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Collectif des Amis de Macky Sall : “Il n’y a jamais eu de dette cachée sous Macky Sall…”

Auteur: Le Collectif des Amis de Macky Sall

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Collectif des Amis de Macky Sall : “Il n’y a jamais eu de dette cachée sous Macky Sall…”

C’est une manipulation politique. Ce n’est pas un scandale économique

Depuis plusieurs mois, Ousmane Sonko et Pastef tentent de faire croire à l’opinion qu’il existerait une mystérieuse “dette cachée” héritée de Macky Sall. Une accusation aussi grave qu’infondée. La réalité est pourtant simple : il n’existe aucune dette dissimulée dans les comptes publics du Sénégal. Ce que certains appellent “dette cachée” n’est autre que l’endettement normal des entreprises parapubliques sénégalaises, comme PETROSEN, SENELEC, SOGEPA, AIR SÉNÉGAL, SAR, ou encore la CDC, qui ont emprunté pour investir dans leur développement et renforcer leur compétitivité..

Des entreprises solvables et des dettes d’investissement productif

Les principales entreprises publiques et para-publiques du Sénégal n’ont pas contracté des dettes pour combler des déficits, mais pour financer des investissements structurants destinés à renforcer la compétitivité du pays.Ces emprunts, adossés à des garanties de l’État, ont été utilisés pour créer de la valeur réelle, moderniser les infrastructures et stimuler la croissance.

PETROSEN a investi dans les projets pétroliers et gaziers, secteurs stratégiques qui feront du Sénégal un acteur majeur de l’énergie en Afrique de l’Ouest. Ces investissements prépareront les revenus futurs du pétrole et du gaz, assurant à terme des recettes fiscales considérables.

SOGEPA a contribué au développement d’infrastructures publiques et immobilières, renforçant le patrimoine de l’État et soutenant la relance industrielle.

SENELEC a modernisé son réseau de distribution et produit davantage d’électricité, notamment à partir de sources renouvelables. Ces projets ont permis d’améliorer la qualité du service, d’abaisser le coût de production et d’étendre l’accès à l’énergie.

AIR SÉNÉGAL a investi dans une flotte moderne et compétitive, avec l’ambition de positionner Dakar comme hub aérien régional, stimulant le tourisme, le commerce et la connectivité du pays.

SAR, CDC, FERA, AIBD, FHS et d’autres sociétés nationales ont elles aussi mobilisé leurs ressources pour construire, rénover, connecter et dynamiser l’économie. Toutes ces entreprises génèrent des revenus, emploient des milliers de Sénégalais et rendent des services essentiels à la population. Elles ne sont pas des charges pour le budget national, mais des actifs économiques solides qui contribuent à la création de richesses, à la souveraineté énergétique, et à l’indépendance industrielle du pays. En réalité, ces dettes sont productives, soutenables et porteuses d’avenir, elles traduisent la volonté du Sénégal d’investir pour préparer la croissance de demain, et non de vivre au-dessus de ses moyens.

Une confusion volontaire entre dette d’État et dette d’entreprises

C’est tout simplement de la manipulation délibérée qui consiste à mélanger la dette publique de l’État avec les dettes commerciales contractées par les entreprises parapubliques. Or, cette confusion est non seulement trompeuse, mais aussi contraire à toutes les règles de la comptabilité publique moderne.

