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Invest In Senegal Forum: Palestine 221 Collective Denounces Tony Blair's Presence

Auteur: Awa DIOP

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Forum Invest In Senegal : Le Collectif Palestine 221 dénonce la présence de Tony Blair

The Palestine 221 Collective (CP221) issued a scathing statement urging Senegal not to betray its "legacy of justice and solidarity with oppressed peoples." For over forty years, Senegal has chaired the United Nations Committee on the Exercise of the Inalienable Rights of the Palestinian People, a role that is praised worldwide. However, the collective is protesting the participation of Tony Blair and his foundation among the sponsors of the Investment Forum (IFI) in Senegal, calling the decision a "profound moral and political contradiction" and a "betrayal of the values" upheld by the country.

CP221 recalls the responsibilities of Blair, former British Prime Minister, in the illegal war in Iraq, which caused the death of more than half a million Iraqis, and his execution of Saddam Hussein on Tabaski Day, perceived as a humiliation for the Islamic Ummah. "This is the same Tony Blair who supported plans for economic and political domination over Palestine, who turned a blind eye to the massacres of Palestinian civilians and the brutal occupation policy carried out against Gaza," the statement denounces.

For Diop Mamadou, Secretary General of CP221, welcoming Blair "as a 'development partner' is to trample on the memory of the victims of Iraq and Palestine, to insult the African and Muslim conscience, and to deny the spirit of Senegal, a country that has always been on the side of the oppressed." The collective calls on the government to clarify the presence of the Blair Foundation, to reaffirm its unambiguous support for the Palestinian people, and to reject any compromise. "Senegal must not bow down to the powerful, it must stand up for justice and human dignity," the text concludes, launching a rallying cry: "Su mar tax nga naan ndoxu potit, su robiné ñëwee, digga la rouss!"

Auteur: Awa DIOP
Publié le: Mardi 07 Octobre 2025

Commentaires (6)

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    Plme il y a 7 heures

    Pauvre de nous donc on espère sur ces gars blair pour nous relancer..massa

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    Hé! il y a 7 heures

    Bah... On mise bien sur la #DiasporaBond qui elle même compte sur les modou-modous, qui eux même espéraient sur Le Projet, non ? 😂😂😂

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    sc il y a 7 heures

    très mauvaise idée de compter sur ce gars

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    Effectivement il y a 6 heures

    Président Diomaye vous allez tôt ou tard regretter d'avoir reçu ce type. Time will tell!

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    porozet il y a 6 heures

    l à ne pas trahir son « héritage.......................les gus ne savent pas que des poubelles ont tout détruit depuis wade et que les ânes actuels sont en place pour passer des chiottes libérales aux égouts patriotes

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    Sénégal il y a 6 heures

    Le régime Pastef semble s’engager dans une voie périlleuse avec sa politique actuelle d’arrestations et de poursuites, menée au nom de la soi-disant « reddition des comptes » et des enquêtes sur les événements insurrectionnels de 2021 à 2024. Ce qui devait être une opération de moralisation de la vie publique donne aujourd’hui l’image d’une chasse aux adversaires politiques, perçue par une grande partie de la population comme sélective et motivée par la vengeance plutôt que par la justice.

    En s’attaquant frontalement à des figures bien implantées dans leurs fiefs, le pouvoir semble ignorer une réalité politique fondamentale : la victimisation renforce la légitimité. Les mobilisations populaires récentes en sont la preuve éclatante. Au nord, Farba Ngom bénéficie d’un regain de soutien impressionnant ; à Saint-Louis, Mansour Faye rallie de plus en plus de partisans ; à Louga, Moustapha Diop suscite une ferveur populaire inattendue ; et à Dakar, le mouvement du Rappel à l’ordre parvient à fédérer un large front citoyen en dénonçant ce qu’il considère comme une justice à deux vitesses.

    Ces signaux devraient alerter les dirigeants du Pastef : en voulant neutraliser leurs adversaires, ils risquent au contraire de consolider leur statut de martyrs politiques et de leur offrir une nouvelle légitimité morale. L’opinion publique sénégalaise, profondément attachée à la justice et à l’équité, réagit mal à ce qu’elle perçoit comme une instrumentalisation du pouvoir judiciaire. Plus les arrestations se multiplient, plus elles alimentent le sentiment d’injustice et la frustration populaire, y compris parmi ceux qui n’étaient pas initialement hostiles au régime.

    Si cette stratégie n’est pas corrigée, elle pourrait se retourner contre le Pastef. L’histoire politique du Sénégal montre que la répression a souvent précédé la défaite électorale : chaque fois qu’un pouvoir s’est enfermé dans la logique de la confrontation plutôt que du dialogue, il a fini par perdre le soutien populaire. En poursuivant sur cette voie, le Pastef risque non seulement d’éroder sa crédibilité, mais aussi de fragiliser le climat social et politique du pays.

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    Sénégal il y a 6 heures

    Le régime Pastef semble s’engager dans une voie périlleuse avec sa politique actuelle d’arrestations et de poursuites, menée au nom de la soi-disant « reddition des comptes » et des enquêtes sur les événements insurrectionnels de 2021 à 2024. Ce qui devait être une opération de moralisation de la vie publique donne aujourd’hui l’image d’une chasse aux adversaires politiques, perçue par une grande partie de la population comme sélective et motivée par la vengeance plutôt que par la justice.

    En s’attaquant frontalement à des figures bien implantées dans leurs fiefs, le pouvoir semble ignorer une réalité politique fondamentale : la victimisation renforce la légitimité. Les mobilisations populaires récentes en sont la preuve éclatante. Au nord, Farba Ngom bénéficie d’un regain de soutien impressionnant ; à Saint-Louis, Mansour Faye rallie de plus en plus de partisans ; à Louga, Moustapha Diop suscite une ferveur populaire inattendue ; et à Dakar, le mouvement du Rappel à l’ordre parvient à fédérer un large front citoyen en dénonçant ce qu’il considère comme une justice à deux vitesses.

    Ces signaux devraient alerter les dirigeants du Pastef : en voulant neutraliser leurs adversaires, ils risquent au contraire de consolider leur statut de martyrs politiques et de leur offrir une nouvelle légitimité morale. L’opinion publique sénégalaise, profondément attachée à la justice et à l’équité, réagit mal à ce qu’elle perçoit comme une instrumentalisation du pouvoir judiciaire. Plus les arrestations se multiplient, plus elles alimentent le sentiment d’injustice et la frustration populaire, y compris parmi ceux qui n’étaient pas initialement hostiles au régime.

    Si cette stratégie n’est pas corrigée, elle pourrait se retourner contre le Pastef. L’histoire politique du Sénégal montre que la répression a souvent précédé la défaite électorale : chaque fois qu’un pouvoir s’est enfermé dans la logique de la confrontation plutôt que du dialogue, il a fini par perdre le soutien populaire. En poursuivant sur cette voie, le Pastef risque non seulement d’éroder sa crédibilité, mais aussi de fragiliser le climat social et politique du pays.

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    Cool il y a 5 heures

    Thiey yalla n'est ce pas ces gens dans l'opposition ils insultaient Macky sall d'avoir reçu Tony Blair tey c'est eux qui ont le culot de le recevoir. Yall kenla loy wakh dans la vie khamko. Degunanfi lounek France degage. C'est vraiment honteux de dire des contres vérité aus sénégalais

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