De nouvelles mesures pour renforcer l’inclusion et la qualité de l’enseignement (Moustapha Guirassy)
Ce vendredi,10 octobre , le Building administratif Président Mamadou Dia, a abrité la conférence de presse du gouvernement (Kàddu).
Une occasion pour le ministre de l’Éducation nationale, Moustapha Guirassy, d’annoncer de nouvelles mesures pour le renforcement de l’inclusion et la qualité de l’enseignement au Sénégal.
Dans sa déclaration, le ministre a indiqué que les travaux relatifs aux assises des daaras sont déjà en cours et leurs conclusions seront partagées, au grand public, dans les mois à venir.
Guirassy a également précisé que huit langues nationales sont désormais intégrées dans les programmes et sont en train d’être enseignées dans les écoles publiques élémentaires
Pour les infrastructures scolaires, le ministre a fait part des projets importants qui sont en train d’être réalisés. «En moins d’un an, deux LYNAQES ont été ouverts, et la pose de la première pierre de 46 CEM et 46 écoles élémentaires est prévue. Le financement de ces projets est déjà bouclé »,a-t-il dit, soulignant ainsi l’engagement de l’État à renforcer l’offre éducative sur l’ensemble du territoire.
Rappelant la directive donnée concernant les enseignants décisionnaires, le ministre a confirmé l’urgence et la priorité accordée aux réformes : « On va vider cette affaire avant le 30 janvier 2026 », déclare-t-il.
Pour Moustapha Guirassy, la revalorisation sur la fonction enseignante est importante. « Nous voulons revaloriser la fonction enseignante selon les directives du Président de la République », a-t-il affirmé.
Le ministère a également mis l’accent sur l’importance de la nouvelle politique nationale d’inclusion dans le secteur éducatif qui selon lui constitue une étape majeure dans la réforme du système éducatif sénégalais. «C’est la première fois que nous avons une politique nationale d’inclusion dans le secteur éducatif au Sénégal. C’était une vieille revendication », a-t-il laissé entendre.
Commentaires (7)
Tu es un voleur de projets . Tu n'as aucune vision ni la plus petite idée. Tu peux me censurer sur la page Facebook du ministère mais pas ici.
Je me cache pas matricule de solde 659816/ c
Ce ministre n’est pas à sa place
Non, avec ce monsieur, le Sénégal n’ira nulle part. Non seulement il ne connaît rien aux réalités du système éducatif, mais il n’a ni vision, ni projet structurant, ni compétence pour assumer cette responsabilité aussi stratégique qu’exigeante. Véritablement, il n’est pas à sa place. Le choix de Sonko et Diomaye sur ce point fut d’une légèreté désarmante. Rien, absolument rien dans le parcours de cet homme ne justifie qu’on lui ait confié le ministère de l’Éducation nationale. Ceux d’entre nous qui travaillons avec lui au quotidien savent à quel point il est notoirement incompétent. Il dirigeait une école qui flirtait avec la faillite, et c’est paraît-il sur la base de cette expérience que certains ont jugé bon de le propulser ministre. Triste signal envoyé à toute une nation. Triste Sénégal. Pire encore, sa gouvernance est marquée par un populisme inquiétant. Aucune ligne directrice claire. Il suit le vent, l’opinion, les réseaux, les buzz du moment. Toutes ses décisions portent cette signature : plaire au lieu de bâtir, réagir au lieu de penser, improviser au lieu de réformer.
L’éducation, pourtant, ne peut être pilotée à vue. Elle a besoin de rigueur, de hauteur, d’ambition, de continuité et de compétence.
Ce ministre n’est pas à sa place Non, avec ce monsieur, le Sénégal n’ira nulle part. Non seulement il ne connaît rien aux réalités du système éducatif, mais il n’a ni vision, ni projet structurant, ni compétence pour assumer cette responsabilité aussi stratégique qu’exigeante. Véritablement, il n’est pas à sa place. Le choix de Sonko et Diomaye sur ce point fut d’une légèreté désarmante. Rien, absolument rien dans le parcours de cet homme ne justifie qu’on lui ait confié le ministère de l’Éducation nationale. Ceux d’entre nous qui travaillons avec lui au quotidien savent à quel point il est notoirement incompétent. Il dirigeait une école qui flirtait avec la faillite, et c’est paraît-il sur la base de cette expérience que certains ont jugé bon de le propulser ministre. Triste signal envoyé à toute une nation. Triste Sénégal. Pire encore, sa gouvernance est marquée par un populisme inquiétant. Aucune ligne directrice claire. Il suit le vent, l’opinion, les réseaux, les buzz du moment. Toutes ses décisions portent cette signature : plaire au lieu de bâtir, réagir au lieu de penser, improviser au lieu de réformer. L’éducation, pourtant, ne peut être pilotée à vue. Elle a besoin de rigueur, de hauteur, d’ambition, de continuité et de compétence.
Son imposture a cette conférence de presse était flagrante. Il va se dévoiler lui même grand jour inchala
Niokhorr Pirez loywakh ni gayn lolou yemena quel slogan de patate ah yallah bahna ( serere voice) mdrr
Tant que l’instruction civique n’est pas réintégrée dans l’éducation on aura toujours des diplômés mais pas des hommes d’état. Préparez les enfants et dans 10 ans vous verrez des dirigeants dignes de foi qui peuvent relever le défi de la gouvernance. Sinon ce sera un perpétuel recommencement.
La première imposture c’est le coup de pied de l’âne qu’il envoie à son feu père
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