La société africaine de raffinage est à la recherche d’une deuxième raffinerie dans ce contexte d’exploitation du pétrole et du gaz par le Sénégal. Ainsi, lors du sommet Chine-Afrique, la Sar, par l’intermédiaire de son DG, Mamadou Abib Diop, a signé un protocole d’accord avec Sedin Engineering, une filiale de China National Engineering. « Ce protocole va permettre aux deux entités d’explorer les futurs axes d’une collaboration pour la construction d’un deuxième site de raffinage au Sénégal et d’une nouvelle usine de pétrochimie, dans le cadre du Projet Sar 2.0 », indique un communiqué de la Sar.
Dans ce contexte d’exploitation du pétrole au Sénégal, la Sar est vue comme étant le maillon faible de la chaîne d’approvisionnement du pays en produit pétrolier. En effet, sa capacité de raffinage est largement inférieure aux besoins du pays. Afin d’éviter au Sénégal le syndrome nigérian (produire du brut et importer du raffiné et dépendre ainsi des aléas du marché), la Sar veut opérer une montée en puissance.
Elle avait déjà adapté ses installations pour qu’elles passent à une capacité de raffinage de 1,2 million à 1,5 million de tonnes par an. Une adaptation qui a coûté 53 milliards, selon le journal français, Le Monde. La Sar avait signé par la suite un contrat avec TechnipFMC, en 2019, lors d’un sommet en Afrique du Sud. «Le contrat s’intègre dans un projet de modernisation de la raffinerie, Sar 2.0, qui lui permettra de tenir le rôle prépondérant qui sera le sien dans l’exploitation de ressources exclusivement sénégalaises, à travers, notamment, une augmentation de la production à 3,5MMt/an à l’horizon 2025», indiquait le communiqué relatif à la signature du contrat.
La Sar a dû revoir ses ambitions à la hausse entre-temps. Car, dans un autre communiqué daté de juillet dernier, elle affirmait vouloir porter ses capacités à 5 millions de tonnes par an, grâce à une coopération avec Woodside, le géant australien qui produit le pétrole sénégalais. « Ce projet, en plus de porter la capacite? de raffinage a? 5 millions de tonnes, selon les spécifications AFRI6, vise également a? diversifier les activités en s’orientant vers la pe?trochimie », précisait le communiqué.
Auteur: Seneweb News
Comments (14)
Tous à écorner la nouvelle gouvernance de 6 mois mais pas un traite mot des conneries de Macky durant 12 ans....cherchez l'erreur ?
Avec la découverte des ressources pétrolières et gazières, le Sénégal se dirige vers l’installation d’une nouvelle raffinerie. Cela s’explique par le fait que la Société africaine de raffinage (Sar) a atteint ses limites, car elle ne produit qu’un million de tonnes par an alors que le pays a besoin de 2,5 millions de pétrole raffiné chaque année. Avec la construction de cette nouvelle raffinerie, le Sénégal pourrait ainsi, avec l’exploitation du pétrole, exporter sa production dans la sous région. Avec les premiers barils de pétrole qui vont être commercialisés au Sénégal entre 2020 et 2021, le Sénégal doit mettre toutes les chances de son côté pour bien préparer cette opportunité. Dans ce sens, par rapport au raffinage du pétrole, le Sénégal est sur la voie de se doter d’une nouvelle raffinerie pour pouvoir mieux consommer voire exploiter les ressources pétrolières. Le Directeur général de Petrosen, Mamadou Faye a indiqué que le Sénégal est en train de réfléchir sur la mise en place d’une nouvelle raffinerie vu les limites de la Sar qui, «n’a pas les capacités suffisantes lui permettant de traiter tous les produits bruts». Pour lui, avec les ressources pétrolières découvertes, le Sénégal, avec sa nouvelle raffinerie peut produire 7 millions de tonnes par année ce qui va satisfaire la demande locale estimée à 2,5 millions de tonnes par an. Il poursuit qu’on doit envisager cette hypothèse car la Société africaine de raffinage (Sar) qui a plus de 50 ans a atteint ses limites. Non seulement, la Sar ne permet plus de satisfaire la demande nationale du Sénégal, mais elle doit se conformer aux nouvelles exigences de la législation africaine en la matière. L’association