Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
C'est encore le flou autour de l’aide annoncée par le gouvernement du Sénégal aux victimes des violences politiques de 2021-2024. Les parents des deux filles mortes calcinées dans l'incendie d'un bus à Yarakh disent être laissés en rade.
L'Autorité palestinienne a accusé lundi Israël de "nettoyage ethnique" en Cisjordanie occupée, où l'armée israélienne mène des opérations meurtrières depuis plusieurs semaines.
Longtemps crainte, la guerre commerciale de Donald Trump est lancée ce mardi et risque de créer de lourds remous sur l'économie mondiale si le programme du président américain est appliqué à la lettre.
Le Sénégal, pays de tolérance et de valeurs humaines, se trouve aujourd'hui confronté à une réalité amère et troublante.
En exclusivité pour Seneweb, l’auteur de “Panser l'Afrique qui vient” explique les raisons de ce choix.
Seneweb en sait un peu plus sur l’incendie qui s’est déclaré samedi, dans la nuit entre 23h et 00h, au marché au poisson de Kaolack (marché guédj). C’est précisément au niveau du « Pack Bante », situé derrière le marché au poisson et qui fait face à la mer (Téfess), que le feu s’est déclaré avant de se propager sur les lieux. Ici, les flammes ont tout emporté sur leur passage avant d’être maîtrisées par les Sapeurs-pompiers. Des bétails (bœufs et moutons qui étaient élevés sur place par des pensionnaires), des cantines de commerce, des restaurants Maïga, des ateliers de menuiserie, un camion frigorifique contenant du foie importé, entre autres, tous ont été ravagés par les flammes qui étaient d’une rare violence.
Le gouvernement a alloué 10 millions F CFA à chaque famille comptant une personne décédée lors des violences politiques dans ce pays entre 2021 et 2024...
Le procureur de la République a requis une peine de trois mois ferme contre le marabout Gallo Guèye et le menuisier Touba Sylla.
Le tiktokeur sénégalo-italien le plus suivi au monde, Khaby Lame, a été nommé vendredi à Dakar ambassadeur de l'Unicef, à l'issue de quatre jours de visite au Sénégal, son pays natal, ont constaté des journalistes.
Un incendie d'une rare violence causé par un enfant de 10 ans par mégarde a ravagé le village de Sinthiou Sambarou, situé dans la commune de Koussanar, département de Tambacounda, le jeudi 30 janvier 2025. En quelques minutes, une cinquantaine de concessions traditionnelles ont été réduites en cendres, emportant avec elles des tonnes de mil, de maïs, sorgho, de l'argent, des biens essentiels et des effets personnels des habitants.
Le groupe armé antigouvernemental M23, qui a pris avec l'armée rwandaise le contrôle de la grande ville congolaise de Goma et déclaré vouloir "marcher" sur Kinshasa, a progressé jeudi dans l'est de la République démocratique du Congo, l'ONU se disant "très inquiète".
Le groupe armé antigouvernemental M23 a annoncé jeudi vouloir "rester" à Goma, la grande ville de l'est de la République démocratique du Congo (RDC) qu'il a conquise ces derniers jours avec les forces rwandaises, et "continuer la marche de libération" jusqu'à la capitale Kinshasa.
Un an, dont six mois ferme.
Donald Trump a signé mercredi un décret pour mettre fin au financement des écoles publiques qui enseignent "la théorie critique de la race" ou encore sensibilisent à la transition de genre, deux de ses promesses de campagne.
L'Union africaine a exhorté mardi les combattants du M23 "à déposer les armes" dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), où le groupe armé et des troupes rwandaises livrent de violents combats à l'armée congolaise dans la ville de Goma.
L'Agence d'assistance à la sécurité de proximité (ASP) a signé un partenariat avec le Conseil exécutif des transports urbains durables (Cetud)
Face à la progression constante du groupe armé antigouvernemental M23 et des forces rwandaises dans l'est de la République démocratique du Congo, le président congolais refuse de s'avouer vaincu et mis en garde sur un risque d'escalade "aux conséquences imprévisibles" dans la région.
Le constat est amer.
« Que cela plaise ou pas, par la grâce d’Allah, je reviens ».
Donald Trump a ratifié mercredi une loi qui requiert la détention automatique par les forces de l'ordre fédérales de migrants en situation irrégulière qui ont été condamnés ou inculpés pour certains délits - allant du vol à l'étalage à des violences contre un policier.