Du grec dêmos, qui signifie « peuple », et kratos, qui signifie « pouvoir », la démocratie semble être le système le plus viable.
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L’ONU à 80 ans : Une occasion cruciale de renouveau
L'alliance f24 formée le 12 avril 2023 est sur le point de devenir obsolète si elle n'évolue pas
Il urge de mettre fin aux mutilations génitales féminines (MGF), plaide le directeur pays de l'ONG ActionAid.
La campagne des municipales sur 15 jours et la Coupe d’Afrique des nations se télescopent.
Avec « Envolée zougloutique », un 11e album paru pour la première fois chez Universal Music Africa, le groupe emmené par A’Salfo entend...
Tout au long de son mandat, le président américain, Donald Trump, n'a pas épargné ses homologues en n'hésitant pas à les critiquer ou...
Trump préfère les "méchants"
Moustapha Diakhaté se considère toujours comme membre de l'Alliance pour la République, malgré son exclusion, ce mardi, par la commission de discipline du parti au pouvoir.
Selon l’homme d’affaires mauritanien en exil Moustapha Ould Limam Chavi
La troisième édition des Ateliers de la pensée, du 30 octobre au 2 novembre à Dakar, a porté sur le "basculement des mondes et les pratiques de dévulnérabilisation".
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Même si elle ne dit pas ouvertement qu'elle n'en fait plus partie, Hélène Tine considère que Mànkoo taxawu Senegaal a expiré. Elle estime qu'à l'instar des autres coalitions montées pour les législatives, elle était vouée à la disparition au détour de ces élections.
Comme on pouvait s’y attendre, de gros nuages sombres sont en train de s’amonceler dans le ciel sénégalais. Confrontés au lourd héritage wadiste, les tenants du Yoonu Yookuté et leurs alliés ne réussissent pas, pour l’instant, à atténuer, encore moins à juguler la grave crise sociale, qui sévit dans notre pays. Ne sentant aucune amélioration dans leur vécu quotidien, malgré les campagnes médiatiques plus tapageuses que pertinentes des thuriféraires néo-libéraux, les masses populaires, après une longue période d’expectative, marquée par un profond doute - comme l’a éloquemment indiqué la forte abstention aux dernières législatives - montrent des signes inquiétants de désespérance sociale marquée par l’indiscipline, l’irresponsabilité et le retour aux théories du conservatisme social. En somme, tout le contraire du projet "yakaariste" porté par l’APR et Benno Bokk Yakaar.
« Je suis un Barro du Sénégal, pas du Burkina Faso (rires). », nous accueille avec humour Fadel, la figure emblématique du mouvement « Y en a marre ». Il dit qu’il a été agréablement surpris de savoir qu’il y a des Barro au Burkina. Ce journaliste de métier est devenu un personnage important dans la vie politique sénégalaise depuis la croisade de 2011 contre la troisième candidature d’Abdoulaye Wade.
Dans le cadre de l’exécution de son programme d’actions, la cellule du mouvement citoyen pour la Refondation Nationale Bes Du Niakk, a organisé le dimanche 30 Octobre 2011, un thé débat dont le thème portait sur la crise politique au Sénégal: bilan et perspectives pour une meilleure alternative en 2012.
Encore un entretien du Président Wade qui va susciter bien des commentaires et autres conjectures. Il a accordé une interview, le 30 septembre dernier, à Dakar, au journaliste suisse Arnaud Robert.
LONDRES (Royaume-Uni) - La liste des invités au mariage du prince William et de Kate Middleton dominait les débats le jour de Pâques, à J-5, tandis que les services de communication de la famille royale continuaient d'alimenter au compte-gouttes une chronique dont se repaissent les médias.
Encore une visite sous haute tension de Wade, dans la cité de Bamba. Après le courroux de certains responsables libéraux, voilà que montent sur la sellette les Mbacké-Mbacké du Pds. Ces derniers bloqueront l’accès de la résidence de leur grand père pour empêcher le Chef de fouler « le sol des lieux ». En les en croire, il est temps que l’on arrête de saupoudrer les populations de Touba avec des "réalisations obsolètes et faramineuses".
Il suffit alors de museler par toutes les voies légales et illégales le citoyen, les médias et s’appuyer sur les sociétés de communication « faiseurs d’images » pour que la communauté internationale, frileuse quand il s’agit de choisir entre droits humains et intérêts bien partagés, fasse la sourde oreille et opte pour une diplomatie du statu quo. La liberté d’expression est tolérée tant que l’on a la décence de ne pas en user.