Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Un conseiller du corps des Gardiens de la révolution, l'armée idéologique de la République islamique d'Iran, a succombé jeudi à ses blessures, touché lors d'une frappe sur Damas...
Suite à la conférence du gouvernement sénégalais révélant « les véritables chiffres » de la dette publique du pays, le mouvement national des cadres patriotes...
Le Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce mercredi 02 octobre 2024, la réunion hebdomadaire du Conseil des Ministres, au Palais de la République.
Lors de la session hebdomadaire du Conseil des ministres tenue ce mercredi 2 octobre 2024, la situation des finances publiques a occupé une place centrale dans les échanges.
Les réactions s’enchaînent, suite aux différentes interpellations d’acteurs de la vie sociopolitique sénégalaise.
À travers un communiqué de presse parcouru par Seneweb, l'Alliance pour la transparence des élections législatives (ATEL) a partagé sa lecture sur la vague de convocations et d'arrestations qui tombent comme une pluie d'été sur des responsables politiques de l'opposition.
La machine judiciaire s’emballe avec, en ligne de mire, des opposants au régime et des journalistes, suscitant de vives réactions.
L'ancien ministre de l'Énergie, Thierno Alassane Sall, s'est exprimé sur la situation politique actuelle du Sénégal.
Convoqué à la division de la cybersécurité, l’opposant Bougane Guèye Dany a assuré dans une vidéo qu’il n’est pas question pour lui ni de fuir, ni d’appeler les jeunes dans la rue comme l’opposant Ousmane Sonko.
Depuis quelques jours, plusieurs personnalités publiques sont convoquées par la Brigade de Recherche et parfois placées en garde à vue. Une situation que dénoncent des acteurs de la société civile font Birahim Seck.
Moundiaye Cissé dénonce les arrestations tous azimuts du nouveau régime.
La Division des investigations criminelles (Dic) a subi une coupure d’électricité...
Le tandem Diomaye Faye - Ousmane Sonko en prend pour son grade.
Cheikh Yérim Seck est en garde à vue à la Division spéciale de cybersécurité (DSC).
Abdou Mbow, porte-parole de l'Alliance pour la République (APR), a critiqué la gouvernance actuelle et accusé le régime de semer la terreur pour dissimuler son « incapacité » à répondre aux attentes des Sénégalais. Dans un communiqué, il dénonce un pouvoir qui, selon lui, n'a pas tenu ses promesses de changement depuis son accession au pouvoir le 24 mars 2024.
La coalition Samm Sa Kaddu a dénoncé la convocation de son leader, Bougane Guèye Dany, par la Division de la cybercriminalité, à la veille des élections législatives, qualifiant cet acte de « provocation » et d’ « insulte à la démocratie ». Selon le communiqué publié par la coalition, cette démarche vise à « déstabiliser » l’ensemble de la liste électorale Samm Sa Kaddu.
El Hadji Mounirou Ndiaye, économiste a été nommé à la Présidence de la République.
La société civile ne compte pas faire preuve de neutralité sur les nombreuses vagues arrestations notées au Sénégal ces derniers jours.
«Ceux qui ont littéralement inondé l'Assemblée nationale de discours injurieux, utilisé à outrance la presse pour des attaques très souvent détestables, cherché systématiquement à dénigrer d’honnêtes citoyens, sont allergiques à la critique», s'est désolé le président du parti La République des Valeurs/Réewum Ngor.
Le Sénégal va vers des législatives anticipées après la dissolution de l’Assemblée Nationale. Le nouveau régime qui ira à ces joutes électorales sous la bannière de Pastef et avec comme tête de liste Ousmane Sonko, «a besoin d’une majorité parlementaire ». C’est à la limite une nécessité, selon le juriste Me Papa Doudou Sow. Nous reprenons in extenso sa réflexion.