des raffineurs d’Afrique a mis en place de nouvelles normes à l’horizon 2020- 2024. «Ces normes stipulent que tous les produits qui ne seraient pas traités dans les règles de l’art ne seront pas utilisés en Afrique. Avec le dispositif actuel de la SAR, elle n’est pas en mesure de se conformer à ces nouvelles normes africaines», a dit le Mamadou Faye, en marge d’un séminaire de Petrosen avec le Collectif des journalistes économiques du Sénégal (Cojes). De ce fait, le Directeur général de Petrosen a annoncé qu’un rapport est en train d’être préparé sur le sort qui sera réservé à la Sar et pour la nouvelle raffinerie. Après le rapport, les autorités décideront si on va réhabiliter la Sar pour qu’elle puisse améliorer sa production mais aussi se conformer aux nouvelles normes. Cependant, d’après les spécialistes même si on investit pour mettre la Sar à niveau, cette société ne peut pas augmenter sa capacité de production pour satisfaire la demande du Sénégal en produit raffinés ; cela fait qu’on se dirige vers la mise en place d’une deuxième raffinerie de dernière génération pouvant approvisionner en plus du Sénégal, les pays de la sous région comme la Gambie, le Mali, les deux Guinées. Cette nouvelle raffinerie pourra produire 7 millions de tonnes de pétrole raffiné par an. 750 MILLIARDS POUR UNE RAFFINERIE MULTIFONCTIONNELLE RAVITAILLANT LA SOUS REGION Selon les explications du Directeur de Petrosen, les modifications de la Sar pour la rendre plus compétitive devront coûter 350 millions de dollars environs 75 milliards de francs Cfa alors que la construction d’une raffinerie multifonctionnelle offrant tous les services et respectant toute les normes nécessite un investissement de 1,5 milliard de dollars environs 750 milliards de francs Cfa. Compte tenu des perspectives qui font du Sénégal un pays producteur de pétrole, il serait plus judicieux d’après les spécialistes de se doter d’une deuxième raffinerie. «Nous allons produire plus que ce que la Sar peut traiter. On doit avoir une raffinerie pour exporter vers la sous région. Après le rapport d’évaluation, on verra ce qui sera fait de la Sar où l’Etat est actionnaire majoritaire», argumente le Directeur général de Petrosen Mamadou Faye. Avec la découverte des ressources pétrolières et gazières, le Sénégal se dirige vers l’installation d’une nouvelle raffinerie. Cela s’explique par le fait que la Société africaine de raffinage (Sar) a atteint ses limites, car elle ne produit qu’un million de tonnes par an alors que le pays a besoin de 2,5 millions de pétrole raffiné chaque année. Avec la construction de cette nouvelle raffinerie, le Sénégal pourrait ainsi, avec l’exploitation du pétrole, exporter sa production dans la sous région. Avec les premiers barils de pétrole qui vont être commercialisés au Sénégal entre 2020 et 2021, le Sénégal doit mettre toutes les chances de son côté pour bien préparer cette opportunité. Dans ce sens, par rapport au raffinage du pétrole, le Sénégal est sur la voie de se doter d’une nouvelle raffinerie pour pouvoir mieux consommer voire exploiter les ressources pétrolières. Le Directeur général de Petrosen, Mamadou Faye a indiqué que le Sénégal est en train de réfléchir sur la mise en place d’une nouvelle raffinerie vu les limites de la Sar qui, «n’a pas les capacités suffisantes lui permettant de traiter tous les produits bruts». Pour lui, avec les ressources pétrolières découvertes, le Sénégal, avec sa nouvelle raffinerie peut produire 7 millions de tonnes par année ce qui va satisfaire la demande locale estimée à 2,5 millions de tonnes par an. Il poursuit qu’on doit envisager cette hypothèse car la Société africaine de raffinage (Sar) qui a plus de 50 ans a atteint ses limites. Non seulement, la Sar ne permet plus de satisfaire la demande nationale du Sénégal, mais elle doit se conformer aux nouvelles exigences de la législation africaine en la matière. L’association des raffineurs d’Afrique a mis en place de nouvelles normes à l’horizon 2020- 2024. «Ces normes stipulent que tous les produits qui ne