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Axe Dahra - Mbeuleukhé : Chute mortelle d’un homme de 40 ans d’un "Wopouya"

Auteur: Lamine Ndiaye

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Axe Dahra - Mbeuleukhé : Chute mortelle d’un homme de 40 ans d’un "Wopouya"

Un accident mortel s’est produit ce dimanche vers 8 h, sur la route Dahra - Mbeuleukhé, à hauteur du village de Mbadiène. Un véhicule de transport public dit «Wopouya», en provenance de Mbeuleukhé pour le marché hebdomadaire de Dahra, a violemment percuté un ralentisseur. L’un des passagers assis sur les planches de la voiture, du nom de Djiby Ba, a été éjecté et s'est fracassé sur la chaussée.

Grièvement blessé, il a été évacué au centre de santé de Dahra puis référé à l’hôpital Matlaboul Fawzeyni de Touba où il a finalement succombé à ses blessures.

Selon une source proche de l’enquête, le véhicule roulait à vive allure au moment où heurtait le ralentisseur.

Auteur: Lamine Ndiaye
Publié le: Dimanche 30 Novembre 2025

Commentaires (3)

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    Brigadier il y a 9 heures

    Ces al qaida de la route.pas un seul jour sans qu on nous parle de morts

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    SOW pas BA il y a 8 heures

    Djiby SOW.

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    faye il y a 1 heure

    ANASER : une agence prise en otage par son DG
    1. Un directeur général en contradiction permanente
    L’ANASER, censée être le rempart contre les drames routiers, se retrouve aujourd’hui prisonnière d’un directeur général plus préoccupé par ses règlements de compte internes que par sa mission de protection des vies humaines. Alors que chaque jour des Sénégalais meurent sur nos routes, le DG préfère maltraiter son personnel et multiplier les incohérences.
    Dès son arrivée, il a menacé de renvoyer des agents sous CDI pour « raisons économiques », tout en recrutant de nouveaux fonctionnaires en parallèle. Une absurdité totale. Comment peut-on parler d’économies d’un côté et engager des dépenses de l’autre ?
    2. Agents dispersés, missions inexistantes
    La moitié du personnel est aujourd’hui affectée dans des régions dépourvues de sièges, sans moyens et sans missions claires. Ces femmes et ces hommes, qui étaient jusque-là le cœur de l’agence, sont réduits à l’inaction. Résultat : une ANASER paralysée, vidée de sa substance et de son efficacité.
    Pendant ce temps, le DG s’improvise chroniqueur sur les plateaux télé, multipliant les déclarations creuses. Communiquer, il sait. Sauver des vies, beaucoup moins.
    3. Illégalité et silence complice
    Comme si cela ne suffisait pas, il recrute sans l’autorisation du conseil de surveillance, violant ainsi les règles élémentaires de gouvernance. Et que fait ce conseil ? Rien.
    Le commissaire Boubacar Sanné, si bruyant dans d’autres affaires, garde aujourd’hui un silence assourdissant.
    Me Masokhna Kane, qui aime se présenter comme défenseur du peuple, siège lui aussi au conseil. Informé des dérives, il ne bouge pas. Silence complice ou inertie volontaire ?
    Le DG est allé plus loin : il a baissé illégalement les salaires des agents, piétinant le droit du travail.
    4. Népotisme et gestion clanique
    Cerise sur le gâteau, le DG a transformé l’ANASER en entreprise familiale. Il a recruté son cousin administrateur civil proche de la retraite et sa cousine, parachutée dans l’agence. Le népotisme est devenu la règle, la gestion clanique la méthode.
    5. Une agence détournée de sa mission
    Résultat : une agence minée par le favoritisme, la démotivation et le gaspillage des ressources. L’ANASER, au lieu d’être un outil de sécurité routière, est devenue la propriété privée d’un DG en dérive totale.
    Pendant que les accidents de la route continuent de tuer chaque jour, l’ANASER est paralysée par l’incompétence, la mauvaise gouvernance et l’avidité de son chef. C’est plus qu’une erreur de gestion : c’est une trahison envers la mission sacrée de l’agence et envers le peuple sénégalais.

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