Dans toutes les économies structurées, qu’il s’agisse de la France, du Canada, des États-Unis ou des pays de l’Union européenne, les entreprises publiques (comme EDF, SNCF, ou Orange) disposent de leur propre personnalité juridique et financière. Elles empruntent pour financer leurs projets, développer leurs activités et améliorer leurs services, sans que leurs dettes ne soient directement imputées au budget de l’État. L’État peut accorder une garantie souveraine à certaines de ces entreprises, notamment lorsque les projets concernent des secteurs stratégiques comme l’énergie, les transports ou les télécommunications. Mais cette garantie ne signifie pas que l’État est le débiteur : il ne rembourse pas la dette, sauf dans des cas exceptionnels de défaillance avérée, ce qui reste très rare au Sénégal comme ailleurs. Ainsi, les dettes de SENELEC, PETROSEN, SAR, AIBD, SOGEPA ou SONES sont des dettes d’investissement productif, gérées dans le cadre de plans de développement autonomes. Elles sont adossées à des revenus d’exploitation, à des actifs réels (infrastructures, équipements, ressources naturelles) et à des perspectives de rentabilité. Confondre ces engagements avec la dette souveraine revient à nier la réalité économique et à faire croire, à tort, que l’État sénégalais vit au-dessus de ses moyens. C’est une approche simpliste et politisée, qui ne tient pas compte du fait que ces entreprises contribuent directement à la croissance, à la création d’emplois et à la souveraineté économique du pays. En vérité, il ne s’agit pas d’un fardeau budgétaire, mais d’une stratégie d’investissement visant à moderniser le Sénégal et à le positionner durablement comme une puissance économique africaine.

La dette du Sénégal sous Macky Sall était maîtrisée, soutenable et productive

Contrairement à certaines affirmations alarmistes, la dette publique du Sénégal sous le président Macky Sall est restée maîtrisée, soutenable et surtout productive.

À la fin de son mandat, elle ne dépassait pas 25 milliards d’euros, un niveau très modéré à l’échelle internationale. Pour donner un ordre de comparaison : cela représente à peine 6 % de la dette française, 10 % de la dette du Nigeria, et 15 % de celle de la Côte d’Ivoire.

Fait symbolique : à la même période, le groupe Orange, entreprise multinationale privée, affichait une dette supérieure à 27 milliards d’euros, soit davantage que tout l’État du Sénégal. Autrement dit, le Sénégal était loin d’être surendetté. Le Sénégalais moyen restait moins endetté qu’un Américain, un Français, un Ivoirien, un Ghanéen, un Chinois ou un Nigérian, preuve que la politique budgétaire de Macky Sall s’appuyait sur une gestion prudente et une vision d’investissement durable. Mais surtout,cette dette n’a jamais été une dette de consommation : elle a servi à transformer durablement le pays, à travers des projets visibles, utiles et rentables.

Cette dette était tournée vers les infrastructures et le développement humain. Les ressources mobilisées ont été orientées vers des investissements structurants :

- Les autoroutes reliant Dakar à Thiès, Touba, AIBD, Mbour, Kaolack, Saint-Louis… ont ouvert le pays, favorisant la mobilité des personnes

et des marchandises.

- Les ponts et autoponts (Foundiougne, Rosso, Kolda, Saint-Louis, etc.) ont désenclavé des régions entières.

- Des milliers de forages et réseaux d’eau potable ont été réalisés,réduisant la pénurie dans les zones rurales.

- De nouvelles universités, lycées modernes, centres de formation professionnelle ont été créés, soutenant la jeunesse et l’emploi.

- Les hôpitaux, centres de santé et stades ont été réhabilités ou construits, améliorant l’accès aux soins et aux infrastructures

sportives.

- Les bourses de sécurité familiale, bourses d’études et subventions sur les produits de première nécessité ont soutenu directement les populations les plus vulnérables.

C’était une stratégie d’investissement et non d’endettement. Sous Macky Sall, la dette n’était pas un fardeau, mais un levier de croissance. Chaque franc emprunté a été orienté vers la création de richesses : routes, énergie, santé, éducation, sécurité alimentaire. Les emprunts étaient structurés, planifiés, et adossés à des projets concrets, avec despartenaires crédibles (Banque mondiale, BAD, FMI, BEI, partenaires bilatéraux, marchés financiers). Le Sénégal a donc investi dans son avenir, tout en gardant une dette en dessous du seuil de soutenabilité fixé par les institutions financières internationales. Cette discipline macroéconomique a permis au pays de préserver sa crédibilité internationale, d’obtenir des financements à taux préférentiels, et de figurer parmi les économies les plus stables et attractives d’Afrique de l’Ouest avant 2024.

