La source rappelle que c’est dans la même zone qu’un véhicule de l’Armée avait sauté sur une mine antichar.
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La source rappelle que c’est dans la même zone qu’un véhicule de l’Armée avait sauté sur une mine antichar.
Le 14 décembre dernier, quatre (4) soldats de l’Armée sénégalaise ont été tués dan l’explosion d’une mine antichar, lors d'une mission sur l'axe Diokadou-Kadialock, dans le département de Bignona.
Quatre militaires ont été tués, le 15 décembre, après que leur véhicule a sauté sur une mine antichar dans le département de Bignona. Huit personnes ont été arrêtées, dans le cadre de l'enquête sur ce drame, dont le chef du village de Diaboudior.
Quatre soldats sénégalais sont morts hier dans le département de Bignona après...
Quatre militaires ont été tués dans le département de Bignona en Casamance lorsque leur véhicule a sauté sur une mine antichar.
L’explosion de la mine antichar qui a provoqué la mort de deux soldats de l’armée sénégalaise a remis au goût du jour la question des mines. En effet, Le directeur du Centre national anti-mines du Sénégal le colonel Barham Thiam a révèle sur les ondes de la Rfm que « 450 mines ont été enlevées » par le centre qu’il dirige...
Les 2 soldats blessés évacués d’urgence à Dakar
Le 14 décembre dernier, quatre (4) soldats de l’Armée sénégalaise ont été tués dan l’explosion d’une mine antichar, lors d'une mission sur l'axe Diokadou-Kadialock, dans le département de Bignona.
Quatre militaires ont été tués, le 15 décembre, après que leur véhicule a sauté sur une mine antichar dans le département de Bignona. Huit personnes ont été arrêtées, dans le cadre de l'enquête sur ce drame, dont le chef du village de Diaboudior.
Quatre militaires ont été tués dans le département de Bignona en Casamance lorsque leur véhicule a sauté sur une mine antichar.
L’explosion de la mine antichar qui a provoqué la mort de deux soldats de l’armée sénégalaise a remis au goût du jour la question des mines. En effet, Le directeur du Centre national anti-mines du Sénégal le colonel Barham Thiam a révèle sur les ondes de la Rfm que « 450 mines ont été enlevées » par le centre qu’il dirige...
Le gouvernement de la Guinée Bissau a décrété deux jours de deuil national à la suite d'une explosion d’une voiture de transport en commun provoquée par une mine antichar survenue vendredi et dont le bilan s’est alourdit à 22 morts et 16 blessés graves.
SINDIAN, le 19 septembre (IRIN) - Des milliers de personnes ayant fui les combats opposant les forces gouvernementales aux rebelles indépendantistes de Casamance, la région sud du Sénégal, ne sont pas prêtes à quitter la Gambie voisine. Les affrontements ont éclaté le 16 août dernier, lorsque l’armée sénégalaise a entrepris de se déployer vers le nord à partir de la base de Sindian, en Casamance. Après une semaine de violents combats, les armes se sont tues jusqu’au 24 août, date à laquelle les hostilités ont repris, a indiqué la population locale. Il y a deux semaines, des villageois et agents de police vivant dans des localités gambiennes proches de la frontière sénégalaise ont confié avoir entendu quotidiennement des tirs d’artillerie lourde et d’armes automatiques ainsi que des explosions.
Cela fait longtemps que l'on n'avait pas entendu parler de mines. Avant-hier, une mine anti-char a, encore, fait des victimes : un mort et deux blessés, dont un dans un état grave. (Correspondance) - La liste des victimes des mines en Casamance continue de s’allonger. Avant-hier, trois victimes de ces engins dits de la mort sont venues s’ajouter à ces centaines d’hommes et de femmes, morts ou amputés pour avoir été un jour au mauvais moment et au mauvais endroit. Ce dernier accident a fait un mort et deux blessés, dont un dans un état grave. Les faits se sont passés entre 20 et 21 heures à Baraf, village situé à cinq kilomètres au sud de Ziguinchor. Les trois enfants, tous des élèves revenaient du village voisin de Bankouwouling où ils avaient accompagné leur oncle quand la charrette à bord de laquelle ils se trouvaient a sauté sur une mine antichar. Alertés par le bruit provoqué par l’explosion, les villageois se rendront sur les lieux. Sur place, ils feront la découverte macabre : les trois victimes baignant dans une mare de sang.