Espace : Donald Trump veut envoyer des astronautes «au plus vite» sur la Lune
In a new executive order, the US president confirmed on Thursday his intention to send astronauts back to the Moon as soon as possible, relegating the exploration of Mars to the back burner.
Donald Trump confirmed on Thursday his intention to send Americans back to the Moon as soon as possible, relegating Mars exploration to a secondary priority, in a presidential decree that sheds light on the space policy of the world's leading power. This decree establishes as an absolute priority the return of humans to the Moon "by 2028 as part of NASA's Artemis program," which was announced during his first term.
This return will allow the United States to "assert its leadership role in space, lay the groundwork for lunar economic development, prepare for the journey to Mars, and inspire the next generation of American explorers," the document states. It also mentions the need to establish a lunar base by 2030 and confirms American plans to install a nuclear reactor on the Moon.
Rivalry with China
The stakes are high because China, a rival power of the United States, also aims to send men to the Moon by 2030 and establish a base there.
This priority differs from the one the Republican president mentioned earlier this year. Upon his return to the White House, Donald Trump had indeed expressed his desire to "plant" the American flag on Mars before the end of his term, without mentioning any such plans for the Moon. This announcement raised doubts about the space priorities of the new American administration and fueled fears that NASA might neglect the Moon.
While the United States remains committed to being the first to send humans to Mars, the Red Planet no longer appears to be its top priority. The falling out in June between Donald Trump and his then-close advisor Elon Musk, a Mars enthusiast, along with geopolitical pressures, may have reintroduced American lunar ambitions into the spotlight.
Commentaires (2)
Aujourd'hui, l'histoire a rattrapé les menteurs ayant prétendu être allés sur la lune et marché sur son sol 6 fois en l'espace de 3 ans (entre 1969 et 1972), soit avec une fréquence moyenne d'une fois tous les six mois: ça donne presque à rire. Or, plus d'un demi-siecle après (56 ans), ils sont totalement incapables d'y retourner et ne disposent encore en décembre 2025 ni des moyens scientifiques, ni des moyens techniques, ni des moyens logistiques, ni des moyens humains pour organiser une mission habitée incluant un voyage aller-retour sain et sauf.
Oui, en effet, si envoyer sur la lune ou sur mars un robot collecter des images, du sable et des roches est une chose, faire la même chose avec un humain est une toute autre chose, car l'homme n'est pas la machine. Et la ceinture de radiations de Van Allen est là : cette zone qui entoure la planète terre est remplie de particules de matière hautement toxiques et mortelles. Elle est très dense sur plus de 1000 km et s'étend jusqu'à 60.000 km d'épaisseur. Elle est infranchissable à l'état actuel de la technologie humaine et aucune coque métallique de navette spatiale, ni aucune combinaison de spationaute ne peut lui résister. Ou bien alors, la matière dont elles seront faite et les processus de protection et de parage des charges particulaires ne sont pas encore inventés par l'homme.
Trump doit avoir le courage de dénoncer l'abrutissement de masse que les USA dont les américains se sont servis par le passé et qu'ils continuent d'utiliser comme un argument pour parvenir à forger un mythe américain qui ne correspond à aucune réalité. C'est de cela qu'il s'agit réellement.
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