La presse s'unit en Front (FDLP) pour défendre libertés et dignité
Originally scheduled for November 1st, the Front for the Defense of Press Freedom (FDLP) was officially launched this Thursday, November 6th, 2025, at the Babacar Touré Press House. Supported by the main professional organizations, this initiative aims to defend freedom of expression, protect journalists, and consolidate a free and responsible media environment in Senegal.
During the ceremony, Mamadou Wane, Administrator of the newspaper Enquête, emphasized the need for unity and solidarity beyond differences. "We have different journalists' associations, press groups, and media outlets. But we must all work towards convergence and, in the best possible way, towards the strict defense of our freedoms; this is fundamental."
Mr. Wane emphasized the importance of building consensus around fundamental principles that guarantee access to fair and verified information. He also announced that the FDLP will be open to civil society and human rights organizations.
Ibrahima Lissa Faye, president of the Association of Online Publishers and Press Professionals (APPEL), reminded the new generation of its duty to continue the fight of its elders. "Our predecessors fought to preserve freedom of expression, the honor and dignity of journalists and technicians. We have no right to fail," he declared.
He called on media professionals to fight for the greater good of the profession, citing unity as the key to success, particularly in securing a collective bargaining agreement. Mr. Faye warned against the materialistic tendencies that weaken journalism's fighting spirit and rejected "capitulationist rhetoric" in the face of the sector's hardships.
Addressing the issue of the breakdown of trust, Ibrahima Lissa Faye insisted that those who raise the issue cannot substantiate it. "It is media content that serves TikTokers, influencers, and activists alike. If we don't produce content, these people will have nothing to share," he emphasized, reaffirming the central role of professional media.
Alassane Samba Diop, director of the E-media Invest group, recalled the attacks by political powers that the media landscape has long suffered. He lamented the current state of the press, believing that pioneers like Babacar Touré would not be proud.
He emphasized the responsibility to reverse this perspective in order to bequeath decent working conditions to future generations. For him, faced with powers that seek to silence dissenting voices, the solution lies in producing quality content to supplant influencers.
In conclusion, Mr. Diop identified the real economic battle. He urged the government to fight at the regional level to ensure that the GAFAM companies pay the fair price they owe to the African press.
He revealed that estimates in Senegal range between 50 and 80 billion CFA francs. "Our governments should support the Senegalese local press while remaining professional," he concluded.
Commentaires (8)
Soyez digne et payez vos impôts
Soyez dignes et versez à ipres et à la caisse de sécurité les retenues opérées sur les maigres salaires de vos employés
Soyez dignes en servant la vertu pas des clans d’assassins et de voleurs Un collectif de plus de journalistes ou pseudo , plutôt de politiciens adeptes des chantages Cet état ne reculera pas tant que vous n’êtes pas en règle avec le fisc Le peuple qui vote sera le 8?novembre au stade
Il faut rappeler la liberté d’expression à Babacar Fall de RFM qui a porté plainte contre Serigne Saliou Gueye de Yor Yor !!!
Il faut accepter et anticiper sur la disparition de cette forme de presse. vous devez payer des locaux chère payer de l'électricité payer des employés payer la diffusion payer des serveurs... etc. Tous cela pour vous retrouver avec les même réalisations faisables avec une seule iPhone qui a capcut Microsoft copilot ou midjourney. 2 fauteuils 1 projecteur quelques micro dans une chambrette
Vous êtes tous des vendus. Le Sénégal n'appartient pas à la presse.
C'est le secteur le plus détesté de ce pays
La presse corrompue de Macky est morte. Gueum lénn Yala! Vous n'êtes plus crédibles pour mettre la pression sur le nouveau régime.
Ah bienvenue dans l'arene politique. On se revoit apres votre premier meeting..
Enlevez vos cagoules et allez créer des partis politiques d'opposition c'est plus saint et digne. Je ne jamais un pays où une presse se positionne comme opposante pour mettre une forte pression sur l'état. Vous êtes juste de minables crétins pas des journalistes
L’aide à la presse constitue, selon moi, une injustice flagrante envers le peuple sénégalais. Depuis son instauration, tous les régimes successifs l’ont utilisée comme un instrument politique plutôt qu’un véritable soutien au pluralisme médiatique. Pourquoi les citoyens devraient-ils financer, par leurs impôts, des entreprises privées appartenant à des patrons de presse, alors que d’autres secteurs — comme le BTP, les chômeurs, les commerçants ou les femmes de ménage — traversent aussi des difficultés sans bénéficier d’aucune aide ?
Dans un État de droit où tous les citoyens sont égaux devant la loi, il est incohérent d’accorder des privilèges à une profession particulière. L’aide à la presse, loin d’être un appui légitime, s’apparente davantage à une forme de clientélisme et de corruption institutionnalisée. Elle a fini par créer chez certains bénéficiaires un sentiment d’acquis qui contredit les principes d’équité et de responsabilité démocratique.
Des anciens profiteurs de l ancien système qui faisait et fait encore du chantage au gouvernement....soit tu les graisses et ils deviennent tes laudateurs soit tu fermes les robinets et on sort leur répétitive phrase de la liberté de la presse...vous devez tous être condamné pour complicité des meurtres de l ancien système on a rien oublié rien....si vous avez des couilles créez vos partis et descendez dans l arene politique
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