dit être resté sur sa faim
Le Sénégal, naguère cité en exemple de démocratie en Afrique, a connu un mois de février 2024 tumultueux avec le projet de report de la présidentielle initialement prévue le dimanche 25 février 2024.
Maitres Moussa Diop et Ngagne Demba Touré doivent profiter de la politique d’apaisement.
En conférence de presse hier, mardi 20 février, Aissata Tall Sall a martelé que « la vocation de tous les mandats d’arrêt au Sénégal c’est qu’ils s’appliquent et qu’ils soient exécutés quelle que puisse être la personne ».
Après son retour à Dakar, Me Ngagne Demba Touré a été cueilli à son domicile à Grand-Yoff par la police.
Que retenir de la décision du Conseil Constitutionnel ?
Babacar Diop, président des Forces démocratiques du Sénégal/Les Guelwaars, est favorable au dialogue prôné par le président Macky Sall afin de lui trouver une porte de sortie honorable...
Il prend cette initiative après que le Conseil constitutionnel a déclaré nul le décret annulant la convocation du corps électoral le 25 février et demandé «aux autorités compétentes [de] tenir [le scrutin] dans les meilleurs délais».
Par la Décision numéro 1/c/2024 en date du 16 février 2024, le Conseil Constitutionnel a rejeté la loi numéro 4/2024, adoptée par l'Assemblée nationale, en sa séance du 5 février 2024...
Sa réaction cristallisait toutes les attentions après la décision du Conseil constitutionnel, jeudi
La décision rendue par le Conseil constitutionnel rejetant le décret abrogeant la convocation du corps électoral et la loi adoptée par l’Assemblée nationale pour le report de l'élection présidentielle du 25 février au 15 décembre 2024 est loin d'être, comme d'aucuns le pensent, un désaveu au Président et à la représentation parlementaire.Au contraire, elle montre, s'il en était encore besoin, notre très longue tradition d'état de droit et de démocratie dont les piliers reposent sans conteste sur la séparation des pouvoirs.
Pour ''ne pas violer la Constitution et la loi portant Code électoral'', Thierno Bocoum désigne le 3 mars 2024 comme date adéquate pour tenir l’élection présidentielle. « Il n’y a pas une autre date possible » selon les articles L 63 alinéa 2 du Code électoral et 31 de la Constitution.
Chahuté depuis des semaines pour une affaire de corruption de ses membres...
Le Conseil constitutionnel a annulé, ce jeudi 15 février, le décret abrogeant la convocation du corps électoral le 25 février, la date initialement fixée pour la présidentielle, et posé son véto pour la tenue du scrutin le 15 décembre prochain, l’échéance retenue par l’Assemblée nationale.
Comme il est coutume, les juges du Conseil constitutionnel ont motivé leur décision.
Mamoudou Ibra Kane, dans un tweet, félicite le Conseil constitutionnel
« Le report de la présidentielle à un jour du démarrage de la campagne électorale »
Les responsables politiques de la coalition Benno Bokk Yaakaar de Kaffrine saluent l’initiative du Président Macky Sall...