Embalò brise le silence sur le "putsch" polémique : «Si j’avais moi-même organisé tout cela…»
Un «faux coup d’Etat», une «combine» ! L’opinion internationale a mal digéré ce qui s’est passé en Guinée Bissau. Alors que les résultats de la présidentielle étaient attendus, le Président Umaro Sissoco Embaò a annoncé avoir été victime d’un coup d’Etat. Beaucoup l’ont accusé d’avoir orchestré tout cela. L’ancien Président guinéen a brisé le silence.
«Si j’avais moi-même organisé tout cela, je serais toujours au pouvoir », a-t-il dit à nos confrères de Jeune Afrique. Le désormais ancien chef de l’Etat de la Guinée Bissau qualifie donc de «fake news» les commentaires tendant à suggérer qu’il aurait lui-même co-orchestré le putsch avec le général Horta N’Tam. Ce, tout en mettant en cause les officiers supérieurs balantes d’en être à l’origine.
Commentaires (14)
La ferme tu es un bandit de grand chemin , in menteur , tu as trahi les Bissau guineens qui ont vote , c'est toi qui a organise tout ce bordel , ce soit disant coup d'etat , nous ne sommes ni betes ni naifs, comme le dit tiken jah facoly on a tout compris .
Ki domekham deug la... Je m'excuse les gars
À ce niveau de responsabilité il nous parle encore de balante . Un vrai cretin ce type
N'oublions jamais qu'il est l'ami de Macky Sall ; dis-moi qui tu fréquentes et je te dirai qui tu es. Lui et son ami méritent la prison à vie.
UN VRAI VOYOU, CE GARS EST UN AMI DE MACKY, C'EST UN GRAND BANDIT
Thiotou Ndayam peul Bokou
S'il fréquente Macky Sall, Sonko fréquente Sweet Beauté
Comme Macky Sall .
cet imbecile de Mballo
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"Qui se ressemble s'assemble"
Fëkina Moram ba
Chiiiiim sale TRAITRES
J’ai envie de les vomir ces hommes. Ils n’ont aucune ethique ni de diome. Comment ils peuvent autnat detester leur pays. L’africain est le seul etre sur terre qui ne s’aime pas.
Revoilà les moutons pastefiens subitement volubiles des situations que leur rachitisme intellectuel est incapable d'analyse.Ils se contentent des mensonges du doulkatt violeur.Mais se taisent sur les échecs quotidiens de leur meute de populistes démasqués une fois au pouvoir
Le crétinisme leurs caractéristiques principales
Destination finale douteuse .
En rejoignant Macky Sall à Marrakech rebelotte dirai- je !
Car le même Embalo a bien reconnu être par le passé hébergé par l' ex PR du Sénégal à Mermoz
D' autre part le plus en vu des trois chefs d' état n' est autre que celui en exercice au Sénégal ....
J' espère pour Diomaye qu' il en a confié de trop au chef d' état Bissau-guinéen déchu .Auquel
cas , le risque d' être anéanti se fait ressentir depuis Paris Rabat et Dakar bien entendu
Fieffé menteur !
Et par leurs mensonges et le travail de leurs médias, nous restons enfermés dans deux types de débats: à savoir qu'ils sont préoccupés par le devenir de l'Afrique, et qu'ils sont libres de la France. Et cela nous empêche d'avancer vers plus de compréhension. Ainsi le sujet de comment la France arrive à les tenir à la laisse. Parce que ce que ces gens là font pour la France, et contre leurs propres pays, je jure qu'ils ne le font pas de gaieté de cœur, ils sont obligés. Ce serait mieux que les africains comprennent comment leurs dirigeants sont tenus par une laisse. Mais on nous empêche d'aller vers pareille curiosité.
Je rappelle un trait d'humour de Ouattara, un humour très très révélateur, qui avait pourtant eu lieu en direct et en public devant toute l'Afrique. C'était à l'occasion d'une rencontre de nos préfets de la France à Abidjan (Ouattara, Condé, Macky, etc ). Lors du discours de Condé, durant la rencontre, ce dernier fit de longues tirades sur la nécessité de coopérer entre états africains, sans y impliquer l'Occident, de prendre possession de nos ressources, etc. Évidemment tous les autres écoutaient comme tétanisés de peur. A la fin du discours de Condé, reprenant le micro, Ouattara lança une farce en déclarant: " J'avais oublié de préciser à mon frère Condé, que les liaisons de la salle vers l'extérieur ne sont pas coupées, donc nous somme écoutés ailleurs ". Rires dans la salle. Condé réclama le micro de nouveau, pour préciser: "J'assume tout ce que je viens de dire, et que cela soit entendu partout ".
L'humour de Ouattara révélait une chose: ils veulent bien parler, mais ils n'osent pas. Quand ils parlent du drame qu'ils vivent, ils doivent s'assurer d'abord qu'il n'y a pas des micros de la France collés aux murs.
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