DIC et police de l’AIBD : on connaît les nouveaux patrons
Le commissaire principal Mamadou Ndiaye Fall est le nouveau patron de la DIC. Celui qui dirigeait jusque-là le commissariat de la Médina remplace El Hadji Baytir Sène.
Le commissariat spécial de l’AIBD a aussi un nouveau chef. Il s’agit de Daouda Bodian, qui était à la tête du commissariat central de Guédiawaye. Il succède à Waly Camara.
Les commissaires Sène et Camara font les frais de l’affaire Madiambal Diagne. Ce dernier, malgré l’interdiction de sortie du territoire qui le frappe, a pu quitter le Sénégal pour la France, dans des conditions non élucidées. Le journaliste est cité dans l’enquête relative à des transactions douteuses relevées dans un rapport de la CENTIF.
D’après le site du journal Enquête, qui donne ces informations reprises par Les Échos, les anciens patrons de la DIC et de la police de l’AIBD ont trouvé un point de chute : El Hadji Baytir Sène prend la direction du commissariat central de Guédiawaye, donc à la place de Bodian, tandis que Waly Camara est affecté au cabinet du directeur général de la Police nationale.
Commentaires (50)
Pour les plus corrompus , il est très facile d'encaisser des millions d'un trafiquant de drogue international sous mandat d'arrêt européens et de ne pas informer sa hierarchie sur ses agissements néfastes qui détruisent la vie des citoyens .
des instructions fermes avaient ete donnees pour une vigilance accrue a tous les echelons securitaires concernes depuis la prise de la mesure
Les deux commissaires sont des professionnels avec beaucoup d'expériences.
S'ils ont reçu un coup de fil pour ne pas laisser Madiambal Diagne voyager mais sans le retenir, ils n'ont pas le droit de le retenir.
Ils lui ont juste dit qu'il n'a pas le droit de voyager. Le travail s'arrête là. Madiambal a feint de rentrer mais sachant que les agents de la frontière à Karang ne sont pas informés, il a profité pour traverser la frontière et se barrer.
Cela montre qu'il n'y avait pas de dossier contre Madiambal Diagne mais ils étaient en train de le préparer pour le jeter en prison et l'oublier comme Mansour Faye. Un règlement de compte qui a été mal joué.
Moustapha Diakhate' avait raison : des gougnafiers, des incultes
Le Président de la République DIOMAYE Diakhare FAYE doit alors être démis immédiatement de ses fonctions , pour avoir laissé filer , aux yeux de tous , macky sall , le plus grand voyou , voleur et assassin que le Sénégal a jamais vu naître sur son sol , et qui est sans aucun doute possible le cerveau des crimes que l’on reproche à cette sale fripouille de madiambal DIAGNE . Et cerise sur le gâteau , Diomaye a même prêté l’avion de commandement à cet imbécile de macky pour qu’il prenne le large , malgré tous les crimes que celui-ci a commis de façon flagrante .
Vous permettez ainsi à ces gros imbeciles qui n’ont jamais eu aucun respect pour le pays encore moins pour les sénégalais, de continuer à briser et fouler au pied l’honorabilité et la dignité de patriotes qui pourtant ont très bien fait leur travail dans le respect rigoureux des droits de chacun .
Madiambal DIAGNE a été stoppé et interdit de prendre le vol par lequel il voulait quitter le pays . Et ils ont rendu compte à qui de droit . Logiquement , c’est l’autorité, en l’occurrence le Directeur générale de la police et le ministre de l’intérieur qui devaient être sanctionnés ou qui devaient démissionner .AU LIEU DE CELA , ILS S’EMPRESSENT DE TOMBER À BRAS RACCOURCIS SUR LEURS SUBORDONNÉS POUR MASQUER LEUR MANQUEMENT À EUX .
Oui compte leur a été rendu de l’empêchement de madiambal diagne de prendre un vol pour sortir du pays . L’ordre qui devait suivre venant d’eux pour une exécution réglementaire et selon la loi de l’arrestation de madiambal diagne par ces commissaires n’a pas été donné . SI AUCUN ORDRE NE LEUR A PAS ÉTÉ DONNÉ, APRÈS QU’ILS AIENT RENDU COMPTE , CES COMMISSAIRES ONT L’OBLIGATION DE PRÉSERVER LES DROITS DE LIBERTÉ DE MADIAMBAL S’ILS NE REÇOIVENT PAS DE LEURS SUPÉRIEURS UN ORDRE D’ARRESTATION .
CES SANCTIONS CONTRE CES COMMISSAIRES SONT TOUT À FAIT ABUSIVES ET COMPLOTISTES MÊME . Les responsables sont à chercher ailleurs !