En somme, la dette sous Macky Sall a été un instrument de modernisation, pas une bombe à retardement. Elle a permis de préparer le Sénégal de demain, en dotant le pays d’infrastructures dignes d’un État émergent. La question aujourd’mais ne devait pas de faire de la dette un scandale pour diaboliser le Président Macky Sall , mais de préserver la dynamique de croissance qu’elle a rendue possible, en continuant à investir intelligemment dans l’économie réelle.

Pendant ce temps : la dette Sonko-Diomaye explose

Ironie du sort et contradiction flagrante : ceux qui accusaient le président Macky Sall d’avoir “caché” la dette sont aujourd’hui à la tête du régime le plus endetté de l’histoire du Sénégal. Les faits sont implacables. Selon les données publiées par Bloomberg, la dette du Sénégal sous le duo Sonko– Diomaye a bondi à 132 % du PIB en moins de deux ans, un record historique jamais atteint, même pendant les périodes de crise mondiale.

L’évolution de la dette depuis le 2 avril 2024 illustre à elle seule l’amateurisme et l’incompétence du régime actuel. Au moment de la passation de pouvoir, la dette publique du Sénégal s’établissait à 74,6 % du PIB. Moins de six mois plus tard, le 12 septembre 2024, elle bondissaitdéjà à 99,7 %, selon les chiffres de Sonko lui-même et de la Cour des comptes. À la fin de l’année 2024, la Cour des comptes et le FMI faisaient état d’un taux de 119 %, confirmant une trajectoire alarmante. Enfin, selon les estimations de Bloomberg, la dette atteint désormais 132 % du PIB au 18 octobre 2025, un record historique. En d’autres termes, le régime actuel a emprunté plus entre 2024 et 2025 que Macky Sall en douze années de gouvernance. Alors que Macky Sall avait su maintenir l’endettement à un niveau soutenable, adossé à des projets productifs, le pouvoir actuel a fait exploser les compteurs sans présenter de plan d’investissement clair, ni de vision de rentabilité économique.

Depuis leur arrivée, les signaux envoyés aux marchés financiers et aux investisseurs internationaux sont catastrophiques :

La note souveraine du Sénégal a été dégradée à “Caa1” par Moody’s, synonyme de risque élevé de défaut.

Les investisseurs étrangers, autrefois attirés par la stabilité et la prévisibilité du cadre sénégalais, commencent à se retirer ou à suspendre leurs projets.

Les taux d’intérêt sur la dette sénégalaise ont grimpé, rendant chaque nouvel emprunt plus coûteux pour l’État.

À cela s’ajoute une diplomatie économique brouillonne, marquée par des déclarations incendiaires et des prises de position idéologiques qui ont refroidi des partenaires historiques comme la France, la Banque mondiale, l’Union européenne, et plusieurs bailleurs du Golfe. Résultat : la confiance s’est érodée, les financements concessionnels se raréfient, et le Sénégalse tourne vers des prêts commerciaux à taux élevés, alimentant la spirale de surendettement.

La différence fondamentale entre Macky Sall et Sonko-Diomaye, c’est la nature de la dette.

Sous Macky, la dette servait à construire, connecter, moderniser et produire.

Sous Sonko-Diomaye, elle sert à compenser des déficits budgétaires, financer des subventions politiques ou entretenir une administration pléthorique avec des recrutements de clientèles politiques. Aucun grand chantier structurant n’a vu le jour depuis 2024. Aucun nouvel hôpital, pont, ou campus universitaire majeur n’a été lancé. Les infrastructures héritées PSE (Plan Sénégal Émergent) continuent de porter l’économie, mais sans vision de continuité ni politique d’entretien durable. Pendant ce temps, le franc CFA de la BCEAO a subi une pression inhabituelle, les réserves de change s’amenuisent, et le taux de croissance stagne malgré a promesse d’une “rupture économique”. Le pays, qui devait bénéficier de la manne pétrolière, voit sa crédibilité financière s’éroder avant même d’entrer dans l’ère de production massive.

