La campagne de Kamala Harris a prévenu lundi que les résultats définitifs de la présidentielle américaine ne seront pas connus avant "plusieurs jours" et mis en garde le camp de Donald Trump contre toute tentative de "semer le doute et le chaos" sur l'intégrité de l'élection.
Aux yeux de nombreux dirigeants, la potentielle élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis est perçue comme une menace pour l'ordre mondial. À l'inverse, certains pays, plus que séduits par son mandat ou les perspectives qu'un second ouvrirait pour eux, attendent le retour du Républicain avec impatience.
Et si Kamala Harris et Donald Trump échouaient chacun à atteindre la majorité nécessaire de grands électeurs pour remporter la Maison Blanche? Cette hypothèse, à faire s'arracher les cheveux ou saisir d'angoisse des Américains déjà fort inquiets, est théoriquement possible.
Le candidat républicain et le financier accusé de trafic sexuel, mort en 2019, se sont connus à New York dans les années 1980. Un journaliste évoque de nouveaux enregistrements dévoilant leurs longues discussions.
Sur les marchés financiers, le dollar et les taux d'emprunt américains sont en nette baisse lundi, à l'orée d'une semaine cruciale, avec l'élection présidentielle aux Etats-Unis, suivie de la prochaine réunion de politique monétaire de la banque centrale américaine.
Un sondage, publié ce samedi 2 novembre, place Kamala Harris en tête de la course à la présidentielle dans l'Iowa. Cet Etat américain est pourtant considéré comme un fief républicain.
Kamala Harris et Donald Trump jettent dimanche leurs dernières forces dans une fin de campagne présidentielle américaine anxiogène pour les Etats-Unis et le reste du monde.
Retrait du neveu de Kennedy, retour de Jill Stein et arrivée d'un libertarien autoproclamé "armé et gay": l'élection présidentielle américaine de mardi se joue entre les démocrates et les républicains, mais le système bipartite laisse quand même la place à d'autres noms sur les bulletins.
Les Etats-Unis et la Russie sont "au bord d'un conflit militaire direct", a affirmé le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov dans un entretien publié vendredi par le quotidien turc Hürriyet.
La superstar NBA des Los Angeles Lakers LeBron James a appelé jeudi à voter pour la candidate démocrate à la Maison Blanche Kamala Harris à cinq jours de l'élection présidentielle américaine.
Mats Hummels a commenté la soirée du Ballon d’or à laquelle le défenseur allemand s’est rendu en début de semaine.
La porte-parole de la Maison Blanche, Karine Jean-Pierre, a tenté à nouveau, mercredi, d’éteindre l’incendie créé par les propos de Joe Biden sur les partisans de Donald Trump.
En meeting dans le Wisconsin, ce mercredi 30 octobre, le candidat républicain à l’élection américaine du 5 novembre a tenté d’exploiter une déclaration polémique du président américain sur les électeurs trumpistes.
Le président américain réagissait aux propos, dénoncés comme racistes, d'un humoriste, qui s'exprimait lors d'un meeting de Donald Trump à New York, comparant Porto Rico à une «île flottante d'ordures».
Engagé dans la dernière ligne droite de la campagne présidentielle américaine, le candidat républicain Donald Trump a multiplié ces dernières semaines les outrances et les déclarations injurieuses contre sa rivale démocrate Kamala Harris.
Alors que la course à la Maison Blanche se poursuit pour Kamala Harris et Donald Trump, l'ancien président des Etats-Unis tente de séduire la jeune génération à coups de célébrités.
Les extraterrestres ont peuplé notre imaginaire grâce aux films de science-fiction.
Alors que les sondages ont encore du mal à départager les deux candidats à l’élection présidentielle américaine, un ressortissant français a fait un choix audacieux. Il a parié 28,6 millions de dollars sur Donald Trump.
Le milliardaire Elon Musk, soutien inconditionnel de Donald Trump, est au coeur d'une nouvelle polémique vendredi après la publication d'informations de presse faisant état de ses contacts réguliers avec Vladimir Poutine.
Le Washington Post, célèbre pour avoir révélé le scandale du Watergate, ne soutiendra aucun candidat à l'élection présidentielle américaine du 5 novembre et s'abstiendra aussi de le faire pour les scrutins futurs, a annoncé vendredi son directeur général William Lewis.
