Visa américain : L’annonce du ministère des Affaires étrangères sur la toute nouvelle mesure de l'administration Trump
Les Etats-Unis d’Amérique, qui corsent leur politique d’immigration depuis l’arrivée de Trump au pouvoir, viennent de prendre une nouvelle mesure à ce sujet. Mesure communiquée ce vendredi 15 août par le Ministère sénégalais de l'Intégration africaine et des Affaires étrangères.
«L’Ambassade des États-Unis d'Amérique a adopté les dispositions suivantes : À compter du 12 août 2025, tous les visas non-immigrants délivrés auront désormais une durée de validité de trois (3) mois, avec entrée unique», informe le département dirigé par Yacine Fall. Le ministère déclare, dans un communiqué, que cette mesure ne concerne pas exclusivement le Sénégal. «Elle s'applique également à plusieurs pays d'Afrique, d'Amérique latine et d'Asie», dit-il.
Le département rappelle aussi, que les autorités américaines ont engagé une révision de leur dispositif de sécurité aux frontières pour lutter contre l'immigration irrégulière. Les mesures incluent notamment des sanctions à l'encontre de toute personne reconnue coupable de tentative ou d'acte d'immigration irrégulière, ou encore l'interdiction d'entrée sur le territoire américain pour les individus concernés.
Le Ministère invite donc nos compatriotes souhaitant voyager ou séjourner aux États-Unis d'Amérique, à vérifier la validité de leur visa avant leur départ, à respecter strictement la durée de séjour autorisée et à prendre contact avec le réseau diplomatique et consulaire pour toute information complémentaire.
Commentaires (40)
Heureusement ceux qui ont leur visa de 10ans ne sont pas concerne... Pour ceux qui veulnt renouveler, ils n'ont qu'a attendre la fin du mandat de Trump. Tout ca est temporaire de toutes facons...
Senegalais diakhalnala
C’est fascinant. Ces gens-là ont bâti leur pays sur un mythe : « Venez comme vous êtes, travaillez dur, vous aurez votre part du rêve américain. » Aujourd’hui, le rêve américain, c’est comme le Wi-Fi dans un bus sénégalais : on vous promet, mais ça n’existe pas vraiment.
Scientifiquement, c’est logique : une civilisation au sommet commence toujours par ériger des murs. Les Romains avaient leur mur d’Hadrien, les Chinois leur Grande Muraille, et les Américains… un mur sur la frontière mexicaine, financé à moitié par les contribuables et à moitié par la peur panique de perdre leur statut de numéro un. Sauf que voilà : quand on commence à se barricader, c’est qu’on a peur. Et quand on a peur, c’est qu’on décline.
Leur président, lui, ressemble à un chef de restaurant en faillite qui, au lieu d’améliorer la cuisine, décide de fermer la porte à clé en hurlant : « Vous n’êtes pas assez bien pour goûter mes nuggets ! » Pendant ce temps, les vrais problèmes — dettes abyssales, crise des opioïdes, effondrement moral — sont servis en illimité à volonté à leurs propres citoyens.
Pendant qu’ils rétrécissent leurs visas, leur société rétrécit aussi : familles éclatées, solitude épidémique, jeunesse anxieuse et shootée aux antidépresseurs comme si c’était des bonbons. Et ça, c’est mesuré : 50 % des jeunes américains se disent dépressifs ou en détresse mentale. Imaginez, c’est comme si la moitié d’un pays entier voulait rester au lit plutôt que d’affronter la journée.
Moralité : vouloir à tout prix « partir là-bas » aujourd’hui, c’est comme vouloir embarquer sur le Titanic… mais après l’iceberg.
Restez ici, construisons notre maison. Parce qu’à force de courir après leur rêve, on oublie qu’on peut faire du nôtre une réalité.
Sérieusement, courir derrière un pays qui ne veut pas de toi, c’est un signe majeur de manque de confiance en soi. C’est comme supplier une ex qui t’a déjà dit qu’elle ne t’aimait pas… mais en payant pour qu’elle t’ignore.
Et puis, parlons de leur « accueil » à l’ambassade : on te laisse dehors, sous le soleil, sous la pluie, comme un troupeau de cafards attendant qu’on leur ouvre la porte du frigo. L’humiliation est tellement rodée qu’on se demande si c’est pas écrit dans leur manuel de recrutement : Chapitre 1 — Apprendre à regarder les gens comme si leur simple respiration était un crime fédéral.
