Grosse arnaque à Saly Portudal : le Français apprend la mort de sa petite-amie lesbienne mais la retrouve dans un bar… en compagnie d’un autre un homme
Octobre 2024, P. A. Valiton, en vacances au Sénégal, croise Kh. Mbengue dans un bar de Saly Portudal. Le courant passe, Cupidon frappe. Le Français et la Sénégalaise entament une relation amoureuse. Le couple emménage ensemble.
L’idylle résiste au retour du touriste dans son pays. Du moins dans la tête de ce dernier.
«En réalité son amoureuse est une lesbienne qui est déjà en couple avec F. Niass et les deux ont prévu d’extorquer de l’argent au Français en jouant le cou de l’appartement fantôme», rapporte L’Observateur, qui évoque cette histoire rocambolesque dans son édition de ce jeudi.
Kh. Mbengue contacte son amant et lui propose une «affaire en or» : un appartement à 8 millions de francs CFA, renseigne le quotidien du Groupe futurs médias. Elle désigne F. Niass comme la propriétaire du bien immobilier. Le Français n’y voit que du feu ; il envoie un acompte de 3,5 millions de francs CFA, souffle le journal.
Les deux arnaqueuses décident alors de passer à la deuxième étape de leur plan. Cette fois-ci, c’est F. Niass qui contacte Valiton, l’informant de la mort de sa petite-amie. «Cette nouvelle plongera [le Français] dans le désarroi pendant plusieurs mois.
Octobre dernier, P. A. Valiton revient au Sénégal. Il se rend, comme à ses habitudes lors de ses vacances au pays de la Téranga, dans un bar de Saly Portudal. Surprise : il aperçoit sa copine, déclarée morte, au bras d’un autre homme. Il s’éclipse sans se faire remarquer par cette dernière et, dès le lendemain, porte plainte au commissariat de Saly.
Les deux femmes seront interpellées. L’Observateur renseigne que face aux enquêteurs ces dernières adoptent des lignes de défense opposées : Kh. Mbengue reconnaît les faits, mais invoque la précarité et le désespoir pour se justifier, tandis que F. Niass, elle, nie. «Les deux femmes croupissent depuis jeudi dernier à la Maison d’arrêt et de correction de Mbour pour escroquerie», informe le journal.
Commentaires (4)
Les colons ont fait pire que l'escroquerie. Ils ont vendu nos grands parents comme des objets.
La dame se trouvait entre les mains d'un autre homme ou entre les mains d'une autre femme? je ne comprends plus rien de ce texte
J'ai regardé deux émissions dernièrement sur la prostitution mais une chose m'a frappé les protagonistes dans les deux films ont répondu de manière catégorique à la question : est ce qu'il vous arrive de tomber amoureuses d'un client? Leur réponse NON, c'est impossible. Ces personnes n'imaginent même pas ce que signifie l'attachement encore moins l'amour. Libre à vous si vous voulez croire à des illusions.
C'est bien écrit dans les bras d un homme vous aussi
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