seraient pas traités dans les règles de l’art ne seront pas utilisés en Afrique. Avec le dispositif actuel de la SAR, elle n’est pas en mesure de se conformer à ces nouvelles normes africaines», a dit le Mamadou Faye, en marge d’un séminaire de Petrosen avec le Collectif des journalistes économiques du Sénégal (Cojes). De ce fait, le Directeur général de Petrosen a annoncé qu’un rapport est en train d’être préparé sur le sort qui sera réservé à la Sar et pour la nouvelle raffinerie. Après le rapport, les autorités décideront si on va réhabiliter la Sar pour qu’elle puisse améliorer sa production mais aussi se conformer aux nouvelles normes. Cependant, d’après les spécialistes même si on investit pour mettre la Sar à niveau, cette société ne peut pas augmenter sa capacité de production pour satisfaire la demande du Sénégal en produit raffinés ; cela fait qu’on se dirige vers la mise en place d’une deuxième raffinerie de dernière génération pouvant approvisionner en plus du Sénégal, les pays de la sous région comme la Gambie, le Mali, les deux Guinées. Cette nouvelle raffinerie pourra produire 7 millions de tonnes de pétrole raffiné par an. 750 MILLIARDS POUR UNE RAFFINERIE MULTIFONCTIONNELLE RAVITAILLANT LA SOUS REGION Selon les explications du Directeur de Petrosen, les modifications de la Sar pour la rendre plus compétitive devront coûter 350 millions de dollars environs 75 milliards de francs Cfa alors que la construction d’une raffinerie multifonctionnelle offrant tous les services et respectant toute les normes nécessite un investissement de 1,5 milliard de dollars environs 750 milliards de francs Cfa. Compte tenu des perspectives qui font du Sénégal un pays producteur de pétrole, il serait plus judicieux d’après les spécialistes de se doter d’une deuxième raffinerie. «Nous allons produire plus que ce que la Sar peut traiter. On doit avoir une raffinerie pour exporter vers la sous région. Après le rapport d’évaluation, on verra ce qui sera fait de la Sar où l’Etat est actionnaire majoritaire», argumente le Directeur général de Petrosen Mamadou Faye. Avec la découverte des ressources pétrolières et gazières, le Sénégal se dirige vers l’installation d’une nouvelle raffinerie. Cela s’explique par le fait que la Société africaine de raffinage (Sar) a atteint ses limites, car elle ne produit qu’un million de tonnes par an alors que le pays a besoin de 2,5 millions de pétrole raffiné chaque année. Avec la construction de cette nouvelle raffinerie, le Sénégal pourrait ainsi, avec l’exploitation du pétrole, exporter sa production dans la sous région. Avec les premiers barils de pétrole qui vont être commercialisés au Sénégal entre 2020 et 2021, le Sénégal doit mettre toutes les chances de son côté pour bien préparer cette opportunité. Dans ce sens, par rapport au raffinage du pétrole, le Sénégal est sur la voie de se doter d’une nouvelle raffinerie pour pouvoir mieux consommer voire exploiter les ressources pétrolières. Le Directeur général de Petrosen, Mamadou Faye a indiqué que le Sénégal est en train de réfléchir sur la mise en place d’une nouvelle raffinerie vu les limites de la Sar qui, «n’a pas les capacités suffisantes lui permettant de traiter tous les produits bruts». Pour lui, avec les ressources pétrolières découvertes, le Sénégal, avec sa nouvelle raffinerie peut produire 7 millions de tonnes par année ce qui va satisfaire la demande locale estimée à 2,5 millions de tonnes par an. Il poursuit qu’on doit envisager cette hypothèse car la Société africaine de raffinage (Sar) qui a plus de 50 ans a atteint ses limites. Non seulement, la Sar ne permet plus de satisfaire la demande nationale du Sénégal, mais elle doit se conformer aux nouvelles exigences de la législation africaine en la matière. L’association des raffineurs d’Afrique a mis en place de nouvelles normes à l’horizon 2020- 2024. «Ces normes stipulent que tous les produits qui ne seraient pas traités dans les règles de l’art ne seront pas utilisés en Afrique. Avec le dispositif actuel de la SAR, elle n’est pas en