Auteur: Seneweb Tv Publié le: Mercredi 30 Juillet 2025
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Commentaires (16)
Kumbail y a 2 mois
Grande classe cette dame
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Kumbail y a 2 mois
Grande classe cette dame
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SAFil y a 2 mois
Bineta Doff bi
Répondre à SAF
SAFil y a 2 mois
Bineta Doff bi
Répondre à SAF
SAFil y a 2 mois
Bineta Doff bi
Répondre à SAF
Gggil y a 2 mois
C'est seulement au Sénégal qu'on peut voir des journalistes qui tiennent jamais des débats en français : Binta Diallo, aissatou Diop fall, ndeye Fatou Ndiaye....
Répondre à Ggg
Gggil y a 2 mois
C'est seulement au Sénégal qu'on peut voir des journalistes qui tiennent jamais des débats en français : Binta Diallo, aissatou Diop fall, ndeye Fatou Ndiaye....
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Gggil y a 2 mois
C'est seulement au Sénégal qu'on peut voir des journalistes qui tiennent jamais des débats en français : Binta Diallo, aissatou Diop fall, ndeye Fatou Ndiaye....
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il y a 2 mois
Très nulle comme journaliste.
Son problème c’est Ousmane Sonko qu’elle n’arrive pas à digérer ou supporter. Elle prédit un seul mandat pour le Pastef avec une rancune dans commune mesure. Nous comprenons pourquoi TFM et le groupe GFM l’a renvoyée. C’est la vraiment la médiocrité dans son essence pour une personne se disant journaliste ou chroniqueuse.
reply_authoril y a 2 mois
Très pertinentes
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il y a 2 mois
J'allais dire DIADIEUF DIALLO DIÉRI!
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il y a 2 mois
D'adieux Bineta Diallo,les des plus pertinentes journalistes au Sénégal. Bravo encore Seydi Diallo !
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il y a 2 mois
D'adieux Bineta Diallo,les des plus pertinentes journalistes au Sénégal. Bravo encore Seydi Diallo !
Répondre à
il y a 2 mois
Bineta arrogante
Dioude si guelem nampe si mbam
Répondre à
il y a 2 mois
Bineta arrogante
Dioude si guelem nampe si mbam
reply_authoril y a 2 mois
Bayill sokhor belle analyse
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il y a 2 mois
L’avenir de la médecine réside dans le numérique et l’intelligence artificielle, avec des outils de diagnostic et de traitement très avancés capables de vaincre n’importe quelle maladie. La collaboration entre médecins et ingénieurs du numérique ouvre des perspectives extrêmement prometteuses.
Cependant, nous ne disposons pas d’écoles d’ingénieurs suffisamment équipées pour former dans ce nouveau domaine.
C’est pourquoi le gouvernement doit relancer l’attribution de la bourse d’excellence pour la France, notamment dans le cadre des classes préparatoires aux grandes écoles d’ingénieurs. Il est également impératif d’élargir cette coopération à d’autres pays comme la Chine, l’Inde, le Japon, l’Australie, Singapour et l’Angleterre, afin de permettre l’envoi de centaines d’étudiants dans chacun de ces pays.
De nombreux pays en développement, comme le Maroc et la Chine, continuent d’envoyer chaque année des centaines d’étudiants en France pour bénéficier des meilleures formations en ingénierie, avec pour objectif de les voir revenir ensuite servir leur pays.
Il faut simplement mettre en place un dispositif garantissant leur retour au Sénégal à la fin de leur formation, suivi d’une période de trois ans d’expérience professionnelle, éventuellement à l’international.
Mais garder tous les bacheliers au Sénégal, alors que nous ne disposons pas d’écoles d’ingénieurs capables de les former convenablement, constitue un véritable gâchis.
Les rares écoles existantes, comme l’École Polytechnique de Thiès ou l’École Supérieure Polytechnique de Dakar, ne sont malheureusement pas suffisamment outillées pour former des ingénieurs hautement qualifiés. À leur sortie, beaucoup de jeunes diplômés peinent à trouver un emploi et se voient proposer des salaires bruts de l’ordre de 400 000 FCFA, voire moins.
Un jeune qui réussit un baccalauréat S1 avec mention Bien ou Très Bien mérite d’être soutenu afin d’intégrer une école de haut niveau, qui lui garantira plus tard un bon salaire et une vie sociale épanouie. Mais faire tous ces efforts pour finir dans la précarité n’est pas un modèle qui incite à l’excellence.
L’industrialisation du pays ne sera possible que si nous disposons d’un vivier suffisant d’ingénieurs bien formés, issus des meilleures écoles du monde. Il est donc impératif d’envoyer nos étudiants à l’étranger pour qu’ils bénéficient de l’expertise avancée de ces pays dans des domaines clés tels que : les nouvelles technologies, le numérique, l’intelligence artificielle, les sciences spatiales, les neurosciences ou encore la biotechnologie.