CETTE VERITÉ VIENT DU PEUPLE !!!
VIVE LE SÉNÉGAL DES HOMMES ET DES FEMMES DE BIEN !!! NOTRE CRÉDO EST LA VERTU EN TOUTE CHOSE !!!
EUYINEUW … BADJI-BASSENE … BADJI-FORO …
.
Les erreurs coloniales sont des plaies beautés que nous avons le devoir de corriger pour l’unité des peuples et des cultures.
Rien que des thiakhaneris.
Ils ne peuvent rien apporté au pays.
Mais c'est bien fait pour les sénégalais qui agissent suivant leurs émotions.
Le cas de la France nous offre un parallèle intéressant. Une partie des personnes issues de l’immigration y vit, y travaille, y étudie, mais reste attachée au pays d’origine de leurs parents. Elles peinent à s’identifier pleinement à la France et, dans des moments symboliques comme les compétitions sportives, elles soutiennent presque toujours l’équipe du pays d’origine plutôt que l’équipe nationale française.
Ce rapport ambigu à la nation se retrouve aussi au Sénégal, particulièrement en Casamance. Certains Casamançais, installés à Dakar ou à l’étranger, se définissent d’abord par leur identité régionale avant de se dire Sénégalais. Plus inquiétant encore, beaucoup ont exprimé par le passé leur sympathie, voire leur allégeance, à l’ex-dirigeant gambien Yaya Jammeh, plutôt qu’aux institutions du Sénégal.
Cette posture nourrit la défiance, le sabotage permanent et fragilise l’unité nationale. Les émeutes entre 2021 et 2024 ont rappelé qu’il existe des forces prêtes à incendier le pays pour faire avancer une logique séparatiste.
L’histoire l’enseigne clairement : on ne confie pas la gestion d’une nation à des acteurs dont la loyauté patriotique est douteuse. Le Sénégal a besoin de dirigeants engagés sans ambiguïté pour l’unité et la cohésion nationale.
Le cas de la France nous offre un parallèle intéressant. Une partie des personnes issues de l’immigration y vit, y travaille, y étudie, mais reste attachée au pays d’origine de leurs parents. Elles peinent à s’identifier pleinement à la France et, dans des moments symboliques comme les compétitions sportives, elles soutiennent presque toujours l’équipe du pays d’origine plutôt que l’équipe nationale française.
Ce rapport ambigu à la nation se retrouve aussi au Sénégal, particulièrement en Casamance. Certains Casamançais, installés à Dakar ou à l’étranger, se définissent d’abord par leur identité régionale avant de se dire Sénégalais. Plus inquiétant encore, beaucoup ont exprimé par le passé leur sympathie, voire leur allégeance, à l’ex-dirigeant gambien Yaya Jammeh, plutôt qu’aux institutions du Sénégal.
Cette posture nourrit la défiance, le sabotage permanent et fragilise l’unité nationale. Les émeutes entre 2021 et 2024 ont rappelé qu’il existe des forces prêtes à incendier le pays pour faire avancer une logique séparatiste.
L’histoire l’enseigne clairement : on ne confie pas la gestion d’une nation à des acteurs dont la loyauté patriotique est douteuse. Le Sénégal a besoin de dirigeants engagés sans ambiguïté pour l’unité et la cohésion nationale.
Le cas de la France nous offre un parallèle intéressant. Une partie des personnes issues de l’immigration y vit, y travaille, y étudie, mais reste attachée au pays d’origine de leurs parents. Elles peinent à s’identifier pleinement à la France et, dans des moments symboliques comme les compétitions sportives, elles soutiennent presque toujours l’équipe du pays d’origine plutôt que l’équipe nationale française.
Ce rapport ambigu à la nation se retrouve aussi au Sénégal, particulièrement en Casamance. Certains Casamançais, installés à Dakar ou à l’étranger, se définissent d’abord par leur identité régionale avant de se dire Sénégalais. Plus inquiétant encore, beaucoup ont exprimé par le passé leur sympathie, voire leur allégeance, à l’ex-dirigeant gambien Yaya Jammeh, plutôt qu’aux institutions du Sénégal.
Cette posture nourrit la défiance, le sabotage permanent et fragilise l’unité nationale. Les émeutes entre 2021 et 2024 ont rappelé qu’il existe des forces prêtes à incendier le pays pour faire avancer une logique séparatiste.
L’histoire l’enseigne clairement : on ne confie pas la gestion d’une nation à des acteurs dont la loyauté patriotique est douteuse. Le Sénégal a besoin de dirigeants engagés sans ambiguïté pour l’unité et la cohésion nationale.
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