mesure de se conformer à ces nouvelles normes africaines», a dit le Mamadou Faye, en marge d’un séminaire de Petrosen avec le Collectif des journalistes économiques du Sénégal (Cojes). De ce fait, le Directeur général de Petrosen a annoncé qu’un rapport est en train d’être préparé sur le sort qui sera réservé à la Sar et pour la nouvelle raffinerie. Après le rapport, les autorités décideront si on va réhabiliter la Sar pour qu’elle puisse améliorer sa production mais aussi se conformer aux nouvelles normes. Cependant, d’après les spécialistes même si on investit pour mettre la Sar à niveau, cette société ne peut pas augmenter sa capacité de production pour satisfaire la demande du Sénégal en produit raffinés ; cela fait qu’on se dirige vers la mise en place d’une deuxième raffinerie de dernière génération pouvant approvisionner en plus du Sénégal, les pays de la sous région comme la Gambie, le Mali, les deux Guinées. Cette nouvelle raffinerie pourra produire 7 millions de tonnes de pétrole raffiné par an. 750 MILLIARDS POUR UNE RAFFINERIE MULTIFONCTIONNELLE RAVITAILLANT LA SOUS REGION Selon les explications du Directeur de Petrosen, les modifications de la Sar pour la rendre plus compétitive devront coûter 350 millions de dollars environs 75 milliards de francs Cfa alors que la construction d’une raffinerie multifonctionnelle offrant tous les services et respectant toute les normes nécessite un investissement de 1,5 milliard de dollars environs 750 milliards de francs Cfa. Compte tenu des perspectives qui font du Sénégal un pays producteur de pétrole, il serait plus judicieux d’après les spécialistes de se doter d’une deuxième raffinerie. «Nous allons produire plus que ce que la Sar peut traiter. On doit avoir une raffinerie pour exporter vers la sous région. Après le rapport d’évaluation, on verra ce qui sera fait de la Sar où l’Etat est actionnaire majoritaire», argumente le Directeur général de Petrosen Mamadou Faye.
Avec la découverte des ressources pétrolières et gazières, le Sénégal se dirige vers l’installation d’une nouvelle raffinerie. Cela s’explique par le fait que la Société africaine de raffinage (Sar) a atteint ses limites, car elle ne produit qu’un million de tonnes par an alors que le pays a besoin de 2,5 millions de pétrole raffiné chaque année. Avec la construction de cette nouvelle raffinerie, le Sénégal pourrait ainsi, avec l’exploitation du pétrole, exporter sa production dans la sous région. Avec les premiers barils de pétrole qui vont être commercialisés au Sénégal entre 2020 et 2021, le Sénégal doit mettre toutes les chances de son côté pour bien préparer cette opportunité. Dans ce sens, par rapport au raffinage du pétrole, le Sénégal est sur la voie de se doter d’une nouvelle raffinerie pour pouvoir mieux consommer voire exploiter les ressources pétrolières. Le Directeur général de Petrosen, Mamadou Faye a indiqué que le Sénégal est en train de réfléchir sur la mise en place d’une nouvelle raffinerie vu les limites de la Sar qui, «n’a pas les capacités suffisantes lui permettant de traiter tous les produits bruts». Pour lui, avec les ressources pétrolières découvertes, le Sénégal, avec sa nouvelle raffinerie peut produire 7 millions de tonnes par année ce qui va satisfaire la demande locale estimée à 2,5 millions de tonnes par an. Il poursuit qu’on doit envisager cette hypothèse car la Société africaine de raffinage (Sar) qui a plus de 50 ans a atteint ses limites. Non seulement, la Sar ne permet plus de satisfaire la demande nationale du Sénégal, mais elle doit se conformer aux nouvelles exigences de la législation africaine en la matière. L’association des raffineurs d’Afrique a mis en place de nouvelles normes à l’horizon 2020- 2024. «Ces normes stipulent que tous les produits qui ne seraient pas traités dans les règles de l’art ne seront pas utilisés en Afrique. Avec le dispositif actuel de la SAR, elle n’est pas en mesure de se conformer à ces nouvelles normes africaines», a dit le Mamadou Faye, en marge d’un séminaire de Petrosen avec le Collectif des