Inondations : Dakar, Touba, Tivaouane, Kaolack, les grands chantiers qui changent la donne
Le ministre de l'Hydraulique et de l'Assainissement, Cheikh Tidiane Dièye a fait face à la presse, ce vendredi, au Building administratif Mamadou Dia pour s’exprimer sur la gestion des inondations et le bilan des opérations hivernales.
Ainsi, il a déclaré que 594 km de canalisations curées, plus de 10 hectares de bassins ont été entretenus, 6,7 millions m³ d’eau pompée et 210 camions hydro-cureurs mobilisés et I 10 stations hydrométriques automatiques avec un système de télétransmission et d’un radar météorologique (rayon de 60 km sur Dakar-Mbour-Thiès) installées.
Cheikh Tidiane Dièye s’est réjoui de la réduction significative des risques de débordement fluvial grâce à la construction de 2 bassins de rétention à Kidira de(20 000 m³ chacun), du déplacement et indemnisation d’une trentaine de place d’affaire dans le KIDIRA et la mise en place de 8 digues (15 km)dont 3,5 km de murs de soutènement 4 passerelles. Il a renseigné sur la distance de 950 m de ravinement stabilisé par un des gabions dans le Thiariack ainsi que sur les ouvrages de franchissement dans plusieurs villages de l’ intérieur(Dioly Manda,Fanaye etc.) .
De plus, le ministre a parlé des travaux structurants à Touba, Keur Massar, Rufisque, Kaolack et Tivaouane avec un impact direct sur des dizaines de milliers de personnes. Non sans évoquer l’augmentation de 50% du budget de la Matrice d’actions prioritaires de lutte contre les inondations dans la Loi de finances rectificative (LFR) et 2. 500.000. 000 (de 2,6 à 6,4 milliards FCFA).
« Les opérations préventives ont permis de limiter l’impact des pluies exceptionnelles et des résultats concrets visibles sur le terrain dans toutes les régions à risque », a laissé entendre Cheikh Tidiane Dièye.
Commentaires (8)
La Cour suprême de Dakar, au Sénégal, a rejeté, le 1er juillet, un recours en rabat d'arrêt du premier ministre, Ousmane Sonko.
La cour suprême du Sénégal confirme son inéligibilité.
Par conséquent Ousmane Sonko ne peut être candidat à l'election présidentielle de 2029.
Il devra payer la somme de 200 millions de francs CFA de dommages et intérêts à Mame Mbaye Niang pour diffamation.
La Cour suprême de Dakar, au Sénégal, a rejeté, le 1er juillet, un recours en rabat d'arrêt du premier ministre, Ousmane Sonko.
La cour suprême du Sénégal confirme son inéligibilité.
Par conséquent Ousmane Sonko ne peut être candidat à l'election présidentielle de 2029.
Il devra payer la somme de 200 millions de francs CFA de dommages et intérêts à Mame Mbaye Niang pour diffamation.
Trop de bavardage. Arretez de parler et mettez Vous au travail
Pendant que les populations patogent dans l'eau, Vous etes a Dakar a faire des discours. Votre incompetence est ahurissant
En tout cas , a Touba , reste beaucoup , beaucoup a faire . Je me demandes ou sont ses repesentants parlementaires ??? !!!
Ce débat n’a plus lieu d’être depuis longtemps. Encore un article commandité pour répondre à la pétition « Sonko dégage » et tenter de minimiser le manque de respect de Sonko envers les deux chefs d’État lors du forum sur les investissements.
Les dés sont déjà jetés : selon la Constitution sénégalaise, le Premier ministre est nommé par décret et ne dispose d’aucune légitimité électorale. C’est Diomaye qui détient le suffrage des Sénégalais, pas Sonko, dont l’attitude reste arrogante et condescendante.
Tout porte à croire qu’il cherche à saboter le mandat de Diomaye. La preuve : chaque fois que des avancées sont réalisées dans les négociations avec le FMI, il sort de son silence pour tout compromettre. Or, le FMI est une institution soucieuse de son image et de sa crédibilité, et ce n’est pas sans raison que de nombreuses entreprises dépensent des millions en communication pour entretenir leur réputation.
Ce débat n’a plus lieu d’être depuis longtemps. Encore un article commandité pour répondre à la pétition « Sonko dégage » et tenter de minimiser le manque de respect de Sonko envers les deux chefs d’État lors du forum sur les investissements.
Les dés sont déjà jetés : selon la Constitution sénégalaise, le Premier ministre est nommé par décret et ne dispose d’aucune légitimité électorale. C’est Diomaye qui détient le suffrage des Sénégalais, pas Sonko, dont l’attitude reste arrogante et condescendante.
Tout porte à croire qu’il cherche à saboter le mandat de Diomaye. La preuve : chaque fois que des avancées sont réalisées dans les négociations avec le FMI, il sort de son silence pour tout compromettre. Or, le FMI est une institution soucieuse de son image et de sa crédibilité, et ce n’est pas sans raison que de nombreuses entreprises dépensent des millions en communication pour entretenir leur réputation.
Seneweb a purement et simplement effacé les articles relatant les directives de Diomaye sur les infrastructures frontalières et le retour des bourses familiales. Une disparition « mystérieuse » intervenue dès que les internautes ont commencé à rappeler que ces initiatives existaient déjà sous Macky Sall, à travers le PUMA et le PUDC. Une censure flagrante qui en dit long sur la manipulation de l’information dès qu’il s’agit de raviver le débat sur l’héritage des politiques publiques.
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