Lors de son entretien hier avec la presse nationale, le chef de l’État a évoqué l’éventualité d'une liberté provisoire pour Ousmane Sonko et son candidat Bassirou Diomaye Faye, en renvoyant la balle aux avocats qui doivent introduire une demande de liberté provisoire auprès du parquet.
Le président Macky Sall a évoqué hier une probable mise en liberté provisoire du candidat Bassirou Diomaye Diakhar Faye, "afin qu'il puisse participer au dialogue".
La question est revenue hier lors de l’entretien que le chef de l’État, Macky Sall, a accordé à des médias nationaux dont Seneweb.
Le Président Macky Sall, après s’être engagé à appliquer la décision du Conseil Constitutionnel numéro 1/c/2024 en date du 16 février 2024, rejetant le report de l’élection présidentielle souhaité par l’Assemblée nationale, a présenté, le 22 février 2024, lors d’une interview, l’agenda qu’il compte dérouler à cet effet.
La polémique autour de cet imam tunisien avait éclaté après la publication sur les réseaux sociaux d'une vidéo d'un prêche où il qualifie le «drapeau tricolore» de «drapeau satanique» qui n'a «aucune valeur auprès d'Allah».
Aspirant, M. le Président de la République,
Le Sénégal, naguère cité en exemple de démocratie en Afrique, a connu un mois de février 2024 tumultueux avec le projet de report de la présidentielle initialement prévue le dimanche 25 février 2024.
La philosophie du droit pénal voudrait que pendant l'arrestation, le mis en cause soit informé de deux fondamentaux. Il s'agit du délit ou crime commis et à quelle peine est passible l'infraction commise, selon le professeur Mounirou Sy.
Le ministre de la Justice, Me Aïssata Tall Sall, fera face à la presse aujourd’hui.
![[Reportage] À Rebeuss les “détenus politiques” réclament réparation pour privation de liberté indue](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//6b9abf051c2ac503852e12d91091e05c9ccf37c8.png)
La Maison d’arrêt et de correction de Rebeuss est, depuis jeudi dernier, le point de ralliement de centaines de proches de détenus politiques. Dans son élan de décrispation de la situation socio-politique très tendue, le Président Macky Sall a décidé de les libérer. Pour sa part, le collectif des détenus politiques envisage des poursuites judiciaires contre l’État.
Des dizaines de personnes placées sous mandat de dépôt dans le cadre des enquêtes relatives aux tensions politiques de ces trois dernières années, ont recouvré la liberté.
Le Conseil constitutionnel a annulé le décret reportant la présidentielle et la loi, adoptée par l’Assemblée nationale, fixant le scrutin au 15 décembre.
Mbackiyou Faye est dans le viseur du collectif formé par les propriétaires des dix maisons démolies à Almadies 2 (Keur Massar), samedi dernier.
Selon les informations de RMC Sport, l’OM fait de Jean-Louis Gasset sa priorité pour prendre la succession de Gennaro Gattuso. Le technicien a récemment démissionné de son poste de sélectionneur de la Côte d’Ivoire.
L’ancien directeur de Frontex, l’agence de l’UE chargée du contrôle des frontières, annonce dans un entretien au JDD publié samedi soir qu’il rejoint le Rassemblement national (RN) pour les élections européennes de juin et figurera en troisième place sur la liste de Jordan Bardella.
L’homme d’affaires Seydou Sarr dit Tahirou Sarr risque un an de prison ferme.
La justice britannique n’a pas jugé utile de faire passer un test de paternité à l’enfant d’un homme ayant mélangé son sperme avec celui de son père pour faire tomber sa conjointe enceinte, estimant qu’il s’agissait de «leur affaire».
Le Sénégal est suspendu vendredi à la réaction du chef de l'Etat, Macky Sall, au lendemain de l’invalidation par le Conseil constitutionnel du report de la présidentielle qui plonge le pays dans l'inconnu.
Comme il est coutume, les juges du Conseil constitutionnel ont motivé leur décision.
À Thiès, le mot d’ordre grève de 72 heures dans les collectivités territoriales est largement suivi...