journalistes économiques du Sénégal (Cojes). De ce fait, le Directeur général de Petrosen a annoncé qu’un rapport est en train d’être préparé sur le sort qui sera réservé à la Sar et pour la nouvelle raffinerie. Après le rapport, les autorités décideront si on va réhabiliter la Sar pour qu’elle puisse améliorer sa production mais aussi se conformer aux nouvelles normes. Cependant, d’après les spécialistes même si on investit pour mettre la Sar à niveau, cette société ne peut pas augmenter sa capacité de production pour satisfaire la demande du Sénégal en produit raffinés ; cela fait qu’on se dirige vers la mise en place d’une deuxième raffinerie de dernière génération pouvant approvisionner en plus du Sénégal, les pays de la sous région comme la Gambie, le Mali, les deux Guinées. Cette nouvelle raffinerie pourra produire 7 millions de tonnes de pétrole raffiné par an. 750 MILLIARDS POUR UNE RAFFINERIE MULTIFONCTIONNELLE RAVITAILLANT LA SOUS REGION Selon les explications du Directeur de Petrosen, les modifications de la Sar pour la rendre plus compétitive devront coûter 350 millions de dollars environs 75 milliards de francs Cfa alors que la construction d’une raffinerie multifonctionnelle offrant tous les services et respectant toute les normes nécessite un investissement de 1,5 milliard de dollars environs 750 milliards de francs Cfa. Compte tenu des perspectives qui font du Sénégal un pays producteur de pétrole, il serait plus judicieux d’après les spécialistes de se doter d’une deuxième raffinerie. «Nous allons produire plus que ce que la Sar peut traiter. On doit avoir une raffinerie pour exporter vers la sous région. Après le rapport d’évaluation, on verra ce qui sera fait de la Sar où l’Etat est actionnaire majoritaire», argumente le Directeur général de Petrosen Mamadou Faye.
Oumar KANDE | Publication 27/03/2017
Avec la découverte des ressources pétrolières et gazières, le Sénégal se dirige vers l’installation d’une nouvelle raffinerie. Cela s’explique par le fait que la Société africaine de raffinage (Sar) a atteint ses limites, car elle ne produit qu’un million de tonnes par an alors que le pays a besoin de 2,5 millions de pétrole raffiné chaque année. Avec la construction de cette nouvelle raffinerie, le Sénégal pourrait ainsi, avec l’exploitation du pétrole, exporter sa production dans la sous région. Avec les premiers barils de pétrole qui vont être commercialisés au Sénégal entre 2020 et 2021, le Sénégal doit mettre toutes les chances de son côté pour bien préparer cette opportunité. Dans ce sens, par rapport au raffinage du pétrole, le Sénégal est sur la voie de se doter d’une nouvelle raffinerie pour pouvoir mieux consommer voire exploiter les ressources pétrolières. Le Directeur général de Petrosen, Mamadou Faye a indiqué que le Sénégal est en train de réfléchir sur la mise en place d’une nouvelle raffinerie vu les limites de la Sar qui, «n’a pas les capacités suffisantes lui permettant de traiter tous les produits bruts». Pour lui, avec les ressources pétrolières découvertes, le Sénégal, avec sa nouvelle raffinerie peut produire 7 millions de tonnes par année ce qui va satisfaire la demande locale estimée à 2,5 millions de tonnes par an. Il poursuit qu’on doit envisager cette hypothèse car la Société africaine de raffinage (Sar) qui a plus de 50 ans a atteint ses limites. Non seulement, la Sar ne permet plus de satisfaire la demande nationale du Sénégal, mais elle doit se conformer aux nouvelles exigences de la législation africaine en la matière. L’association des raffineurs d’Afrique a mis en place de nouvelles normes à l’horizon 2020- 2024. «Ces normes stipulent que tous les produits qui ne seraient pas traités dans les règles de l’art ne seront pas utilisés en Afrique. Avec le dispositif actuel de la SAR, elle n’est pas en mesure de se conformer à ces nouvelles normes africaines», a dit le Mamadou Faye, en marge d’un séminaire de Petrosen avec le Collectif des journalistes économiques du Sénégal (Cojes). De ce fait, le Directeur général de Petrosen a annoncé