Le discours anti-dette, anti-partenaire et anti-institution porté par Sonko a produit l’effet inverse de ce qu’il promettait : le crédit international s’est asséché, il n’y a plus de touristes, et la croissance est à la traîne.

Les marchés, les institutions de Bretton Woods et les investisseurs n’écoutent pas les discours politiques : ils observent la cohérence des chiffres, la stabilité des institutions et la fiabilité des dirigeants et Sonko n’est pas internationalement fiable.

Ce que Macky Sall et ses prédécesseurs avaient patiemment construit crédibilité, confiance, notation stable et attractivité régionale, a été compromis en quelques mois. Le Sénégal, jadis cité en exemple de bonne gouvernance budgétaire, se retrouve aujourd’hui cité parmi les économies “à haut risque”, aux côtés d’États fragilisés. C’est une régression qui n’est ni idéologique ni morale : elle est économique, technique et mesurable.

Macky Sall est un bâtisseur et un vrai homme d’État

Il est donc faux, malhonnête et dangereux de présenter la politique économique de Macky Sall comme un “crime financier”. Le président Sall a emprunté pour construire, pas pour consommer. Il a développé le pays, pas endetté le peuple. Son bilan reste celui d’un bâtisseur méthodique, d’un dirigeant visionnaire qui a su faire du Sénégal un chantier de modernité et de prospérité.

- Ce faux débat sur une prétendue “dette cachée” n’est rien d’autrequ’une offensive politique orchestrée pour ternir l’image d’un homme d’État respecté et affaiblir l’APR.

- C’est une stratégie petite, mesquine et désespérée, révélatrice d’une jalousie politique face au rayonnement international de Macky Sall.

Ousmane Sonko, sans expérience significative, sans vision économique claire et sans culture de la gouvernance, instrumentalise l’opinion pour

détourner l’attention de son propre échec.

Sous Macky Sall, il n’y a pas eu de dette cachée, il y a eu des investissements structurants. Macky Sall a bâtiSous Sonko-Diomaye, il y a une dette explosive, sans résultats visibles. Ousmane Sonko est en train de détruire

Le Collectif des Amis de Macky Sall

Babacar Gaye

Mouhamadou Lamine Massaly

Cheikh Thiam, ambassadeur

Mamadou DJIGO

P r Moussa Baldé

Aboubacry Sokomo

Pr Boubacar Siguiné SY

Pr Serigne Ababacar Ba

Pape oumar Sarr

Diane Diop

Ndèye Sow , Leyla

Medoune Diop

Abdoulaye Ndao

Émile Galas Ndiaye

Kader Diawara

Samba Ndong

Elhadji Seydou Nourrou Sall

Cheikh ThiamIsmaila Ndao

Adia Fatou Mbacké

Ndèye Ndiaye Diaw

Khady Diagne

Fatimatou Ndiaye

Khady Diop

Ameth Diack

Malick Diop

Amadou Moustapha Gaye

Yassine Sèye

Sophie Diamé

Alim at ou Dia wara

Sala Mar

Binette Diop

Khadim Gueye Italie

SEYNABOU DEME

Mari e B a ss el Sow

Nafi N diaye Mboup

Sophie Diam é

Cheikh Tidiane Kandé

Djiby Ndiaye

Djiby Ba

Matam BaMara Diop

Ousmane Ba

Khady Diop

Mamadou Mokhtar Sène

W aly N diaye

I brahima N dao

M actar M baye

M amadou B amba S arr

R ama M baye

W agane F aye

E lhadj Daouda Ndiaye

N gon é G omis

N gon é L aye S eck

D aouda Di eng

I bou T our é

F atou Sarr

A lioune sall junior

Cheikh Niang

Mamadou Gassama

Ibrahima Gueye

Khadija Ndiaye

I bra hima K onaté

Abdou Mahi GueyeAbdoulaye Ngom

Cheikh S all

Tidiane Diallo

Thierno Malick Ndiaye

Henriette M baye

A dama KhAdyBNiasT hior

M ame Fatou Ndiaye

F atou C issokho.