La vérité ? Un pays qui érige des murs, qui réduit ses visas et qui traite les visiteurs comme des suspects n’est pas en puissance… mais en panique. Et quand un empire panique, il finit toujours par tomber.
C'est une façon de nous dire que nous ne sommes pas les seuls frappés par cette mesure et surtout que nous ne ferons rien.
C'est bien facile de vociférer contre la FRANCE.
Quand il s'agit des USA, nous ne pipons mots
Chaque administration americaine a leur propre loies sur l'immigration et la majorite des americains n'y peuvent rien du tout. Les populations en Amerique vivent en harmnonie avec tous les immigrants. Pus que ca: Les Africains vivent mieux socialement en amerique qu'en Europe. L'Africain vie mieux a Alabama (tres repubicaines) que dans une ville europeene.
Ce que Trump fait n'engage pas les population americaines mais engage le gouvernement. Avec Biden les Africains etaient content. Avec Trump, ils ne sont pas. Ca va changer avec le prochain president. L'amerique ne ferme pas ses portes, c'est juste une decision de celui qui est en tete... Les populations n'y peuvent rien les prochain 3 ans.
La décision récente des États-Unis de restreindre la durée des visas non-immigrants à trois mois avec entrée unique n’est pas qu’une mesure technique. Elle est un signal fort : les grandes puissances ferment leurs portes, durcissent leurs politiques, et ne font plus de cadeaux. Ce n’est pas une attaque ciblée contre le Sénégal, mais cela nous rappelle une vérité essentielle : nous ne devons jamais dépendre de la générosité des autres pour bâtir notre avenir.
Il est plus que temps de sortir de cette posture d’attente, comme si notre destin dépendait des chancelleries étrangères. Nous ne sommes ni des bras cassés, ni des vauriens. Le peuple sénégalais est capable, intelligent, travailleur, et profondément attaché à sa terre. Il est prêt à relever les défis, à condition qu’on lui donne les moyens et qu’on lui fasse confiance.
Oui, une aide ou une ouverture internationale est toujours bienvenue. Mais elle ne doit jamais être le pilier central de notre développement. Le Sénégal doit d’abord compter sur lui-même. Cela signifie :
• Investir dans ses infrastructures et son industrie
• Valoriser l’éducation, la recherche et l’innovation
• Soutenir l’agriculture locale et la souveraineté alimentaire
• Renforcer les institutions et la justice sociale
• Cultiver une vision nationale, portée par le peuple et non dictée de l’extérieur
Les restrictions de visa ne doivent pas être vues comme une humiliation, mais comme un électrochoc. Pourquoi courir vers des pays qui nous ferment la porte, alors que nous avons tout pour bâtir ici un avenir digne ? Le rêve américain s’effrite, mais le rêve sénégalais peut s’épanouir si nous avons le courage de le nourrir.
Ne sous-estimons pas notre peuple. Il peut aller bien au-delà de ce qu’on lui demande. Il peut redresser le pays, le porter à bout de bras, et vivre dans la dignité. Ce moment est une opportunité : celle de se recentrer, de se relever, et de se réinventer.
Sumer ,Mésopotamie ,Babylone ,Egypte Ancienne ,Grèce antique ,Bysance, Rome,l'âge d'or de l'Islam ,les empires coloniaux d'Europe,etc....
Un pays qui élit un imbécile comme Donald Trump ,l'ami des Proud Boys et de QAnon ,l'allié des fanatiques Born again,l'agent immobilier escroc ,le présentateur de The Apprentice (you 're fired),le pote sulfureux de Jeffrey Eiptstein etc...Ce pays là ne tourne pas rond.Toute sa politique basée sur la violence et le racket, très loin des schèmes classiques économiques, illustre clairement le désarroi de ce "géant.aux pieds d'argile que sont les USA.
Nul ne sera surpris de voir cet homme qui reboulonne l'esclavagiste Albert Pike ,consfisquer le pouvoir à la fin de son mandat avec l'appropation de ses affidés ,complotistes ,racistes ,suprémacistes et surtout primaires déphasés.
En attendant nous les fourmis devrons jouer d'acrobatie et d'agilité ,de vigilance et de flagornerie pour ne pas subir les affreuses rouades de la bête agonisante.
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