qu’un rapport est en train d’être préparé sur le sort qui sera réservé à la Sar et pour la nouvelle raffinerie. Après le rapport, les autorités décideront si on va réhabiliter la Sar pour qu’elle puisse améliorer sa production mais aussi se conformer aux nouvelles normes. Cependant, d’après les spécialistes même si on investit pour mettre la Sar à niveau, cette société ne peut pas augmenter sa capacité de production pour satisfaire la demande du Sénégal en produit raffinés ; cela fait qu’on se dirige vers la mise en place d’une deuxième raffinerie de dernière génération pouvant approvisionner en plus du Sénégal, les pays de la sous région comme la Gambie, le Mali, les deux Guinées. Cette nouvelle raffinerie pourra produire 7 millions de tonnes de pétrole raffiné par an. 750 MILLIARDS POUR UNE RAFFINERIE MULTIFONCTIONNELLE RAVITAILLANT LA SOUS REGION Selon les explications du Directeur de Petrosen, les modifications de la Sar pour la rendre plus compétitive devront coûter 350 millions de dollars environs 75 milliards de francs Cfa alors que la construction d’une raffinerie multifonctionnelle offrant tous les services et respectant toute les normes nécessite un investissement de 1,5 milliard de dollars environs 750 milliards de francs Cfa. Compte tenu des perspectives qui font du Sénégal un pays producteur de pétrole, il serait plus judicieux d’après les spécialistes de se doter d’une deuxième raffinerie. «Nous allons produire plus que ce que la Sar peut traiter. On doit avoir une raffinerie pour exporter vers la sous région. Après le rapport d’évaluation, on verra ce qui sera fait de la Sar où l’Etat est actionnaire majoritaire», argumente le Directeur général de Petrosen Mamadou Faye. Oumar KANDE | Publication 27/03/2017
Ce qui nous fait peur avec le système Diomaye et Sonko est que vous avancez avec le système que vous avez tant décrié. Vous ne faites que remplacer des gens à leurs postes mais vous n'amenez pas de réels réformes. Un changement doit être également structurelle. Et pour celà il faut des audits de fonds, expliquer au peuple que si vous ne voulez pas avancer rapidement il faut que vous changiez le système. Rappel : le changement ne consiste pas seulement à remplacer des individus. Le changement doit être systémique avec des audits de fonds. Creusez fouillez bêchez ne laissez nulle place où la main ne passe et ne repasse disait l'autre. Mais la manière d'avancer ne rassure pas et fait peur aux hommes de savoir qui ont construit le soutien pour que vous gagniez la bataille contre le tout puissant Macky nouveau souterrain de Marakech
Malheureusement le spécialiste du pétrole est parti en espérant qu'il reviendra très bientôt !
tu parle du "géologue diplômé " émigré au Maroc ???
Le Sénégal s'est empressé de vendre du pétrole brut. Peut être qu'on avait besoin d'argent tout de suite et maintenant. On peut comprendre celà. Mais il ne faut pas compter sur la vente de pétrole brut pour améliorer notre économie. L'urgence n'est pas à la vente de pétrole brut. On perd beaucoup d'argent en faisant avec ça. Ce sont les produits pétroliers qui rapportent beaucoup d'argent. Les produits pétroliers sont les dérivés issus du raffinage du pétrole qui transforme le pétrole brut : - en produits énergétiques comme le super, l'essence, le gazole, le fioul, le kérosène, le gaz de pétrole (propane, butane), le pétrole lampa nt; - en produits non énergétiques comme les matières plastiques, les fibres textiles, les adhésifs, les détergents, les emballages alimentaires, les tuyaux, les flacons, les lubrifiants, les bitumes... Tous ces produits, si nous ne raffinons pas nous mêmes notre pétrole, c'est celui à qui on a vendu notre brut moins cher qui va nous les revendre très chers. En plus, chacun de ces produits peut faire l'objet d'une usine qui va faire travailler les Sénégalais. Je vois là une grande opportunité d'industrialisation. Les autorités ont donc mis le doigt où il fallait mais penser aussi à installer des usines pour l'utilisation des dérivés pétroliers. Rek Sénégal diem kanam.
