L'urgence de l'unité face à la crise sociale (par Babacar Kebe)
May unity, the unity that has repeatedly saved Senegal and made our nation a model in West Africa, on the continent, and throughout the world, remain a constant and a living reality. May Allah, the Almighty, protect us from the intoxication of power and the demons of division. May He strengthen peace, unity, harmony, and cohesion at the heart of our institutions and our leaders. Amen.
Two recurring themes emerged: "Sonko moy Diomaye" and "Diomaye moy Sonko," both driven by the same program and governance model, which are being used throughout the country to mobilize support. But long before these slogans, millions of Senegalese had embraced your ideas and political principles, convinced of the promised renewal.
Many have paid a heavy price: lives shattered, people mutilated, others imprisoned… So many destinies turned upside down in the name of the hope for a new state and a profound promise of change on all levels.
After eighteen months of governance, hope remains for some but is fading for others. Not because recovery is impossible, but because, after nearly a decade of working together, your positions now seem contradictory.
What's wrong with you?
What has changed in the meantime?
Don't try to find a scapegoat. A state must be governed; it should never be run by special interests, egos, internal squabbles, or power struggles. Promote your ideas, your program, and the trusted people you have chosen, but don't let the state apparatus impose its logic at the expense of your commitments. This is the stance that will elevate you and make you just.
Those who accept being chosen must accept the responsibilities that come with it. Those who choose must also bear the consequences of their choices. Don't be at odds with yourselves.
Beyond the high cost of living and a still fragile economy, do not exacerbate citizens' anxieties or the sleepless nights of the most vulnerable. Do not further expose our hospitals to patients exhausted or in crisis because of your divisions.
Please, my dear leaders: calm things down. Unite. Clarify. The country desperately needs it.
The real concerns of the Senegalese people are economic, security-related, and social: employment, food sovereignty, purchasing power, peace, and security. Do not draw them into a debate that is neither urgent nor a priority.
Settle your differences. Come back to the people with concrete answers and visible measures. The people are watching you patiently; restore their hope through actions.
It is on this ground – the improvement of living conditions and the protection of the nation – that Senegal expects you to deliver.
Commentaires (11)
Tiowly tiowly c'est très simple. Diomaye qui dans ses rêves les plus exaltés n'aurait jamais pensé être président a fait le choix de la trahison et du reniement.
Mais deugg yaagoul !
Diomaye le traitre
Vous pensez que vos textes et contributions ont un quelconque effet de la crise. Certains disent que c’est une affaire de securité du pays. La stabilité du Sénégal ne se negocie pas et le président prend ses responsabilités face à toutes les types de menaces. Vos contributions pour toucher l’émotion des gens ne servent absolument à rien. Kou khamoul khamoul
Ceux qui ont été chassé par le peuple pour mal gouvernance, détournements de dernier publique et cruauté sont derrière un président choisi qui veut s'affirmer en contredisant ouvertement et publiquement celui qui l'a choisi. Ce président a autour de lui ceux de l’ancien système qui veulent faire croire au chat qu'il peut devenir un lion redoutable et faire plier son mentor... Tout ça pendant que le pays est au bord de la faillite économique. Bref au plus mauvais moment du mandat, le président qui avait rejeté la politique veut un appareil politique pour une réélection qui ne doit pas être une priorité. Celui qui l’a choisi prend un peu d'espace pour lui ouvrir les yeux mais la personnalité du président est de quelqu'un qui ne recule jamais... Un président doit être flexible parce que pour diriger une nation, on doit être flexible.
Vas prendre la carte du PASTEF et rends ta carte de presse
Mdrrr c ce que je voulais écrire ce gars j arrive mm pas a le regarder assamat diko deglou un vrai doungourouu avec l autre diallo
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Je suis d accord sur le fait que l essentiel se trouve dans les préoccupations des populations mais j ai l impression que ces politiciens ne veulent pas nous sortir dans leurs batailles de positionnement et de logique d élections en a pas finir. Un pays où on parle de politiques tout le temps quand est ce qu ils vont travailler.ils font plus de la politique que de se pencher sur les vrais problèmes des sénégalais.Et parmi les sénégalais qui ont voté pour vous n oubliez pas qu au moins 10% parmi les 54 ne sont d aucun parti .Trop c trop.
Torchon inutile pour sauver leur traitement et contrat avec le gouvernement.
Ces deux incapables ne peuvent revenir avec de “solutions” concrètes. Presque deux années et aucun acte majeur de développement n’a été posé. Dio moy Sonk
sur la base des interviews que vous faites, de vos réflexions, de vos lectures, écrivez un papier plus consistant, un texte percutant qui restiue la gravité de l'objet (c'est pas la longueur ou la simplicité du texte qu'il fait qu'il est lu ou non)
vous pouvez faire mieux !
c'est mon humble avis, M. Kébé
un gamin pour des anes
Ce Kébé et Mohamed Diallo ont choisi d'être des thuriféraires plutôt que des journalistes. Ils sont pires que Moustapha DIOP, Ngoné Saliou DIOP et Sérigne Saliou GUEYE. On a envie de vomir à les entendre parler. C'est la jeunesse pressée d'être dans le confort matériel et financier en bons larbins.
Dommage.
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