Former une génération d’ingénieurs sénégalais compétents et à la pointe des technologies nous évitera de voir l’espace public accaparé par des personnes ignorantes tenant des discours creux. Dans une société bien formée, seuls ceux qui savent ont droit à la parole
Commentaires (16)
Grande classe cette dame
Grande classe cette dame
Bineta Doff bi
Bineta Doff bi
Bineta Doff bi
C'est seulement au Sénégal qu'on peut voir des journalistes qui tiennent jamais des débats en français : Binta Diallo, aissatou Diop fall, ndeye Fatou Ndiaye....
C'est seulement au Sénégal qu'on peut voir des journalistes qui tiennent jamais des débats en français : Binta Diallo, aissatou Diop fall, ndeye Fatou Ndiaye....
C'est seulement au Sénégal qu'on peut voir des journalistes qui tiennent jamais des débats en français : Binta Diallo, aissatou Diop fall, ndeye Fatou Ndiaye....
Très nulle comme journaliste.
Son problème c’est Ousmane Sonko qu’elle n’arrive pas à digérer ou supporter. Elle prédit un seul mandat pour le Pastef avec une rancune dans commune mesure. Nous comprenons pourquoi TFM et le groupe GFM l’a renvoyée. C’est la vraiment la médiocrité dans son essence pour une personne se disant journaliste ou chroniqueuse.
Très pertinentes
J'allais dire DIADIEUF DIALLO DIÉRI!
D'adieux Bineta Diallo,les des plus pertinentes journalistes au Sénégal. Bravo encore Seydi Diallo !
D'adieux Bineta Diallo,les des plus pertinentes journalistes au Sénégal. Bravo encore Seydi Diallo !
Bineta arrogante
Dioude si guelem nampe si mbam
Bineta arrogante
Dioude si guelem nampe si mbam
Bayill sokhor belle analyse
L’avenir de la médecine réside dans le numérique et l’intelligence artificielle, avec des outils de diagnostic et de traitement très avancés capables de vaincre n’importe quelle maladie. La collaboration entre médecins et ingénieurs du numérique ouvre des perspectives extrêmement prometteuses.
Cependant, nous ne disposons pas d’écoles d’ingénieurs suffisamment équipées pour former dans ce nouveau domaine.
C’est pourquoi le gouvernement doit relancer l’attribution de la bourse d’excellence pour la France, notamment dans le cadre des classes préparatoires aux grandes écoles d’ingénieurs. Il est également impératif d’élargir cette coopération à d’autres pays comme la Chine, l’Inde, le Japon, l’Australie, Singapour et l’Angleterre, afin de permettre l’envoi de centaines d’étudiants dans chacun de ces pays.
De nombreux pays en développement, comme le Maroc et la Chine, continuent d’envoyer chaque année des centaines d’étudiants en France pour bénéficier des meilleures formations en ingénierie, avec pour objectif de les voir revenir ensuite servir leur pays.
Il faut simplement mettre en place un dispositif garantissant leur retour au Sénégal à la fin de leur formation, suivi d’une période de trois ans d’expérience professionnelle, éventuellement à l’international.
Mais garder tous les bacheliers au Sénégal, alors que nous ne disposons pas d’écoles d’ingénieurs capables de les former convenablement, constitue un véritable gâchis.
Les rares écoles existantes, comme l’École Polytechnique de Thiès ou l’École Supérieure Polytechnique de Dakar, ne sont malheureusement pas suffisamment outillées pour former des ingénieurs hautement qualifiés. À leur sortie, beaucoup de jeunes diplômés peinent à trouver un emploi et se voient proposer des salaires bruts de l’ordre de 400 000 FCFA, voire moins.
Un jeune qui réussit un baccalauréat S1 avec mention Bien ou Très Bien mérite d’être soutenu afin d’intégrer une école de haut niveau, qui lui garantira plus tard un bon salaire et une vie sociale épanouie. Mais faire tous ces efforts pour finir dans la précarité n’est pas un modèle qui incite à l’excellence.
L’industrialisation du pays ne sera possible que si nous disposons d’un vivier suffisant d’ingénieurs bien formés, issus des meilleures écoles du monde. Il est donc impératif d’envoyer nos étudiants à l’étranger pour qu’ils bénéficient de l’expertise avancée de ces pays dans des domaines clés tels que : les nouvelles technologies, le numérique, l’intelligence artificielle, les sciences spatiales, les neurosciences ou encore la biotechnologie.
Former une génération d’ingénieurs sénégalais compétents et à la pointe des technologies nous évitera de voir l’espace public accaparé par des personnes ignorantes tenant des discours creux. Dans une société bien formée, seuls ceux qui savent ont droit à la parole
Très nulle…….modé bolé si
Bail sokhot belle analyse
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