La France n'a jamais voulu que le Sénégal investisse dans ces secteurs pour le garder comme un marché de la filiale française TOTAL. la France est un grand exportateur de produits pétroliers à travers TOTAL et pourtant la France n'a pas une seule goutte de pétrole brut sous son sol.
Mais peut me dire qu'est ce qu'il en est des quantités de pétrole reçues et des produits de la vente. Il faut que les sénégalais exigent des bulletins réguliers sur la production et les revenus du pétrole extrait. Ce mutisme peut cacher de grosses surprises aux sénégalais.
Enfin
Cette 2ème raffinerie est un projet de macky sall,ils en avaient même fait la communication en conseil des ministres.
Tu as dit la vérité . Ce projet est bel et bien passé en Conseil des Ministres sous Macky .Mais que veux tu ? ceux qui ont trouvé un "Etat en ruine " sont entrain de fouiller les tiroirs pour s'approprier les Projets du GRAND BATISSEUR , le meilleur président du Sénégal .
It a eu assez longtemps pour le realiser
Macky sall a sorti des milliards pour réaliser ce projet et comme d'habitude ils ont tout détourné, vous verrez bientôt des arrestations dans le cadre de ce projet.
c'est possible mais il a fait sciemment traîner la chose , il s'est en priorité servi largement avec des contrats bidons, lui et son frère.
Il faut faire attention aux chinois. Dans le domaine du petrole et du gaz la qualite de leur travail nest pas bonne et ils font beaucoup de corruption.
Il faut faire attention aux chinois. Dans le domaine du petrole et du gaz la qualite de leur travail nest pas bonne et ils font beaucoup de corruption.
Il ya toujours des tocards qui n'essaient rien et cherchent toujours à décourager ceux qui essaient. Leurs méthodes c'est toujours inventer des risques sur la base de mensonges.
les chinois c'est comme les rats ça s'infiltre partout. Grossière erreujr que de les avoir choisi, notre naïf président s'est fait avoir comme un gamin de CM2 malgré son discours qui a amusé la galerie chinoise.
Tout depend des exigences et contrôles de l'Etat Sénégalais. Les Chine peut te produire de la bonne qualité comme elle peut te livrer la plus mauvaise qualité. Donc tout depend de ce que le Senegal cherche.
il faut qu'elle soit grande pour raffiner le brut des deux guinèes et la gambie..
qui t'a dit que la Guinée et la Gambie ont du pétrole brut à raffiner . CONTENTES TOI DE TON PAUVRE PAYS
)) Filles chaudes vous attendent sur - - Top25.fun
En fin c'est ce qu'on attendait le plus une raffinerie new look nouvelle génération comme celle de Dangote. Ainsi tout se fera sur place et facilitera le control et la transparence
Comment on peut investir 53 milliards pour seulement une augmentation de production de 0,3 millions de tonnes par an? Avec 53 milliards on peut construire une raffinerie entière. Il faut auditer et demander aux voleurs de retourner l'argent public. Ça sent ses surfacturations.
Les commerçants et industriels ( UNACOIS) le CNP le CNES qu’est-ce qu’ils attendent pour s’engager dans ce projet. Alors ils vont attendre que les étrangers s’installent pour qu’ils aillent chercher des actions ou de la sous traitance. Ceux qui auront tout rater vont faire le tour des médias pour dire que le gouvernement a favorisé les étrangers au détriment des nationaux
BONJOUR LA RAFFINERIE DOIT ETRE INSTALLER A KAOLACK pour que les Maliens ne s'approvisionnent plus à DAKAR
Participer à la Discussion