Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Gambie: trois femmes inculpées après le décès d'un nourrisson excisé
En Gambie, la mort d’une fillette d’un mois, le 10 août 2025, à la suite d’une excision présumée, a suscité une vive émotion et relancé la polémique autour de cette pratique pourtant interdite depuis 2015.
Les députés gambiens ont approuvé lundi un rapport soutenant l'interdiction de l'excision et des mutilations génitales féminines en vigueur depuis 2015, avant un vote final prévu fin juillet sur l'abrogation éventuelle de cette interdiction.
Le 18 mars 2024, le Parlement gambien a initié un projet de loi visant à abroger la loi anti-mutilation génitale féminine/excision (MGF/E) qui protège et criminalise la pratique des mutilations génitales féminines dans le pays. Lors d'un premier vote, la plupart des députés, soit 42 des présents, ont voté en faveur de l'abrogation de la loi de 2015 interdisant l'excision/mutilation génitale féminine.
L'interdiction des mutilations génitales féminines (MGF) en Gambie depuis 2015 est menacée.
Les chiffres sont alarmants.
Il urge de mettre fin aux mutilations génitales féminines (MGF), plaide le directeur pays de l'ONG ActionAid.
Pour avoir excisé une fillette de 8 mois, trois femmes sont condamnées à six mois de prison avec sursis par le tribunal de Kolda.
Les cicatrices ne se refermeront jamais. Saly Sadio marche à l’aide des béquilles.
Cette typologie des enfants errants en souffrance renseigne amplement sur l’ivresse dans laquelle notre pays a plongée au-delà des limites acceptables.
La mort de la fillette a suscité l’émoi sur les réseaux sociaux et a été condamnée par l’Unicef