M amadou Sow

Ma Khady Niass

Amy Kassé

C heikh Ibra Fall

O mar F all

C ommissaire Keita

R okhy N gom

A stou N iang

A sstou S enia diou

N deye Fatou D iouf

N deye A rame D iop

N ogaye D iop

N deye S alamata G ueye

K houdia G ueye

C oumba N diayeP ascaline D e B aros

P atrice M ané

M areme S oda G aye

D ior P ene

A bsa D iouf

Abdoulaye Ti méra

L anssana M arega

Y aly F all

P ally N diaye

M edoune D iouf

S eydou D ia

B aye D iouf

O usmane B alade

A hmadou S agnan

Père S ognan é

C heikh K ane

Mouhamadou Lamine Bara Faye

Abdoulaye Mbodji

Ousmane Demba Sow

Ibrahima Diédhiou

Ousmane Diakhaté

Ndèye Astou Thiam

Auteur: Le Collectif des Amis de Macky Sall
Publié le: Dimanche 19 Octobre 2025

Commentaires (25)

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    Antikulunas il y a 4 heures

    Bilaye yéna niaka diom. Si vraiment vous avez foi en ce que vous dites, votre gourou démoniaque n'a qu'à venir au Sénégal, bou booba vous verrez que lëp deug leu.

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    anti anti kulunas il y a 4 heures

    Donc pour vous quand on refuse de se soumettre à la rancune des Gourous de la secte satanique et maléfique de PASTEF c'est quand on est coupable . Votre GOUROU VIOLEUR ET MYTHOMANE a comme seul projet d'être Président du Sénégal et pour ce faire , il a commencé ses manœuvres diaboliques pour éliminer les candidats potentiels en 2029 . MAIS L'HOMME PROPOSE , DIEU DISPOSE

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    Diop il y a 3 heures

    Vous de l apr vous reconnaissez l existence d une conséquente ...vous nous fatiguez pour rien

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    On vous emm. il y a 2 heures

    Longue et assommante connerie de lettre. On avait vu d'autres* amis de..." dans l'histoire politique du Sénégal.

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    Niul il y a 1 heure

    Ils ont raison. Collectif des amis de Sall Lam Toro Buru Kulunastan. Le grand Kulunecen chef. Cours des comptes, cabinet "mazart", Fmi... tous pareils que des nuls. Je propose qu'on envoie les membres de ce grand collectif leur donner des cours de finances et économie... ou juste d'envoyer Pape malick ndour le nervis en herbe.

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    Baye FALL il y a 4 heures

    Les membres de l'APR. Les 54% de l'électorat vous attendent bons à rien.

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    Ed Gein il y a 4 heures

    "Collectif des amis de Macky Sall" quelle blague!

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    Deug il y a 4 heures

    Collectif des Amis de Macky Sall😂😂😂 collectif des kulunas kay 🤔🧐

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    Nianthio il y a 4 heures

    Mbee mbee mbee, moutons. Vous pensez que si on allait aux élections vous aurez même 20%. Nullards, vous êtes incapables de lire les situations.
    Votre patron est bien renseigné, plus de sorties, plus de live. Le masque est tombé, c'est un menteur
    Fenn, kathie,doul. Le pays est à l arrêt à cause de ses mensonges.

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    Xeme il y a 4 heures

    Ridicules. Déposez une plaintes contre le FMI ou taisez-vous à jamais. Nous, on continue. Prochaine étape: mise en accusation de Firaouna Sall et mandat d'arrêt international.

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    Baye FALL il y a 4 heures

    Prochain étape pour notre voleur national Macky Sall au geôle de Kédougou pour une très longue peine de 10 an (Art. 152 du CPP).

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    Thieully il y a 4 heures

    Pourquoi ne pas s'adresser au fmi qui est un organisme sérieux qui ne badine pas avec les chiffres et ça se voit la panique générale et du terrain chez les mécréants délinquants financiers voleurs de l'argent public et du fmi. Vous ne pouvez rien changer le monde entier et le continent en savent bien que macky sall est un tyran sanguinaire tueur d'opposant et de jeunes sans défense.

