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Plus de 1500 détenus se sont évadés mercredi après-midi d'une prison de Maputo, profitant de l'agitation au troisième jour de troubles au Mozambique qui ont éclaté après la confirmation de la victoire du Frelimo au pouvoir, alors que l'opposition dénonce des fraudes.
A. K., accusé de viol en juin 2020, a été détenu pendant 702 jours avant d'être acquitté.
![[Reportage] À Rebeuss les “détenus politiques” réclament réparation pour privation de liberté indue](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//6b9abf051c2ac503852e12d91091e05c9ccf37c8.png)
La Maison d’arrêt et de correction de Rebeuss est, depuis jeudi dernier, le point de ralliement de centaines de proches de détenus politiques. Dans son élan de décrispation de la situation socio-politique très tendue, le Président Macky Sall a décidé de les libérer. Pour sa part, le collectif des détenus politiques envisage des poursuites judiciaires contre l’État.
Il semble être au dernier wagon du train de l’histoire qui avance vers un lendemain tumultueux fait d’obstacle et d’incertitude
Plus de 1500 détenus se sont évadés mercredi après-midi d'une prison de Maputo, profitant de l'agitation au troisième jour de troubles au Mozambique qui ont éclaté après la confirmation de la victoire du Frelimo au pouvoir, alors que l'opposition dénonce des fraudes.
Un groupe de femmes de détenus de la prison de Rebeuss est en colère contre l’Administration pénitentiaire. Ces dames dénoncent les tracasseries qu’elles subissent depuis quelque temps lors des visites à leurs parents emprisonnés.
«Il va falloir prendre à bras le corps ce problème qui a trop duré et dégager des pistes de réflexion pour des solutions définitives. Il y a le problème de surpeuplement qui porte atteinte aux droits humains des prisonniers qui, avant tout, sont des êtres humains. La prison a pour rôle de socialiser l’individu. Elle favorise la réinsertion.
Les misères carcérales sont bien à l’origine des émeutes telles qu’en a connu la Maison d’arrêt de Rebeuss, mardi dernier. Et le trafic de drogue, est de loin, le délit qui envoie en prison plus de 1500 sur 2000 détenus environ. Tel est le point de vue soutenu par Wally Bodj, surveillant de prison principal de classe exceptionnelle, aujourd’hui à la retraite.
Le ministre de la justice, Me Sidiki Kaba, a présidé ce samedi le traditionnel repas de corps au Camp pénal de Liberté 6, en l’honneur du détachement de l’administration pénitentiaire ayant pris part à la prise d’armes, ce 4 avril 2015.
Politiques, chef d’entreprises, artistes ou cinéastes…ces femmes leaders font figure d’ovnis dans le paysage patronal sénégalais. Aux côtés des grandes figures Aïssatou Tall Sall, Aminata Touré ou encore Binta Diop, elles sont de plus en plus nombreuses à afficher ambition et talent. Portrait de 20 femmes puissantes.
Le garde des Sceaux, ministre de la Justice, Sidiki Kaba, a reconnu mardi, les conditions difficiles de détention dans les prisons de Dakar, assurant que l’Etat va mettre en oeuvre des projets pour améliorer les conditions de vie des détenus. ‘’ Il y a beaucoup de choses à améliorer dans la prison. Il faut dire que les conditions doivent être mieux que ce que nous avons vu. Je dois vous dire que des efforts sont faits parce que tenant compte des difficultés existantes dans la prison’’, a-t-il dit.
L’Espagne n’est plus un paradis pour les africains. Et les émigrés sénégalais qui y vivent l’apprennent tous les jours à leurs dépens. Selon «L’Observateur» qui a rencontré le Consul du Sénégal à Madrid, Mouctar Belal Bâ, 1500 sénégalais sont en instance d’expulsion. Des demandes ont d’ailleurs été adressées au Consul.
