Les festivités prévues coûteront un bras aux contribuables sénégalais.
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Les festivités prévues coûteront un bras aux contribuables sénégalais.
L’arrestation du teigneux secrétaire général du Cusems Authentique, Dame Mbodj, avait fini de donner une autre tournure à l’affaire Sweet Beauté
Les étudiants de l’Université Gaston Berger (Ugb) de Saint-Louis ont décrété, ce lundi, un mot d’ordre de 24 h de cessation des activités pédagogiques et de 120 h de journées sans ticket (Jst), a informé le président de séance de la coordination.
Les festivités prévues coûteront un bras aux contribuables sénégalais.
Les étudiants de l’Université Gaston Berger (Ugb) de Saint-Louis ont décrété, ce lundi, un mot d’ordre de 24 h de cessation des activités pédagogiques et de 120 h de journées sans ticket (Jst), a informé le président de séance de la coordination.
Ambiance morose à l’université Gaston Berger de St-Louis où le Crous, centre régional des œuvres universitaires n’est pas en odeur de sainteté avec les étudiants qui continuent à réclamer le paiement de leurs bourses d’études. Ces derniers d’une part dénoncent l’exigence du quitus de loyer par les autorités administratives préalable à toute inscription pour la nouvelle année. D’autre part, selon Libération quotidien, « les pensionnaires du campus qui ne se sont pas acquittés de leur loyer depuis mars dernier traînent une ardoise de plus de 50 millions de francs Cfa ». Nos confrères rassurent et précisent que le nouveau directeur du Crous, Biram Ndeck Ndiaye, entré en fonction ce lundi, « semble jouer la carte de l’apaisement », « un modus vivendi a été trouvé, lequel autorise l’inscription sans le préalable du quitus sous réserve de paiement ultérieur du loyer ». Par ailleurs, les étudiants pour exiger le paiement de leurs allocations d’études, ont décrété des Journées sans ticket ou « Nguenté toubab » : ils envahissent le restaurant « sans présenter de ticket, arguant n’avoir pas encore perçu leurs bourses », rapporte Libération.
Les manifestations contre les délestages ont débordé à Dieuppeul 3, ou le bar-dancing « Chez Iba » a été la cible de délinquants. Ces derniers ont pris d’assaut le bar-dancing, lundi vers deux heures du matin. Ils assimilaient leur acte à du « Nguenté Toubab », service libre et gratuit, pour emprunter le langage des étudiants. Selon le journal Le Populaire, plusieurs prostituées qui fréquentent les lieux ont été violées au cours de cette attaque nocturne. Le coffre-fort, la recette journalière et beaucoup d’autres matériels ont été emportés par les assaillants qui profitent des émeutes pour se livrer à des actions criminelles.
L’Université Cheikh Anta Diop a renoué avec la violence. Pendant toute la matinée d’hier, les étudiants en année de maîtrise réclamant le paiement des subventions de leurs mémoires, ont érigé des barricades à tous les points de passage de l’institut. L’inauguration du campus numérique de la Bibliothèque université, qui était prévue hier à 10 h, a été reportée sine die. Armé de pierres, le jeune Mohamad, élève en classe de Ce1 et résident à la Gueule Tapée, « adhère » à la lutte de ses aînés étudiants en année de maîtrise.
Il y a, pour chaque communauté, ethnie ou race, des secrets que seuls les initiés sont les détenteurs. La communauté léboue établie à Ndakarou (de Toubab Djalaw à Ouakam) depuis des siècles ne fait pas exception à cette règle. Il existe dans cette large contrée des lieux mythiques où des esprits s’y incarnent, sous différentes formes. Pour la plupart, ce sont des demeures de génies ou de djinns. Ces lieux ont besoin d’un entretien particulier, car relevant d’un patrimoine sacré à préserver. La quiétude de la communauté en dépend largement.
L’intersyndicale du personnel administratif technique et des services (Pasts) de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, après avoir déposé un préavis de grève qui couvre toute l’année académique 2005 /2006 et organisé de nombreux débrayages, a durci le ton hier. Au sortir de son Ag, tout le personnel administratif et technique en sus des services, a décidé de partir en grève pour une durée illimitée. Ce mouvement d’humeur a occasionné la fermeture de tous les services, paralysant le fonctionnement de l’Université. Conséquence : les étudiants qui ont pris d’assaut les restaurants pour le petit-déjeuner, n’ont trouvé personne.