Saër, 18 mois, est un bélier de race Ladum qui attire l'attention des amoureux des ovins.
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Saër, 18 mois, est un bélier de race Ladum qui attire l'attention des amoureux des ovins.
Saër, 18 mois, est un bélier de race Ladum qui attire l'attention des amoureux des ovins.
A un mois de la Tabaski 2018, l’aliment de bétail est devenu cher. La hausse des prix du foin risque d’élever le prix des moutons.
La hausse des prix des aliments de bétail (foin et rippaas) fait craindre une hausse des prix du mouton de tabaski.
Foirail de Yarakh, un des 38 points de vente répertoriés par le ministère de l’Elevage et des Productions animales dans la région de Dakar. Dans ce site situé à quelques jets de pierres de la nouvelle gare routière de la capitale sénégalaise, vendeurs et rabatteurs n’ont d’yeux que pour les clients.
A quelques jours de la fête de Tabaski, les moutons sont exposés dans bon nombre de coins de la capitale. Pour le moment, le regard des Sénégalais est surtout attiré par ces ruminants qui déambulent ça-et-là et dont les prix varient. Cependant, mieux vaut circuler si on n’a pas les poches bien remplies de billets de banque. Les prix pratiqués sont bien au-delà des possibilités de certaines catégories de Sénégalais. Ils varient selon les tailles et les races. Tour d'horizon dans les bergeries de la place.
Ce n’est pas une race de mouton en tant que telle, mais, «un mouton qui a été créé par croisement entre les races «Toubabeer» et «Baly-Baly», explique d'emblée, Dr khady Goudiaby du cabinet vétérinaire de la Médina. «En Mauritanie, renseigne la spécialiste, il existe un village nommé Ladoum où l’on élève de grands moutons.
«L’heure est venue d’une approche scientifique du «ladum» au Sénégal. Je voudrais convier le directeur de l’Ensa à réfléchir, avec vous, sur un programme qui pourrait vous permettre d’améliorer la race à partir du «ladum», a déclaré le ministre de l’Elevage et des productions animales, Aminata Mbengue Ndiaye qui a visité, samedi à Thiès, la Foire des éleveurs de moutons de race.