Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Le baril est actuellement à 35 dollars, contre 70, juste avant le début de l’épidémie de nouveau coronavirus.
Les Bourses européennes ont accusé lundi leur pire chute sur une séance depuis la crise de 2008, sur fond d'effondrement des cours du pétrole après l'échec de négociations entre l'Opep et la Russie, en pleine crise du coronavirus.
Les pays exportateurs de pétrole risquent d’être les plus durement affectés alors que les cours sont en chute libre.
Pour le Secrétaire général du Syndicat des travailleurs du pétrole et du gaz la situation devrait changer.
C'est le chaos sur les places boursières du monde entier. À Tokyo, le Nikkei a clôturé sur une chute de plus de 5%, du jamais vu depuis deux ans.Gros plongeon également sur les places européennes. La Bourse de Londres s'est écroulée de plus de 8%. Milan, la capitale financière de l'Italie est en quarantaine et subit de lourdes pertes. Son indice a flanché de 8%. Les Bourses de Paris et Francfort ont dévissé de plus de 7%. Les marchés redoutent une débâcle économique. Avec l'épidémie de coronavirus, la baisse de la consommation risque de se prolonger.
Les deux principaux contrats étaient en baisse de 20 %, le prix du WTI (West Tewas Intermediate) s'établissant à 32 dollars le baril et celui du Brent à 36 dollars.
Cette décision fait suite à l'échec des discussions entre l'Opep et la Russie. Ryad entend ainsi adopter une stratégie de prise de parts de marché.
Commissaire aux affaires économiques de la commission de l'Union africaine, Victor Harrison précise que «Même si l'épidémie n’a pas encore atteint le continent, il faudrait que nous fassions attention.»
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