Depuis plus de deux ans, l’Etat a décidé de vendre la prison centrale de Rebeuss et de construire une nouvelle prison d’une capacité de 1500 places à Sébikotane. Mais ce projet tarde à se concrétiser pour la bonne et simple raison que Rebeuss tarde à trouver acquéreur. «Nous avons l’ambition de vendre Rebeuss, mais il y a eu beaucoup de problèmes. Il faut trouver quelqu’un qui accepte d’acheter un bien et d’attendre 3 ans avant d’avoir ce bien. Il faut avoir le temps d’aller construire les nouvelles prisons où on va transférer les détenus, sinon ces derniers risquent d’être dans la nature. Et il n’y a pas de partenaires qui acceptent cela», reconnaît le ministre de la Justice, Me Sidiki Kaba, dans un entretien avec «L’Observateur».
Une trentaine de personnes prises en otages samedi par des rebelles touareg dans leur fief à Kidal (extrême nord-est du Mali) ont été libérées lundi soir, selon une source aux Nations unies et une source humanitaire. «Ils (ne) se portent pas mal. Deux sont très fatigués», a déclaré un responsable de la mission onusien au Mali (Minusma). On ignore encore si tous ont été libérés.
La ministre de la Justice a affirmé que le programme de construction d'infrastructures judiciaires pénitentiaires jusqu'ici a été « exécutée à 80 % (et) va se poursuivre », en parallèle avec le redécoupage de la carte judiciaire nationale.
La cour de la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca), à Yopougon, est bien vide de prisonniers, ce mercredi 24 juillet 2013, vers 10H.
La Fédération internationale des journalistes (FIJ) a invité les autorités gambiennes à cesser les "permanents harcèlements" contre le journaliste gambien Abdoulie John, rapporte un communiqué reçu à l’APS, vendredi à Dakar.Basé à Dakar, le bureau Afrique de la FIJ signale que John est obligé depuis le 10 décembre dernier de se présenter chaque semaine à l’Agence nationale des renseignements (NIA) de la Gambie, pour un interrogatoire. ‘’Ce harcèlement permanent et cette torture morale du journaliste doivent cesser’’, a indiqué le directeur pour l’Afrique de la FIJ, Gabriel Baglo, estimant que ‘’John n’a fait que son travail de journaliste’’. Il estime que les autorités gambiennes doivent cesser les interrogatoires à la NIA et laisser le journaliste travailler en toute liberté. Abdoulie John est rédacteur en chef au journal en ligne "Joloff News" et correspondant de l’agence Associated Press (AP) en Gambie. John a été arrêté le 9 décembre dernier par les forces de sécurité gambiennes sur ordre de la NIA, après une altercation l’ayant opposé à , Sulayman Gassama, photographe personnel du président Yaya Jammeh. L'incident remonte à la couverture de la cérémonie de remise en liberté de huit soldats sénégalais détenus pendant 14 mois par le Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (MFDC). Le directeur de la NIA aurait alors donné l’ordre aux forces de sécurité d’arrêter le journaliste, qui ne sera libéré que le lendemain, contre le paiement d'une caution de 1500 dollars (743.650 francs CFA).
![[ PHOTO ] Affaire DSK : Rikers Island, une prison dangereuse et bruyante](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//542912ad004c24f8f4e73fcb69e7f563.jpg)
Dominique Strauss-Kahn devait être placé dans une cellule individuelle, sans contact avec les autres détenus. Un moyen d'éviter les risques d'agression potentiels liés à sa célébrité.
La dalle d’une chambre de la prison centrale de Rebeuss s’est effondrée le 4 novembre dernier.
Le pèlerinage à La Mecque, outre son aspect religieux, est devenu un moment privilégié pour faire fortune pour des Saoudiens et des étrangers. Par son biais, des secteurs comme l’hôtellerie, la restauration et le petit commerce sont en plein essor dans tout le royaume. Et des milliards de rials entrent chaque année dans le pays.
