Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Au Sénégal, l'année 2024 a été bien particulière à pleins des égards. Mais 2025 devrait être tout aussi riche, sur le plan politique, sportif et judiciaire.
« L’inflation notée des partis politiques, favorisée par une application trop laxiste des textes en vigueur, a conduit à une fragmentation excessive et une inflation préoccupante, préjudiciable à une respiration démocratique de qualité », a déclaré le président Bassirou Diomaye Faye, lors de son adresse à la Nation, ce mardi 31 décembre 2024.
L’abrogation de la loi d'amnistie des faits politiques connus sous le régie de Macky Sall se précise davantage.
Le gouvernement a annoncé mardi avoir alloué 5 milliards pour indemniser les victimes des violences politiques dans ce pays entre 2021 et 2024, des faits ayant causé des dizaines de morts et couverts par une loi d'amnistie que les autorités prévoient d'abroger.
L'an 2024 tire à sa fin. Qu'il repose en paix, après 365 jours de vie tumultueuse.
Les rangs de l'Alliance pour la République (APR) se vident.
«L'affaire de la villa figurait en bonne place dans les dossiers de passation des pouvoirs entre le président Moustapha Niasse et [son successeur] Amadou Mame Diop.
Des faits marquants, il n’en a pas manqué au Sénégal en 2024. Que ce soit en politique, en société, en sport, ou encore dans le secteur des médias, 2024 n’a pas du tout été de tout repos au Sénégal.
La vente de la maison de fonction du président de l'Assemblée nationale, révélée par le Premier ministre Ousmane Sonko, lors de sa Déclaration de politique générale (Dpg)...
Dans un ouvrage intitulé "La Jeunesse prend le pouvoir”, Mame Birame Wathie retrace les enjeux, intrigues et luttes de pouvoir qui ont redessiné la scène politique nationale.
La fièvre politique atteint un pic jamais franchi en 2024, au point de menacer de faire péter le thermomètre.
Le projet de loi des finances initiale de l'année 2025, a été voté sans débat à l’Assemblée nationale.
La Haute Cour de justice, une promesse électorale lors des législatives du 17 novembre dernier, est en voie d’être concrétisée par les nouveaux détenteurs du pouvoir. Dans leur ligne de mire, des anciens dignitaires du régime de Macky Sall. Mais ce dernier peut-il réellement être traduit devant cette juridiction ? Comment définir la haute trahison ? Seneweb a recueilli l'avis tranché de juristes.
Babacar Gueye ancien ministre est revenu sur la déclaration de politique générale du Premier ministre Ousmane Sonko.
la meilleure façon de se punir nos adversaires de Pastef suite au gangstérisme politique qui leur a permis de prendre le pouvoir est de ne pas faire comme eux...
Le Chef du gouvernement, selon Latouffe, «n'a pas seulement séduit, il a convaincu les plus sceptiques»
Le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko a décliné vendredi son plan de rupture pour les cinq prochaines années et annoncé qu'il entendait abroger la loi d'amnistie de l'ex-président Macky Sall couvrant les violences politiques qui avaient fait des dizaines de morts entre 2021 et 2024.
La journaliste Maty Sarr Niang fait l'objet d'une citation directe émise par l’ancien directeur général de la Loterie nationale sénégalaise (Lonase) Lat Diop.
Abdourahmane Sow est l’invité de Tolluwaay
En réponse à Abdoul Mbow qui a invité le nouveau régime au travail, Guy Marius Sagna a taxé les dignitaires du régime de Macky Sall de voleurs qui ont précipité le pays dans le gouffre.