Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Pour la première fois de son histoire, le Sénégal vient de reporter sine die son plus grand et important calendrier Républicain : les élections présidentielles devant se tenir le 25 février 2024.
Les scénarios qui se dessinent après le 2 avril sont multiples, selon le député Guy Marius Sagna devant le jury du dimanche (JDD).
Depuis le vendredi 9 février, de violentes manifestations ont éclaté un peu partout au Sénégal contre le report de la Présidentielle.
Les magistrats ruminent leur colère
Les forces de sécurité ont violemment dispersé vendredi la contestation contre le report de la présidentielle et le pouvoir du président Macky Sall, qui a fait un premier mort...
Anta Babacar en ordre de bataille
Ils l’avaient dit, ils sont passés à l’acte !
Tous les accès à la place sont fermés.
La célèbre « Lettre au roi » que Cheikh A. Bamba avait jadis adressée au souverain du Djolof, Samba Laobé, s'inscrit dans une longue tradition de conseil (nasîha) prônée par l'Islam pour orienter et éclairer les actes du Prince. Une tradition qu'ont toujours perpétuée, de façon discrète ou publique, les illustres successeurs de Serigne Touba, dans leur noble mission d'assistance des croyants et des citoyens dans la gestion de la Cité, en fonction du contexte et de leurs personnalités propres.
Des mouvements citoyens et religieux, des organisations socio-professionnelles, et des personnalités de la société civile, réunis autour de la Plateforme "AAR SUNU ELECTION", sonnent la mobilisation contre le report de l'élection présidentielle, initialement prévue, le 25 février prochain.
“Par ordonnance en date du 5 février 2024, la Licence de la Télévision Privée Walfadjri est retirée. Cette décision inique, est une violation sans précédent de la Liberté de la Presse au Sénégal, qui plus est
Le 03 février 2024, et à la veille du début de la campagne électorale, le Président de la République Macky Sall a « signé le décret n° 2024-106 du 3 février 2024 abrogeant le décret n° 2023-2283 du 29 novembre 2023 portant convocation du corps électoral ».
Le Président de la République, Macky Sall a signé le décret n° 2024-106 du 3 février 2024 abrogeant le décret n° 2023-2283 du 29 novembre 2023 portant convocation du corps électoral. Le même jour, il a prononcé un discours pour donner ses motivations. Ainsi, l’élection présidentielle prévue initialement le 25 février prochain est reportée sine die. « Non au coup d'État constitutionnel ! Chez nous, l'Armée a toujours été républicaine. Donc leur Chef suprême, à l'image de ses prédécesseurs, n'avait pas à rompre avec cette tradition républicaine », a lancé l’expert électoral, Ndiaga Sylla. Auparavant, il a donné son avis sur le message à la nation du Chef de l’Etat. Le voici !
Même s'il a décidé de ne pas battre campagne après la décision du président Macky Sall d'abroger le décret convoquant le corps électoral pour la présidentielle du 25 février, Aly Ngouille Ndiaye ne dépose pas pour autant les armes. Selon lui, il n'est pas encore question de s'avouer vaincu. Face
Ousmane Sonko a, depuis sa cellule, condamné avec la dernière énergie l’enlèvement du célèbre avocat et leader d’une organisation...
«Ils avaient jusqu’au 5 février pour saisir les chambres réunies de la Haute juridiction», signale Les Échos, qui donne l’information.
En perspective du scrutin présidentiel du 25 février prochain, la coalition de la société civile pour l'application des recommandations de la Commission nationale de réformes des institutions (Cnri) a proposé un pacte de bonne gouvernance aux candidats en lice. Rappel des points saillants desdites conclusions.
Enseignant-chercheur en droit public à l’université Gaston Berger (Ugb) de Saint-Louis, le Dr Yaya Niang a porté un regard critique sur la décision du Conseil constitutionnel rendu le 20 janvier dernier arrêtant la liste des candidats au scrutin présidentiel du 25 février 2024. Dans cet entretien exclusif avec Seneweb, le spécialiste du droit électoral a relevé une « inconstance de la procédure » et une « précarité de la motivation » de la décision des « sept sages », entre autres remarques.
Les 7 sages du Conseil constitutionnel ne se laissent pas faire. Ils réagissent aux attaques.
«Jusqu’à l’extinction du soleil…» : la formule est devenue célèbre grâce à l’ancien Premier ministre, qui l’avait brandie pour clamer son innocence alors qu’il était empêtré dans l’affaire des Chantiers de Thiès.