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    Sénégal il y a 4 heures

    Le Woyofal, symbole de l’ingéniosité de Macky, disparaîtra — et avec lui, toutes les subventions qui maintenaient les prix des denrées de première nécessité à un niveau supportable. Quand ces aides sauteront, le peuple entier descendra dans la rue, car le Sénégal ne pourra plus supporter le choc.
    Je signe moi aussi en tant qu’ami de Macky Sall . mouhamedhady2005@yahoo.fr

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    Fbn il y a 4 heures

    Une liste remplie de vauriens, qui soutiennent un chef de gang.
    Diomaye sonko ngir yalla il faut aller chercher ce déchet

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    Dame il y a 3 heures

    Nonn gnène khana gnari fmi mo âme ak gnari senegal

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    Idy il y a 3 heures

    Sans blague ça fait rire. Dîtes plutôt militants de l'APR
    Vous savez bien que Maky Sall a commis une haute trahison

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    Yoro il y a 3 heures

    Ou sont les anciens ministres des finances de Macky ?

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    Jean il y a 3 heures

    Cette dette dite cachée est tout simplement une dette hors bilan. La france totalise 1000 milliards € de dette hors bilan!

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    THIOKER il y a 3 heures

    ALLEZ TRAVAILLER ESPECE DE VAUTOUR. VOUS MEMES VOUS AVEZ CONTRIBUE A LA PIRE SITUATION ECONOMIQUE ET FINANCIERE QUE NOUS VIVONS.
    MATY SERA ARTETER TOT AU TARD

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    Azer il y a 3 heures

    Si vous êtes des garçons, demandez des explications au FMI.Bande de vaux riens

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    Astou il y a 3 heures

    Macky a peut des poursuites. Tu vas prendre compte. Pourquoi a t IL fuit le Senegal.

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    Macky l'indefendable il y a 2 heures

    On attend d'un professeur qu'il nous éclaire la lanterne par des arguments scientifiques.
    Cette légèreté dont ils font preuve en dit long sur la qualité de nos universités.

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    Moussa il y a 2 heures

    Des noms sans titre? Ces gens n'existent meme pas... Juste des noms de Senegalais balance.

    Les Senegalais savent quel'ancien regime a detourne tout l'argent du peuple... Ils sont tous des miliardaires avec juste des salaires. Quand un Farba Ngom a des centaine de milliards, y a pas besoin de se leurrer..

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    Boye Thiaroye il y a 2 heures

    Macky est un criminel, un voleur, un truand et un traitre. Il doit rentrer au Sénégal pour répondre de ses crimes.

    Il doit des explications aux familles des victimes.

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    Adm il y a 2 heures

    Collectif de bandits ils n’ont pas honte. C’est juste pour créer un canal d’irrigation malversation financière

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    Zin il y a 2 heures

    Pourquoi les pastéfiens avec leurs 4000 cancres sont bêtes. C’est normal c’est des moutons. Réveillez vous bakhna. Nakhnalène ba fallou après di ngourou fatèléne. Gnake diome THIIIIMMMM

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    Ty il y a 2 heures

    Bravo
    Malgré le vote de la loi sur l'accés à l'information par le parlement sénégalais le 26 août 2025, le gouvernement de Sonko refuse de rendre public le rapport d'audit du cabinet forvis Mazars.

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    Timmena il y a 1 heure

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    Ndandane. il y a 44 minutes

    Liste de noms Senegalais,
    Moi j ajoute
    Ibra diop
    Boucounta sarr
    Moussa séne
    Samba sow
    Malick camara
    Ngoye Seck
    Ndéwe diouf
    Aliw
    Etc......
    Certainement ces macaques ont rançon le Gros et Gras réfugié au Maroc pour pondre un torchon pareil et kilométrique.
    Senegal dafa bari aye doorkatts et le Gros dou nandité

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